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Auteur Sujet :

trouvez vous la plupart des gens cons?

n°4469218
Profil sup​primé
Posté le 23-12-2004 à 00:12:18  answer
 

Reprise du message précédent :

show a écrit :

il a au moins le mérite de tirer les gens vers le haut


 
Il ne cherche pas à être compris. C'est un cas classique de discours où ce qui est l'objet n'a pas lieu d'être distingué de la façon de l'exprimer. C'est cette façon, dans sa forme, qui est l'objet : je vous suis supérieur, mon monde merveilleux vous est inacessible.
 

Citation :

nous vivons dans un monde dans lequel la médiocrité règne


 
"Contente-toi de t'améliorer, c'est tout ce que tu peux faire pour améliorer le monde." Wittgenstein  (toujours avoir sa réserve d'aphorismes avec soi :D  :o )
 
Plus sérieusement, comment peut-on dire que "les gens sont cons" ou que "le monde est médiocre"  en présentant cela comme un jugement fondé, et en ayant l'air de suggérer que l'on est extérieur à cet état de fait ?
 

Citation :

ca fait du bien de voir des personnes positivement décalées qui échappent a la connerie ambiante...


 
En quoi son décalage est-il positif ? Il est calculé et égocentrique. Ce sont peut-être des valeurs positives pour lui (sans doute même au regard de ses vues sur l'altérité), mais permet à certains de ne pas les partager.
 
[ au passage je signale que je peux moi aussi, comme beaucoup d'autres ici, faire de l'Antichrist en parlant de hiatus metadialectique et d'absence de congruence axiologique entre lui-même et la plupart de ses contradicteurs ] :o
 

Citation :

antechrist ne dit pas qu'il est intelligent... il le prouve sans même le vouloir; ceux que ca gêne jalousent son talent


 
Il ne prouve rien, même s'il le voudrait bien. :spamafote:


Message édité par Profil supprimé le 23-12-2004 à 00:56:17
mood
Publicité
Posté le 23-12-2004 à 00:12:18  profilanswer
 

n°4469228
Gazette
Posté le 23-12-2004 à 00:13:54  profilanswer
 

AliaS a écrit :

ben tu nas pas faux
hitler est un etre extrement intelligent
mais cest un con ...
 
 
on en revient tjr a la signification subjective du mot con ;)


 
 
Non Hitler etait un etre extrement intélligent  
mais il était méchant, pourquoi ça on ne saurat jamais


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n°4469242
printf
Baston !
Posté le 23-12-2004 à 00:16:31  profilanswer
 

show a écrit :

il a au moins le mérite de tirer les gens vers le haut
 
nous vivons dans un monde dans lequel la médiocrité règne
 
ca fait du bien de voir des personnes positivement décalées qui échappent a la connerie ambiante...
 
antechrist ne dit pas qu'il est intelligent... il le prouve sans même le vouloir; ceux que ca gêne jalousent son talent


 
Je ne vois pas en quoi c'est un comportement intelligent de prendre ses interlocuteurs pour des cons :??:


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Un matin je me lèverai et il fera beau.
n°4469252
Juju_Zero
Live Fast, Die Young
Posté le 23-12-2004 à 00:18:14  profilanswer
 

Gazette a écrit :

Non Hitler etait un etre extrement intélligent
mais il était méchant, pourquoi ça on ne saurat jamais


 
Ca reste a prouver
 
Il a fait qqes erreurs stratégiques assez grossieres, qd meme [:xx_xx]


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iRacing, LA simu automobile
n°4469301
Gazette
Posté le 23-12-2004 à 00:26:06  profilanswer
 

Juju_Zero a écrit :

Ca reste a prouver
 
Il a fait qqes erreurs stratégiques assez grossieres, qd meme [:xx_xx]


 
 
LoL ça me fait délirer ce que tu dit parce qu'arriver au niveau ou il en est arriver cad mettre a Genoux l'europe, et a cause d'erreur stratégique d'accord perdre, mais si il avait pas fait ces erreurs nous seriont tous Aryen ici présent, car leurs matériels militaire était le meilleur, l'armé levée etait trés importante, si nous somme libre aujourd'hui c'est de sa faute. :D


Message édité par Gazette le 23-12-2004 à 00:26:36

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n°4469308
doudoule l​a banane
Posté le 23-12-2004 à 00:27:12  profilanswer
 

remetez vous donc en question bande de cons.. au lieu de regarder les autres :o  
 
mais bon comme dit brassens..

n°4469320
Gazette
Posté le 23-12-2004 à 00:29:31  profilanswer
 

printf a écrit :

Je ne vois pas en quoi c'est un comportement intelligent de prendre ses interlocuteurs pour des cons :??:


 
 
Va dire ça a Sarkozy, Hollande ect ces gens pendant les débats (surtout quand l'intérlocuteur n'est pas un homme politique),prennent royalement la plupart de leur intérlocuteurs pour des cons.


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n°4469333
Spiff le S​pationaute
Antique
Posté le 23-12-2004 à 00:32:20  profilanswer
 

Quelle pertinence pour l'esthétisme déductif ?  
 
 L'esthétisme originel.
 
 Comment envisager l'esthétisme ? Notre hypothèse de départ est la suivante : l'esthétisme nous permet d'appréhender un confusionnisme idéationnel dans sa conceptualisation. De cette hypothèse, il découle qu'il réfute la destructuration originelle de l'esthétisme.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'il rejette le confusionnisme dans une perspective bergsonienne contrastée bien qu'il envisage l'expression métaphysique de l'esthétisme, et on ne saurait ignorer l'influence de Descartes sur le confusionnisme, pourtant, il se dresse contre l'analyse sémiotique de l'esthétisme.
 On peut reprocher à Hegel son confusionnisme moral. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie la destructuration synthétique de l'esthétisme.
 Avec la même sensibilité, il restructure l'expression post-initiatique de l'esthétisme et d'une part il s'approprie la réalité transcendentale de l'esthétisme, d'autre part il en systématise la réalité déductive en regard du confusionnisme.
 La perception nietzschéenne de l'esthétisme s'apparente, finalement, à une intuition primitive. De la même manière, on pourrait mettre en doute Montague dans son analyse subsémiotique du confusionnisme, car on peut reprocher à Kierkegaard son confusionnisme idéationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il particularise la destructuration originelle de l'esthétisme.
 Par ailleurs, il se dresse contre l'expression générative de l'esthétisme, et on peut reprocher à Hegel son confusionnisme synthétique, pourtant, il est indubitable qu'il spécifie la démystification post-initiatique de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise l'origine universelle en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance bien qu'il décortique le confusionnisme dans son acception transcendentale.
 Le fait qu'il réfute la relation entre dogmatisme et certitude implique qu'il réfute la destructuration phénoménologique dans une perspective montagovienne.
 Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Descartes son confusionnisme empirique et d'une part il systématise donc l'analyse rationnelle de l'esthétisme, d'autre part il en donne une signification selon l'expression substantialiste sous un angle minimaliste.
 Finalement, la réalité nietzschéenne de l'esthétisme est à rapprocher d'une représentation subsémiotique.
 
 Il est alors évident qu'il réfute la conception idéationnelle de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en conteste l'analyse substantialiste dans son acception leibnizienne tout en essayant de l'opposer à son cadre politique. L'esthétisme ne se borne donc pas à être un antipodisme dans une perspective rousseauiste contrastée.
 L'esthétisme nous permet, de ce fait, d'appréhender un maximalisme primitif sous un angle moral, et de la même manière, Jean-Jacques Rousseau s'approprie la démystification primitive de l'esthétisme.
 Le paradoxe de l'antipodisme rationnel illustre cependant l'idée selon laquelle le maximalisme sémiotique n'est ni plus ni moins qu'un antipodisme irrationnel moral.
 En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le maximalisme empirique à un maximalisme.
 
 Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il se dresse contre l'origine de l'esthétisme, c'est aussi parce qu'il en rejette l'origine métaphysique dans une perspective nietzschéenne contrastée alors qu'il prétend la resituer dans le contexte social et intellectuel. On ne saurait cependant ignorer l'impulsion montagovienne de l'antipodisme, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où Sartre systématise la destructuration subsémiotique de l'esthétisme.
 En effet, on pourrait mettre en doute Montague dans son approche déductive du maximalisme pour l'opposer à son cadre politique et intellectuel le maximalisme sémiotique.
 Finalement, l'esthétisme ne synthétise qu'imprécisément le maximalisme irrationnel.
 
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel l'esthétisme, et l'esthétisme ne se borne pas à être un maximalisme primitif dans son acception synthétique.
 On ne saurait alors ignorer la critique rousseauiste du maximalisme, et on ne peut contester la critique rousseauiste du maximalisme originel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise l'antipodisme métaphysique par son maximalisme métaphysique.
 Le paradoxe de l'antipodisme génératif illustre néanmoins l'idée selon laquelle le maximalisme idéationnel n'est ni plus ni moins qu'un antipodisme existentiel empirique.
 C'est dans une finalité identique qu'il se dresse contre la destructuration métaphysique de l'esthétisme.
 
 Par ailleurs, il particularise l'analyse générative de l'esthétisme, car la forme kierkegaardienne de l'esthétisme s'apparente à une intuition irrationnelle de l'antipodisme rationnel.
 "Ce qui caractérise l'esthétisme kantien, c'est avant tout son antipodisme minimaliste sous un angle génératif", écrit, de ce fait, Kant. On ne peut que s'étonner de la façon dont Kant critique l'antipodisme empirique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique l'analyse spéculative de l'esthétisme.
 Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il rejette la destructuration originelle de l'esthétisme, c'est aussi parce qu'il en donne une signification selon la destructuration empirique sous un angle idéationnel, et la nomenclature kierkegaardienne de l'esthétisme est d'ailleurs déterminée par une intuition minimaliste de l'antipodisme.
 
 C'est dans une optique identique qu'il systématise la relation entre structuralisme et abstraction, car on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le maximalisme subsémiotique à un antipodisme primitif, néanmoins, il spécifie la relation entre conscience et positivisme.
 On ne peut considérer qu'il rejette l'analyse existentielle de l'esthétisme qu'en admettant qu'il en rejette l'expression transcendentale dans sa conceptualisation bien qu'il conteste l'origine de l'esthétisme.
 Dans cette même perspective, il se dresse contre le maximalisme empirique de l'individu tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique et nous savons qu'il s'approprie la démystification minimaliste de l'esthétisme. Or il en examine l'expression morale sous un angle sémiotique bien qu'il interprète la destructuration idéationnelle de l'esthétisme. Par conséquent, il interprète la destructuration idéationnelle de l'esthétisme pour supposer l'antipodisme.
 On ne saurait, par déduction, ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme originel.  
 
 Prémisces de l'esthétisme idéationnel.
 
 L'esthétisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du maximalisme universel.
 De la même manière, on ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme universel. Comme il est manifestement difficile d'affirmer que Jean-Jacques Rousseau se dresse contre la relation entre abstraction et nativisme, force est d'admettre qu'il examine l'analyse circonstancielle de l'esthétisme.
 Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il restructure la réalité générative de l'esthétisme, et l'esthétisme tire d'ailleurs son origine du maximalisme synthétique. C'est dans une optique identique qu'il systématise le maximalisme rationnel de la pensée sociale, car on ne saurait reprocher à Descartes son maximalisme universel, néanmoins, il interprète la destructuration originelle de l'esthétisme.
 Si on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Bergson de critiquer le maximalisme existentiel, il décortique néanmoins la démystification spéculative de l'esthétisme et il en particularise, par la même, la destructuration idéationnelle dans sa conceptualisation alors même qu'il désire la resituer, par la même, dans le cadre social et intellectuel.
 C'est dans une finalité similaire qu'il conteste l'origine de l'esthétisme pour supposer le maximalisme métaphysique le maximalisme.
 On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Bergson, l'antipodisme synthétique à un maximalisme déductif.
 
 Cela nous permet d'envisager qu'il interprète l'analyse morale de l'esthétisme, et l'esthétisme s'appuie sur un maximalisme métaphysique en regard du maximalisme.
 Par ailleurs, Rousseau systématise la conception rationnelle de l'esthétisme. Si on ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme phénoménologique, Emmanuel Kant donne cependant une signification particulière à la démystification universelle de l'esthétisme et il en rejette, de ce fait, la destructuration universelle sous un angle minimaliste alors qu'il prétend le resituer, de ce fait, dans le contexte politique et social.
 Il est alors évident qu'il caractérise le maximalisme idéationnel par son maximalisme sémiotique. Soulignons qu'il en interprète la destructuration sémiotique en tant que concept spéculatif de la connaissance, et la classification kierkegaardienne de l'esthétisme s'apparente d'ailleurs à une intuition métaphysique du maximalisme.
 
 Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Kierkegaard sur l'antipodisme spéculatif, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Montague particularise la démystification circonstancielle de l'esthétisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en restructure l'analyse transcendentale comme concept phénoménologique de la connaissance, cela signifie donc qu'il décortique la conception spéculative de l'esthétisme.
 Cependant, il rejette la démystification spéculative de l'esthétisme, et le maximalisme synthétique ou l'antipodisme empirique ne suffisent pas à expliquer l'antipodisme sous un angle substantialiste.
 Le fait qu'il conteste, par la même, la conception transcendentale de l'esthétisme implique qu'il s'en approprie la démystification synthétique en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme phénoménologique l'esthétisme (voir " l'esthétisme transcendental et l'esthétisme déductif " ) et l'esthétisme permet donc de s'interroger sur un spiritualisme sémiotique dans une perspective spinozienne.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à l'expression irrationnelle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il réfute l'origine irrationnelle dans sa conceptualisation, car l'abstraction rationnelle ou l'abstraction existentielle ne suffisent pas à expliquer l'abstraction sous un angle synthétique.
 On ne saurait donc assimiler, comme le fait Kierkegaard, le spiritualisme à un spiritualisme substantialiste, et pourtant, il est indubitable que Kierkegaard réfute la destructuration universelle de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en restructure la réalité empirique sous un angle phénoménologique.
 L'abstraction substantialiste ou le spiritualisme transcendental ne suffisent, par la même, pas à expliquer le spiritualisme empirique dans une perspective rousseauiste contrastée.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation car il se dresse contre l'expression existentielle de l'esthétisme dans le but de la resituer dans le cadre politique et social.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il restructure l'abstraction idéationnelle de la pensée sociale. Notons néansmoins qu'il en spécifie l'origine transcendentale dans son acception rousseauiste. Premièrement Spinoza caractérise néanmoins le spiritualisme déductif par son spiritualisme rationnel, deuxièmement il en conteste néanmoins l'origine phénoménologique dans son acception kierkegaardienne bien qu'il systématise néanmoins la conception spéculative de l'esthétisme. Il en découle qu'il conteste la conception subsémiotique de l'esthétisme.
 On ne peut considérer qu'il rejette la réalité universelle de l'esthétisme que si l'on admet qu'il en examine l'aspect rationnel en tant que concept transcendental de la connaissance.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il systématise la relation entre abstraction et positivisme ; le paradoxe de l'abstraction existentielle illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le spiritualisme et le spiritualisme synthétique ne sont ni plus ni moins qu'une abstraction synthétique synthétique.
 Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il identifie donc la réalité sémiotique de l'esthétisme, et si d'autre part il en restructure l'origine post-initiatique dans sa conceptualisation, cela signifie donc qu'il interprète l'origine de l'esthétisme.
 C'est dans cette même optique qu'on ne peut contester l'influence de Hegel sur le spiritualisme irrationnel afin de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
 
 Il est alors évident qu'il conteste l'expression spéculative de l'esthétisme. Soulignons qu'il en spécifie l'origine métaphysique sous un angle subsémiotique. L'esthétisme nous permet néanmoins d'appréhender un spiritualisme subsémiotique sous un angle existentiel.
 Rousseau affirme, de ce fait, : "l'esthétisme n'est pas une abstraction spéculative". Comme il semble difficile d'affirmer que Bergson conteste l'origine de l'esthétisme, il est manifeste qu'il rejette la destructuration sémiotique de l'esthétisme.
 Il est alors évident qu'il identifie la conception universelle de l'esthétisme. Soulignons qu'il réfute l'aspect phénoménologique comme objet génératif de la connaissance, et l'esthétisme s'appuie d'ailleurs sur une abstraction déductive de l'Homme.  
 
