Reprise du message précédent :
c'est pas du tout ce que j'ai dit  
 
un peu susceptible apparemment  

 
moi susceptible? peut-être aussi tant qu'à faire..
 
explique-moi alors..  
je l'ai interprété ainsi mais je ne demande qu'à comprendre ce que tu as voulu dire..
et excuse si j'ai mal compris.

Je dirais qu'il y a plusieurs stades à la timidité qu'on peut scinder en deux groupes. Le premier groupes constitué de personnes pouvant surpassé leur timidité quand il le faut (genre appel tél, demander son chemin...) et l'autre des maladifs qui ne peuvent rien.

Si t'es dans le premier alors faut savoir être grand et surpasser sa timidité, comme l'a dit simius, quand il y en a vraiment besoin. Faut pas faire l'enfant.

Si t'es dans le deuxième groupe, comme toutes les maladies faut se soigner je ne sais comment.

 
voilà..    
on reconnait peu (pas officiellement) que ça peut être une maladie, ce que j'ai tendance pourtant à penser concernant le deuxième groupe comme tu l'as écrit pour reprendre ta pensée..

 
Ce que je veut dire c'est que tu peut être un phobique social complètement désespéré et être poussé par tes parents à faire des études.
 
Tu croiseras dans les universités un tas de gens qui ont du mal a gérer leur stress, qui n'ont aucune vie sociale et qui vont quand même tout les matins à l'école.

Pour mon cas c'est compliqué j'suis agoraphobe et phobique social,donc forcément timide,c'est pas terrible ça fait 9 ans,et j'ai était diagnostiqué que en 2007 voilà

 
Pour ceux dans le deuxième groupe, on peut se soigner grâce à l'aide médical (thérapie comportementale, psychotérapie, etc.) et le coup de pouce vient des médicaments. Le plus dur c'est de vouloir se faire soigner et d'arriver à faire la démarche pour demander de l'aide.

 
j'ai du mal à te suivre.. c'est toi qui te pousse à étudier.. les parents peuvent, pas évident et donnés à tous, t'aider.. mais concrètement c'est toi qui fait que tu vas réussir ou non..
 
le stress c'est autre chose, on dit que c'est nécessaire d'ailleurs tant que pas envahissant bien sûr.. si la personne va tous les matins à l'école: c'est qu'elle a ce petit je ne sais quoi qui fait qu'elle y parvient.. car crois-moi ou non mais même avec parents, médicaments quand vraiment ça prend tout ton être, tu n'arrives (plus) à rien.. et tu n'as plus envie..

Bonsoir à vous.
J'ai longtemps fait parti du groupe des Grand timides. Je pense cependant m'en être sorti.
 
Un petit récit, et quelques doutes qui persistent.
 
Tout d'abord, jusqu'en 2008 et mes 18ans, j'étais très réservé, très timide. D'autant plus que je suis un mec, ce fut une période difficile. Je n'avais pas du tout confiance en moi, je n'osais pas m'imposer face aux autres "ca m'arrive de douter encore parfois", je laissais toujours tout faire, je m'isolais assez facilement. Mais surtout, j'étais très mal dans mon corps, cette timidité découlant d'un grand manque de confiance en moi.
 
Plus jeune on m'a surement surprotégé, m'isolant ainsi des dangers et autres problèmes, mais une fois arrivait dans l'adolescence, je m'étais alors retrouvé exposé face aux autres, et leur méchanceté. "quelques accidents au collège : chute dans un escalier, coup de ciseau, ..."
Ces premiers événements m'ont bien sur au départ choqué, mais m'ont fait évoluer, m'ont endurci, et alors j'ai commencé légèrement à me défendre. C'est au lycée que j'ai continué à évoluer dans ce sens tout en étant à l'époque toujours aussi peu confiant de moi. J'ai validé mon bac, et je suis par la suite devenu éducateur sportif "moniteur sport nautique".  
 
C'est à ce moment la, en travaillant aussi bien avec les enfants qu'avec les adultes que l'ont m'a aidé à prendre confiance en moi. On m'a montré que j'avais une certaine importance de part mes connaissances, et tu reçois alors une certaine satisfaction de tes clients, des compliments. Tout ceci a fait que je suis devenu sociable, j'ai muri, j'ai ainsi beaucoup évolué.
 
