kuikui etant donne que tu as l air de particulierment aimer le front national et les copies colles
je vais poster son programme en entier.
je suis certain qu il te plaira encore davantage.
et ca aidera a toutes les personnes ici presentes d en connaitre un peu plus sur le fn que ce que les medias nous inventent.
Par contre contrairement a toi dans un soucis de rigueur comme tout bon militant de droite, je te donnerais les sources consultables sur internet.
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Les Mythes de la mondialisation
Introduction :
De nos jours, le vocable " mondialisation ", traduction de l?anglais " globalization ", fait recette. On évoque tout d?abord une mondialisation géopolitique et idéologique, selon laquelle la fin du communisme scelle le triomphe irréversible et définitif du libéralisme politique et économique sur l?ensemble de la planète. Dans un monde largement dominé par la toute puissance américaine depuis la chute du mur de Berlin, le discours de George Bush en 1991 sur le Nouvel Ordre Mondial, à l'occasion de la ?croisade des démocraties? contre l'Irak, était on ne peut plus clair? De même, on débat de la mondialisation démographique et économique, en raison de l?ouverture des frontières, des mouvements de population et de la multiplication des échanges. Bref, en ramenant la planète aux dimensions d?un " village global ", le début du XXIème siècle serait l?antichambre d?une nouvelle civilisation dont l?une des caractéristiques principales serait de rendre largement obsolètes et ringardes les concepts de souveraineté nationale, d?enracinement, d?identité culturelle et ethnique.
I- EXPOSE DES FAITS
A l?heure de la mondialisation, les frontières nationales seraient dépassées, voire nuisibles, puisqu?elles feraient obstacle à la liberté individuelle de circulation, à la fluidité des échanges culturels ou économiques, à l?avènement de la démocratie dans le tiers monde? Nous serions entrés dans un monde nouveau, et le maintien du fait national serait de nature à nous priver de ses bienfaits. Les tenants de l?idéologie mondialiste avancent à l?appui de leurs croyances un certain nombre de justifications géopolitiques, démographiques, économiques, et technologiques :
1- justification idéologique : La mondialisation désigne le nouvel ordre international de l?après guerre froide qui repose à la fois sur une communauté de valeurs et sur la domination d?une superpuissance mondiale, les Etats-Unis. La chute de l?empire soviétique consacre la fin de la bipolarisation des relations internationales et la réconciliation des peuples européens autour des valeurs de l?individu, de la démocratie et du marché. L?évolution de l?Europe préfigure un mouvement universel, l?unification du monde autour des schémas d?organisations politiques et économiques occidentaux : la mondialisation c?est avant tout l?universalisation des valeurs politiques et morales de l?occident. Certains auteurs avancent même l?idée que l?humanité est aujourd?hui parvenue au stade ultime de réalisation de sa destinée cachée, c?est à dire à la " fin de l?histoire " (F. Fukuyama), ère nouvelle où la concorde et le commerce épanouissent les hommes et président aux destinées des peuples.
2- Justification démographique : le déclin démographique des peuples blancs, l?hédonisme et l?esprit de jouissance généralisé qui interdit un certain type de travaux aux occidentaux, rendent irréversibles les flux migratoires du Sud vers le Nord. La mondialisation, c?est l?ouverture des frontières. Le Général américain Wesley Clark, responsable des opérations contre la Serbie au printemps 1999, avertit alors les pays européens que le XXIème siècle verrait obligatoirement la fin des Nations, culturellement, religieusement et ethniquement homogènes, modèle que les Etats-Unis jugent non souhaitable et " dépassé "?
3-Justification économique : interconnexion croissante des marchés financiers, accélération des vitesses de transactions, augmentation des volumes échangés : nous vivons dans un monde d?interdépendance économique généralisée qui ne fait qu?augmenter une interdépendance qui amène par elle même, fatalement, le mélange des peuples et la fusion des cultures et qui rend illusoire toute velléité de protectionnisme.
4- Justification technologique : avec internet, et plus généralement la révolution des communications, le monde est entré dans une ère radicalement nouvelle : les nouvelles technologies permettent des échanges immédiats et raccourcissent les distances. Cette liberté sans précédent gagnée sur le temps et sur l?espace rendent caduques les frontières et les nations.
