cappa |
Vu les coûts annoncés par Svenn il faut quand même admettre qu'il y a un problème. C'est amusant parce que la somme de tous les surcoûts doit être quelque chose d'assez abracadabrantesque, mais comme ils sont répartis et cachés on ne pense pas une seconde qu'on pourrait investir 1/10e de cette somme en prévention. Ce ne serait pas plus malin?
Je voudrais revenir sur cette remarque :
et sur l'annonce de la découverte d'une police gruyère économisant l'encre (propriété d'une société dannoise) :
Citation :
SPRANQ creative communication, l'agence web néerlandaise qui a mis au point cette solution, est formelle : "En Hollande, il n'y a pas que les fromages qui aient des trous... Ecofont aussi, la police d'impression écologique et économique (...) qui consomme jusqu'à 20 % d'encre en moins."
|
Je propose donc une insertion (un peu brutale) d'un certain nombre d'amorces de discussion concernant la langue de l'île AZ (concerne la règle 8-b du livre de bord). Rappel : La règle 8-a et la règle 8-b déterminent un certain style de communication. Chez AZ on souhaite faire de la science une chose démocratique, une chose utile, et donc utile au plus grand nombre. Or, pour tirer le plus grand profit de la science il faut un bagage minimum (on en a pas mal débattu par ici). Les scientifiques invités sur l'île AZ sont donc chargés de contribuer, en fonction de leurs différentes capacités, en rédigeant un ou plusieurs manuels d'apprentissage. D'un autre côté, et dans le même état d'esprit, l'île AZ se met en charge de créer une langue universelle optimisée à des fins de large propagation des connaissances d'ordre technique et scientifique. En analogie avec l'Espéranto, la langue AZ est dénommé EsperantAZ.
Bon, j'ai fait un effort important pour structurer cette partie qui au départ avait la forme d'un tas hétérogène assez effrayant je dois dire. On remarque d'ailleurs la présence d'un sommaire, preuve qu'il y a un semblant d'ordre Enfin ça reste touffu mais le contenu est assez riche. Je dois remercier ngkreator pour m'avoir aiguillé sur WIKILANG qui est à l'origine de ces nouveautés
0 - Sommaire
1 - L'EspérantAZ, langue de l'île AZ
EsperantAZ : Une langue pour les gouverner toutes (les sciences)
Définition :
EsperantAZ
1.1 - Une langue construite qui tout en restant universelle et abordable de manière égale par tous, n'en reste pas moins adaptée aux sciences et techniques les plus modernes.
Cette partie de la définition est enrichie dans le paragraphe 2, présentant les langues construites dans une mini fresque historique.
1.2 – Une langue qui prévoit dès sa construction d'économiser les ressources matérielles en analysant les moyens de réaliser une écriture qui tout en restant lisible soit portée à ménager la planète. Une problématique encore insuffisamment explorée à l'heure de Copenhague.
Sur la base de tout ce qui vient d’être dit, l’EsperantAZ doit se fixer au moins ces buts : On utilisera l'espérantAZ pour :
- Atteindre une efficacité maximale dans la communication scientifique et technique.
Garantir une égalité de tous par rapport à la langue de communication internationale utilisée, Préserver la pluralité linguistique des langues naturelles, nationales ou autres
A contenu égal (message du texte…) et présentation similaire (taille des caractères…), un texte en EsperantAZ doit s’imprimer avec un volume d’encre et de papier 4 fois inférieur à ceux de l’anglais. Ce n’est pas irréaliste, considèrons la symbolique mathématique (+,=,x…), celle-ci réalise une compression de volume déjà appréciable. La symbolique chimique en fait autant (CnO2 au lieu de dioxide de cyanure)… La généralisation de la compression symbolique à l’ensemble du corpus d’une langue n’a jamais été tentée du fait de l’abscence de conscience écologique. A présent ce souci pourrait devenir une constante. Il faut ajouter qu’une compression symbolique poussée permettrait d’atteindre un taux bien meilleur qu’une compression d’un facteur 4 des textes en EsperantAZ par rapport à l’anglais, mais pas sans perte de lisibilité. Disons qu’en terme de compression pure il faudrait plutôt atteindre un facteur 10 à 15, pour espérer à l’usage, avec des textes pédagogiques, réaliser effectivement une compression du facteur 4 désiré.
