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ex - Ecole Spéciale de Mécanique et d'Électricité - Grande École d'Ingénieurs depuis 1905 www.esme.fr
Présentation
L'ESME-Sudria est une école d'ingénieurs centenaire. Elle fut fondée en 1905 par Joachim Sudria, diplomé de l'Ecole Polytechnique et de Supélec. L'école était d'ailleurs à l'origine une classe préparatoire à Supélec. Au fil des années, l'enseignement a évolué pour rester en phase avec les attentes des entreprises en tirant parti des spécificités et de l'expertise développées par l'école. Cet effort aboutit à la mise en place d'un cursus ingénieur dont la qualité fut reconnue très tôt. En effet, l’État français a initié la reconnaissance des écoles en 1922 et l'ESME-Sudria est reconnue par l'Etat depuis cette même année. De même la Commission des Titres d'Ingénieurs (CTI) qui habilite les écoles à délivrer un diplôme d'ingénieur fut crée en 1934 et l'ESME-Sudria, dispose du label CTI depuis cette même année. Aujourd'hui encore, en 2012, on retrouve une culture de la qualité et de l'excellence identique à celle qui animait l'école durant ses jeunes années. Généralités sur l'école et reconnaissance
L'ESME-Sudria forme des Ingénieurs dans les domaines du Génie Électrique qui inclut les technologies récentes de l'Électronique, des Télécommunications et bien sûr de l'Informatique, support indispensable à toutes ces disciplines.
Elle est à la pointe de l’industrie, de l’énergie, de l’électronique avancée grâce à la reconnaissance historique dont elle bénéficie dans l’Electrical Engineering.
Avec plus de 8 000 anciens en activité, elle est une des écoles d’ingénieurs les mieux représentées dans l’industrie française. Elle est reconnue par l’État, habilitée par la CTI depuis 1934 (date de la fondation de la CTI), membre de la Conférence des Grandes Ecoles, membre fondateur de l’UGEI (Union des Grandes Ecoles Indépendantes) et d'EDUFRANCE (Agence Nationale Française pour des échanges d'étudiants avec l'étranger). L'ESME-Sudria est également membre et Administrateur du réseau n+i, qui contribue à la formation d'ingénieurs à vocation internationale.
Les campus
L'ESME-Sudria est une centenaire jeune et dynamique. En complément à son site traditionnel de Paris-Ivry, l'école ouvrait en Novembre 2012 son second campus à Paris-Montparnasse. L'année scolaire 2012-2013 a également été marquée par l'ouverture de deux campus, l'un à Lille, l'autre à Lyon. L'école prépare par ailleurs l'ouverture de deux antennes à l'étranger au Royaume-Uni et en Chine.
Campus: Paris-Centre & Ivry-sur-Seine
Ce campus a été bâtit sur plus de 7000m² aux portes de Paris à Ivry sur Seine, au pied du RER C. Son parc immobilier comprend deux sites situés à moins de 100 m l'un de l'autre :
- Le premier comprend 4500m² de laboratoires,
- Le second rassemble des salles de cours sur une surface totale de 2500m²
Le site est constitué de locaux très modernes, confortables, conviviaux et sécurisés comprenant des salles de cours, des salles de libre service informatique et une cafétéria.
Depuis Novembre 2012, l’école s’est également installée dans un immeuble de plus de 2 000 m², au coeur du quartier de Montparnasse et face au passionnant complexe de l’Institut Pasteur avec ses pôles d’innovation mondialement reconnus. Dans la ville donc dans la vie, cette implantation permettra de faciliter le quotidien des étudiants dans un contexte exceptionnel.
L'ESME conserve toutefois une partie de ses locaux à Ivry et continue de profiter de leur potentialités (notamment dans le cadre de la vie associative) le campus d'Ivry étant particulièrement dédié aux étudiants de 4e et 5e années (grands amphis, laboratoires de recherche…).
Campus: Lille
Implanté en plein cœur de la capitale des Flandres, le campus du groupe IONIS à Lille est un authentique campus urbain de plus de 4000 m² qui accueillera l'ESME au coté des écoles du groupe ISEG.
Les locaux des écoles allient des matériaux traditionnels et High Tech proposant ainsi aux Iségiens et aux Sussus un cadre de travail unique. De nombreux espaces sont dédiés au travail (salles de cours, amphithéâtre, salles de travail, salles informatique), mais aussi aux échanges ( atrium, espaces cafétéria, salles dédiées aux conférences et à la vie associative) contribuant ainsi à développer les liens entres les étudiants et donc l'esprit de corps qui prévaut au sein des écoles.
Campus: Lyon
Situé au cœur de Lyon, à quelques centaines de mètres de la gare, le bâtiment, qui s'élève sur 6 étages, reçoit plus de 500 étudiants dans un campus urbain de 4000 m² : salles de cours, bureaux des associations, cafétéria, amphithéâtre, espace multimédia, accès wifi illimité et salles sonorisées équipées de vidéoprojecteurs …
L'architecture novatrice du bâtiment est remarquable. Un espace Agora vient également d'être créé dans le carré de verdure intérieur de l'école pour permettre aux étudiants de l'école de s'aérer le temps d'une pause entre deux cours ou lors du déjeuner.
L'ESME-Sudria en chiffres
L’une des premières écoles d’ingénieurs privées à avoir obtenu le label CTI...
