Reprise du message précédent :

 
Ici je parle au niveau mondial.
 

 
Par contre, ici je dérive sur la politique FR mais qui est plutôt un syndrôme de vouloir s'enrichir à tout va sans réfléchir au niveau mondial.

Je connais pas une raison plus stupide de ne pas faire de gosses que de dire, je fais un geste pour l'humanité. Plus ridicule tu meurs.
A la limite le gars qui dit que ça l'emmerde est plus respectable.

 
Tant qu'on sera dans une optique de gaspillage de ressources sans compter, il faut mieux limiter/stabiliser la population mondiale.
 
Sinon, si on gère mieux les ressources, je dis pas.  
 

Moi je comprends plutôt cet argument comme:
Etant donné le contexte actuel, l'instabilité, tout ça... Est ce bien raisonnable de mettre notre rejeton là dedans ? Est-on suffisamment sûr de pouvoir lui offrir une belle vie malgré tout le merdier qui semble se profiler (car la première motivation pour faire un enfant, ça devrait d'abord être le bonheur de l'enfant, et pas le nôtre du fait d'en avoir) ? Est ce que ça vaut le coup ?

Je ne trouve pas cela ridicule comme considération

Ou alors tu fondes une dynastie....  Doutrisor 1er ça sonne bien    

Plus ridicule que de faire un geste pour l'humanité tu meurs ? J'avoue ne pas comprendre....

 
Nan mais là tu détailles le ridicule. Avec ce raisonnement autant se suicider tout de suite, ce sera ça d'économisé pour l'humanité.
Quand on considère que l'on a pas les moyens d'apporter du bonheur à un enfant (c'est à dire être tellement centré sur sa misérable existence) c'est clair qu'il ne faut pas en faire.  
Quand on se sent capable de donner, je vois pas pourquoi on se priverait.  
Enfin t'as le droit de considérer qu'il est temps de mettre un terme à ta lignée.  
Bref le raisonnement par le néant c'est pas mon truc.

 
Limite tu te fais traiter de sous être parceque tu veux pas d'enfants (j'ai quoté ton post mais le multi quote ca m'emmerde profondemment).
 
Arretez de juger la vie des autres et leurs aspirations, y'en a pas un qui se dit "si c'est comme ça qu'il est heureux pourquoi pas." Tous omnubilé par la reproduction, laisser quelque chose à l'humanité, transmettre un bout de sa personnalité à quelqu'un qui vous chiera peut être dans les bottes et vous foutra dans un hospice de vieux quand vous en aurez l'age.
 
Non j'ai pas envie d'avoir un mini consommateur à la maison à qui même si j'evite de lui laisser regarder la télévision arrivera quand même à vouloir des trucs de marque à la con pour faire bien devant ses copains,quitte à faire travailler des enfants en thailande, non j'ai pas envie de me priver des loisirs qui nous importe à ma copine et à moi, le restau que pour les grandes occasions je vous le laisse, je veux pouvoir le faire pour ni'mporte quoi.
 
La vie avec des enfants manque de spontanéité, il faut prévoir à moyen terme ses sorties en oubliant qu'on sera peut être mort demain.
 
Y'a bien assez de gens qui font des mômes sans les aimer, pourquoi en rajouter, je sais que je n'ai pas la patience, je sais que je n'ai pas d'amour à leur donner.
 
Et comme j'ai dit, je laisse une trace sur cette planete, ca doit se compter en tonne d'ordure, la même que des milliards d'humain qui ont peu compté pour l'avancé de leur espece.

 
C'est clair que c'est vachement ridicule par rapport au travailler plus, pour gagner plus, pour CONSOMMER plus, pour GASPILLER plus nos ressources.
 
Ici je prends le modèle Sarko mais c'est valable partout plus ou moins pour le rapport à la consommation.
 
Je ne vois pas en quoi vouloir moins d'enfants (1 par exemple) est ridicule. Car même si on est capable de subvenir à ses besoins durant sa jeunesse, quand sera-t-il quand il sera adulte ?
 
Il faut mieux se multiplier sans vergogne et foncer dans le mur (vu au partage des ressources planétaires) plutôt que d'essayer de freiner l'expansion mondiale vu qu'on est toujours au stade de la société de GASPILLAGE ?.