 L'esthétisme substantialiste.
 
 Chomsky associe fondamentalement l'abstraction spéculative et l'abstraction sémiotique. L'esthétisme ne peut, par la même, être fondé que sur l'idée du spiritualisme.
 La perception montagovienne de l'esthétisme est, par la même, à rapprocher d'une intuition irrationnelle de l'abstraction phénoménologique, et c'est dans cette même optique que Bergson conteste la réalité empirique de l'esthétisme.
 L'esthétisme ne se borne pourtant pas à être un spiritualisme comme concept existentiel de la connaissance.
 Cela nous permet d'envisager qu'il donne une signification particulière à la réalité morale de l'esthétisme. Néanmoins, il examine la liberté de la pensée individuelle alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique et social. Si on pourrait cependant mettre en doute Kierkegaard dans son analyse sémiotique de la liberté, Kierkegaard caractérise néanmoins la liberté spéculative par sa liberté minimaliste et il en décortique, de ce fait, l'expression déductive dans une perspective rousseauiste.
 C'est dans une finalité analogue qu'on ne peut, de ce fait, contester l'influence de Nietzsche sur la liberté universelle, et on ne saurait écarter de cette étude la critique sartrienne du planisme minimaliste, cependant, Kant particularise la réalité originelle de l'esthétisme.
 C'est dans cette même optique qu'on peut reprocher à Bergson son planisme substantialiste pour le resituer dans sa dimension sociale la liberté.
 On ne peut, pour conclure, contester l'impulsion rousseauiste du planisme.
 
 C'est dans cette même optique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, la consubstantialité post-initiatique à une consubstantialité morale. C'est le fait même que Nietzsche rejette en effet l'analyse originelle de l'esthétisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en identifie l'analyse générative comme objet universel de la connaissance.
 Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il spécifie la consubstantialité morale sous un angle phénoménologique ; l'esthétisme ne peut alors être fondé que sur l'idée du tantrisme primitif.
 Nous savons qu'il interprète, par ce biais, l'analyse primitive de l'esthétisme. Or il réfute la destructuration universelle comme concept universel de la connaissance. Par conséquent, il caractérise le tantrisme irrationnel par sa consubstantialité subsémiotique pour l'analyser selon la consubstantialité minimaliste.
 De la même manière, il caractérise le tantrisme par sa consubstantialité sémiotique et cette problématique s'appuie alors sur une consubstantialité déductive de l'Homme.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la réalité idéationnelle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la démystification idéationnelle dans son acception universelle, et l'esthétisme s'appuie sur une consubstantialité irrationnelle de la pensée individuelle.
 Le tantrisme transcendental ou la consubstantialité ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le tantrisme rationnel en tant que concept substantialiste de la connaissance. Nous savons que Leibniz interprète la conception idéationnelle de l'esthétisme. Or il en conteste la réalité minimaliste dans une perspective nietzschéenne contrastée. Par conséquent, il spécifie la conception universelle de l'esthétisme pour l'opposer à son contexte social et intellectuel.
 Il est alors évident qu'il restructure la conception subsémiotique de l'esthétisme. Soulignons qu'il en rejette l'aspect irrationnel comme concept idéationnel de la connaissance, et l'esthétisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une consubstantialité de l'Homme.
 
 Il est alors évident qu'il envisage l'analyse existentielle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'expression métaphysique dans une perspective kantienne. Premièrement Leibniz envisage pourtant la conception déductive de l'esthétisme, deuxièmement il en décortique la réalité rationnelle en tant que concept transcendental de la connaissance. Il en découle qu'il conteste la destructuration générative de l'esthétisme.
 Nous savons qu'il rejette l'expression circonstancielle de l'esthétisme, et d'autre part, il en particularise la destructuration primitive dans son acception kantienne, c'est pourquoi il identifie la relation entre aristotélisme et science pour l'opposer à son cadre politique.
 Néanmoins, il conteste la conception métaphysique de l'esthétisme, et le tantrisme idéationnel ou la consubstantialité déductive ne suffisent pas à expliquer la consubstantialité déductive en regard de la consubstantialité.
 Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il rejette, par la même, la relation entre liberté et pluralisme, et si d'autre part il en décortique l'expression circonstancielle dans son acception rousseauiste, dans ce cas il donne une signification particulière à la relation entre ionisme et science.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Descartes critique le tantrisme génératif afin de critiquer la consubstantialité.
 
 C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait ignorer l'influence de Bergson sur le tantrisme originel. Le paradoxe de la consubstantialité illustre cependant l'idée selon laquelle le tantrisme originel et la consubstantialité empirique ne sont ni plus ni moins qu'un tantrisme génératif post-initiatique.
 Notons par ailleurs que Leibniz examine la destructuration minimaliste de l'esthétisme.
 L'expression chomskyenne de l'esthétisme est déterminée par une intuition déductive du tantrisme génératif, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tantrisme transcendental à une consubstantialité synthétique.
 L'esthétisme ne se borne cependant pas à être un tantrisme transcendental dans une perspective hegélienne.
 C'est dans cette même optique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, le tantrisme subsémiotique à un tantrisme idéationnel.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il particularise l'origine de l'esthétisme. Soulignons qu'il en caractérise l'analyse substantialiste en regard de la consubstantialité, et comme il semble difficile d'affirmer que Descartes décortique la destructuration post-initiatique de l'esthétisme, force est d'admettre qu'il s'approprie la relation entre raison et dogmatisme.
 De la même manière, on peut reprocher à Leibniz son tantrisme phénoménologique, et on ne peut contester la critique bergsonienne de la consubstantialité, pourtant, il est indubitable que Emmanuel Kant se dresse contre l'analyse minimaliste de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise la destructuration circonstancielle en tant que concept idéationnel de la connaissance alors qu'il prétend prendre en considération le tantrisme primitif.
 Si on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, la consubstantialité post-initiatique à une consubstantialité transcendentale, il identifie pourtant l'analyse subsémiotique de l'esthétisme et il s'en approprie ainsi la réalité substantialiste dans une perspective cartésienne.
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme transcendental l'esthétisme pour le considérer ainsi selon la consubstantialité post-initiatique.
 On pourrait, par déduction, mettre en doute Kant dans son analyse circonstancielle de la consubstantialité.


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"Ce sont les problèmes qui nous cherchent"
n°4469337
Spiff le S​pationaute
Antique
Posté le 23-12-2004 à 00:32:50  profilanswer
 

http://www.charabia.net/gen/gendisp.php?gen=1
 
Un simulateur d'antichrist. :o


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"Ce sont les problèmes qui nous cherchent"
n°4469341
Gazette
Posté le 23-12-2004 à 00:34:11  profilanswer
 

Spiff le Spationaute a écrit :

Quelle pertinence pour l'esthétisme déductif ?  
 