Quelques chiffres:
* 1000 élèves sur trois campus multi-écoles,
* 8000 anciens élèves à des postes clés dans les entreprises de pointe,
* 20 séminaires d’ouverture pour élargir son horizon culturel,
* 3 Majeures Technologiques,
* 10 Mineures Managériales,
* 4 cursus différents en dernière année : expertise technologique, international, recherche et innovation, double compétence technologique et managériale,
* 15 destinations internationales pour 27 doubles diplômes ESME/MSc,
* 10 voies d’Expertise Métier,
* 8 Masters Recherche en bi-cursus de dernière année,
* 7 Doubles diplômes Technologie et Management ESME/MBA spécialisé de l’ISG,
* 100% des étudiants passent au moins un semestre à l’étranger,
* 11 mois de stage en entreprises,
* 5000 entreprises partenaires,
* 25 laboratoires et espaces de créativité,
* 8000 m² de locaux conviviaux, spacieux et lumineux au sein d’un campus multi-écoles,
* 35 Associations étudiantes,
* 95% des étudiants embauchés avant la sortie de l’école
* Salaire moyen d’intégration : 37 500 €
Procédure d'admission à l'ESME-Sudria
L'ESME-Sudria est une école d’ingénieurs en 5 ans construite sur le modèle européen Licence-Master-Doctorat (LMD). L’ESME-Sudria dispose de procédures de recrutement chaque année de Bac à Bac+4.
Admission en 1ère Année : le concours ADVANCE
Le concours ADVANCE est la procédure d'admission principale de l'ESME-Sudria, l'inscription se fait via le portail APB. Le concours s'adresse aux élèves de terminale S et de terminale STI intéressés par la formation d'ingénieur généraliste en sciences de l'energie dispensée par l'école. C'est un concours commun réunissant trois écoles: l'ESME-Sudria, l'EPITA et l'IPSA. L'étudiant classe ces trois écoles par ordre de préférence, par suite, ses admissions seront prononcées sur base de ses résultats aux épreuves et de sa liste de voeux préalablement établie.
Pour ce qui concerne la difficulté, les quelques candidats intérrogés s'accordent à dire que les épreuves se situent dans la tranche haute de la complexité - comparativement aux autres concours post-bac. Cependant plus qu'une selection discriminante, l'esprit de ce concours est de détecter des potentiels à exploiter durant les 5 années du cycle de formation. Ces potentiels sont ensuite classés par ordre de mérite, autrement dit, plutôt que de proposer des épreuves très difficiles que seule une poignée d'étudiants serait capable de faire, l'idée est à l'inverse de permettre à chacun de mettre en avant ses points forts, puis de classer les potentiels par ordre de mérite. En réalité, il faut nuancer ce propos. Les épreuves écrites sans être insurmontables peuvent représenter une réelle difficulté, soit on sait faire, soit on ne le sait pas et si on ne le sait pas, il sera délicat de chercher les méthodes le jour du concours - et à ce titre, travailler avec les annales constitue un excellent entrainement. Cependant, les épreuves orales donnent la possibilité à chacun de montrer ses points fort.
Spoiler :
Par contre les choses peuvent être vus sous un autre angle. Si vous râtez vos épreuves orales, l'examinateur peut être en droit de considérer que vous lui avez presenté ce que vous savez faire de mieux |
Le concours se compose de trois phases :
-L'étude du dossier académique
-Les épreuves orales
-Les épreuves écrites
Etude du dossier académique
Cette étape n'est pas éliminatoire, quelque soit l'état de votre dossier académique. Une note est attribuée à votre dossier et cette note sera ajoutée aux autres notes obtenues lors du concours par la suite. La note du dossier porte le coefficient 1. A titre indicatif, la moyenne générale des admis se situe autour de 12, certains candidats sont bien au dessus, d'autres bien en dessous. La majorité des admis a en général obtenu une mention au baccalauréat (ce n'est qu'une statistique dans la mesure où l'admission est connue avant les résultats au baccalauréat). Il faut garder à l'esprit que l'ESME-Sudria ne selectionne pas sur concours, elle selectionne sur 5 ans. Le concours sert uniquement à classer les potentiels par ordre de mérite. Par suite, ces potentiels sont tout à fait à même d'être redirigés vers des écoles plus adaptées à leurs capacités si leurs résultats s'avéraient insuffisants. Une dernière fois, la selection ne se fait ni sur un an, ni sur deux ans, mais bien sur cinq ans. A bon entendeur Les épreuves orales
Une originalité du concours Advance est que les épreuves orales ont lieu avant les épreuves écrites. C'est l'occasion pour le candidat de montrer d'entrée ses points forts, et d'engrenger le maximum de points pour appuyer sa note d'écrit. Les épreuves orales sont au nombre de trois et durent chacune trente minutes. Le candidat présente: l'anglais, les mathématiques et réalise un entretien de motivation. La grande majorité des candidats réussit ces épreuves, certains haut la main. Les meilleurs d'entre eux sont directement admis - il y a très peu d'admis à l'issue des oraux - tandis que les autres passent les épreuves écrites. Les épreuves orales porte le coefficient 1.
En général, l'attitude des examinateurs est constructive. Ils ne cherchent pas à piéger les candidats. Un certains nombre de thèmes sont choisis aléatoirement et le candidat choisit celui qu'il aime. Il est donc relativement aisé d'obtenir de bons résultats pour peu de s'être préparé convenablement.
Les épreuves écrites
Les épreuves écrites sont sans aucun doute les épreuves les plus difficiles. Les candidats y ont en général des résultats mitigés, d'où l'importance de réussir ses épreuves orales. Toutefois, en travaillant convenablement avec les annales, réussir ces épreuves est à la portée de n'importe quel lycéen motivé. Peu importe ce qu'en diront ses professeurs et peu importe ses résultats scolaires préables, aussi médiocres ou excellents soit-ils. Car on ne prépare pas un concours en apprenant son cours mais en travaillant avec les annales.