Non, c'est tout le contraire justement, c'est ne pas être centré sur son existence, c'est ne pas être égoiste, c'est penser à l'enfant avant de penser à soi et son bonheur égoiste de "faire un enfant"

 
Non mais attend je ne juge personne, si quelq'un en veut pas avoir d'enfants c'est son choix, je n'ai pas de mépris où ce que que tu veux, loin de là. Je dis juste que le pretexte de la surpopulation pour donner une dimension politique voire rationnelle à son choix est ridicule. Et j'ai expliqué pourquoi.
Quant au manque de spontanéité de la vie avec enfant, c'est inepte. à part la petite enfance, je connais plein de potes qui n'ont pas changé leurs habitudes de voyage ni rien depuis qu'ils ont un moutard.
Contente toi de ceque j'ai surligné c'est largement suffisant comme raison.

 
Je répète arguer de la surpopulation pour ne pas avoir d'enfants est ridicule qui plus est lorque l'on est un occidental et non un africain ou un chinois.
Je te laisse le couplet bidon significatif de ta haine sarkozyste (je respecte aussi).

Ben me concernant, avoir des gosses, c'est vraiment pas pour me faire plaisir à moi. D'ailleurs si la question se pose en ces termes c'est qu'il y a un problème évident. Je considère que ça fait partie des buts d'une vie, pas le premier but pas le dernier, mais un but essentiel au sens premier du terme. Puis bon qu'est ce qu'une 20aine d'année où l'on va donner plus a autrui qu'à soi-même dans une existence? Pas grand chose. Enfin, si je devais trouver un intérêt à faire des gosses, je placerai plutôt ça sur le registre du "faire mieux" que ce que mes parents ont essayé de faire avec moi. C'est suffisant pour me motiver.

 
Merci, j'ai parlé de Sarko car lui ce qu'il veut c'est que l'on consomme plus c'est tout.  
 

 
Et ca ne me semble pas très responsable de vouloir la croissance pour la croissance et la consommation dans le cas  où nous sommes. (pénurie de ressources toussa).  

 
Et ca te ferait pas plaisir de réaliser tes buts ?    
 

Ce topic me fait halluciner.

 
Je ne sais pas je ne les ai pas encore réalisés.  
 
Et la notion de plaisir, non. C'est comme si on parlait de plaisir dans le devoir.

 
 
Ah bon. T'as jamais réalisé aucun de tes buts ? Même minime ?
Pourtant quand je réussis un but que je m'étais fixé, j'en ressens pas mal de contentement, de plaisir.  
 
Euh j'vois pas le rapport entre but et devoir.    
 
 
J'trouve ça juste très hypocrite le "j'veux des enfants, mais c'est pas pour me faire plaisir à moi"    
 
Perso, j'veux des enfants, en partie parce que j'imagine que ca me fera plaisir d'en avoir.  
 

 
Meu si je serais heureux d'avoir des enfants, mais comme je suis un bel égoïste j'ai encore du mal à me l'imaginer.  
Quant à mes buts, disons que comme toi j'ai resenti du plaisir lors de la réalisation d'un évènement attendu, mais à chaque fois j'ai considéré ce plaisir comme une étape pas comme le but final.
D'ailleurs il n'y a pas de buts finaux, que des étapes... des levels...
 
Je veux des enfants parceque je ne veux pas regretter de ne pas en avoir fait, tout simplement. Donc je ne me suis pas fixé ça comme un but mais comme un devoir...
 
Donc oui vraiement avoir des gosses, n'est pas un plaisir comme partir au bout du monde avec ma keupine, ni même l'acquisition d'un appart na moi etc... c'est au dessus de ça, c'est philosophique et lié à ma condition d'humble être huamain de chair et d'os.  

 
Euh, chez moi, le plaisir, il vient en grande partie après la réalisation du but. Même s'il peut y en avoir un peu dans la réalisation.  
Enfin bref, enculage de mouches toussa, t'facon.  

dans le cas des enfants, c'est 25 ans d'emmerdes pour 5 secondes de plaisir

Je me vois déjà en train de regreter d'avoir fait des gosses, en regardant mon larfeuille duquel mon gamin aura piqué 100€ la veille pour se payer son shit  

 
 
  Un T Shirt Versace biensur...

