SgW Chimère Hypnagogique | Coup-Bas a écrit :
Non je suis désoler c'était prévu qu'elle méne le débat elle ne fait pas partie du gouvernement sortant, donc elle doit critiqué et deja sur le fait de critiqué elle s'est planté, sur le fait d'avoir une attitude correcte de personne bien dans sa tête elle s'est planté, sur le nucléaire sarko à fait 2 érreurs, et elle 3, ce que tu appelle son charisme et sa personnalité j'appelle cela du spéctacle, sur ce qui à été dit, ses arguments tiennent pas, mais le pire c'est qu'elle n'a pas critiqué constructivement Sarko, et c'est ce qu'il fallait faire, la colére juste n'éxiste pas, surtout quand on se rend compte que Sarko est le 1er cet année à aborder le sujet des handicapés, et qu'il se fait traité d'immorale, parce qu'il à mis en évidence le fait que le PS à monté un programme contre Sarko et non pour la France.
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oh victime, j'ai une larme à l'oeil
Citation :
Ségolène Royal : Là, on atteint le summum de l'immoralité politique. Je suis scandalisée par ce que je viens d'entendre, parce que jouer avec le handicap comme vous venez de le faire est proprement scandaleux. Pourquoi ? Lorsque j'étais Ministre de l'enseignement scolaire, c'est moi qui ai créé le plan handiscole qui a demandé à toutes les écoles d'accueillir tous les enfants handicapés. Pour cela, j'avais créé parmi les aides éducateurs que vous avez supprimés, 7000 postes d'aides éducateurs, d'auxiliaires d'intégration. J'avais doté toutes les associations de parents d'enfants handicapés des emplois liés à l'accompagnement et aux auxiliaires d'intégration dans les établissements scolaires. C'est votre gouvernement qui a supprimé non seulement le plan handiscole, qui a supprimé les aides éducateurs, qui fait qu'aujourd'hui, moins d'un enfant sur deux qui était accueilli il y a cinq ans dans l'école de la République ne le sont plus aujourd'hui. Vous le savez parfaitement. Je trouve que la façon dont vous venez de nous décrire, la larme à l'il, le droit des enfants handicapés d'intégrer l'école, alors que les associations des parents d'handicapés ont fait des démarches désespérées auprès de votre Gouvernement pour réclamer la restitution des emplois, pour faire en sorte que leurs enfants soient à nouveau accueillis à l'école, y compris les enfants en situation de handicap mental à l'école maternelle, où avec moi tous les enfants handicapés mentaux étaient accueillis à l'école maternelle dès lors que les parents le demandaient. Laissez de côté les tribunaux, les démarches pour les parents qui en ont assez de leurs souffrances, d'avoir vu leur enfant ne pas pouvoir être inscrit lors des rentrées scolaires lorsque vous étiez au Gouvernement. Laissez cela de côté. La façon dont vous venez de faire de l'immoralité politique par rapport à une politique qui a été détruite, à laquelle je tenais particulièrement, parce que je savais à quel point cela soulageait les parents de voir leurs enfants accueillis à l'école. Vous avez cassé cette politique! Et aujourd'hui, vous promettez en disant aux parents qu'ils iront devant les tribunaux?! Tout n'est pas possible dans la vie politique, ce discours, cet écart entre le discours et les actes, surtout lorsqu'il s'agit d'enfant handicapé, ce n'est pas acceptable. Je suis très en colère. Les parents et les familles
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cette phrase ça uppercut sec je trouve
Citation :
Nicolas Sarkozy : Madame Royal a qualifié mon propos de larmes à l'il, sous entendant par là que la sincérité n'était que de son côté et que, de mon côté, il ne devait y avoir que du mensonge. Ce n'est pas une façon de respecter son concurrent. Je ne me serai jamais permis de parler de vous comme cela, madame.
Ségolène Royal : Parce que moi, je ne mens pas et je ne prétends pas faire ce que j'ai détruit avant.
Nicolas Sarkozy : Madame, je ne pense pas que vous élevez la dignité du débat politique.
Ségolène Royal : Si, c'est très digne la question du handicap.
Nicolas Sarkozy : Si je n'avais pas moi-même, par conviction, parlé de la
scolarisation des enfants handicapés, cela faisait une heure et demie que nous débattions, on n'en avait pas parlé. J'ai le droit de parler du handicap. Ce n'est pas votre monopole. J'ai le droit d'être sincère dans mon engagement et d'être bouleversé par la situation d'enfants qui aimeraient être scolarisés. Je ne mets pas en cause votre sincérité, madame, ne mettez pas en cause ma moralité.
Ségolène Royal : C'est votre action que je mets en cause.
Nicolas Sarkozy : Ainsi, la dignité du débat politique sera préservée. Mais au moins on aura vu que vous vous mettez en colère bien facilement, vous sortez de vos gonds. Le Président de la République a des responsabilités lourdes, très lourdes.
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Citation :
Nicolas Sarkozy : Il faut garder son calme et ses nerfs et utiliser des mots qui ne blessent pas.
Ségolène Royal : Les mots de blessent pas, ce sont les actions qui blessent.
Nicolas Sarkozy: Quand on emploie des mots qui blessent, on divise le peuple, alors qu'il faut le rassembler.
Ségolène Royal: Vous êtes blessé ?
Nicolas Sarkozy : Non.
Ségolène Royal : Donc tout va très bien!
Nicolas Sarkozy : Je ne vous en veux pas. Cela peut arriver à tout le monde de s'énerver.
Ségolène Royal : Je ne m'énerve pas, je me révolte, car j'ai gardé ma capacité de révolte intacte.
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