Reprise du message précédent :
 
 
 
oué bin te plains pas d'une pression que met un patron    c'est rien à coté de la dureté d'un taf en usine toussa  

Le pire que j'ai fait, intérim job d'été en blanchisserie industrielle. Ils rammassaient et néttoyaient le linge d'hopitaux et de maison de retraite.  
 
Horaires 6h30-12h30 une semaine et 13h30-19h30 de l'autre. Je ne faisais que 6h par jour comme ça ils n'étaient pas obligés de me payer a bouffer.  
 
Outre pipi/caca, on avait parfois droit a du sang, beaucoup de sang même, et un a eu droit a un tas de "viande" très probablement humaine. Apparemment les chirugiens se prennent pas trop la tete a la fin d'une opération, ils jettent tout, meme si je les comprends, y en a qui en chient derrière. ça, c'était au "sale", et ils avaient une prime, certes, mais ridicule.  
 
Moi j'étais au propre, pas forcément mieux. Je vidais des machines à laver, 8 au total, de 300 kilos de linge chacune (à sec!! mouillé ça devait presque faire 2 fois plus), et ça ne s'arrêtait jamais. La tête dans la vapeur, 50° à moins de 3 mètres des machines. Sans compter les odeurs, quand c'est chauffé tout ça, ça pue bien.
 
Il y a eu plusieurs fuites de produit toxiques, la j'étais obligé de dire au mec qui mettait le linge de l'autre coté d'arrêter de bosser tellement ça irritait le nez et les yeux (c'est franchement pas écolo ce qu'ils utilisent dans ces boites la...). Habituellement, il continuait, malgré le danger. Si j'ai bien compris, on l'y obligeait, mais il parlait mal français, tenait à son boulot... Je suis allé voir le "chef" la première fois ou c'est arrivé, je lui ai expliqué. Il n'avait de toute façon pas trop le choix, a moins de nous refiler des masques a gaz. Tout le temps ou j'étais la, ça s'est bien passé, après...  
 
A l'arrivée au bout de 3 semaines je ne bouffais presque plus, car trop crevé et trop dèg pr avaler quoique ce soit en rentrant, sans oublier le sauna gratos. J'ai perdu 6 kilos, j'étais deja pas gros, je frisais le drame. Je suis parti, j'ai bossé mes études, et j'ai dit "plus jamais ça".  
 
N'empêche aujourd'hui encore je plains les femmes et les hommes, en grande majorité étrangers, surexploités, qui travaillent dans cette horreur quotidiennement, depuis parfois 25 ans pr certains. Je ne sais pas si on fait pire niveau conditions de travail.  
Je me dit que grace à ça je sais la chance que j'ai d'être la ou je suis aujourdh'ui, malgré toutes les contraintes salariales et humaines auxquelles je suis confronté, comme tout le monde finalement.

Je crois pas, libre à toi de le créer, mais je pense qu'il y aura rapidement des problèmes quand à la légalité de certains "jobs"  

- vider des camions pour la redoute et trier les colis (de 3H à 11H)
 
j'en garde pas un mauvais souvenir mais c'etait le plus chiant de tous car assez physique.

ca depend , j'ai fait preparateur de commande en imprimerie , c'est de l'usine , c'est relou a mort , mais bon le pire je crois c'est la poste , j'y remmetrais plus les pieds sauf necessite ...

Le pire job que j'ai fait c'était le démarchage par téléphone (dans une boîte connue...). J'ai dû rester une après-midi de boulot là-bas, après avoir suivi la formation la veille, et pis tchao !
je sais qu'il y a bien pire comme travail, mais je n'ai pas supporté de vendre des abonnements ou autre connerie à des pépé ou des mémé qui comprenaient à peine ce qu'on leur disait...
 
Ce que j'ai adoré pendant la formation (comme au macdo) c'est qu'à la fin on nous comptait l'histoire du mec (ou de la fille) qui a commencé au plus bas de l'échelle et qui est aujourd'hui directeur Europe ou Monde du groupe...ah ces belles histoires...