 
L'enfant est un investissement  

 
C'etait pas spécialement envers toi mais contre la réaction globale au fait que si on veut pas d'enfant on est sorti droit d'une autre galaxie.
 
Ma raison surligné me va très bien, j'ai pas envie d'avoir un gamin qui souffre de mal être dans les pattes parceque je ne suis pas apte à lui donner l'amour qu'il devrait avoir.
 
Plutôt ne pas avoir de gosse que savoir qu'il risquerait d'être frappé et battu par moi même un jour ou il me reveille en hurlant ou pour toute contrarieté insistante.
Ma copine me connait, j'ai des phases d'humeur pas génial, elle sait qu'il faut pas m'emmerder pendant ces passages là, mais va faire comprendre ça à un gamin.
[/3615 mylife]

Pas voté, je comprends même pas la question.  

Y'a un truc qui me choque dans le sondage: les alternatives au Oui sont uniquement matérialistes!
Et les gens qui préfèrent faire un métier passionant mal rémunéré (ou pas)?
Et ceux qui vivent en libertaire?
Et ceux qui voyagent en permanence?
Moi jme reconnais un peu dans tout ça: j'ai misé sur un taf intéressant, pas forcément dans les plus rémunérateurs, jvais bouger dans pas longtemps et jpense pas que de se poser avec qqun dans une baraque à crédit soit un idéal super excitant avant au moins 35 ans.

Donc je plussoie BoraBora, pas compris la question: je vote pas

Edit: jvois qu'y a un débat sur les moutards. Jpense qu'ils ne sont absolument pas un frein au choix des parents, suffit d'être pédagogue et de les protéger

Génial le sondage, vraiment   . Comme daaadou en fait. Le bonheur n'est pas matérialiste  

A vrai dire, ce n'est même pas ça que je ne comprends pas. C'est surtout l'expression "avoir réussi sa vie". Pour pouvoir penser une telle chose (ou son contraire), il faut qu'elle soit pratiquement finie, en tout cas figée une fois pour toutes. Tu ne peux pas dire que tu as "réussi ta vie" à 35 ans. Tout au plus que tu as provisoirement concrétisé certains de tes désirs.
 
C'est à peu près comme parler de la "femme de sa vie". Tu le sauras qu'à la fin, si c'était bien elle.

Jpense qu'il voulait parler d'une notion d'accomplissement, une sensation de contentement, peut-on être heureux dans ce cadre banal mais majoritairement représenté. En effet, une fois marié, père, travail assuré, lié à la banque, a t-on une sensation d'accomplissement qui remplit tout?  
A mon sens sûrement un peu, les enfants y sont pour beaucoup.  

'Plussoiement massif'

Bagnole, baraque, crédits, femme, mioches, portefeuille d'actions.... Et après, au delà ?
 
La normalité, c'est pas toi qui la fixe. Si c'est une référence pour toi, c'est que tu t'es fait avoir, tu t'es fait bouffer, tu t'es fait baiser. Pas envie d'en parler, ni de parler de moi. L'individualisme, ca fait crever dans son coin sans avoir rien fait de passionnant dans sa vie, sans avoir été passionné de la vie et dans la vie.  Le matérialisme est la matérialisation de l'absence de matériel spirituel et mental.
 
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
 
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
 
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
 
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
 
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
 
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
 
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
 
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
 
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
 
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
 
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
 
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
 
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
 
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
 
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
 
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
 
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
 
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
 
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
 
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
 
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
 
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
 
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
 
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
 
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

Le bateau ivre, Arthur Rimbaud.

1 million / Lofofora    
 
Non pas le temps sur terre de bailler à la lune Dans une société totalitaire la thune
Comme une mère abusive, exclusif point de repère: Ton père t'a appris, tout travail mérite salaire
Mais pour celui qui n'en a pas le respect se perd Même les amis fuient, ils se tirent ventre à terre
Ils préfèrent ne plus te reconnaitre, mon frère Plutôt qu'affronter, rencontrer la misère
Quand commence la lente descente aux enfers Zéro crédit, saisie, poursuites judiciaires
Mordre la poussière tout le monde flippe de ça C'est pourquoi, aujourd'hui, c'est chacun pour soi
Voilà t'a pas le choix Ma foi tant pis, je remballe mes utopies
Mon idéal à deux balles, à la bourse de Paris Est coté que dalle mais faut pas s'émouvoir;
Le seul espoir est d'avoir un gros paquet de dollars
 