La force de l'ESME-Sudria est de reveler et de cultiver les talents. Il y a trois grandes catégories de personnes qui candidatent pour cette école. En premier lieu, ceux qui ont été séduits par le programme de l'école, qui n'ont pas de projet professionel bien défini mais qui veulent intégrer car ils voient en l'école une opportunité unique de découvrir plusieurs secteurs et d'enrichir leur connaissance dans un environnemnt adéquat. Dans un deuxième temps, il y a des candidats très motivés par l'école, son ambiance et son enseignement. Ils veulent devenir ingénieurs ESME-Sudria mais leurs résultats catastrophiques dans le secondaire les font douter de leurs capacités. Ces candidats peuvent intégrer en travaillant avec acharnement le concours, peu importe ce que leurs professeurs en disent. Un concours se prépare et c'est une occasion de partir d'une page blanche qu'importe ses résultats passés. En acceptant un élève, l'ESME-Sudria s'engage à lui inculquer une personnalité et une rigueur de travail pour faire de lui un ingénieur ESME-Sudria. Cette école est une force d'intégration et c'est l'un de ses principaux atouts.
Il y a très peu de mérite à tirer du fait de recruter les meilleurs élèves sur dossier pour se vanter d'avoir la meilleure formation. En revanche, savoir developper le potentiel d'un élève qu'il n'a pas encore exploité et qu'il n'a parfois pas conscience d'avoir est un exercice déjà plus intéressant. L'école le fait en 5 ans et c'est sa marque de fabrique.
Enfin, des élèves brillants sont également attirés par l'école. Ceux-ci intègrent généralement l'école sans grande difficulté et se rejouissent du fait que l'école ne limite jamais ceux qui souhaitent travailler. Les cours sont fait de sorte qu'il y ait toujours une ouverture vers l'approfondissement et au delà de cela, certains élèves font le choix de suivre une formation en parallèle pour consolider leurs connaissances (licence de mathématiques, de droit....).
Nombre de places pour l'ESME-Sudria au concours advance :
-Campus de Paris : 180 -Campus de de Lille : 50
-Campus de Lyon : 50
Admission en 2ème Année : recrutement sur dossier
Les candidats peuvent également intégrer l'ESME-Sudria directement en deuxième année. A ce niveau d'admission, le recrutement se fait essentiellement sur dossier. Que l'élève vienne de Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles (CPGE), de licence, de BTS ou de DUT (car certains DUT ne donnent pas directement accès à la troisième année) la procédure consiste tout simplement en l'étude de son dossier et en un entretien individuel avec lui. Il n'y a pas tellement de tendance de recrutement à annoncer, tout se fait au cas par cas.
Admission en 3ème et 4ème Année : recrutement sur concours ou dossier
Les élèves venant de CPGE ont accès à l'ESME-Sudria via le concours E3A ou le concours banque PT. Pour les autres fillières, le recrutement se fait se fait sur dossier, tests et entretiens, à l'exception de l'université pour laquelle il n'y a pas de tests mais uniquement une étude du dossier et un entretien. L'admission en quatrième année se fait sur dossier et est uniquement accessible aux titulaires d'un M1.
Nombre non officiel de personnes ayant présentées l'ESME-Sudria en 2013 : 1624.
Nombre non officiel de personnes ayant présentées l'ESME-Sudria en 2012 : 891.
Les programmes d'enseignement 2013-2014
Bachelor 1 et Bachelor 2 Les deux premières années d'enseignement correspondent au cycle préparatoire (cycle prépa). Le programme d'enseignement correspond à celui des CPGE MPSI/PSI, c'est durant ce cycle que la culture de l'excellence de l'école se fait premièrement sentir. En effet, contrairement aux cycles prépas d'autres établissements très axés sur la technologie au détriment des sciences fondamentale, l'ESME-Sudria a fait le choix d'aborder l'essentiel des notions de prépa tout en accordant une place de choix à l'enseignement technologique dès les premières années. En définitive, les notions abordées sont relativement sophistiquées. Toutefois, l'ambiance est détendue et le corps professoral de très grande qualité se montre disponible pour aider les élèves en difficulté.
Bachelor 3 La troisième année conclut le cycle “Bachelor” et donne à l’étudiant la base de connaissances indispensables, tant dans le domaine scientifique et technique que dans le domaine linguistique et humain, à partir de laquelle il pourra devenir un expert dans le domaine de compétences qu’il aura choisi. Un séminaire d’harmonisation, situé au tout début de l’année permet aux nouveaux admis d’acquérir rapidement un complément de formation grâce auquel leur intégration dans l’école se fera sans difficulté.
Le programme de formation comprend, outre les séminaires d’ouverture, les enseignements transversaux et le semestre international détaillés ci-dessous, un solide enseignement scientifique :
* Mathématiques Appliquées
* Les systèmes linéaires
* L’électronique linéaire
* Les concepts des télécommunications
* Énergie, convertisseur et automatique
* Électronique et systèmes numériques
* Informatique
Du point de vue d'un étudiant, la culture et la marque de fabrique de l'ESME-Sudria se font particulièrement ressentir lors de la troisième année. Historiquement, l'ESME-Sudria était une classe préparatoire aux Grandes Ecoles qui préparait ses élèves au concours Supélec. Autour des années 1915, la formation a évolué pour comprendre un cycle ingénieurs qui n'a cessé de se perfectionner et de s'adapter aux besoins des industriels jusqu'à aujourd'hui. A cause de ce passé, les étudiants ressentent aujourd'hui encore une rupture franche entre leur 2ème année - qui correspondait à la dernière année de prépa - et la 3ème année - qui correspondait à la première année de cycle ingénieurs. Beaucoup affirment leur impression d'avoir changé tant le niveau d'exigence et la méthodologie de cours sont transformés.
C'est en effet à partir de la troisième année que l'élève est en contact avec les professeurs permanents qui ont pour la plupart à leur actif plusieurs décennies d'expériences industrielle et plusieurs décennies d'enseignement à l'ESME-Sudria ; c'est d'ailleurs d'eux que l'école tire une grande partie de sa réputation. C'est également à partir de cette troisième année que l'enseignement théorique et parfaitement calibré des deux premières années prend tout son sens comme il contribue à la résolution de problématiques d'ingénieurs concrètes.