Ce n'était pas moi sa vient d'un pote :
Bretagne oblige, c'est l'agro alimentaire qui fourni du taff, résultat 1 mois a trier de la viandefraiche dans un abatoir ... avec les beuglements des vaches qu'on aporte et les cris des porcs, le tout dans le sang, mon pote a surtout nettoyer les bacs ... du secteur découpe, je vous laisse imaginer le plaisir .

 
 
c'est pas tres physique  

dans une chocolaterie en Allemagne (quand t'es frontalier, t'es considéré comme de la merde, alors un interimaire de 18 ans frontalier, je vous raconte pas...), 2 jours à nettoyer les cuves.
 
50 degres, 100% humidité, avec des gros cons qui beuglaient...
 
J'ai plus bouffé de cette marque pendant 5 ans...

 
Non ce n'était pas physique du tout, je voulais dire pire en parlant de comment je le supportais. Des job plus physiques j'en ai fait mais je me sentais mieux (bon jamais très longtemps je l'ai fait) mais je préfère. C'était sur un chantier d'isolation, nettoyer des combles plein de poussière (virer les gravas, les vieux débris de meuble ou les carcasse de moylette, ou des tas de merde, en passant par une trappe), afin de préparer l'isolation.

Tain mais que c'est glauque ce topic...c'est là que je me dis que j'ai vraiment du bol...(bon j'ai fait des études et mes parents m'ont aidé au début ce qui m'a évité d'avoir à prendre des jobs de merde).
 
Un job que je n'ai pas supporté plus d'un mois était vendeur de banners plubicitaires pour une régie de merde et sur une cible d'artisans et de microPME...que du vent, j'avais mauvaise conscience le soir d'avoir niqué 3000e à un pauv' boulanger crédule...
En revanche j'y ai rencontré un sacré jean-claude convenant
 
Ah si j'ai remplacé un chef de rayon chez Décathlon pendant un mois au rayon chaussures de sports...toute la journée debout(interdit de s'asseoir chez D.) à ranger des baskettes redérangées cinq secondes plus tard...à renseigner des boeufs, sur les tailles leur faire essayer etc...je comptais mes jours comme un taulard. Le pire c'est que les autres étaient lobotomisés et fiers de bosser pour une belle boutique comme ça  
 
je ne suis jamais retourné chez D. (allergique à l'odeur)
 
Je suis un petit joueur, mais l'expérience à l'hosto, aussi dure soit-elle, est certainement infiniment plus enrichissante humainement.
 

De jour, je suis peintre en bâtiment pour une très grosse compagnie (congé maladie pour l'instant). Ce que je n'aime pas de mon job, c'est qu'il me rend malade. Je suis au départ asthmatique et cardiaque donc ça n'aide pas non plus. Je ne crois pas que ce soit le pire job du tout. Mais c'est le pire job que j'ai eu moi personellement.
 
Mon boss ne prend que des contrats avec des commerces. Il faut souvent peindre en hauteur. Les échafauds ne sont pas sécuritaires et il nous est déjà arrivé de tomber. Je me suis cassé deux fois le dos en tombant au travail. Une fois d'un toit de commerce, une fois d'un échafaud à l'intérieur. Politique de la boite: tu montes ou t'es viré.  
 
Je peinture surtout au fusil, plus rarement au rouleau et pinceau. Le produit que je vaporise est toxique, ce n'est pas de la peinture à l'eau. Je porte une chienne, une cagoule et un masque. Lorsque je peinds au fusil, cela fait comme un genre de nuage, de brouillard. Le masque ne réussit pas à empêcher toutes les vapeurs et la peinture d'entrer.  
 
La plupart du temps ce sont des bâtiments en construction, qui ne possèdent pas encore d'ascenceur, de ventilation et de toilettes. Il faut souvent monter dans les escaliers, sur plusieurs étages, des charges de 50 kilos, comme des cinq gallons de peinture, des échafauds démontés, panes, rouleaux, pinceaux, toiles etc. Mon record d'étages à monter, avec deux cinq gallons et une échelle, est de 16 étages. Je l'admet cela m'a prit une heure et demie à les monter. Je ne voulais plus descendre après alors je me suis passé de déjeuner. En été j'ai tellement chaud sous ma cagoule que je suis complètement trempé.
 