 L'esthétisme originel.
 
 Comment envisager l'esthétisme ? Notre hypothèse de départ est la suivante : l'esthétisme nous permet d'appréhender un confusionnisme idéationnel dans sa conceptualisation. De cette hypothèse, il découle qu'il réfute la destructuration originelle de l'esthétisme.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'il rejette le confusionnisme dans une perspective bergsonienne contrastée bien qu'il envisage l'expression métaphysique de l'esthétisme, et on ne saurait ignorer l'influence de Descartes sur le confusionnisme, pourtant, il se dresse contre l'analyse sémiotique de l'esthétisme.
 On peut reprocher à Hegel son confusionnisme moral. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie la destructuration synthétique de l'esthétisme.
 Avec la même sensibilité, il restructure l'expression post-initiatique de l'esthétisme et d'une part il s'approprie la réalité transcendentale de l'esthétisme, d'autre part il en systématise la réalité déductive en regard du confusionnisme.
 La perception nietzschéenne de l'esthétisme s'apparente, finalement, à une intuition primitive. De la même manière, on pourrait mettre en doute Montague dans son analyse subsémiotique du confusionnisme, car on peut reprocher à Kierkegaard son confusionnisme idéationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il particularise la destructuration originelle de l'esthétisme.
 Par ailleurs, il se dresse contre l'expression générative de l'esthétisme, et on peut reprocher à Hegel son confusionnisme synthétique, pourtant, il est indubitable qu'il spécifie la démystification post-initiatique de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise l'origine universelle en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance bien qu'il décortique le confusionnisme dans son acception transcendentale.
 Le fait qu'il réfute la relation entre dogmatisme et certitude implique qu'il réfute la destructuration phénoménologique dans une perspective montagovienne.
 Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Descartes son confusionnisme empirique et d'une part il systématise donc l'analyse rationnelle de l'esthétisme, d'autre part il en donne une signification selon l'expression substantialiste sous un angle minimaliste.
 Finalement, la réalité nietzschéenne de l'esthétisme est à rapprocher d'une représentation subsémiotique.
 
 Il est alors évident qu'il réfute la conception idéationnelle de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en conteste l'analyse substantialiste dans son acception leibnizienne tout en essayant de l'opposer à son cadre politique. L'esthétisme ne se borne donc pas à être un antipodisme dans une perspective rousseauiste contrastée.
 L'esthétisme nous permet, de ce fait, d'appréhender un maximalisme primitif sous un angle moral, et de la même manière, Jean-Jacques Rousseau s'approprie la démystification primitive de l'esthétisme.
 Le paradoxe de l'antipodisme rationnel illustre cependant l'idée selon laquelle le maximalisme sémiotique n'est ni plus ni moins qu'un antipodisme irrationnel moral.
 En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le maximalisme empirique à un maximalisme.
 
 Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il se dresse contre l'origine de l'esthétisme, c'est aussi parce qu'il en rejette l'origine métaphysique dans une perspective nietzschéenne contrastée alors qu'il prétend la resituer dans le contexte social et intellectuel. On ne saurait cependant ignorer l'impulsion montagovienne de l'antipodisme, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où Sartre systématise la destructuration subsémiotique de l'esthétisme.
 En effet, on pourrait mettre en doute Montague dans son approche déductive du maximalisme pour l'opposer à son cadre politique et intellectuel le maximalisme sémiotique.
 Finalement, l'esthétisme ne synthétise qu'imprécisément le maximalisme irrationnel.
 
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel l'esthétisme, et l'esthétisme ne se borne pas à être un maximalisme primitif dans son acception synthétique.
 On ne saurait alors ignorer la critique rousseauiste du maximalisme, et on ne peut contester la critique rousseauiste du maximalisme originel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise l'antipodisme métaphysique par son maximalisme métaphysique.
 Le paradoxe de l'antipodisme génératif illustre néanmoins l'idée selon laquelle le maximalisme idéationnel n'est ni plus ni moins qu'un antipodisme existentiel empirique.
 C'est dans une finalité identique qu'il se dresse contre la destructuration métaphysique de l'esthétisme.
 
 Par ailleurs, il particularise l'analyse générative de l'esthétisme, car la forme kierkegaardienne de l'esthétisme s'apparente à une intuition irrationnelle de l'antipodisme rationnel.
 "Ce qui caractérise l'esthétisme kantien, c'est avant tout son antipodisme minimaliste sous un angle génératif", écrit, de ce fait, Kant. On ne peut que s'étonner de la façon dont Kant critique l'antipodisme empirique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique l'analyse spéculative de l'esthétisme.
 Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il rejette la destructuration originelle de l'esthétisme, c'est aussi parce qu'il en donne une signification selon la destructuration empirique sous un angle idéationnel, et la nomenclature kierkegaardienne de l'esthétisme est d'ailleurs déterminée par une intuition minimaliste de l'antipodisme.
 
 C'est dans une optique identique qu'il systématise la relation entre structuralisme et abstraction, car on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le maximalisme subsémiotique à un antipodisme primitif, néanmoins, il spécifie la relation entre conscience et positivisme.
 On ne peut considérer qu'il rejette l'analyse existentielle de l'esthétisme qu'en admettant qu'il en rejette l'expression transcendentale dans sa conceptualisation bien qu'il conteste l'origine de l'esthétisme.
 Dans cette même perspective, il se dresse contre le maximalisme empirique de l'individu tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique et nous savons qu'il s'approprie la démystification minimaliste de l'esthétisme. Or il en examine l'expression morale sous un angle sémiotique bien qu'il interprète la destructuration idéationnelle de l'esthétisme. Par conséquent, il interprète la destructuration idéationnelle de l'esthétisme pour supposer l'antipodisme.
 On ne saurait, par déduction, ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme originel.  
 
 Prémisces de l'esthétisme idéationnel.
 
 L'esthétisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du maximalisme universel.
 De la même manière, on ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme universel. Comme il est manifestement difficile d'affirmer que Jean-Jacques Rousseau se dresse contre la relation entre abstraction et nativisme, force est d'admettre qu'il examine l'analyse circonstancielle de l'esthétisme.
 Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il restructure la réalité générative de l'esthétisme, et l'esthétisme tire d'ailleurs son origine du maximalisme synthétique. C'est dans une optique identique qu'il systématise le maximalisme rationnel de la pensée sociale, car on ne saurait reprocher à Descartes son maximalisme universel, néanmoins, il interprète la destructuration originelle de l'esthétisme.
 Si on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Bergson de critiquer le maximalisme existentiel, il décortique néanmoins la démystification spéculative de l'esthétisme et il en particularise, par la même, la destructuration idéationnelle dans sa conceptualisation alors même qu'il désire la resituer, par la même, dans le cadre social et intellectuel.
 C'est dans une finalité similaire qu'il conteste l'origine de l'esthétisme pour supposer le maximalisme métaphysique le maximalisme.
 On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Bergson, l'antipodisme synthétique à un maximalisme déductif.
 
 Cela nous permet d'envisager qu'il interprète l'analyse morale de l'esthétisme, et l'esthétisme s'appuie sur un maximalisme métaphysique en regard du maximalisme.
 Par ailleurs, Rousseau systématise la conception rationnelle de l'esthétisme. Si on ne saurait ignorer l'impulsion hegélienne de l'antipodisme phénoménologique, Emmanuel Kant donne cependant une signification particulière à la démystification universelle de l'esthétisme et il en rejette, de ce fait, la destructuration universelle sous un angle minimaliste alors qu'il prétend le resituer, de ce fait, dans le contexte politique et social.
 Il est alors évident qu'il caractérise le maximalisme idéationnel par son maximalisme sémiotique. Soulignons qu'il en interprète la destructuration sémiotique en tant que concept spéculatif de la connaissance, et la classification kierkegaardienne de l'esthétisme s'apparente d'ailleurs à une intuition métaphysique du maximalisme.
 
 Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Kierkegaard sur l'antipodisme spéculatif, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Montague particularise la démystification circonstancielle de l'esthétisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en restructure l'analyse transcendentale comme concept phénoménologique de la connaissance, cela signifie donc qu'il décortique la conception spéculative de l'esthétisme.
 Cependant, il rejette la démystification spéculative de l'esthétisme, et le maximalisme synthétique ou l'antipodisme empirique ne suffisent pas à expliquer l'antipodisme sous un angle substantialiste.
 Le fait qu'il conteste, par la même, la conception transcendentale de l'esthétisme implique qu'il s'en approprie la démystification synthétique en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme phénoménologique l'esthétisme (voir " l'esthétisme transcendental et l'esthétisme déductif " ) et l'esthétisme permet donc de s'interroger sur un spiritualisme sémiotique dans une perspective spinozienne.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à l'expression irrationnelle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il réfute l'origine irrationnelle dans sa conceptualisation, car l'abstraction rationnelle ou l'abstraction existentielle ne suffisent pas à expliquer l'abstraction sous un angle synthétique.
 On ne saurait donc assimiler, comme le fait Kierkegaard, le spiritualisme à un spiritualisme substantialiste, et pourtant, il est indubitable que Kierkegaard réfute la destructuration universelle de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en restructure la réalité empirique sous un angle phénoménologique.
 L'abstraction substantialiste ou le spiritualisme transcendental ne suffisent, par la même, pas à expliquer le spiritualisme empirique dans une perspective rousseauiste contrastée.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation car il se dresse contre l'expression existentielle de l'esthétisme dans le but de la resituer dans le cadre politique et social.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il restructure l'abstraction idéationnelle de la pensée sociale. Notons néansmoins qu'il en spécifie l'origine transcendentale dans son acception rousseauiste. Premièrement Spinoza caractérise néanmoins le spiritualisme déductif par son spiritualisme rationnel, deuxièmement il en conteste néanmoins l'origine phénoménologique dans son acception kierkegaardienne bien qu'il systématise néanmoins la conception spéculative de l'esthétisme. Il en découle qu'il conteste la conception subsémiotique de l'esthétisme.
 On ne peut considérer qu'il rejette la réalité universelle de l'esthétisme que si l'on admet qu'il en examine l'aspect rationnel en tant que concept transcendental de la connaissance.
 Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il systématise la relation entre abstraction et positivisme ; le paradoxe de l'abstraction existentielle illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le spiritualisme et le spiritualisme synthétique ne sont ni plus ni moins qu'une abstraction synthétique synthétique.
 Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il identifie donc la réalité sémiotique de l'esthétisme, et si d'autre part il en restructure l'origine post-initiatique dans sa conceptualisation, cela signifie donc qu'il interprète l'origine de l'esthétisme.
 C'est dans cette même optique qu'on ne peut contester l'influence de Hegel sur le spiritualisme irrationnel afin de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
 
 Il est alors évident qu'il conteste l'expression spéculative de l'esthétisme. Soulignons qu'il en spécifie l'origine métaphysique sous un angle subsémiotique. L'esthétisme nous permet néanmoins d'appréhender un spiritualisme subsémiotique sous un angle existentiel.
 Rousseau affirme, de ce fait, : "l'esthétisme n'est pas une abstraction spéculative". Comme il semble difficile d'affirmer que Bergson conteste l'origine de l'esthétisme, il est manifeste qu'il rejette la destructuration sémiotique de l'esthétisme.
 Il est alors évident qu'il identifie la conception universelle de l'esthétisme. Soulignons qu'il réfute l'aspect phénoménologique comme objet génératif de la connaissance, et l'esthétisme s'appuie d'ailleurs sur une abstraction déductive de l'Homme.  
 
 L'esthétisme substantialiste.
 
 Chomsky associe fondamentalement l'abstraction spéculative et l'abstraction sémiotique. L'esthétisme ne peut, par la même, être fondé que sur l'idée du spiritualisme.
 La perception montagovienne de l'esthétisme est, par la même, à rapprocher d'une intuition irrationnelle de l'abstraction phénoménologique, et c'est dans cette même optique que Bergson conteste la réalité empirique de l'esthétisme.
 L'esthétisme ne se borne pourtant pas à être un spiritualisme comme concept existentiel de la connaissance.
 Cela nous permet d'envisager qu'il donne une signification particulière à la réalité morale de l'esthétisme. Néanmoins, il examine la liberté de la pensée individuelle alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique et social. Si on pourrait cependant mettre en doute Kierkegaard dans son analyse sémiotique de la liberté, Kierkegaard caractérise néanmoins la liberté spéculative par sa liberté minimaliste et il en décortique, de ce fait, l'expression déductive dans une perspective rousseauiste.
 C'est dans une finalité analogue qu'on ne peut, de ce fait, contester l'influence de Nietzsche sur la liberté universelle, et on ne saurait écarter de cette étude la critique sartrienne du planisme minimaliste, cependant, Kant particularise la réalité originelle de l'esthétisme.
 C'est dans cette même optique qu'on peut reprocher à Bergson son planisme substantialiste pour le resituer dans sa dimension sociale la liberté.
 On ne peut, pour conclure, contester l'impulsion rousseauiste du planisme.
 
 C'est dans cette même optique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, la consubstantialité post-initiatique à une consubstantialité morale. C'est le fait même que Nietzsche rejette en effet l'analyse originelle de l'esthétisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en identifie l'analyse générative comme objet universel de la connaissance.
 Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il spécifie la consubstantialité morale sous un angle phénoménologique ; l'esthétisme ne peut alors être fondé que sur l'idée du tantrisme primitif.
 Nous savons qu'il interprète, par ce biais, l'analyse primitive de l'esthétisme. Or il réfute la destructuration universelle comme concept universel de la connaissance. Par conséquent, il caractérise le tantrisme irrationnel par sa consubstantialité subsémiotique pour l'analyser selon la consubstantialité minimaliste.
 De la même manière, il caractérise le tantrisme par sa consubstantialité sémiotique et cette problématique s'appuie alors sur une consubstantialité déductive de l'Homme.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la réalité idéationnelle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la démystification idéationnelle dans son acception universelle, et l'esthétisme s'appuie sur une consubstantialité irrationnelle de la pensée individuelle.
 Le tantrisme transcendental ou la consubstantialité ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le tantrisme rationnel en tant que concept substantialiste de la connaissance. Nous savons que Leibniz interprète la conception idéationnelle de l'esthétisme. Or il en conteste la réalité minimaliste dans une perspective nietzschéenne contrastée. Par conséquent, il spécifie la conception universelle de l'esthétisme pour l'opposer à son contexte social et intellectuel.
 Il est alors évident qu'il restructure la conception subsémiotique de l'esthétisme. Soulignons qu'il en rejette l'aspect irrationnel comme concept idéationnel de la connaissance, et l'esthétisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une consubstantialité de l'Homme.
 
 Il est alors évident qu'il envisage l'analyse existentielle de l'esthétisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'expression métaphysique dans une perspective kantienne. Premièrement Leibniz envisage pourtant la conception déductive de l'esthétisme, deuxièmement il en décortique la réalité rationnelle en tant que concept transcendental de la connaissance. Il en découle qu'il conteste la destructuration générative de l'esthétisme.
 Nous savons qu'il rejette l'expression circonstancielle de l'esthétisme, et d'autre part, il en particularise la destructuration primitive dans son acception kantienne, c'est pourquoi il identifie la relation entre aristotélisme et science pour l'opposer à son cadre politique.
 Néanmoins, il conteste la conception métaphysique de l'esthétisme, et le tantrisme idéationnel ou la consubstantialité déductive ne suffisent pas à expliquer la consubstantialité déductive en regard de la consubstantialité.
 Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il rejette, par la même, la relation entre liberté et pluralisme, et si d'autre part il en décortique l'expression circonstancielle dans son acception rousseauiste, dans ce cas il donne une signification particulière à la relation entre ionisme et science.
 C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Descartes critique le tantrisme génératif afin de critiquer la consubstantialité.
 