D'autre part, la troisième année est l'année du semestre à l'étranger. L'ESME-Sudria est en 2013-2014 l'école post-bac ayant le programme de semestre à l'étranger de troisième année le plus développée. En effet, si la plupart des écoles proposent des doubles diplômes avec des universités étrangères en dernière année, aucune d'entre elles ne proposent autant de destination que l'ESME-Sudria pour le semestre à l'étranger ayant lieux en troisième année. Alors que la tendance dans plusieurs écoles est de proposer trois destinations scandinaves, l'ESME-Sudria permet à ses élèves de choisir parmi douze universités renommées couvrant tous les continents.
Voici une liste non exhaustive des destinations proposées à Bac+3:
- Heriot-Watt University (Royaume-Unis)
- University of California San Diego (Etats-Unis)
- Boston University (Etats-Unis)
- University of Wollongong (Australie)
- Stellenbosch University ( Afrique du Sud)
- Shanghai Jiao Tong University (Chine)
- Griffith College Dublin (Irlande)
- University of Southern Denmark (Danemark)
- Budapest University of Technology and Economics (Hongrie)
M1
Le choix d'une majeure technologique parmi quatre :
*Énergies et Systèmes
*Réseaux et Télécommunications
*Systèmes embarqués et electronique
*Ingénierie de l’information et de la communication
Le choix d'une mineure managériale parmi dix :
*Management interculturel et mobilité internationale *Négociation d’affaires à l’international
*Management stratégique d’entreprise
*Entrepreneuriat *Management de la recherche *Management du chef d’orchestre
*Management du développement durable *Management des ressources humaines et savoir-être
*Prise de parole en public et gestion du stress
*Enjeux des innovations en matière de TIC
M2
Cursus INTERNATIONAL
Une année complète à l’étranger dans une Université partenaire permet d’obtenir le double diplôme ESME-Sudria / Master of Science dans 6 pays (ROYAUME UNI, ALLEMAGNE, ESPAGNE, ÉTATS-UNIS, CANADA, ISRAEL ... )
Les domaines scientifiques accessibles dans les universités partenaires recouvrent la totalité du spectre des métiers de l’Informatique, des Télécommunications et de l’Énergie. La connaissance approfondie d’une deuxième culture prépare l’étudiant à une carrière internationale.
Cursus RECHERCHE ET INNOVATION
Les élèves qui le souhaitent peuvent entamer, conformément à la convention qui lie l’ESME Sudria à l’École Doctorale STITS, la première année d’un cursus qui les conduira vers le doctorat. 8 Masters IST sont accessibles :
* Systèmes pour l’Énergie Électrique
* Micro-Nano Technologies
* Composants et Systèmes Électroniques pour les Télécommunications
* Réseaux et télécommunications
* Systèmes Électroniques Embarqués et Informatique Industrielle
* Automatique et Traitement du Signal et des Images
* Outils et Systèmes de l’Astronomie et de l’Espace
* Imagerie Médicale
Les élèves suivent l’intégralité des enseignements du Master choisi, et font un stage dans l’un des laboratoires de recherche associés à l’École Doctorale. La formation est complétée par une centaine d’heures de cours à l’ESME Sudria, que l’élève choisit en relation avec le cursus recherche suivi ou de manière complémentaire à celui-ci.
Cursus DOUBLE COMPÉTENCE : TECHNOLOGIE ET MANAGÉRIALE
Au premier semestre, les élèves qui souhaitent acquérir une double compétence suivent les cours de tronc commun, la suite des enseignements correspondant à la Majeure Technologique choisie l’année précédente, et font un projet de recherche court. Au deuxième semestre, ils rejoignent l’ISG (Institut Supérieur de Gestion) pour suivre la formation les conduisant, outre leur titre d’ingénieur ESME-Sudria, vers un MBA ISG dans l’un des 7 domaines suivants :
* Customer Relationship Management
* Conseil Stratégique
* Création d’Entreprise
* Gestion du Changement et Technologies
* Logistique/Supply Chain management
* Management du Développement Durable
* Finance et marchés internationaux
Les études à l’ISG comprennent des cours de tronc commun de deux mois, des cours de spécialisation de 3 mois, et un stage en entreprise d’une durée de 7 mois. Le même programme de formation peut être suivi en anglais.
Cursus EXPERTISE TECHNOLOGIQUE
Le cursus expertise se déroule à l’ESME-Sudria. Au premier semestre, les élèves suivent les cours de tronc commun, la suite des enseignements correspondant à la Majeure Technologique choisie l’année précédente, et font un projet de recherche long. Au deuxième semestre ils choisissent l’une des dix Voies d’Expertise suivantes :
* Ingénierie d’Affaires
* Mécatronique
* Systèmes Énergétiques
* Systèmes Électroniques Embarqués
* Signaux, Images et Sons
* Réseaux de Télécommunications
* Banque et Finance
* Systèmes Informatiques et Réseaux
* Systèmes d’Information
* Technologies Émergentes
Poursuite d'études
La valeur ajoutée du diplôme d'ingénieur ESME-Sudria ouvre la porte à de nombreuses débouchées académiques, on appelle cela faire un troisième cycle (d'études).
Pour illustrer cela, on retrouve des anciens dans toutes les formations académiques (MBA, Mastère, Masters, AST, DEA, DESS) d'établissements tels que : Centrale Paris, Mines ParisTech, Supelec, Université Paris IX Dauphine, INSEAD, Université Paris I Sorbonne, ENSAE, IAE Paris I, HEC, ESSEC, ESCP-Europe, EM Lyon, Georgia Tech, San Jose, Université Paris XI Orsay, Telecoms ParisTech, Columbia, Cornell, Sciences Po Paris, ETS Montreal et bien d'autres. Cela est la preuve de la reconnaissance de la valeur du diplôme de l'école par ses paires.