II- ANALYSE DES FAITS
Le géopoliticien Samuel Huntington, théoricien du " choc des civilisations ", a bien vu que ce discours idyllique se heurtait au " réel " : " Certains émettent l?hypothèse selon laquelle la modernisation et le développement économique ont un effet homogénéisant et produisent une culture commune. Dans certaines circonstances, cela pourrait être le cas. Mais les guerres surviennent le plus souvent entre les sociétés qui ont un haut degré d?interaction, et l?interaction produit fréquemment des résistances, des réactions et des confrontations. Ces interactions, actuellement en nette augmentation, intensifient la conscience civilisationnelle, la prise de conscience des différences qui séparent les civilisations entre elles, et les traits communs qui unissent une même civilisation ". Les arguments plaidant en faveur de la mondialisation ne sont pas recevables :
1- D?un point de vue idéologique et géopolitique, l?Islam dessine une première grande ligne de fracture au sein de la géopolitique moderne qui casse l?idée d?un monde uni en marche vers la concorde et la paix. Il s?agit d?une religion en pleine expansion, qui elle aussi prétend à la domination mondiale : pour le pieux musulman, la communauté des croyants n?a d?autres limites que l?ensemble de l?humanité. Les préceptes de l?Islam sont en outre fondamentalement opposés aux valeurs occidentales, puisque la religion du prophète nie la distinction entre spirituel et temporel de l?ordre politique et religieux, distinction qui est justement le propre de la civilisation européenne. La seconde fracture du monde moderne est celle qui naît du fait national : les appartenances ethno-culturelles bouleversent les structures politiques en place (ex-Yougoslavie, ex-URSS, Ethiopie, Zaïre?). Il y a donc fragmentation autant que mondialisation. C?est la raison pour laquelle il n?y a aucune fatalité à la disparitions des nations, bien au contraire.
2 - D?un point de vue démographique, c?est une imposture que de prétendre que la mondialisation est une réalité conforme au " sens de l?histoire ". Les blocs ethniques se reforment. Seuls l?UE et les Etats-Unis sont actuellement victimes des flux migratoires, seules les officines mondialistes de ces pays occidentaux et leur relais d?opinion font croire à l?avènement inéluctable du melting-pot planétaire, lequel ne concerne pratiquement pas du tout le reste du monde. Nous touchons d?ailleurs là aux raisons de l?extrême médiatisation d?un José Bové, chouchou du paysage audiovisuel français, lequel en vrai internationaliste ( = mondialiste), combat apparemment la mondialisation sur le terrain économique, mais prône la disparition des frontières et la régularisation des clandestins? La présence d?immigrés en grand nombre dans les pays européens n?est en aucun cas inéluctable. L?exemple de l?Espagne est emblématique. De 1609 à 1613, 150 000 mauresques faussement convertis sont expulsés du royaume vers l?Afrique du Nord (5% de la population). Les autochtones ne supportant plus leur présence, l?Etat céda à la pression populaire : d?un point de vue démographique, l?ouverture des frontières aux mouvements de population n?est donc ni nouvelle, ni fatale?
3- D?un point de vue économique, la mondialisation par le commerce international et les échanges a déjà eu lieu, du XVIe au XXe siècle. Elle a été impulsée par l?Europe, les grandes découvertes ?responsable de la " mondialisation " des idées par la diffusion du christianisme à l?échelle planétaire-, la conquête de l?Amérique et la colonisation. Mais mondialisation du commerce n?a jamais signifié le mélange des peuples, ni le libre-échangisme généralisé. Comme le note Guillaume Faye dans L?Archéofuturisme, "Aujourd?hui nous vivons la globalisation, c?est à dire la mise en relation immédiate et la création de réseaux relationnels, stratégiques, économiques, scientifiques et financiers transnationaux, mais cette globalisation n?empêche pas l?économie américaine de ne fonctionner qu?à 12,4% sur des échanges extra-continentaux. Cette globalisation n?empêche pas les exportations françaises, italiennes ou allemandes d?être d?abord à destination européenne dans leur grande majorité ". D?ailleurs, le taux d?ouverture de l?économie française en 1999 était a peu près le même que celui de 1914. Certes en 20 ans les échanges courants ont vu leur valeur plus que décupler et leur part dans le PIB mondial plus que doubler, mais cette mondialisation de l?économie marchande ne dépasse pas 20% dans la plupart des grands pays. Il y a d?ailleurs moins mondialisation que régionalisation commerciale, comme l?atteste la multiplication des accords locaux de libre-échange : UE, NAFTA, MERCOSUR, ASEAN?
4- D?un point de vue technologique, on évoque Internet, et plus généralement la révolution des communications, la révolution des réseaux, qui rendraient obsolètes nations et frontières. Mais il y a moins de nouveauté et de révolution dans le passage de la radio-télégraphie à internet que dans le passage de la messagerie maritime à la radio-télégraphie. On est passé en effet du temps long des communications maritimes au temps court de la radio-télégraphie, puis au temps très court (temps réel) d?internet. La véritable révolution des communications est donc très ancienne et le passage au temps court n?empêche pas par lui même les nations d?exercer leur souveraineté et leur droit à disposer d?elles-mêmes.
