Citation :
...Ils ont été "mis à la disposition" des services français pendant deux semaines avant d'être relâchés, a expliqué M. Esso Boko à Mme Raynaud.
Selon lui, les autorités togolaises, qui soupçonnaient l'implication des Biélorusses dans le bombardement de Bouaké, ont alerté la DGSE (services secrets français) et le Service de coopération technique international de la police (SCTIP) dépendant du ministère de l'Intérieur français.
La réponse de la France a été de "ne rien faire", pour ne "pas avoir de problèmes avec la Biélorussie", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, selon une note de la DGSE déclassifiée la semaine dernière et remise à Mme Raynaud, les deux pilotes biélorusses se trouvaient bien parmi les huit personnes arrêtées le 16 novembre par les Togolais, a précisé une source proche du dossier...
|