2 – Une langue universelle adaptée aux sciences et techniques
Historique des langues construites 2.1 - Définition : on distingue 2 types de langages chez l’homme. 2.1.1 - Les langages naturels que l’on connaît, fortement typés et tributaires de la civilisation qui les engendre. Une civilisation portée sur la chasse et la cueillette aura par exemple un nombre déterminant de mots et d'expressions tirés de la chasse. Une civilisation basée sur la consommation verra sa langue se centrer sur les activités et les modes de penser centrés autour de cette activité. Les langages naturels sont donc toujours la langue des habitudes d'un peuple.
2.1.2 – Les langages construits artificiellement sur la base d’un critère choisi.
Exemple : le langage que l’île AZ conforme à sa charte (communiquer facilement sur des sujets techniques tout en étant compréhensible par tout être humain de façon égale). L’anglais par exemple est une excellente langue pour la technique mais les chinois ne sont pas égaux devant nous face à son apprentissage ou son usage. De plus l’anglais porte une grande charge civilisationnelle. Conséquence : promouvoir sa diffusion peut impliquer un parti pris (même passif) pour une domination politique arbitraire, ou encore, ce choix impliquera l'étouffement des autres langages locaux moins efficaces. Une langue construite sur des critères objectifs impartiaux ne comporte pas un tel fardeau éthique.
2.2 Plan de l'historique:
Suggérées par Wikipédia, d'après le lien fourni au départ par ngkreator qui ciblait la notion de "Universal Networking Language", voici les étapes qu’on va suivre dans ce chapitre :
2.2.0 – Présentation générale d’après Wikipédia
2.2.1 - Le Volapük
2.2.2 – L’Espéranto
2.2.3 – L’anglais basic
2.2.4 – La langue optimale de Richard Harrisson
2.2.5 - Le LPS de Leyan (Wiki Langmaker)
2.3 – A propos des langues universelles – Historique
2.3.0 – Présentation générale d’après Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Centr [...] rnationale
http://conlang.wikia.com/
http://esperanto.bretonio.free.fr/ [...] t_publ.htm
http://donh.best.vwh.net/Esperanto/EBook/chap03.html
http://www.zompist.com/kit.html
http://www.kli.org/
http://www.bde.espci.fr/perso/gran [...] intro.html
2.3.0.1 Un peu d'histoire
Citation :
(Wiki Inside...)
Le premier essai vaguement connu de création d'un langage universel nous ramène au IIe siècle. Précurseur dans le domaine de l'expérimentation médicale, Galien construit un système de signes dont il ne reste pour traces que quelques notes historiques. Dix siècles s'écoulent ensuite sans événement notable dans ce domaine jusqu'à ce que l'abbesse Hildegarde von Bingen élabore un système de langue écrite (a-t-elle été parlée ?) par elle seule, Lingua Ignota.
(1596-1650) philosophe et savant français 20 novembre 1629. Lettre à son ami, le Père Mersenne :
« Il faudra que l'humanité crée une langue internationale ; sa grammaire sera si simple qu'on pourra l'apprendre en quelques heures ; il y aura une seule déclinaison et une seule conjugaison ; il n'y aura point d'exceptions ni irrégularités et les mots dériveront les uns des autres au moyen d'affixes. »
|
Citation :
Le peuple qui réussit à imposer sa langue comme langue internationale, impose également sa culture et son style de vie. Une langue construite permettrait de sauvegarder la diversité des cultures. Cependant, elle contient également une partie de la culture de son constructeur (choix des racines, grammaire choisie, prononciation…), et l'impose donc aussi si les choix de son initiateur n'ont pas été éclairés par une grande connaissance des autres cultures et des autres langues. Les langues nationales sont complexes à apprendre, et seule une élite peut parvenir à les maîtriser suffisamment bien pour jouer un rôle international de premier plan. Certaines langues de type lingua franca comme l'indonésien ou le kiswahili sont également faciles à apprendre.