Faits importants
2013 - Nouveaux Campus Prévus en Chine et en Angleterre
L’ESME-Sudria prépare actuellement l’ouverture avant la fin 2013 d’un campus à Pékin, en partenariat avec la Beijing Institute of Petrochemical Technology (BIPT). En pratique, ce partenariat devrait concerner les élèves-ingénieurs français inscrits dans le cursus ingénieurs en M2 et les étudiants chinois de M2. Le programme qui porte sur 350 heures de cours et sur un stage à effectuer en Chine ou dans une autre partie du monde, permettra à une dizaine d’étudiants français de partir étudier un semestre en Asie. Inversement, une dizaine d’étudiants chinois viendront suivre le cursus de l’ESME-Sudria, en France. L’ESME Sudria n’entend pas investir dans la construction de locaux à l’étranger, mais compte s’installer au sein d’une de ses universités partenaires, pour déployer ses ressources sur les moyens pédagogiques. En revanche, les locaux occupés seront clairement identifiés sous la bannière ESME Sudria. L’école ouvrira, à l’horizon 2014, un campus dans le sud de l’Angleterre. 2013 - Création d'un MSc in Energy Systems
L’ESME Sudria développe un partenariat avec la Beijing University of Posts and Telecommunications (BUPT) qui devrait lui permettre de délivrer un MSc à des étudiants chinois, à Pékin. « Nous avons déposé une demande d’accréditation pour l’ouverture d’un MSc dans le domaine du contrôle des systèmes énergétiques, auprès de la Conférence des grandes écoles (CGE) », commente Roger Ceschi, directeur général de l’école. « Dans un premier temps, cette formation concernera exclusivement des étudiants chinois, mais nous comptons à terme, l’ouvrir à d’autres nationalités. Elle s’articule autour d’un semestre d’études à Pékin, d’un semestre d’études en France et d’un semestre de stage
2012 - Partenariat avec l'Institut de Technologie Pétrochimique de Beijing (BIPT China)
Citation :
Depuis mars, l'ESME Sudria a noué un nouveau partenariat avec une université chinoise, l'Institut de Technologie Pétrochimique de Beijing (BIPT China). Zhu Chen, étudiant du BIPT venu à l'ESME, présente son école et les perspectives de ce nouvel accord.
Pouvez-vous nous présenter le BIPT China ?
L'Institut Technologique Pétrochimique de Beijing (Beijing Shiyou Huagong Xueyuan) est un établissement d'établissement supérieur fondé en 1978 à l'initiative du gouvernement central chinois et la municipalité de Beijing. Aujourd'hui, l'université compte dix unités d'enseignements, parmi lesquelles les départements de génie chimique, de génie mécanique, d'ingénierie informatique, de science et génie des matériaux ou encore de physique et de mathématiques. Le campus est situé dans le district de Danxing, un cadre très agréable où les étudiants peuvent étudier dans des laboratoires de pointe neufs. Les champs de recherche clés de l'institut portent sur la chimie et la mécanique de pointe, les applications informatiques et le management des sciences techniques et économiques appliquées à l'environnement.
L'école se veut en phase avec son époque : concrète et réaliste, au plus proche des besoins de notre temps. Ces qualités ont d'ailleurs été reconnues : le BIPT China ayant reçu au fil des ans de nombreux prix universitaires pour l'excellence de ses enseignements, ses infrastructures et la vie de son campus. On compte une cinquantaine d'associations, où les quelques 8 000 étudiants s'épanouissent en parallèle de leur cursus.
Qu'attend le BIPT China de son nouveau partenariat avec l'ESME Sudria ?
Nos deux écoles forment aux métiers de l'ingénierie. Nous espérons pouvoir partager cette excellence et que les écoles apprennent l'une de l'autre. Par les échanges d'étudiants et d'enseignants à venir, nous espérons pouvoir élargir nos visions des choses, que ce soit dans l'ingénierie comme humainement. Par ailleurs, nous espérons bientôt pouvoir envoyer et recevoir des stagiaires dans les laboratoires des deux écoles, ainsi que des post-doctorants. Ces opérations d'enseignement de courte durée ne peuvent que renforcer les liens du partenariat. Enfin, un des objectifs appréciables à plus long terme serait la création d'un double diplôme entre les deux écoles, ainsi que le développement de recherches et de cours communs.
http://www.esme.fr/blogs/2012/10/n [...] natio.html
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Liens
¤ BDE
http://bde.esme.free.fr
¤ Junior Entreprise de l'ESME-Sudria : Junior Sudria
www.juniorsudria.fr
¤ Association des Anciens Élèves, AIESME
http://www.aiesme.org
¤ Linkedin
http://www.linkedin.com/groupRegistration?gid=2022
¤ Viadeo
http://www.viadeo.com/communaute/m [...] 8gidup36gk (Communauté)
http://www.viadeo.com/hu03/002vjyg [...] hub-public (Groupe)
CampusFrance
http://editions.campusfrance.org/e [...] ria_fr.pdf
WIKI ESME-Sudria (FR)
http://fr.wikipedia.org/wiki/ESME
WIKI ESME-Sudria (EN)
http://en.wikipedia.org/wiki/ESME_Sudria
WIKI Groupe IONIS
http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_IONIS
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Classements
2010
* Le Parisien, Palmarès Salaires
- 24 sur 60 (post-bac + post-prepa)
* Nouvel économiste, Palmarès DRH
- 25 sur 45 (post-bac + post-prepa)
* Usine Nouvelle, Palmarès Salaires
- 26 sur 150 (post-bac + post-prepa)
2009
* Challenges, Salaires et Cote des diplômes
- 1 sur 25 (post-bac) - 13 sur 50 (post-bac + post-prepa)
* L'Etudiant, Palmarès
- 16 sur 56 (post-bac)
2008
* Nouvel Economiste, Palmarès DRH
- 32 sur 43 (post-bac + post-prepa)
2007
* Challenges, Palmarès - 1 sur 43 (post-bac)
- 9 sur 138 (post-bac + post-prepa)
* L'Usine Nouvelle, Palmarès Salaires
- 25 sur 143 (post-bac + post-prepa
* Nouvel Economiste
- 24ieme tout confondu
2006
* Challenges, Classement
- 2 sur 43 (post-bac)
2005
* Nouvel Economiste, Palmarès DRH
- 31 sur 40 (post-bac + post-prepa)
2004
* Usine Nouvelle, Palmarès Salaires
- 43 sur 132 (post-bac + post-prepa)
Citation :
Le magazine le plus fiable pour les classements ?