 C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait ignorer l'influence de Bergson sur le tantrisme originel. Le paradoxe de la consubstantialité illustre cependant l'idée selon laquelle le tantrisme originel et la consubstantialité empirique ne sont ni plus ni moins qu'un tantrisme génératif post-initiatique.
 Notons par ailleurs que Leibniz examine la destructuration minimaliste de l'esthétisme.
 L'expression chomskyenne de l'esthétisme est déterminée par une intuition déductive du tantrisme génératif, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le tantrisme transcendental à une consubstantialité synthétique.
 L'esthétisme ne se borne cependant pas à être un tantrisme transcendental dans une perspective hegélienne.
 C'est dans cette même optique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, le tantrisme subsémiotique à un tantrisme idéationnel.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il particularise l'origine de l'esthétisme. Soulignons qu'il en caractérise l'analyse substantialiste en regard de la consubstantialité, et comme il semble difficile d'affirmer que Descartes décortique la destructuration post-initiatique de l'esthétisme, force est d'admettre qu'il s'approprie la relation entre raison et dogmatisme.
 De la même manière, on peut reprocher à Leibniz son tantrisme phénoménologique, et on ne peut contester la critique bergsonienne de la consubstantialité, pourtant, il est indubitable que Emmanuel Kant se dresse contre l'analyse minimaliste de l'esthétisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise la destructuration circonstancielle en tant que concept idéationnel de la connaissance alors qu'il prétend prendre en considération le tantrisme primitif.
 Si on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, la consubstantialité post-initiatique à une consubstantialité transcendentale, il identifie pourtant l'analyse subsémiotique de l'esthétisme et il s'en approprie ainsi la réalité substantialiste dans une perspective cartésienne.
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme transcendental l'esthétisme pour le considérer ainsi selon la consubstantialité post-initiatique.
 On pourrait, par déduction, mettre en doute Kant dans son analyse circonstancielle de la consubstantialité.


 
Intérvention trés intéraissante [:gratgrat]


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Feedback
mood
Publicité
Posté le 23-12-2004 à 00:34:11  profilanswer
 

n°4469347
Spiff le S​pationaute
Antique
Posté le 23-12-2004 à 00:35:17  profilanswer
 

Stephen a écrit :

On dit esthétique. Générateur de philo detected :o
 
Ca n'a rien à voir avec le discours d'Antechrist, ce dernier est cohérent et clair, il est juste pompeux et inutilement lourd ;)


 
Esthétisme ça existe aussi c'est la philosophie de l'art. :o


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"Ce sont les problèmes qui nous cherchent"
n°4469362
Spiff le S​pationaute
Antique
Posté le 23-12-2004 à 00:37:51  profilanswer
 

Oui comme en BD. :o


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"Ce sont les problèmes qui nous cherchent"
n°4469392
Gazette
Posté le 23-12-2004 à 00:43:34  profilanswer
 

Earendil_Silmarils a écrit :

J'ai rien compris.  :o
 
[edit] Je comprends désormais pourquoi...  :whistle:


 
Je suis mort de rire en lisant ce texte, il me fait penser a des faux débat télévisé ou a la fin personne n'a comprit mais tout le monde fait comme si.


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Feedback
n°4469455
Juju_Zero
Live Fast, Die Young
Posté le 23-12-2004 à 01:00:37  profilanswer
 

Gazette a écrit :

LoL ça me fait délirer ce que tu dit parce qu'arriver au niveau ou il en est arriver cad mettre a Genoux l'europe, et a cause d'erreur stratégique d'accord perdre, mais si il avait pas fait ces erreurs nous seriont tous Aryen ici présent, car leurs matériels militaire était le meilleur, l'armé levée etait trés importante, si nous somme libre aujourd'hui c'est de sa faute. :D


 
Et ? :heink:


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iRacing, LA simu automobile
n°4469576
sokio
T'es toi, te tais pas!
Posté le 23-12-2004 à 01:22:43  profilanswer
 


 
 
 
Excelent ce site lol
mdr

n°4469597
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 01:27:17  profilanswer
 


 
Excellent :lol:
 
Antichrist tu es grillaid :o


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4469603
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 01:28:38  profilanswer
 

Stephen a écrit :

On dit esthétique. Générateur de philo detected :o
 
Ca n'a rien à voir avec le discours d'Antechrist, ce dernier est cohérent et clair, il est juste pompeux et inutilement lourd ;)


 
Cohérent et clair? Pas si sûr... Dire par exemple que la philosophie n'a aucune visée pratique (cf qq posts plus haut) est à mon sens un peu incohérent. Mais bon...


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4469607
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 01:29:20  profilanswer
 

Gazette a écrit :

Intérvention trés intéraissante [:gratgrat]


 
 
Trop trop bon ce topos! :lol:


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4469676
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 01:39:43  profilanswer
 

show a écrit :

il a au moins le mérite de tirer les gens vers le haut
 
nous vivons dans un monde dans lequel la médiocrité règne
 
ca fait du bien de voir des personnes positivement décalées qui échappent a la connerie ambiante...
 
antechrist ne dit pas qu'il est intelligent... il le prouve sans même le vouloir; ceux que ca gêne jalousent son talent


 
Oui mais bon, t'as pas lu tous ses posts, notamment ceux où il m'épingle. Si, il le dit qu'il est intelligent, puisque tout ce qu'écrivent les autres en ce qui concerne la philo c'est de la grosse m.... :o
 
Talent, de sophiste, oui.
 
 Mais il lui manque ces qualités émimemment philosophiques qui sont la modestie et l'humilité. Les grands profs de philo que j'ai eu durant mes trois années de prépa, eux, les avaient.
 
Je me permets de dire tout cela car j'ai eu pour le coup la chance de rencontrer des gens brilliants, autant du point de vue universitaire qu'humain.
 
La poudre aux yeux sur un forum de non spécialistes en philosophie n'est pas preuve de talent philosophique. :jap:
 

Thief_ a écrit :

Dis moi, il t'est venu à l'esprit qu'il y a certainement beaucoup plus de personnes intelligentes et instruites que tu ne l'imagines, sur ce forum comme ailleurs, mais qui eux ont également comme qualité la modestie et évitent tout étalage (inutile qui plus est, puisque hors sujet) ?


 
Je suis d'accord. Les plus grands, ce ne sont pas ceux ue l'on croit. Prenons l'exemple d'un certain monsieur Bachelard... Avant d'être un penseur majeur, il était employé des postes... :jap:


Message édité par zigmounette le 23-12-2004 à 01:41:25

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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4469756
wave
Posté le 23-12-2004 à 01:53:40  profilanswer
 

Gazette a écrit :

Non Hitler etait un etre extrement intélligent
mais il était méchant, pourquoi ça on ne saurat jamais


Intelligent dans certains domaines, très bête dans d'autres. Il a couru à sa perte, c'était prévisible, je vois pas ce qu'il a gagné dans l'histoire ni même ce qu'il espérait.
Ca n'était qu'une question de temps, même sans erreurs stratégiques on ne peut pas gagner éternellement en se battant pour une cause qui n'a pas de sens.

n°4469773
archange_r​edemption
大塚愛
Posté le 23-12-2004 à 01:55:59  profilanswer
 

korrigan73 a écrit :

c'ecole qui t'apprends a reflechir...
hormis comme instrument de propagande et de formattage des pensées y'a pas grand chose a en dire... tiens si, y'a qq jours une etude a montré que les petits francais etaient fort en algebre!


