Reprise du message précédent :
 
 
Pfoulàlà.
Pour citer Dilbert : "when did ignorance become a point of view ?"

dissertez plutot sur ce que je viens de dire ici :
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t10322703
Cela me semble etre plus qu'intéréssant au lieu de faire des citations pour faire croire que vous avez de la culture alors que vous avez fait méchamment peter google !

C'est bon, j'arrive encore à me souvenir d'une phrase sans faire 'méchamment peter google', comme tu le dis si bien.

Commentaire de ton post : il est coule.

On peut bien se marrer un peut non ?
N'empeche j'ai dis l'essentiel en quelques phrases !

Ben non ! Parceque le virus en question, lui aussi il mute et s'adapte .

 
T'es pas à ça près
La surmédication accélère simplement la sélection naturelle des virii, et donc au fil des générations ils développent des résistances.    
 
Les virus mutent très facilement du fait de leur très grand nombre à chaque multiplication. C'est statistique.

 
Non rien à voir avec les anticorps : à ta descendance, tu ne transmets que tes caractéristiques "innées", pas tes caractéristiques "acquises"

Tu trouves peut-être ça insensé, mais c'est pourtant comme ça que ça marche, et je comprends maintenant pourquoi tu te trompais : le génome n'est pas modifié en fonction de l'acquis. Les mutations sont purement aléatoires, c'est la sélection naturelle qui fait le tri des bonnes et des mauvaise mutations

Non, tu as lié la cause de la mutation à la surmédication. C'est faux : les virus n'ont pas besoin de surmédication pour muter, ils le font très très souvent. C'est normal, ils se reproduisent à coup de milliers d'exemplaire (surement bien plus mais on n'a qu'à dire plein de milliers, je ne connais pas les chiffres).

Ce que la surmédication fait, c'est sélectionner les virus les plus résistants, qui transmettront cette caractéristique à leurs descendances créant ainsi des souches naturellement résistantes. C'est de la sélection naturelle accélérée.
En gros, quand on fait des croisements entre certaines plantes pour conserver un trait de résistance particulier, ben là on fait la même chose sur nos virus avec nos médicaments. Chouette, hein ?

 
http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9lection_naturelle

Non, ça veut juste dire que l'évolution se base sur le fait non pas que les gènes qui vont donner un avantage par rapport aux autres, mais que ceux qui sont porteurs du gène défavorable vont se reproduire moins vite et donc être remplacés progressivement par ceux porteurs du gène favorable. Soit parce qu'ils vivent moins vieux, soit parce qu'ils se reproduisent plus vite (beau gosse, fertilité etc).

 
Le hasard, la même chose qui provoque les cancers : une erreur de recopie survenant aléatoirement, certains rayonnements, certains composés etc... Et il faut que cette mutation survienne dans les cellules sexuelles évidemment si on veut que ça affecte la descendance.

Oui, ces adaptation apparaissent par hasard, et sont conservées par la sélection naturelle (en gros)

Pourquoi ?

  On parle pas comme ça de Dame Nature...

Alors tu es mûr pour te transformer en SQFP et rejoindre le topic "Arguments pour réfuter la théorie de Darwin", nous t'y attendons, affute tes arguments, les nôtre le sont

 
Une simple mutation devrait suffire    

D'ailleurs c'est fou le nombre d'employés qui demandent une mutation et ne l'obtiennent jamais

 
Ca depend des secteurs. Quand tu travailles dans l'amiante, il parait que tu n'as meme pas besoin de la demander pour l'avoir.  

Ces traits d'humour, là, c'est une mutinerie ?

Justement, comme dans le cas des antibiotiques et autres OGM le patrimoine génétique s'adaptera potentiellement de sorte à contrer la maladie, ça reste totalement aléatoire mais c'est justement comme ça que certaines différences se font au fil des générations.
 
Ceci dit, c'est valable dans les 2 sens et le virus de la grippe par exemple, si il ne nous tue pas, pourrait tuer les héritiers d'une lignée qui ne l'aurait jamais affronté sous une quelconque forme.

 
 
surement pas

C'est exact, mais ça n'en reste pas moins un trait physiologique dont l'apparition n'a pas été instantanée sur toute une génération comme un décret de loi.