Il semble qu'à ce jour seul l'espéranto, avec une communauté estimée à environ deux millions de locuteurs par le Professeur Culbert et à six millions par le Guiness book (mais d'autres estimations peuvent aller de plusieurs centaines de milliers à dix millions), ait réussi à percer malgré la puissance de l'anglais, considéré par la plupart des gens comme la langue internationale de facto. L'espéranto est d'ailleurs la seule langue construite qui soit connue du grand public : son nom est d'ailleurs devenu un nom commun, utilisé le plus souvent dans d'autres domaines, sans faire référence à la langue elle-même et sans la connaître.
|
2.3.1 - Le Volapük
Citation :
http://vo.wikipedia.org/wiki/
Le volapük est une langue construite inventée en 1879 par le prêtre catholique allemand Johann Martin Schleyer (1831-1912), de Baden.
Menade bal, püki bal, "Une humanité, une langue" en volapük !
Les adeptes du volapük tinrent plusieurs congrès (à Friedrichshafen en août 1884, à Munich en août 1887...) Mais quelle langue parlait-on dans ces réunions ? R. Lorenz, professeur au Polytchnikum de Zürich et membre de la Délégation de 1908, écrit : « Le destin du Volapük fut scellé lorsque ses partisans, en 1888, tentèrent l’expérience d’organiser un congrès où ce serait le Volapük qu’on devrait parler. Le résultat pénible mais trop évident fut qu’avec un pareil système le but ne pouvait pas être atteint. »[1]. Le Congrès de 1887 créa cependant trois instances: une association mondiale (Volapükaklub Valemik), une Académie du volapük (Kadem Volapüka), et un journal officiel ou organe central (Volapükabled Zenodik). Le créateur de la langue, Schleyer, dirigeait l'ensemble du mouvement.
Ce succès apparent fut cependant suivi de conflits internes qui provoquèrent la disparition de la langue. En effet, non seulement la grammaire du volapük était relativement complexe malgré sa régularité, mais surtout le vocabulaire, à cause de la déformation arbitraire des mots d'origine, était presque impossible à assimiler. Grabowski, qui l'avait étudié, aurait dit à Zamenhof : «L'auteur du Volapük parle très mal sa langue. Pendant notre conversation, nous avons dû recourir souvent au dictionnaire, et je ne sais lequel de nous deux l'ouvrit le plus souvent» [2]. Certains adeptes proposèrent donc des réformes et des simplifications, mais Schleyer s'y opposa, en déclarant qu'il était l'unique propriétaire de la langue et la seule personne à pouvoir autoriser des changements. Dès lors, le volapük se dispersa : plusieurs réformes donnèrent naissance à des projets concurrents (Dil, Dilpok, Nuvo-Volapük, Balta, Spelin, Veltparl, Idiom Neutral) et le volapük perdit peu à peu la plupart de ses locuteurs, un nombre important d'entre eux adoptant l'espéranto, tant l'idée d'une langue internationale neutre les préoccupait plus que la forme particulière que pourrait prendre cette langue. Ainsi en fut-il par exemple du groupe volapükiste de Nuremberg qui en 1888, à la suite de Léopold Einstein, adopta l'espéranto (qui avait été publié seulement en 1887) et constitua de ce fait le premier club d'espéranto qui ait existé. Dès 1900 Zamenhof parlait du volapük comme d’une langue morte [3]Le volapük n'est plus aujourd'hui pratiqué que par quelques rares personnes, qui sont pour la plupart des espérantistes curieux de voir à quoi ressemblait la première langue internationale à avoir connu un début de succès.