 
Je suis d'accord, une fois au ce2 on parlait des planètes du système solaire, et la prof disait en bloc que la vie y était impossible. Je lui ai rétorqué que la vie telle qu'on la connait l'est, mais peut être pas forcément une vie qui se développerait sur des conditions initiales différentes et qui serait donc adaptée à son milieu (enfin je l'ai dit avec des mots plus simples).  
 
Elle a rien voulu concéder  :fou:  "non non la vie c'est forcément comme ce qu'on a sur Terre".

n°4474751
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 23-12-2004 à 18:07:49  profilanswer
 

Stephen a écrit :

Autant je trouve le texte de l'Antéchrist pénible (aucune légèreté dans le style, aucun humour), autant je ne suis pas d'accord avec ça. S'il faut une phrase complexe pour faire passer exactement une idée, faisons-le. La phrase peut être complexe mais claire (comme les mathématiques sont un discours complexe -car non accessible au profane- mais clair -car accessible à toute personne qui fait l'effort de se former).
 
Il faut imaginer Sisyphe heureux


franchement les constructions lourdes, quand on y est habitué ca passe certainement tres bien (on s'habitue a tout, et avec de l'entrainement, on doit pouvoir faire rentrer tout un paragraphe dans le "buffer" ), mais ici, sur ce forum, c'est rédhibitoire :o
 
ou alors, faut poser les arguments a1, a2, a3 et apres mettre des fleches et des operateurs "+/*/-" pour relier les concepts entre eux :o
 
bref c relou, vive les images, periphrases, etc qui permettent de visualiser directement ce qu'on veut dire, sans etre obligé de passer par le chemin suivant :
posteur : représentation mentale de ce qu'il veut dire => traduit en mots => phrases longues
lecteur : lire les phrases longues => depatouiller tout ca => se faire une image mentale de l'idee ainsi communiquée
 
ca fait beaucoup d'etapes, et au final image => mots simples => image c bien plus efficace :)
 

sokio a écrit :

Encore une enorme lacune du systeme scolaire les cours de philo...
quand je vois autant de personne presque braquees contre la philo je trouve ca un peu terrible.
il faut "vulgariser" la philo(je dirais plutot repandre mais bon.d ailleurs c est le terme de ceux qui ne vulgarisent pas ;))
 
la philo reste pour moi "l art du questionnement"  
apres biensur chacun le fait a son nivo mais c bien en se questionnant ke l on avance au lieu de se laisser porter par la vie.


tel que c'est présenté scolairement en terminale, ca donne
-en term L : "la plus grosse matiere qu'on aura a apprendre"
-en term ES : "un coeff 4 de plus, comme ca toutes les matieres se valent"
-en term S : "3h d'etude permettant de faire les exos demandés dans les matieres qui font des points"
 
je connais pas pour les STT/STI etc mais il me semble que c pas loin de la vision "ES" :D
 
bref, total echec au niveau de la representation des objectifs, et de l'importance que ca a :o
en meme temps, quand ca fait 15ans que personne vous a dit que l'esprit c'est important, quand on decouvre une discipline qui sert a l'epanouir, c sur qu'on sait pas comment reagir, alors le pragmatisme prend le dessus :/

doudoule la banane a écrit :

si on considère que le but de la vie est le bonheur, je ne sais pas s'il ne vaut mieux pas se laisser simplement bercer par la vie.. [:itm]
 
ou au moins avancer un minimum, juste histoire ce comprendre que ça ne sert à rien d'avancer..
 
[:le kneu]


trouver le bonheur en se laissant porter dans cette société castratrice et frustrante, qui berce l'ego de faux ideaux, ca releve vraiment du coup de bol ...

korrigan73 a écrit :

+1, en terminale premierement la moitié des profs de philo sont completement out, et seconde chose la maniere d'enseigner est debile, on nous fait rabacher des cours entiers sur une disserte tout ce qu'il y a de plus bateau, et on parle meme pas de l'epreuve du bac qui est risible, pire loterie on peut pas faire...


noter de la philo, c n'importe quoi a la base, bareme super subjectif
a mon 1er bac, j'ai fait 2 feuilles doubles en 4h, en essayant d'en mettre un max : 3/20
au 2eme bac, j'ai fait un recto, en parlant de dauphins et de castors, g eut 7/20
bref, ca m'a pas aidé a apprecier tout de suite l'interet de la reflexion dans le processus :lol:  (g passé 2 fois le bac et jlai eut 2fois)


 [:rotflmao]  [:rotflmao]  [:rotflmao]  [:rotflmao] [:fifiz]

Gazette a écrit :

Intérvention trés intéraissante [:gratgrat]


t ptet pas obligé de tout quoter, surtout que ca vaut meme pas les octets utilisés pour y stocker :D

archange_redemption a écrit :

Je suis d'accord, une fois au ce2 on parlait des planètes du système solaire, et la prof disait en bloc que la vie y était impossible. Je lui ai rétorqué que la vie telle qu'on la connait l'est, mais peut être pas forcément une vie qui se développerait sur des conditions initiales différentes et qui serait donc adaptée à son milieu (enfin je l'ai dit avec des mots plus simples).  
 
Elle a rien voulu concéder  :fou:  "non non la vie c'est forcément comme ce qu'on a sur Terre".


y a des profs obtus, car il y a  des gens obtus :spamafote:
c d'autant plus regrettable dans l'enseignement :/
elle s'est sans doute basée inconsciemment sur le fait que la matiere et les lois de la physique sont les memes partout dans l'univers, mais bon y a d'autres triplet d'atomes autres que le CHO pour pouvoir creer des molecules complexes ... donc de la vie, il peut y en avoir sous plein de formes (l'oxydation sera probablement presente partout, mais pareil, l'oxygene n'est pas le seul oxydant, cf cours de chimie en 1ereS, et le silicium je crois peut faire a peu pres comme le carbone niveau liaisons ... une vie a base de silice et de potasse ? [:jofusion])


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°4475002
junior51-8​8
SDR EN L2...
Posté le 23-12-2004 à 18:38:56  profilanswer
 

HumanRage a écrit :

noter de la philo, c n'importe quoi a la base, bareme super subjectif
a mon 1er bac, j'ai fait 2 feuilles doubles en 4h, en essayant d'en mettre un max : 3/20
au 2eme bac, j'ai fait un recto, en parlant de dauphins et de castors, g eut 7/20bref, ca m'a pas aidé a apprecier tout de suite l'interet de la reflexion dans le processus :lol:  (g passé 2 fois le bac et jlai eut 2fois)


[:rofl] [:rofl] [:rofl]

n°4475016
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 23-12-2004 à 18:40:28  profilanswer
 


ca me fait encore rire 6ans apres, t'imagines :D


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°4475051
junior51-8​8
SDR EN L2...
Posté le 23-12-2004 à 18:44:53  profilanswer
 

HumanRage a écrit :

ca me fait encore rire 6ans apres, t'imagines :D


moi ca me rapelles la copie de philo du bac blanc de Kalimeroo, qui doit etre trouvable sur le topic bac 2004 ;)

n°4475628
magmatik
White is right.
Posté le 23-12-2004 à 19:56:10  profilanswer
 

[HS] tiens puisque ca parle philo j'en profite.
J'ai une disserte à faire sur "A quelles conditions le progrès est il acceptable ?". Je comptais dire à un moment que le progrès n'est aujourd'hui servi que par des multinationales avides de profit et des hommes politiques démagos en quète de réelection.
Z'en pensez quoi? (pas de l'idée mais de la pertinence de celle-ci dans une copie de philo par rapport au sujet). [/HS]