Lorsque je rentre le soir j'ai de la peinture incrustée partout, et même mes poils de nez, mes cils, mes cheveux sont blancs. En soirée il m'arrive de vomir, d'avoir des maux de tête et de me sentir bizarre. Il m'est arrivé trois fois d'aller à l'hôpital.  
 
Pourquoi je continue ce job? Parce que c'est tout ce que je sais faire pour faire vivre ma famille. Je connais ce métier depuis que j'ai 14 ans. C'était celui de mon père. J'ai 4 bientot 6 enfants à charge. J'ai abandonné mes études à 22 ans quand je suis devenu père.  
 
22 euros/h, 48h semaine (6x8h), et assurances medic construction.

rick, achete toi un vrai masque de peintre, tu vas crever sinon...

C'est faux, je suis d'accord avec Artishow, et le pire c'est surtout qu'en face, comme tu le fais, on nie cette douleur morale.

 comme moi a la poste , ils m'ont proposer de me Cdiser j'ai decliner l'offre (raison personelle ext  + exp de la boite qui a pas mal joue)

 
J'ai un très bon masque et il a coûté 150$ mais malheureusement aucun masque n'est parfait, surtout à la longue. Crois-moi j'en ai essayé plusieurs. Et encore maintenant il y en a mais dans le passé il y a des années où on en avait même pas!

balance le nom de la marque

eh bah con, et t'as jamais essayé de trouver une autre boite ? c'est abusé, tu m'as mis le cafard là

Bossé un été dans un pressing/laverie aussi, c'est vrai que c'est l'enfer.

C'est la plus grosse et la seule qui puisse me donner des heures à l'année. Oui il y en a des moins pires mais 8 mois sur 12. Il faut bien faire des choix dans la vie !

Un super job en agroalimentaire: de 0400 à 1020 (avec une petite pose) payé à tripoter des centaines de poitrines de 4/5 kg bien ferme ...
 

Bosser a l'abbatoir c'est chaud aussi...enfin, faire le "bourreau" quoi. Mon oncle était bourreau en abbatoir , il a pas tenu 1 mois

En abatoir, la tuerie c'est pas mal hard en effet (stt le hallal), en triperie l'odeur est pas mal non plus (la fermentation de l'herbe dans la panse ) gratter les abats pour faire des bonnes tripes   ...
Enfin, j'ai vu des mecs qui tenait 1h à la sortie de la "souvideuse" pourtant là y quasiment pas d'odeur...

JKS (plus connu sous le nom de Su**ard chez nous)

J'ai fait plusieurs boulots allant du laveur d'essuis-glace dans une station service à admin réseaux, mais je ne peux pas vraiment dire que c'était vraiment difficile. Même l'interim (compteur ou controleur dans les inventaires), j'étais toujours dans les derniers à partir, ça rapporte + et je rattrape le dodo le week end.
 
Donc Obiwan pour moi. Car y a pas de choix : "j'ai eut des boulots casse-couilles mais pas horribles"

2 mois et demi dans une usine de cosmétiques divers, à la "source" de l'usine : le coin fabrication ...  
 
Taf en 3*8 au milieu de la chaleur des cuves de fabrication, + le sol ultra glissant + les odeurs diverses + les produits toxiques (dingue ce qu'il y a dans les gels ou les shampoings   ), + le transvasement incessant de charges allant du gramme jusqu'à la cinquantaine de kilos dans les-dites cuves de production   ... rajoutons à cela les combinaisons et les masques à oxygène trop usés pour bien se sentir en sécurité et les allées-venues pour aller chercher certains produits stockés dans 2 "salles chaudes" (sinon le produit se fige et est inutilisable) où la température variait selon les jours de 50 à 70 ° pour la 1ère, et de 70 à 90 ° pour la 2ème ... là on prend son produit et on se barre vite fait ...  
 
