Reprise du message précédent :
J'ai commencé le jeu il y a quelques jours...je ne sais pas ce qu'il s'est passé il y a un an mais la plupart des joueurs sont partis ... Impossible de trouver des "amis" même avec la recherche (90% n'ont pas joué depuis ~300 jours).
J'avoue que je suis complètement paumé...40 boutiques, impossible de savoir comment trouver telle ou telle chose, l'interface a 20 sous-menu inutiles...bref je suis habitué aux interfaces de l'enfer (DBDB,SWGoH,SS...) mais ça va prendre du temps
Je le fais l'histoire tranquillement,c'est niais mais c'est du FF.
Pas sûr d'aller bien plus loin après ça.

 
C est bien trop tard pour commencer ce jeu malheureusement...Gumi n a jamais écouté la communauté, préférant se remplir les poches...dommage car ce gatcha était vraiment très sympa

Je m'en doutais,du coup je vais faire l'histoire sans lâcher un rond et chercher un autre jeu.

Bientôt Sephiroth NV !
Avec une belle limite CG qui claque !

NV Rain Obscur et une limite CG qui déchire !

Le titre aura duré longtemps, mais c'est le clap de fin qui est annoncé pour la version globale le 30 octobre prochain (version jap toujours active, mais allez savoir pour combien de temps encore).
 
Ce jeu fut mon deuxième gatcha. Beaucoup de plaisir à la découverte pour son aventure qui rappelait les JRPG classiques d'autrefois, mais je n'ai pas duré un an devant le modèle économique que je découvrais puisqu'en FTP, les taux de drop des persos aux tirages de bannières étaient bien faibles par rapport aux ressources données par le jeu (l'un des plus radins que j'ai connu) et la nécessité de tirer des doubles pour faire progresser en catégorie ces persos alors que c'était déjà compliqué de chopper déjà un exemplaire.
 
Finalement, j'ai juste fait l'aventure de ce qu'on pourrait appeler la première saison puis j'ai profité de la bascule vers une nouvelle avec un changement du héros principal (Rain vers Lassswell) pour mettre le jeu de côté, sans y revenir par la suite (et honnêtement, sans trop de regrets tant même le farm où rien n'était automatique était pénible).