1559 réponses. [20.2%] Challenges [18.4%] Le Point [16.9%] Le Nouvel Économiste [16.6%] L'Usine Nouvelle [16.2%] L'Expansion [7.1%] 01 Informatique [4.2%] Le Monde Informatique (source Internet non officielle)
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Témoignages
Ils ont dit sur le forum :
inge jun a écrit :
Bonjour à tous je suis diplômé de l'EPMI depuis qqs années et avant j'étais à l'ESME-Sudria, aujourd'hui professionnellement Sudria est largement meilleur, (je l'ai compris dans tous mes entretiens) mes amis de l'ESME sont à 55 Keuros des fois, moi à 28-29 Keuros, cependant au niveau des études c'est incomparable à Sudria le niveau est vraiment très élevé (en cycle ingé) et les redoublements vont bon train, l'EPMI est beaucoup plus humaine mais bcp moins "dur" la plupart trouve les cours de niveau très bas, normal c'est pas le même produit, vous serez moins technique et plus orienté chargé d'affaires, enfin l'EPMI possède un directeur performant qui fait grandir l'école de jour en jour
Aujourd'hui si c'était à refaire je serai resté à ESME-Sudria car dans mon secteur c'est eux les maitres et nous les esclaves, cependant dans d'autres secteur les Epmistes surpassent en système D tout ce qui a été connu dans l'histoire de l'ingénierie
A bon entendeur
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Avis_Perso a écrit :
Bonjour,
Je n'ai pas du tout lu les autres commentaires, tout se que je fais c'est de donner mon avis.
Je vais faire simple.
Au début je pensais vraiment que je m'étais trompé, tant du point du vue enseignement que niveau scolaire.
J'ai maintenant fini le cursus de 5 ans et je suis vraiment content d'avoir fait cette école. A mon avis c'est une école d'où on sort pas une où on rentre. J'entends par là qu'elle est plus facile à intégrer qu'une grande école publique (une bonne hein!). Par contre plus on monte dans les années, plus c'est dur et plus on doit faire nos preuves. Les 3 projets qu'on fait pendant ces 5 ans sont vraiment formateurs et consolident beaucoup les enseignements.
Je suis maintenant en recherche d'emploi et partout où je passe j'ai une offre. J'ai fait la section génie électrique/automatique et les profs sont supers bien qu'au début (dans la 3° année) ils paraissent extrêmement désagréables.
J'y ai appris des choses actuelles et dans l'air du temps, vraiment utiles pour commencer. Après il faut aussi se poser les bonnes questions quand on intègre une école et être sûr que ça plaise.
Je vais bientôt commencer un travail que j'ai trouvé alors que je suis encore en stage de fin d'études.
En Espérant répondre à des questions et inquiétudes.
PS : Les forums c'est des guéguerres pourries entre écoles, ça n'apporte rien de bon. PS2 : 9a sert à rien de troller sur ce que je dis, je fais ça juste pour info et de toute façon je répondrai pas
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Ils ont dit sur internet:
Citation :
2003
Je suis diplômé en informatique (donc je ne parlerais que de cette filière) de cette école et je suis assez satisfait de l'enseignement pour plusieurs raisons :
- L'école a globalement un bon niveau, j'ai fait une maths sup et une maths spé en dehors de l'école et en arrivant je pensais clairement me "balader" mais ça n'a pas été le cas. Il fallait travailler régulièrement, les conditions sont strictes (exemple des "erreurs fatales" en programmation qui peuvent entrainer un 0 au TP et vu le coeff ça oblige clairement a être sérieux) et l'école n'hésite pas à virer les éléments les plus faibles (j'ai des copains qui sont partis de l'Esme pour l'ECE à cause de ça). Ca explique certains avis de gens un peu aigris ... une école payante ne veut pas dire passage en classe supérieure assuré, ça en surprends plus d'un.
- En informatique, les professeurs sont très compétents (pas forcement sympathiques c'est vrai) notamment en ce qui concerne les cours sur Unix. La programmation est apprise graduellement (on passe peut-être un peu trop de temps sur le fortran mais bon ...) et on ne néglige aucun système d'exploitation (OpenVMS, Unix, Linux, WindowsNT).
- Le corps enseignant en dernière année est issu du monde professionnel et on est ainsi en contact avec les entreprises. Des gens comme le directeur technique de Microsoft (Bernard Ourghanlian) ou la responsable developpement des compétences (RH) d'Oracle donnent des cours là bas.
- Au niveau international, l'école a des bons contacts avec des universités cotées comme San Jose ou Georgia tech (USA) pour les meilleurs (et les plus motivés), l'ICAI en espagne, l'université de Kassel en Allemagne.
- L'association des anciens élève est pas mal et il y'a des réunions fréquentes avec des anciens à la maison des Esme (même si ça manque de pubs au sein de l'école)
- Habilité par la commission des titres et membre de la conférence des grandes école. Elle est assez connues dans les entreprises (toujours en bien d'après mon expérience et mes nombreux entretiens avec des entreprises)
Maintenant, il y'a des cotés négatifs comme dans chaque école :
- Les soirées sont pas très nombreuses (ça s'explique par la charge de travail)
- L'ambiance est moyenne et il manque un peu "l'esprit école" comme celui des arts et métiers par exemple.