Maintenant, je peux aborder des personnes sans les connaitre, sans avoir peur, sans trop réfléchir. Encore en Seconde, j'aurai du il y a maintenant 6ans aller voir une fille pour la draguer, je ne l'aurai pas fait.
Maintenant, je discute de plus en plus avec n'importe qui, je fais des connaissances et chaque jour je m'apénoui un peu plus.
 
Maintenant, un problème persiste parfois..., lorsque j'aborde une femme dans le but d'apprendre à la connaitre et de peut être pouvoir la séduire, je vais aller vers elle et je vais discuter, ceci étant, j'ai toujours l'impression que l'on ne peut être attiré par moi. J'ai pourtant déjà eu plusieurs copines, et qui m'ont fait prendre conscience des qualités que j'avais. Mais c'est toujours un exercice pour moi plutôt difficile.
Au final, je me dis que c'est surement normal, car après tout, si l'on ne se remettait pas en question, ou si l'on ne doutais pas en draguant quelqu'un, c'est dans ce cas que ce ne serait surement pas normal.

Ce long discours pour vous dire à vous tous qui êtes timides, prenez vos jambes, bougez vous, et parlez aux gens, vous verrez, personne ne mord !! Et c'est comme cela qu'on avance.

Putain être timide et travailler avec des enfants faut pas avoir peur de passer pour un pédo

 
oui les conséquences d'un traumatisme..
par contre: non on peut être agoraphobe et phobique sans être timide.. après évidemment on n'est mal à l'aise, on a des peurs.. ça n'est pas ce qu'on peut appeler de la timidité.. mais parfois c'est lié évidemment.. pas très lisible ce que je viens d'écrire..    
"c'est pas terrible": qu'est-ce que tu veux dire? je n'ai pas compris.. si c'est que ça ne résout rien ça s'est sûr..    

Beau préjugé. Comme je l'ai dis, je travaillais aussi bien avec des jeunes que des adultes, et c'est surement grâce à mon job qu'en si peu de temps, le jeune homme timide que j'étais est devenu quelqu'un plutôt sur de lui. Qui plus est ce travail fut avant tout une passion.
Je suis toujours étudiant, puisque c'est plus mon job d'été.

 
bougez-vous oui évidemment.......
 
bravo pour avoir pris sur toi, être aller de l'avant, les efforts fournis..  
j'ai déjà lu ce genre de récits.. le truc, et fallait le faire!, tu as réagi "quand il le fallait".. c'est-à-dire pour faire simple, à ton adolescence.. visiblement tu devais avoir au moins une activité (quand moi je l'arrêtais).. peut-être des parents ou autres qui ont su être là (quand les miens n'ont pas trop su quoi faire).. j'ai remarqué que bcp ont eu ton parcours.. enfant/une partie adolescence timide.. puis se révèle (parfois progressivement, parfois "d'un coup" ) dû à sa propre volonté qui était en fait déjà présente en toi, que tu as su faire ressortir.. quand le timide de merde que je suis lit: timide moniteur de ski nautique.. j'ai envie de répondre: un timide ne peut pas être moniteur de ski nautique.. un ancien timide oui.. ce que tu as bien raconté..
 
 
 

C'est pas un préjugé. Mais un mec timide en général il est vu comme "bizarre". Le genre qui ne parle pas beaucoup, qu'on ne sait pas ce qu'il pense. C'est comme ça qu'est vu un timide par les autres.
Maintenant quand tu couples ça à un travail avec des enfants ça risque d'être louche. C'est pour ça que je dis qu'il ne faut pas avoir peur, parce qu'il y a une grande paranoïa concernant ce genre de chose.

 
Je me retrouve en toi  

 
1ère fois que je lis ça à mon encontre.. surtout que j'ai souvent du mal à exprimer mes pensées..
c'est c.. à écrire mais ça me fait bizarre de lire ça!    
et puis ça relance le topic qui dormait un peu..
(même si oui je sais: ça ne va rien changer concrètement dans mon quotidien etc.)