---------------
Il faut toujours plus de temps que prévu, même en tenant compte de la Loi de Hofstadter.
n°4476284
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 23-12-2004 à 21:25:47  profilanswer
 

ca doit etre possible de formuler ca sous la forme d'une vingtaine de ligne, de facon bien insidieuse [:aloy] :D


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°4476304
Xocs
Posté le 23-12-2004 à 21:28:01  profilanswer
 

magmatik a écrit :

[HS] tiens puisque ca parle philo j'en profite.
J'ai une disserte à faire sur "A quelles conditions le progrès est il acceptable ?". Je comptais dire à un moment que le progrès n'est aujourd'hui servi que par des multinationales avides de profit et des hommes politiques démagos en quète de réelection.
Z'en pensez quoi? (pas de l'idée mais de la pertinence de celle-ci dans une copie de philo par rapport au sujet). [/HS]


 
euh, ça tient plus de l'écriture d'invention niveau première ce que tu proposes là je trouve, non ?

n°4476351
show
Posté le 23-12-2004 à 21:37:12  profilanswer
 

Stephen a écrit :


Ca n'a rien à voir avec le discours d'Antechrist, ce dernier est cohérent et clair, il est juste pompeux et inutilement lourd ;)


inutilement lourd car tu as peut être la capacité de dire les mêmes chsoes plus simplement mais peut etre que ce n'est pas le cas d'antechrist!
 

zigmounette a écrit :

Oui mais bon, t'as pas lu tous ses posts, notamment ceux où il m'épingle. Si, il le dit qu'il est intelligent, puisque tout ce qu'écrivent les autres en ce qui concerne la philo c'est de la grosse m.... :o
 
Talent, de sophiste, oui.
 
 Mais il lui manque ces qualités émimemment philosophiques qui sont la modestie et l'humilité. Les grands profs de philo que j'ai eu durant mes trois années de prépa, eux, les avaient.
 
Je me permets de dire tout cela car j'ai eu pour le coup la chance de rencontrer des gens brilliants, autant du point de vue universitaire qu'humain.
 
La poudre aux yeux sur un forum de non spécialistes en philosophie n'est pas preuve de talent philosophique. :jap:
 
 
 
Je suis d'accord. Les plus grands, ce ne sont pas ceux ue l'on croit. Prenons l'exemple d'un certain monsieur Bachelard... Avant d'être un penseur majeur, il était employé des postes... :jap:


 
tu parles de modestie et d'humilité mais tu ne peux pas t'empêcher d'evoquer ta prepa et les gens "brilliants" que tu as rencontré  alors que je n'ai jamais vu antechrist deballer son CV dans le but de faire passer tous ceux qui n'ont pas le même pour des abrutis...
 
il pense beaucoup de choses d'une façon décalée... il dit donc beaucoup de choses d'une façon originale (que certains peuvent juger lourde et pompeuse)
 
personnellement je trouve son style léger car je retrouve certaines de mes pensées dans les siennes; exprimées autrement, ses pensées seraient dénaturées...
 
ceci dit je comprends que son style puisse deplaire...
 
mais je pense qu'antechrist n'est pas le megalo que beaucoup depeignent... il caricature ses "opposants" en developpant des propos  indigestes de complexité qui viennent s'opposer aux propos indigestes de simplicité de ses adversaires
 
continue antechrist! je préfère lire des philosophes tourmentés plutot que des innocents formatés... [:show]

n°4476358
HumanRAGE
Rage d'être un Humain...LIBRE!
Posté le 23-12-2004 à 21:38:45  profilanswer
 

:pouah:


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
n°4476371
AliaS
Posté le 23-12-2004 à 21:42:31  profilanswer
 

ca ne peut qu'etre un troll ou un mmulti :lol:
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
je rigole bien sur :)

n°4476409
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 21:52:07  profilanswer
 

show a écrit :


tu parles de modestie et d'humilité mais tu ne peux pas t'empêcher d'evoquer ta prepa et les gens "brilliants" que tu as rencontré  alors que je n'ai jamais vu antechrist deballer son CV dans le but de faire passer tous ceux qui n'ont pas le même pour des abrutis...
[...]


 
Si j'évoque ma prépa, ce n'est point pour m'en vanter... C'est une filière comme une autre, et je me bats contre qui prétendent que s'y trouvent là les étudiants les plus intéressants. Mais bon, si tu n'arrives pas à te défaire des préjugés que tu as vis-à-vis des élèves des classes prépas... [:spamafote]
 
Si j'évoque des gens "brillants", ce n'est pas non plus pour mettre en avant mon "CV"... :lol: Ils ne sont pas non plus brillants parce que je les ai rencontrés...
 
Ces gens sont justes des gens face à qui mes camarades et moi-même avons découvert ce qu'est vraiment la philo, des gens qui savent expliquer avec simplicité les grandes pensées, et des gens qui vivent en totale adéquation avec ce qu'il enseignent.
 
A l'origine, je ne voulais pas partir dans de telles polémiques, je pense que ce n'est pas le but sur ce forum. Mais bon, cela devient un peu désagréable de se faire traiter de "zigtrucmachinchose" de "fifille"...
 
Bref. Il me semble que c'éest un dialogue de sourd. Alors à quoi bon?    [:atog]


Message édité par zigmounette le 23-12-2004 à 21:57:46

---------------
N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4476416
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 21:53:41  profilanswer
 

AliaS a écrit :

ca ne peut qu'etre un troll ou un mmulti :lol:
 


 
Je me posais justement la question... [:noxauror]


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4476453
show
Posté le 23-12-2004 à 22:04:45  profilanswer
 

zigmounette a écrit :

Je me posais justement la question... [:noxauror]


cesse de te la poser, je n'en suis pas un... :hello:

n°4476476
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 22:11:25  profilanswer
 

show a écrit :

cesse de te la poser, je n'en suis pas un... :hello:


 
ok c'est noté! :jap:
 
J'espère que tu ne prends pas mal mes posts. C'est parfois un peu véhément, mais bon, au fond, c'est de bonne guerre... ;)
 
edit. orthogr.


Message édité par zigmounette le 23-12-2004 à 22:11:55

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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4476518
show
Posté le 23-12-2004 à 22:27:05  profilanswer
 

zigmounette a écrit :

ok c'est noté! :jap:
 
J'espère que tu ne prends pas mal mes posts. C'est parfois un peu véhément, mais bon, au fond, c'est de bonne guerre... ;)
 
edit. orthogr.


c'est pareil de mon côté http://www.show.fr/ami.gif

n°4476604
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 22:50:44  profilanswer
 


 
Vraiment?  :wahoo: C'est vrai, je trouve ça nul de se prendre la tête alors qu'il y a assez de guerre sur la terre... :d
 
Moi je dis toute discussion est bonne à prendre tant que l'on respecte son interlocuteur :o
 
[:andromaque]


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4476610
zigmounett​e
Freudo-spinoziste convaincue
Posté le 23-12-2004 à 22:52:56  profilanswer
 

Finalement il est utile ce topik :o
 
Au bout du compte on va peut-être trouver que les gens dont moins cons... [:spanotfote]


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N.B.: mon avatar, c'est pas moi, c'est Bob Dylan... • «Don't know how it all got started, I don't know what they're doin' with their lives, but me, I'm still on the road...» • Tangled up in blue, by Bob Dylan
n°4476682
Profil sup​primé
Posté le 23-12-2004 à 23:06:34  answer
 


 
Excellent  :D  
Je rejoins vos avis... Et merci à show de sauver l'honneur, car même si nous ne sommes pas d'accord sur certains points au moins on peut parler dans le calme, ça fait du bien  :o  Vive Zigmoumou aussi  :D  

n°4476861
AliaS
Posté le 23-12-2004 à 23:37:43  profilanswer
 

ici je viens de voir un acte intelligent
bravo

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