La ville m'a pas l'air d'être totalement en ruine ,y a juste à regarder  dans le tunnel d'en face pour y voir quelqu'un et peut être un BigDaddy hs.
Quand il donne la  fille ,on est en 1866 (note sur le bureau ) ou en 1886 (vu qu'il y a passé 20ans dedans) ,c'est aussi l'époque de Columbia du passé  
Y a un voxphone de Lutece qui date de 1890 sur la lévitation ,donc bien avant Columbia .
1912 c'est l'époque ou tu visite Columbia dès le début (c'est écrit au menu du jeu ).
Rapture c'est en 1946 (je dirais 1966) - y a une statue de la ville ou c'est écrit : Rapture Nov 5 1946 One man's vison / Mankinds salvation .
Brooker Dewitt = Big Daddy ???

Le retour à Rapture...

On y revient en 1912 non? Et pourtant la ville semble déjà en ruine alors que Bioshock se passe en 1960... Pourquoi?

Rapture n'est pas une vision altérée de Columbia vu que les événements qui s'y déroulent sont totalement différents...

J'avoue que ce dernier passage à Rapture a plus perturbé ma compréhension de la fin qu'autre chose

 
A mon sens, l'explication la plus simple est la suivante :
 
Le postulat du jeu est le très classique "infinité d'univers parallèles" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Unive [...] .27Everett  
 
Il y a donc une infinité (d'où le titre du jeu !) d'univers présentant des différences mineures ou majeures. BI démarrant à la 100 et quelque-ième tentative de Booker Dewitt de sauver Elisabeth, pour preuve le tableau comptabilisant les piles-ou-faces en début de jeu.  
 
 
On peut supposer qu'il est facile pour l'omnipotente Isabelle de choisir un univers dans lequel Rapture a été créée plus tôt que dans l'univers-référence de B1, et qui est en proie à la déreliction en 1912 plutôt qu'en 1960 ; une Rapture déserte étant plus commode pour faire ce qu'Elisabeth doit faire...  
 
Pourquoi le trajet à Rapture ?  Être à une grande profondeur pour appeller Songbird et le faire se noyer. Car c'est un gardien bien encombrant qui est devenu incontrôlable quand la flûte de pan tombe du dirigeable, après la destruction de la tour.  

En fait, Rapture est juste choisi pour qu'elle puisse noyer Songbird?

En fait, Rapture est juste choisi pour qu'elle puisse noyer Songbird?

Oui, Songbird semble conçu pour suivre Elisabeth n'importe où qu'elle aille

Le retour à Rapture...
 
On y revient en 1912 non? Et pourtant la ville semble déjà en ruine alors que Bioshock se passe en 1960... Pourquoi?
 
Rapture n'est pas une vision altérée de Columbia vu que les événements qui s'y déroulent sont totalement différents...
 
J'avoue que ce dernier passage à Rapture a plus perturbé ma compréhension de la fin qu'autre chose

Oui, Songbird semble conçu pour suivre Elisabeth n'importe où qu'elle aille

Je pense que l'on y revient dans les années 60 comme dans le premier Bioshock, Elizabeth redevient omnisciente et peut voyager librement entre les univers et le temps, d'ailleurs elle peignait la Tour Eiffel un peu plus tôt et ouvre une faille vers Paris lors de la sortie de "La Revanche du Jedi" au cinéma.
 
Pour moi cette séquence parle aussi au joueur derrière son écran. Voila comment je l'ai interprété perso :
Pendant tout la séquence de fin, on nous explique les différentes notions du jeu, une infinité de monde, tous différents et pourtant tous similaires, les constantes et les variables.
Mais peu importe les choix fait durant le jeu, au final les joueurs commencent tous au phare, entrent tous dans la capsule, découvrent tous la ville, l'homme derrière cette ville, le twist et ils finissent tous au même endroit, la fin.  
Alors quelle place pour la variable ?
 
A mes yeux, l'arrivée à Rapture répond en quelque sorte a cette question, en nous rappelant les énormes similarités des deux jeux, les constantes et les variables, un FPS, un phare, une capsule, un homme, une ville, des plasmides, la relation Jack/Ryan-Booker/Comstock, les petite soeurs et leurs gardiens-Elizabeth et son gardien, etc. Bref deux jeux très similaires et pourtant si différents.  
L'aventure que l'on vient de faire est l'une des infinie variables possible de celle que l'on avait déjà faite. Ce n'est pas le même jeu, pas les mêmes personnages, mais il n'y a pas de doute, on vient de finir un Bioshock.
"Il y'a toujours un phare, toujours un homme, toujours une ville..."
 
Au passage, ça sert aussi a confirmer ce que l'on peut soupçonner sur Fink pendant une bonne partie du jeu, quand il parle des ses inventions, les toniques, les handyman, Songbird, etc. On l'entend a plusieurs reprises dans des enregistrement expliquer qu'il a vu tout ça a travers des failles, il a certainement vu Rapture, les Big Daddies et les plasmides.

C'est l'équivalent du BigDaddy pour les petites soeur ,mais qui à créer le SongBird ?
Si c'est ce qu'appelle le prêtre : la "sodome inférieur" = Rapture et l'Eden = Columbia  
alors Columbia et Rapture sont 2 villes qui ont été crée à la même époque    
A la première sortie du bureau de Booker,on peut bien voir N.Y en flammes ,dévasté par des dirigeables .
Peut être que c'est deux villes sont des villes refuges ... lu sur une statue "Qu'est ce que Columbia ,si ce n'est qu'une autre arche d'un autre temps"

Je pense que l'on y revient dans les années 60 comme dans le premier Bioshock, Elizabeth redevient omnisciente et peut voyager librement entre les univers et le temps, d'ailleurs elle peignait la Tour Eiffel un peu plus tôt et ouvre une faille vers Paris lors de la sortie de "La Revanche du Jedi" au cinéma.
 
Pour moi cette séquence parle aussi au joueur derrière son écran. Voila comment je l'ai interprété perso :
Pendant tout la séquence de fin, on nous explique les différentes notions du jeu, une infinité de monde, tous différents et pourtant tous similaires, les constantes et les variables.
Mais peu importe les choix fait durant le jeu, au final les joueurs commencent tous au phare, entrent tous dans la capsule, découvrent tous la ville, l'homme derrière cette ville, le twist et ils finissent tous au même endroit, la fin.  
Alors quelle place pour la variable ?
 
A mes yeux, l'arrivée à Rapture répond en quelque sorte a cette question, en nous rappelant les énormes similarités des deux jeux, les constantes et les variables, un FPS, un phare, une capsule, un homme, une ville, des plasmides, la relation Jack/Ryan-Booker/Comstock, les petite soeurs et leurs gardiens-Elizabeth et son gardien, etc. Bref deux jeux très similaires et pourtant si différents.  
L'aventure que l'on vient de faire est l'une des infinie variables possible de celle que l'on avait déjà faite. Ce n'est pas le même jeu, pas les mêmes personnages, mais il n'y a pas de doute, on vient de finir un Bioshock.
"Il y'a toujours un phare, toujours un homme, toujours une ville..."
 
Au passage, ça sert aussi a confirmer ce que l'on peut soupçonner sur Fink pendant une bonne partie du jeu, quand il parle des ses inventions, les toniques, les handyman, Songbird, etc. On l'entend a plusieurs reprises dans des enregistrement expliquer qu'il a vu tout ça a travers des failles, il a certainement vu Rapture, les Big Daddies et les plasmides.