 
Ouais enfin j'suis timide (énorme manque de confiance et d'estime) et je file des cours de musique.
Selon ta logique il aurait fallu que je change avant de, ne serait-ce qu'envisager, pouvoir faire ça.
Au début t'y vas le ventre serré, en te demandant quel genre de kamikaze tu es pour avoir tenté le coup. Les premières fois y a des chances pour que ce soit bien pénible, et que t'en ressortes démoralisé; Mais après tu vois que finalement tu te démerdes pas si mal, certes ça reste tendu mais tu gères. Et c'est comme ça pour tout quand on a une nature "insecure", faut se faire violence. Puis en accumulant les expériences de ce genre bah les choses nous font moins peur, on sait qu'on peut gérer. En parallèle c'est bien de voir un psy qui va permettre de comprendre pourquoi t'es aussi insecure, de disséquer tes angoisses spécifiques etc
 

 
oui tu as raison de souligner que selon "ma logique".. je n'ai pas non plus écrit qu'il est impossible en étant très timide d'être moniteur, donner des cours (sans indiscrétion: en individuel, en groupe, les 2?).. par contre, comme expliquer.. je n'ai pas forcément les bons termes.. déjà vous avez eu/fait cette formation (moniteur, enseignant) qui a fait que vous avez pu en arriver là (oui je sais c'est logique mais tu vois pour moi.. rien que ça: ce n'est pas évident et je vous félicite!).. donc vous avez acquis, en partie inconsciemment d'ailleurs, au-delà des connaissances, un minimum de confiance en soi? vous étiez un minimum encouragé, soutenu.. l'essentiel c'est vous bien sûr mais vous étiez, de fait, dans un environnement qui fait que.. je sais que ce sont des banalités ce que j'écris là.. mais tu vois même ça, ce n'est pas "évident".. je précise: je ne dis pas que ça l'a été.. et je sais que c'est un effort du quotidien.. enfin je vais même rajouter: que l'on soit timide ou pas (on a tous plus ou moins des angoisses, à un moment ou autre du moins, à différents degrés)!  

La seul conseil que je pourrai me permettre de vous donner malgré le fait que je sois jeune, c'est ouvrez vous au monde qui vous entoure, au début, ca peut parraitre difficile, mais en s'y forçant suffisamment longtemps, en trouvant une passion "un sport, une détente", vous rencontrerez des gens et c'est ainsi que vous apprendrez à redevenir plus sociable.
 
Il ne faut jamais craindre la société qui nous entoure, car elle ne peut que nous apporter du positif. C'est surement quand on est adulte un travail plus difficile encore à faire sur soit, mais si l'on adopte le raisonnement de "qui ne tente rien n'a rien", "que l'on a rien à perdre", alors il vous poussera des ailes!!
Tout homme à un moment donné de sa vie doit évoluer ! Courage à tous ceux concernés, je l'ai été trop longtemps pour pouvoir vous comprendre.

j'ai compris sauf que même avant que mon agression ce fasse j'étais aussi timide

Y a un truc qui peut marcher aussi. C'est de prendre conscience, mais vraiment avoir conscience, que le temps d'une vie est limitée.
Ensuite de se dire qu'il y a forcément un moment dans sa vie où on va être décoincé, ou si non autant se tirer une balle.  
 
A partir de ces deux éléments, penser au choc que ça fera le jour on se "détimidera" en se rendant compte qu'on a perdu une partie de sa vie.  
Se dire que chaque jour qui passe est perdu à jamais et sachant de manière absolument certaine qu'on a un nombre de jour limité à vivre, je sais pas vous mais ça me motive à profiter de la vie.
Je suis presque devenu un phobique du temps qui passe.

 
Cours individuels. Je me vois pas donner des cours collectifs, au-delà même de la timidité il y aurait un sérieux problème d'autorité ... Mais après quand tu t'adresses à des adultes, et que t'as les compétences qu'il faut derrière (càd que tu peux leur en "montrer" à la tronche pour rappeler à tout moment que c'est eux les billes, et que t'as un peu réfléchi à la pédagogie), tu développes du bonus en confiance en toi forcément, dans ce qu'ils te renvoient. Tu as bien un domaine où tu es calé ? Tu fais quoi comme études ?  
 