III- NOTRE POSITION VIS-A-VIS DES FAITS
1- Le discours dominant sur la mondialisation procède de ce que certains universitaires appellent les ?anticipations auto-réalisatrices? : plus vous en parlez, plus vous accréditez l?idée qu?elle existe déjà et qu?il n?y a rien à faire, plus le fatalisme gagne les élites et la population, et plus on se dit que tout est joué ! En effet, plus on croit à un phénomène qui n?existe pas, plus on le trouve légitime et plus on contribue à le réaliser. Ainsi, face au matraquage médiatique, nos concitoyens sont amenés à penser que les frontières n'ont plus lieu d'être.
2- L?idéologie mondialiste emprunte à la fois au libéralisme utopique et à l?humanisme égalitaire, aussi cette idéologie ne peut-elle être qu?hostile aux nations, aux communautés intermédiaires d?appartenance (régions, ?) et à toutes les identités constituées puisqu?elles font obstacle à la fluidité des ?échanges?. Pourtant, le brassage généralisé des peuples et des systèmes économiques dans un univers globalisé marquerait une perte nette en terme de richesse potentielle de diversité des différents patrimoines de la planète.
3- Aujourd?hui comme hier, la puissance de l?Etat lui permet de contrôler ses flux migratoires s?il le désire, la mondialisation des économies n?expliquant en rien le laxisme des pouvoirs publics. De ce point de vue, la mondialisation met simplement les chefs politiques face à leurs responsabilités. Des politiques de retour au pays ont d?ailleurs été mises en place dans de grands pays industrialisés comparables à la France : en Suisse en 1974, 5% de la population active a été expulsée du pays ; en Allemagne pendant la même période plusieurs centaines de milliers de turcs ont été renvoyés chez eux.
4- L?économique ou le juridique ne doivent pas commander le politique. Nous retrouverons notre souveraineté, c?est-à-dire la liberté de choix de notre peuple et le pouvoir de décision de nos institutions lorsque nous dénoncerons les traités qui nous lient à l'europe de Bruxelles, comme la France le fit par le passé, lorsque ses intérêts vitaux étaient en jeu. En 1966, la France quittait l?organisation militaire de l?OTAN. Il n?y a pas eu de guerre entre la France et ses alliés, le ciel ne nous est pas tombé sur la tête ! Il est donc possible de sortir de la situation actuelle, ce qui montre bien que la mondialisation est l?alibi de tous nos renoncements. En matière de commerce international, d?accords multilatéraux de toute nature, l?Etat peut et doit prendre toute mesure nécessaire lorsque par exemple, la prise de contrôle d?une firme met en cause l?indépendance, la sécurité et l?autonomie nationales dans des activités stratégiques. En outre, les Américains ont su se doter d?un arsenal unilatéral de rétorsion commerciale (section 301 du Trade act de 1974, section super 301 du Trade act de 1988, plus récemment le fameux spécial 301). Il faut nous doter d?outils semblables pour protéger à la fois nos emplois et nos produits sur notre marché intérieur.
En définitive, on ne peut nier une tendance évidente à l'internationalisation des échanges. Mais il faudrait que ceux-ci se mettent en place dans le respect de la conservation de notre savoir-faire industriel et technologique et de la préservation de notre indépendance alimentaire. Bref, comme nous l'avons vu, d'une part le phénomène dit de "mondialisation" est à relativiser, d'autre part, celle-ci n'est pas inéluctable et les nations doivent en gérer les effets avec volontarisme et sélectivité.
Résumé
Le mondialisme est une idéologie mortifère, qui prônant la disparition à terme des souverainetés et des identités nationales, s?appuie sur un certain nombre de mythes et de postulats mensongers, selon lesquels le XXIe siècle verrait une inéluctable unification géopolitique, économique, démographique et technologique de la planète convertie à la religion des droits de l?homme. Loin d?assister à la " fin de l?histoire " et d?entrer dans une ère de prospérité économique, de paix et de métissage généralisés sous leadership américain, le monde de demain reste morcelé, instable et lourd de menaces. Contre les utopies mondialistes qui servent principalement les desseins des Etats-Unis d?Amérique et facilitent l'immigration-invasion, le maintien des frontières, des souverainetés et des identités nationales, et plus largement la défense du sentiment national, restent plus que jamais d?actualité.
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Message édité par guoinguoin le 10-04-2004 à 23:15:38