1 million de façons Autant de raisons de déraper
Tu peux tout tenter Mais te laisse pas rattraper, happer
Par la came ou les flammes des gardiens de la paix Jusque là tu pensais pouvoir y échapper
 
La fortune, mesdames, messieurs, appartient aux ambitieux Dommage pour ceux qui se découragent
Les anxieux ne feront pas de vieux os Au mieux obligés de mendier, affligés
Quémander de quoi manger Excusez-moi de vous déranger
Pardonnez-moi d'exister J'veux pas vous importuner
Pas demander la pitié Mais me voilà sous le seuil de pauvreté
Non personne ne veut être confronté A cette éventualité maudite de la réalité
Mais dites-vous bien que rien n'est acquis Méditons une minute, si posséder
Entasser des sous représente tout Sommes-nous normaux ou bien fous?
A qui appartenons-nous? Sommes-nous des maquereaux ou des putes?
Alors qu'est ce qui importe est ce la route ou le but?
 
1 million de façons Autant de raisons de déraper
 
Te voilà perdu sans boulot Rendu trop tôt au bout du rouleau
Tu te vois déjà clodo, crado, collé au goulot Il te faut un plan
Un tuyau qui te sorte la tête de l'eau Un filon illégal ou réglo
C'est égal, pas de scrupules à dealer des kilos Tu vas pas culpabiliser quand on voit ces salauds
Qui se paient des villas, des yatchs sur le dos des prolos Tu sais le malheur des autres fait le bonheur des escrocs
Alors t'as foncé, tête baissée, sans penser Une paille enfoncée dans le nez
Un rail pour aller plus vite au sommet Puisque arrive enfin la monnaie facile à gagner
Mais s'il n'y avait qu'à se baisser Tu te serais pas ramassé à la première fausse note:
Une paire de menottes, un procès Des années à passer derrière un porte
La mariée était en blanc Tu voulais lui piquer la dot
Maintenant pour remonter le temps Il n'y a pas d'antidote
 
y'a pas que Rimbaud  

Et c'est ça qui paye le loyer ?

 
Tu penses vraiment que seul l'argent compte? Que les envies "d'évasion" de certains ne sont que de la branlette pour occidentaux privilégiés?

 
 
 

 
Des arguments, SVP ?
 
Pourquoi c'est ridicule de penser à notre avenir et de vouloir réformer la société de gaspillage ?
Surtout compte tenu des problèmes climatiques annoncés depuis belle lurette.
Et que la vie n'est pas que matérialiste.
 

 
un investissement c'est qq chose qui rapporte  

Prend un chien
 
Sinon concernant l'enfant investissement j'en réferre à la plus haute autorité de la nation française :
«l'homme n'est pas une marchandise comme les autres»
Extrait du meeting de Nicolas Sarkozy à Saint Etienne le 09 novembre 2006

aucune des réponses possible pour ma part.
 je ne suis pas matérialiste, mon bonheur ne réside pas dans ce que j'ai possédé, mais ce que j'ai vécu.
 

 
ah bon. l'objectif de la vie c'est se reproduire ?
 
désolé, je ne suis pas un spermatozoide.

C'est exactement ce que je pense, c'est mon leitmotiv.

Carrément, c'est bien pour ça que la plupart des gens sensés ici s'accordent à dire que ce sondage est pourri et complètement biaisé/aveugle

moi je pense que pour réussir sa vie faut gagner plein de fric
mais vraiment plein le plus possible à ne plus savoir quoi en faire    
ceci pour une raison tres simple : l'argent rend libre totalement libre... Une fois qu'on a gagné vraiment plein de fric on peut faire ce qu'on veut.. Assouvir ses passions ses reves, arreter de travailler faire le tour du monde dix fois si ça nous chante...
Par exemple Bill Gates, il a gagné plein de fric et maintenant il a arrete de bosser et il se consacre à quelque chose qui lui est tres cher : sa fondation.
et pis de toutes façons comme on est dans un systeme capitaliste... et que jusqu'à preuve du contraire on a rien trouvé de mieux, et ben autant s'adapter totalement au systeme.