Toute confiance en soi part de la constatation d'une force que tu as, pour certains ce sera choper de la grognasse, être balèze en sport, parler 3 langues, ou que sais-je encore.. Certains se sentent forts tout court mais dès qu'ils tentent de faire un truc concret qui demande à accepter d'être une merde au début ben ça coince. Tout est apprentissage, "skills" si on veut, donc se botter le fion pour réussir dans au moins un domaine c'est un point de départ intéressant

 
J'y pense de temps en temps: "bordel, je suis vraiment passé à coté de ma jeunesse"...  
Il faut que j'établisse un ordre de priorité dans les problèmes à régler je crois, et y aller petit à petit. Mais je suis du genre impatient. Et vite frustré, donc j'ai une forte propension à laisser tomber    

 
 
A mon tour de te répondre que je me retrouve dans ce que tu dis.. à la petite différence que je sais être très patient pourtant parfois.. mais, j'ai honte de l'avouer, pas dans ce genre d'optiques, de pensées.. pourtant vitales (amitié, travail..); je me fais parfois ce genre de réflexions, parfois même sous forme de "résolutions" (tu es passé à côté de tant de choses, cette fois-ci c'est parti, tu te lances dans si et ça..) souvent vite lâchement (j'en ai bcp en moi) abandonnées..  

 
un domaine où je suis calé.. non. études: fiasco, j'ai abandonné, je n'arrivai plus à apprendre et ça ne s'est pas arrangé (je n'arrive plus à rien quand j'étudie! pas génial à la base , j'ai bcp diminué au niveau intellect'.. je me dégoûte dans ce constat!).. concrètement je n'arrive, je n'aboutis jamais à rien.. j'ai fait de la musique gamin.. ma seule activité.. on ne m'a jamais poussé en rien et de moi même.. sauf pour la musique que j'ai lâché (pas doué et surtout déjà ma timidité qui me paralysait aux auditions...) dont il ne me reste plus rien! j'ai fait 3 instruments de musiques, je serais bien incapable de ressortir quoi que ce soit, je ne sais plus lire la musique.. (j'aime bcp en écouter par contre) jamais de sport à part de la marche (mais pas en sport compétition etc.) puis plus rien à mes 16 ans.. depuis j'ai tout raté ou rien entrepris comme on veut, les deux sans doute.. je ne perçois aucun domaine..

 
j'ai tendance à parfois écrire des banalités, des évidences..
je suis comme toi sur le fait qu'avant, enfin que j'ai tjrs été (très) timide au plus loin (cp) que je me souvienne.. mal à l'aise partout où j'étais, où j'allais.. et ça m'interroge (et désespère) aussi..

 
çà c'est dommage, moi le sport cela m'a fait un bien fou, même si on n'a aucune prédisposition ou talent, çà permet de se défouler.
A ma sortie de lycée, un prof m'avait dit que ma timidité maladive allait s'estomper avec le temps.
Oui, c'est vrai que çà va mieux maintenant, mais il ne faut pas croire que cela se fait tout seul.
 
Aujourd'hui je suis réceptionniste  c'était pour moi un vrai challenge.
J'en chie tous les jours, quand quelqu'un vient vers moi, je sais qu'il va me poser une question, je transpire de partout.  
Mais j'ai élaboré toute une panoplie de réponses "types", qui me permettent de m'en sortir sans avoir à trop réfléchir, car en face de quelqu'un je dois disposer de pas plus de 50% de mes capacités intellectuelles.
Mes collègues s'en sont rendus compte bien sûr, mais ils savent que je fais de mon mieux et sont très compréhensifs.
Et bien à force d'aller "au feu" c'est vrai que çà va mieux, c'est incontestable.
Par contre il faut tomber sur des gens super sympas pour vous porter à bout de bras au départ, j'ai eu cette chance.

+1 pour les résolutions vite abandonnées...
 
il y a un atelier photo près de chez moi, je crève d'envie d'y aller... mais je suis trop timidi pour.  
Pourtant j'ai réussi à aller aux portes ouvertes, il y avait une cinquantaine de personnes présente, mon frère m'y avait accompagné. Mais ensuite ben... j'y suis pas allée seule.
une fois pourtant je m'étais préparé pour y participer, mais l'angoisse, j'avais la boule au ventre j'suis resté chez moi.
 
De toute façon dès que je dois faire quelque chose de nouveau et seule, je peux pas. J'ai abandonné mon BTS pour les mêmes raisons à la con... alors que l'année d'après à la fac, j'étais fait des amis dès le premier jour, et j'avais gagné une confiance en moi hors du commun pour toute l'année scolaire (mais qu'à la fac).
 
je vous dis pas l'angoisse que c'est à chaque fois que je change de boulot...    
 
bref, j'abandonne tous ce que j'entreprend souvent même avant d'avoir commencé ou essayé.
 