- Il y'a 2 batiments assez loins les uns des autres et c'est chiant de se taper le chemin entre les 2 (mais l'école va être agrandie).
Bref, une bonne école, n'écoutez pas les esprits chagrins qui se sont fait virer (on est là pour apprendre un métier pas pour se tourner les pouces) et qui prétendent que seuls les "veaux" qui apprennent tout par coeur finissent l'école (je suis loin d'avoir tout appris par coeur !). Etre intelligent c'est aussi savoir quand il faut travailler et quand on peut se reposer. Si vous êtes sérieux, que vous avez vraiment envie d'apprendre quelque chose, essayez cette école.
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Citation :
2010
Quand je suis rentré à l'ESME Sudria : personne n'aurais parié que je deviendrais ingénieur et encore moins de cette école. En effet pas de mention au bac et une autre année plus que catastrophique dans une école concurrente.
D'ailleurs lors de mon entretien qui s'était plutôt mal passé : les personnes qui m'avaient reçues m'avait bien fait comprendre qu'il fallait sérieusement me mettre au travail et y mettre les bouchées doubles.
Et c'est ce que j'ai fait : j'ai bossé, potassé, dormi 4H par nuits certains soir. Parallèlement j'ai trouvé à l'ESME Sudria l'encadrement nécessaire pour étudier correctement : Des interrogations écrites chaque semaine, des TDs notés (appelé Petite classe), des Colles orales sans parler de l'excellence des professeurs.
C'est vrai que la pédagogie étaient à l'ancienne avec l'omniprésence du classement et de la moyenne mais c'est cela m'a convenu et m'a forcé à me dépasser jusqu'à réussir. Une réussite avec brio car j'ai toujours fait parti du top10 des classement élèves et j'ai toujours eu la confiance de mes professeurs.
Pour conclure, je ne nierais pas non plus que tout n'était pas idéal : accès aux salles et ressources informatiques contraignante, éclatement de l'école sur 2 sites à (Paris & Ivry) mais la perfection n'est pas de ce monde et cela finalement permet d'apprendre la "débrouillardise" aux élèves.
Le seul point négatif que je pourrais dire de l'école : c'est l'ambiance trop concurrentielle entre les élèves : une sorte d'arrière gout de ce que l'on peut ressentir en fac de médecine en 1ere année : Les archives trop peu partagées par exemple.
En quelques mots : Merci à l'ESME-Sudria pour tout ce qu'elle m'a appris sur moi-même.
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Citation :
2010
On lit beaucoup de choses fausses sur les écoles privées d’ingénieurs, et donc beaucoup sur l'ESME-Sudria.
Je ne regrette pas d’être diplômé de cette école, qui est, je le concède, pas habile en communication avec les élèves ou les anciens. On ne montre pas assez l'avenir des diplômes et les anciens qui ont 'réussi'.
L'ESME c'est donc:
- cycle prepa de 2 ans
- cycle ingénieur de 3 ans
La prepa suit un programme de prepa MPSI-PSI, en y rajoutant les TPs orientes ingénieurs et quelques cours d’électronique ou informatique. (1 redoublement autorise)
Le cycle ingénieur a un tronc commun les premières années, et on y aborde ce pour quoi il s'agit d'une ÉCOLE GÉNÉRALISTE. Soit, le génie électrique (marque de fabrique de l’école), l’électronique, l'automatique et l'informatique.
Donc quand je lis ici, qu'on fait pas d’électricité ça me fait doucement rire, étant donne que cette école a été crée pour ça, et pour préparer a Supelec (a son origine il y a plus de 100ans).
Les voies d'approfondissements suivent ce qu'on propose en tronc commun, et il existe beaucoup de choix pour sa dernière année (dont l'APPRENTISSAGE qui est très apprécié)
- étranger (partenaires, erasmus ... etc)
- Recherche DEA et doubles diplômes -> Parix XI Orsay, Paris 6 Jussieu, Paris VII, ENST, Supelec, ISG, ...
- poursuite en thèse -> Supelec, Paris XI, ENST, Mines Paris, Paris 6 ... etc
Post-école tous les diplômes doubles compétences genre Mastères (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon ...), Master (Dauphine, Sorbonne ....), MBA (INSEAD, Columbia, HEC, Berkeley...) ... sont accessibles.
L’école est connue pour son sérieux et pour faire travailler les élèves. La discipline est la, et il est sur qu'on ne peut pas faire n'importe quoi. Mais c'est ce qui donne aussi la bonne reconnaissance de l’école.
Son salaire de sortie moyen est parmi les plus élevées des écoles d’ingénieurs (2009: 37500eur), +12000 ingénieurs formes, des anciens a tous les postes, dans toutes les entreprises et partout dans le monde ...
Dans les classements par les DRH, ou notes par des professionnels, l’école est dans le top 25 des meilleures écoles (post-prepa + post-bac) ... son seul point noir des classements étant le budget recherche de l’école qui comme toutes écoles privées sans aides des universités ou de l’état .. a un petit budget. Donc quand les classements mettent un gros poids a ça, on baisse ... mais ça ne veut pas dire qu'elle est moins bien surtout par rapport a l'ensemble des écoles post-bac publiques.
Bref, une école qui n'a pas vraiment a rougir des autres et qui forme des gens compétents, et le seul problème de ses élèves, c'est leur trop grande humilité.
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Citation :
2004
Je suis diplômé de Sudria et j'ai trouvé un emploi dès la fin de mon stage.
Je suis parfaitement intégré dans mon entreprise et j'ai pu mettre largement à profit ce que j'ai appris dans l'école.
Je suis issu du département conversion d'énergie qui n'a rien a envié à ceux d'autres école telles queSupélec ... (bonnes à former des gens associaux et non intégrés au monde professionnel)
J'ai acquis des connaissances variées dans tous les domaines de l'ingénierie, ce qui me permet de m'adapter à toutes les situations de ma vie professionnelle et de pouvoir répondre à tous les problèmes sans être hors sujet.