Le vocabulaire du volapük est emprunté à diverses langues européennes (avec des déformations souvent importantes), mais les principales sources sont l'anglais et l'allemand. Par exemple, les mots vol (« monde ») et pük (« langue ») viennent des mots anglais world et speak. Ces déformations, dues au souci de Schleyer de ne pas utiliser de phonèmes difficiles à prononcer par certains peuples, ont contribué à alimenter les moqueries des adversaires de la langue.
Le mot se compose d'un radical, lequel peut se fléchir d'un ou plusieurs préfixes ou suffixes, mais aussi se composer de deux ou plusieurs radicaux.
VOLAPÜK = langue universelle, de VOL= monde et de PÜK = langue.
Lorsque plusieurs racines coexistent au sein d'un même mot, on place le mot qui rend l'idée principale à la fin. L'articulation se fait toujours par l'ajout de la lettre A (la marque du génitif).
pokamon = argent de poche
monapok = poche d'argent
Mon signifie argent, pok, poche.
|
2.3.2 – L’Espéranto
Citation :
Langue Agglutinante
De tous les nombreux projets de langue auxiliaire internationale ayant vu le jour, l’espéranto est celui qui a remporté le plus de succès, et le seul qui soit quelque peu connu du grand public. Il est le moyen de communication d’une communauté estimée entre cent mille et deux millions de locuteurs, répartis dans presque tous les pays du monde. Lngue officielle de l'Académie Internationale des Sciences de Saint-Marin[1] et de l'académie Comenius en Suède.
L’espéranto est une langue construite, conçue à la fin du XIXe siècle par Ludwik Lejzer Zamenhof dans le but de faciliter la communication entre personnes de langues différentes à travers le monde entier.
Histoire [modifier]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l%27esp%C3%A9ranto
L'espéranto fut composé entre la fin des années 1870 et le début des années 1880 par Ludwik Lejzer Zamenhof, un ophtalmologue polonais issu d'une famille juive de Białystok (Pologne), ville alors peuplée de quatre communautés (juifs, polonais, allemands et biélorusses). Sensible aux tensions qui en résultaient, Zamenhof voulut créer un moyen de communication neutre susceptible d'améliorer la communication et la compréhension entre les nations.
Dans la plupart des démocraties contemporaines, l'espéranto ne bénéficie que de peu ou pas de soutien officiel. En France, sa reconnaissance comme option facultative de langue au niveau du baccalauréat n'a pas été obtenue à ce jour. En Hongrie, où cette reconnaissance a eu lieu, l'espéranto fait partie des cinq premières langues étrangères [4].
En tant que langue construite, l'espéranto est généralement appris comme langue seconde. Il existe cependant un petit nombre de locuteurs dont il est la langue maternelle, le plus connu étant l'homme d'affaire George Soros.
Classification [modifier]
En tant que langue construite, l'espéranto n'est généalogiquement rattaché à aucune famille de langues vivantes. Cependant, une part de sa grammaire et l'essentiel de son vocabulaire portent à le rattacher aux langues indo-européennes. Ce groupe linguistique a constitué le répertoire de base à partir duquel Ludwik Lejzer Zamenhof a « composé » sa langue internationale.
Selon une étude comparative de l'Institut de Pédagogie Cybernétique de Paderborn (RFA), 150 heures d'espéranto suffisent à un francophone pour atteindre un niveau qui en exige au moins 1500 en anglais et 2000 en allemand [24] [25].
L'espéranto donne lieu à un mouvement militant qui s'est notamment traduit par l'apparition en France de la liste Europe - Démocratie - Espéranto aux élections européennes de juin 2004. La liste a reçu 25 259 voix, soit environ 0,15% des voix exprimées. Elle se structure désormais au niveau européen[28].