C'était dur of course   mais jme suis pas particulièrement plaint, comparé à ceux qui bossaient depuis toujours là dedans ou même à d'autres tafs (il y a toujours pire) ... en + j'ai gagné + de thunes que jamais comparé à mes autres tafs donc ...    

 
 
Clairement  

Les pires jobs que j'ai eu, c'était pas méchant: manutentionnaire dans une usine: les cartons de yaourts arrivent a la chaine, tu en empiles 3 que tu poses sur une palette.
Tu fais 18 ou 21 rang suivant le type de yaourt et tu entoure de film plastique.
 
Ensuite, ton collègue fait la palette suivante et ca dure 8 heures.
 
C'est super chiant intellectuellement, mais globalement je n'ai pas à me plaindre à coté de certains jobs décrit ici: on te fout la paix tant que tu suis le rythme et comme je faisais les 3-8, je bossais régulièrement de nuit, avec la prime qui va bien.
 
Sinon, j'ai été aide de cuisine dans un hopital: préparation de bouffe + service au self (voire plonge les mauvais jours):
 

 
Je ne peux qu'approuver ce qui est dit ici. Je ne vois plus les gens qui me servent en face comme des machines, et j'ai pris conscience qu'un sourire, un bonjour et un merci, c'était pas du luxe .

En job d'été, j'ai bossé d'équipe dans une fonderie.
Le plus chiant, c'était la chaleur (55 degrés) en plein après-midi en juillet.
A part çà, un salaire de misère et des petites brulures...mais c'était sympa quand même, t'as moins envie de te plaindre après.

 
   
 
en lisant ce topic, on se dit que l'esclavagisme existe encore, c'est du emile zola ton histoire

Bossé un été dans une usine de fabrication de sacs en plastique, je faisais de la manut, le boulot était assez dur, mais le problème c'est que c'était l'été de la canicule, il faisait entre 45 et 55 degres dans le local, on buvait tous au moind 3 bouteilles d'eau par jour, j'ai perdu 8 kilos (et pourtant jbouffais bien) ...... mauvais souvenir....

Bossé presque tout mes étés pendant 7/8 ans en carrière.
 
Je travaillais dans un camion. Une pelleteuse chargeait ma remorque, je faisais 100m et je déchargeais pour faire une butte de sable.
Les horaires de travail c'était 7h-18h avec une heure de pause le midi, soit 10h de boulot par jour, sauf le vendredi où c'était 5h-12h.
Je bossais l'été donc en pleine chaleur, mais le gros problème, c'est que la camion était très mal isolé et l'air dû au refroidissement du moteur passait dans la cabine par le tableau de bord. En bref, y avait le chauffage en pleine été. Je roulais les portes ouvertes mais ça ne suffisait pas, il devait faire un bon 50° dans la cabine et à ça il faut rajouter la poussière. Et encore, j'avais de la chance, un mec avait tout ça plus les gaz d'échappement qui passaient par son plancher.
 
Le boulot, c'était pas compliqué, c'était des allés-retours entre un tas de sable et une pelleteuse. Je devais en faire une centaine en une journée. Et le midi, c'était toujours un plaisir de déjeuner avec des mecs dont le seul sujet de conversation était de raconter leur expériences avec les putes.