/3615 mylife  

exacte aussi pour moi

En tout cas ta nouvelle coupe de cheveux te va bien depuis cet été.
 
 

Prends un rendez-vous chez le médecin, explique-lui ton cas.
Il va te préscrire un anxiolytique pour surmonter les problèmes physiques dûs au stress.
Après y être allée  plusieurs fois tu pourras peut être t'y rendre sans l'aide des médicaments.

 
Mon cas est-il plus désespéré si je te dis que pendant 3 ans j'ai travaillé avec des gens plutôt sympas.. malgré ça, en 3 ans, je n'ai quasiment jamais dé serré les dents.. quel nul  la 1ère année j'étais super flippé, je crois que ça a surpris un peu (à ce point là) et déçu la directrice qui pensait pouvoir un peu plus déléguer (travail administratif).. la 2e année à la rentrée (il s'agit d'une école) je me suis dit: "bon nouvelle année scolaire, tu sais à qui tu as à faire dans l'ensemble, tu connais mieux le travail que tu auras à faire.. pas de raisons que ça ne passe pas bien et que tu ne sois pas plus à l'aise.." sauf que je n'ai pas réussi à être tellement plus à l'aise, même si du mieux, la directrice m'a moins donné de "responsabilités" et plus centré sur certaines dont la photocopieuse.. malgré tout je précise que "l'équipe" était sympa avec moi!.. la 3e année, je me suis senti plus à l'aise, un chouilla plus de choses à faire, c'était assez bien rôdé, je savais que c'était ma dernière année.. mais j'ai été à peine plus bavard.. je me suis juste surpris (d'ailleurs pas souvenir qu'on m'est remercié pour ça) à téléphoner à pas mal de parents pour prévenir la veille après-midi (matin je ne savais pas que j'aurais à faire ça) que le lendemain finalement l'école serait fermée (alors qu'un accueil était prévu).. directrice malade.. j'ai dû m'en charger (moi et le téléphone..) avec des parents difficilement joignables et certains agacés s'énervant sur moi.. je ne sais pas si c'est très clair.. pour souligner que ce jour là on a voulu me donner une réelle responsabilité et que je me suis senti suffisamment en confiance (malgré ma peur bien présente) pour amener au mieux, à bien la tâche confiée.. et donc qu'effectivement un bon environnement.. depuis je ne travaille plus. probablement que si j'avais fait quelques années en + (mais il s'agit de contrat de 3 ans maxi), j'aurais acquis plus de confiance en moi, moi de peur au moins dans mon travail..  
 

 
au point de n'avoir jamais eu de réels amis (pour ne pas trop noircir, j'ai eu quelques bons camarades notamment en primaire où ça pouvait quand même aller..) ?  
jamais eu de petite copine..
 
tu as réussi à faire des études et/ou obtenir un diplôme? tu as déjà travaillé?

 
tu vois moi je n'ai même pas le "je crève d'envie d'y aller" (envie de rien..)
par contre j'ai déjà eu juste envie de faire de l'athlétisme, porte ouverte (après plusieurs jours que je repoussais alors que je m'étais dit que j'allais y aller.. j'y suis allé.. seul!), papier d'inscription.. je n'ai jamais donné suite..
si tu crèves d'envie, si c'est encore possible de faire parti de cet atelier: comment tu pourrais faire pour que tu réussisses à t'y rendre?  
tu es déjà arrivé jusqu'au BTS ! tu changes de travail.. donc tu arrives à en trouver!
de bons points ça.. après pourquoi effectivement tu abandonnes.. alors que des amis dès le premier jour, et tu avais gagné une confiance en toi hors du commun..?
 

Va au kimouss hfr

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Ton lien et poste vraiment  

 
ben j'y vais, je sors même avec un hfrien

ça viendra tant fais pas

J'ai fait une section STBS au lycée(technologique,biologique et social)j'ai pas pu aller jusqu'au bout
Oui travailler de mes 16 ans a 22 dans divers boulot,je détesté resté des jours sans bossé.
Et toi niveau étude et boulot?

 
Ca existe encore ce truc. C'est animé ? Faudrait que j'y passe