Ce mouvement propose d'utiliser l'espéranto, de préférence à l'anglais, à la fois pour garantir une égalité de tous par rapport à la langue de communication internationale utilisée, pour préserver la pluralité linguistique et pour une plus grande efficacité.
|
2.3.3 – L’anglais basic
Citation :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Globish
L'anglais basic (pour British American Scientific International Commercial) est un sous-ensemble très restreint (850 mots) de la langue anglaise qui forme en soi une nouvelle langue (entièrement compatible avec l'anglais normal et ne suivant que des règles provenant sans modification de la langue anglaise) tellement adaptable qu'il fut possible de traduire intégralement et fidèlement la Bible (outre de nombreux autres ouvrages) en anglais basic.
Cette langue est le fruit du travail d'Ogden vigoureusement assisté par Richards et Graham.
|
2.3.4 – La langue optimale de Richard Harrisson
2.3.5 - Le LPS de Leyan (Wiki Langmaker)
Citation :
http://leyan.org/Grammaire%20LPS
Je suis particulièrement amoureux de la nature, des systèmes auto-suffisants et de la simplicité. Mon étude de l'intelligence m'a dévoilé l'importance du savoir sentir, du savoir apprécier et de la concentration sur le moment présent pour goûter au bonheur. Je penche donc beaucoup plus vers l'être que vers l'avoir, préférant la liberté du pauvre aux responsabilités du riche. Afin de maintenir un équilibre agréable de liberté et de survie, je tente de marier une vie écologique et alternative à la coopération pratique et technique avec les humains qui m'entourent. Au niveau pratique, je m'investit dans des communautés urbaines, rurales et parfois virtuelles. Dans la technique, je développe et partage des compétences dans le cadre de l'informatique libre, de l'algorithmie et de la linguistique.
Pour ma part, j'ai décidé de m'attaquer à un défi de double-taille : celui de créer une langue auxiliaire, potentiellement internationale, qui serait à la fois phonétique et sémantique (je l'appelle donc pour l'instant LPS : Langue Phonétique Sémantique). Je m'explique :
Phonétique : il n'y a qu'une façon de prononcer chaque lettre ou combinaison de lettres; Sémantique : le sens d'un mot peut être déduit par l'analyse des éléments qui le composent, sans ambiguïté. De plus, j'aimerais que la langue soit facilement prononçable par des gens de différentes origines et langues maternelles, que le nombre de signifiés élémentaires soit le plus petit possible (le nombre de mots de base à mémoriser), puis que la grammaire soit simple. Finalement, je désire que la prononciation des mots ne soit pas inspirée d'une langue existante, car cela avantagerait certains locuteurs par rapport à d'autres.
Mes critères sont largement inspirés de l'étude de Rick Harrisson. Il semble que Harrisson ait laissé tomber son projet de langues auxiliaire.
Une difficulté majeure de la langue que je veux réaliser est qu'elle est entièrement créée selon le modèle a priori. C'est-à-dire qu'elle n'est pas basée sur une langue en particulier (au niveau de la prononciation ou de la logique - quoique je ne peux nier mon biais culturel). De plus, j'ai choisi d'utiliser un concept de décortiquabilité (une qualité sémantique de la langue) : il me faut cerner un ensemble de concepts de base qui permet d'exprimer tous les sens susceptibles d'être imaginés par un humain. La mémorisation de cet ensemble permettra de comprendre tous les mots construits par lui (donc de déduire le sens de nouveaux mots qui nous sont présentés).
Éventuellement, je me propose aussi d'optimiser la langue à l'aide de processus informatiques inspirés de l'Intelligence artificielle, par analyse de textes (par exemple de Wikipedia).
Pour voir l'état actuel du dictionnaire, consultez la page d'accès au dictionnaire LPS. Si vous aimeriez contribuer à ce projet, n'hésitez pas à me contacter.
|
(***)
[Edit : Bloc d'informations trop long / reporté en voie de garage pour allèger le fil - avec mes excuses pour le dérangement]
LIEN VERS LA PARTIE 2 (Police Eco) Message édité par cappa le 31-12-2009 à 17:57:51 ---------------
Tester le 1er multisondage HFR ---> MULTISONDAGE.
|