la petite touche finale qui va bien

1) Vendeur en micro-informatique dans une grande surface très connue.
Le boss du rayon était une ordure qui insultait tout le monde. Il piquait des crises devant les client, cassait sans arrêt, jetais par terre des objets, de colère..
Manipulateur aussi : soufflait le chaud et le froid. Par exemple, il lui arriver d'insulter en hurlant, puis, une demi-heure plus tard, venait taper amicallement l'épaule en demandant comment ça va, si je veux un café, etc.
Ce fut un enfers à vivre avant/pendant/après les heures de travail :  
- avant : le matin, je me réveillais sur les nerfs. Mes pensées allaient immédiatement vers l'enfer qui m'attendait.
- pendant : stress permanant, redoutant à tout instant les coups de nerfs de mon "manager".
- après : je revenais cassé du travail, et passais ma soirée à appréhender le jour suivant.
Les autres vendeurs du rayaons me disaient : "ne fait pas attention, il est comme ça, on y peut rien, etc etc".
Juste avant la fin de la période d'essai (un mois), il y a eu le fameux entretien. Il m'a demandé quel était mon ressenti, je lui ai dit que j'appréciais moyennement le harcelement moral que je subissait et que ça n'allait pas pouvoir continuer comme ça. Il a eu l'air surpris, m'a dit que je devais avoir des problèmes psychologiques. Je lui ai répondu que j'en avais sans doute moins que lui, et que tout le rayon était à bout de nerfs à cause de ses sautes d'humeurs, et que ça réduisait la productivité et la qualité du travail. Arrive alors le moment que j'attendais secretement : "Nous n'allons pas pouvoir continuer à travailler ensemble" me dit t'il. Bancco, je saute de joie intérieurement.  
Je me suis rarementsenti aussi bien que sur le chemin du retour.
 
2) déchargement de camions :
Ce fut épuisant physiquement. après une journée de travail, j'étais cassé trois jours.
J'en ai bavé physiquement!
Par contre, l'ambiance était bonne  

conclusion l'ambiance au boulot est indispensable

ma copine, avait qui je vivais alors en Allemagne (elle est Indonesienne), avait un visa d'etudiant, et ne pouvait donc pretendre a un travail "bien" remunere. En gros si elle depassait un certain seuil mensuel de salaire, son visa d'etudiant etait annule (si bien sur c'etait decouvert) et elle aurait du retourner en Indonesie, refaire un visa, et revenir en Allemagne si elle le souhaitait.
 
Elle a donc epluche les annonces du journal (enormement en Allemagne, etant donne l'absence de SMIC) et est tombe sur un poste a domicile d'animatrice de telephone rose.
En gros elle passait ses nuits a attendre un coup de fil de mecs passant par un reseau, et devait leur pondre un laius pour les "soulager", meme si, selon elle, une bonne moitie des interlocuteurs appelaient plus pour se confier, juste pour parler.
 
Bref, le boulot etait plutot pas mal, elle avait des horaires libres (en gros tu appelles le reseau pour signifier ta disponibilite, tu reponds aux appels, et quand t'en as marre tu rappelle le reseau pour dire que tu arretes pour aujourd'hui.
 
Au bout d'un mois ou elle a passe 6 nuits/7 a faire ce super job, elel recoit enfin son premier salaire : 100eur !
 
Bien degoutee , elle n'a malheureusement rien pu faire pour etre payee pour le travail fourni (cf visa etudiant), et a vite fait de lacher ce faux job.
Et puis en rencontrant quelques uns des filles qui faisaient ce job pour la meme boite, elle s'est apercue que toutes etaient de nationalite etrangere (asiatiques/europe de l'est)

intérim de 99 à 02, un nombre incalculable de boulot de merde, du gardiennage de parking à décharger des machines à laver en passant par l'inventaire de livre, le déménagement entier d'un castorama sous un chapiteau par -5°, le comptage de barre de fer par 40°, l'installation d'armoire mécanique...l'avantage de l'intérim est de faire des boulots une semaine qu'on fera pas 20ans. et puis aussi grillman chez Quick. et interdit de travail chez Ikéa ( et ça vaut worldwide)

 
Et pourquoi ?

mauvaise entente avec un chef d'entrepot qui est allé pleurer chez son chef. j'ai été remplacé aussitôt. Ikéa possède un listing de personnes avec qui elle ne veut plus travailler. A manpower, une copine a lu mon dossier yavait deux truc a) pas le permis b) plus ikéa. et même trois ans après les faits, lorsqu'une secrétaire de manpo m'appelait pour une mission là bas, j'acceptais et dix minutes après on me rappelait pour me dire que "la mission avait été pourvu".    

mon pire boulot c'était désanusseur de porc

ah et j'ai oublié le castrage de maïs, le ramassage de feuilles de tabac et le castrage de poulet qui sont pas mal.