Durant le cycle ingénieur, je pense que ce que l'école a fait le mieux c'est de nous apprendre à apprendre. Effectivement, dans le domaine technique, les changements sont quotidien donc il est inutile de maîtriser un domaine particulier, il faut connaître la base pour par la suite se mettre à jour plus facilement.
Le cycle ingénieur contrairement aux autres écoles est très dur et demande beaucoup de travail.
Les profs de Sudria sont pour la plupart issus des meilleures formations et très axés sur le mondeprofessionnel.
Ancien membre du BDE, je peux vous dire que l'ESME sait géré des gros événements.
L'ESME sera une des plus grandes écoles d'ingénieurs d'ici 10 ans notamment grace au nouveau directeur M. L..
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Citation :
2003
Ecole excellente malheureusement dénigrée par ceux qui n'ont pas réussi à y rester ou à y entrer. Entre nous; rentrer à l'ESME Sudria n'est pas la chose la plus difficile. Par contre, il faut travailler régulièrement pendant 5 ans et là les étudiants peu motivés ou plutôt les touristes qui comptent ne rien glander ou presque ne sont pas les bienvenus. Ce genre d'élève se fait généralement virer en raison leur flemmardise qui se répercute de façon évidente sur leur résultats scolaires. Ensuite ces éléves se retrouvent dans d'autres écoles (d'ingénieurs? branleurs plutôt...) et viennent cracher à tort et à travers sur cette école.
Je suis actuellement en première année du cycle ingénieur et voilà ce que je peux vous dire:
-Il est vrai que cette n'école n'est pas parfaite mais je ne pense pas que cela existe. Par exemple, les cours sont obligatoires (quota d'absences tolérées fixé en début d'année) et par conséquent les gens qui viennent en cours ne sont pas forcément motivés. Aussi c'est une école privée, c'est donc un investissement important qui privilégie ceux qui ont les moyens.
-Les profs sont en général très compétents et n'hésitent pas à vous consacrer du temps - pendant le cours si votre incompréhension est commune à d'autres élèves, à la fin du cours dans le cas contraire.
-Pour la prépa intégré, les programmes sont basés sur ceux de MPSI pour la "math sup" et sur ceux de "PSI" pour la "math spé". Beaucoup de profs enseignent à l'extérieur dans des CPGE classiques mais il y aussi des professeurs permanents. Pas de chimie et de nombreux allégements notamment en Algèbre pour les deux années.
-Pour le cycle ingénieur, les programmes ratissent larges dans les domaines de compétences de l'école: électronique, informatique, électrotechnique / energie. En balayant tout de A à Z (contrairement à beaucoup d'autres écoles), les enseignements confèrent un véritable aspect généraliste à la formation.
-Il y a des quotas en informatique, c'est contraignant c'est vrai mais c'est justement cette contrainte qui nous apprends à être efficace et organisé. Cela nous oublige à ne pas pisser du code comme des porcs et à compiler à tout bout de champ sans réfléchir...
-Les partenariats à l'international sont très intéressants (pas de partenariat avec une école lambda pour l' international style).
Jugez plutôt :
- Georgia Tech
- San José
- ETS Montréal
- Ecole polytechnique de Montréal
- King's College London
- Kassel en Allemagne
- ...
(51 universités / 14 pays)
-Possibilité de DEA avec Orsay en dernière année
-Formation en apprentissage possible
-Vie associative riche pour ceux que cela intéresse.
-Réseau d'anciens important et puissant (environ 12 000 anciens dont 10 000 en activité)
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Citation :
2003
Mon fils est actuellement à l'ESME sudria. Cette école est exigente envers les élèves parce qu’elle veut fournir au monde industrielle des ingénieurs de qualité, que ce soit dans l’informatique ou télécom, ou de l’électricité.
En général, les élèves qui n’ont pas réussi à suivre la scolarité parce qu’ils n’avaient clairement pas le niveau scientifique requis se font en effet virer ; Il est donc normal que ce genre de personne soit ensuite aigri. A bien réfléchir, il vaut mieux pour les diplômés de cette école d’avoir une réputation de sélectivité importante, plutôt que d’école ou tout le monde y entre facilement.
Mon fils m’a en effet expliqué que le département informatique de l’ESME Sudria avait instauré une notion de quota de points pour utiliser le système informatique de l’école. Plus vous utilisez de ressource informatique, plus le nombre de points (donc le temps) diminue. A 0 points, vous êtes priés de revenir le lendemain. Etant moi même professionnel de l’informatique, je trouve cela excellent. Ce que l’on demande à un informaticien, ce n’est pas de développer un programme tout simple, pendant des mois et qui prends 50 Go de disque. Ce que l’on demande avant tout à un bon informaticien, c’est de savoir programmer de façon efficace, c’est à dire faire un programme en peu de temps, performant et qui prends peu de place ou de ressource. Tout le monde sait faire un programme qui fonctionne ; la différence se fait sur les performances. En bref, le quota instauré par Sudria oblige les élèves à réfléchir avant de programmer. C’est ce que l’on appelle Concevoir.
Par contre si vous voulez faire de l’informatique sans contrainte et sans sélectivité importante, il vous reste les écoles comme EPITA. Beaucoup d’anciens élèves de Sudria, parce qu’ils n’ont pas réussi à passer à travers la sélectivité, se retournent vers l’EPITA. Cette dernière prends avec plaisir ces élèves parce qu’ils savent qu’ils ont au moins appris quelque chose avec l’ESME.
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Anciens / Etudiants sussus présents sur le forum
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Citation :
Aucune guerre ouverte n'est permise entre plusieurs écoles. Ce n'est pas le but.
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Message édité par Modération le 01-08-2014 à 10:02:32
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