Reprise du message précédent :
Triella.
Une bien vieille, encore remboursée par la sécu, et qui me cause pas d'effets secondaires type prise de poids/seins douloureux... Que demande le peuple?

que serait une lorelei sans libido

 
 
a t'on des exemples d'auto controle hormonal conscient ?
par suggestion ou autre methode ?
technikment, c faisable, mais y a t'il des experiences/etudes/exemples ?  
ou alors personne n'a jugé plausible le fait de faire des recherches sur ce genre de truc ? (y a une discipline ki s'occupe de tester tout les aspect de controle du corps par l'esprit ? (genre guerison placebo mais volontaire etc) ?? )  
 
 

ca c sur, mais la kestion est "eske ca peut se travailler ?"  
perso je dit oui, mais c empirik, j'aimerais des données sur ce sujet
 
 
       
 
toute info est la bienvenue, je suis mon propre cobaye et j'en ai d'autres au besoin  

Ma chère, sache que depuis qq temps, c'est pas Byzance, de ce côté là

 
ouais mais bon vu ta situation c normale  
t'es pas inhumaine non plus

Certes. Mais c'est un poil lassant, surtout quand on a révélé à un homme qu'il avait une libido phénoménale

Des etudes ou des donnees non, mais des experiences perso oui.
 
Des methodes de relaxation, techniques de yoga, de respiration..etc.. peuvent te faire prendre conscience de beaucoup de choses. Et ca se travaille.
 
Personnellement, j'ai pratique beaucoup enfant/ado (via un art martial), et a cette epoque j'ai beaucoup progresse. Sans aller jusqu'a guerir des grippes, j'arrive assez facilement a agir sur certaines choses : chasser un mal de tete ou un bourdonnement, modifier la frequence cardiaque (dans certaines limites, hein)...etc... Je n'ai aucune idee des processus physiques/chimiques mis en route pour ca, mais ca marche.
 
Par contre, depuis que je suis adulte et que je pratique beaucoup moins, je ne progresse plus. Je ne sais pas si c'est l'age ou la pratique  

Un bisou Sigma-Lorelei

pareil, je dirais ke c le B.A.BA ca ...
mais personne n'a jamais etudié ca de facon serieuse, il n'y aurait ke les trucs de bonne femme et les croyances surs lesquels se baser ?
j'ai du mal a croire ke personne ne se soit penché la dessus avec un protocole serieux ... ca me parait pourtant plus ke gratifiant de savoir se servir de son corps non ?

 
 
ce que tu n'as pas saisi c'est la nuance entre "fertilité maximale" et fertilité tout court! Que ce soit 3 fois par jour ou 3 fois par semaine, tu auras toujours une chance d'être fertile.

 
 
désolé ca c t seulement quand on avait encore une bonne libido

C'est le commencement. Mais peu de gens en sont la, deja   (en occident, hein).
 
Apres tu fini en marchant sur des braises sans bruler ta peau    
 

c'est pas trop dans l'esprit de notre civilisation. Et puis va definir un protocole serieux , c'est pas evident.

vi mais sachant ke deja avec tout dans les bonnes conditions c pas systematik, si tu cumules les negatifs t'en arrive a des "no contraception, retrait roulaiz et jamais un prob" ... m'enfin c pas un truc a conseiller

 
 
heureusement que oui, imagine sinon on crèverait à cause d'un simple rhume...

et on ne serai plus sur terre...

ca ne t'empeche pas de faire ton propre chemin.

 
oui je ne sais pas pourquoi mais j'ai un peu l'impression que quand ça doit pas arriver ça arrive (1ers rapports, etc.) et quand un couple désire vraiment un enfant, eh ben ils y arrivent pas pendant des mois y a-t-il aussi de la psychologie là-dedans?
Ou tout simplement est-on bcp plus fertile à 18 ans qu'à 35?

 
bon je vais pas te faire un résumer des publi trouvé sous pubmed, mais bon apparement c'est pas du tout delaissé comme axe de recherche, je vais tenté en 5 minutes de te trouver des exemples d'abstract intéressants

 
je suis partisane du "chacun se soigne comme il le souhaite"
certaines personnes n'aiment pas aller chez le médecin pour des futilités, d'autres oui. Mais à partir du moment où le problème persiste, mieux vaut consulter.
 
edit: je ne vais pas recommencer sur ce sujet, mais évidemment les antibiotiques ne doivent être prescrits/pris QUE quand la cause de la maladie s'est avérée être une certaine souche de bactéries qui se soigne avec cet antibio! Chose que seul le médecin peut confirmer.

 
Kwa ? Yapa ke Lorelei kiè atinte ? Twa ossi ?
Gen paire mon franssès  

tu aurais lu le topic tu serais pas surpris

 
en fait pour etre exact c'est surtout l'influence de l'environnement sur les controle hormonaux qui est étudié, mais les conclusions tirées de ce genre d'études pouraient permettre de faire des conclusion sur le controle conscient, quoi que je ne suis pas sur que se soit directement possible.
 
genre hmmmm attention attention en me concentrant je vais avoir un pic de GH-LH ou grace a cette methode tantrique je controle mon ovulation...

Avec mon topic, je viens de reveler le fleau du siecle du jour.
 
Femme du monde entier, souvenez-vous du combat mene par vos meres pour obtenir le droit, conquis de haute lutte et aujourd'hui delaisse, de forniquer du matin au soir! Brisez le joug du stress et de la pilule, ces fleaux modernes qui vous reduisent peu a peu a l'ombre de vous-memes! Suce a la Bastille! (oula, qu'est-ce que je raconte )

tssss si y'en a que pour les parisiens..  

Humanrage > cadeau
 

• Drugs Aging. 2003;20(2):85-100.  Related Articles, Links  

 
Effect of reproductive hormones and selective estrogen receptor modulators on mood during menopause.
 
Soares CN, Poitras JR, Prouty J.
 
Harvard Medical School, MGH Center for Women's Mental Health, Boston, Massachusetts 02114, USA. csoares@partners.org
 
Periods of intense hormonal fluctuations have been associated with heightened prevalence and exacerbation of underlying psychiatric illness, particularly the occurrence of premenstrual dysphoria, puerperal depression and depressive symptoms during perimenopause. It has been speculated that sex steroids such as estrogens, progestogens, testosterone and dehydroepiandrosterone (DHEA) exert a significant modulation of brain functioning, possibly through interactions with various neurotransmitter systems. It is therefore intuitive that abrupt alterations of these hormones would interfere with mood and behaviour. On the other hand, accumulating data suggest that hormonal interventions may also promote relief or even remission of depressive symptoms, as already demonstrated in studies with patients experiencing postpartum depression and perimenopausal depressive disorders. The extent to which perimenopause, alone, may increase the risk for depression is unclear. However, existing data strongly suggest that some women are particularly vulnerable to developing significant physical and psychological disturbances when entering perimenopause. This article reviews the effect of sex hormones and selective estrogen receptor modulators (SERMs) on mood among peri- and postmenopausal women. There are preliminary, though promising, data on the use of estradiol (particularly transdermal estradiol) to alleviate depression during perimenopause, use of a combination of estrogens and selective serotonin reuptake inhibitors for depression during the postmenopausal period, and the use of testosterone to improve psychological well-being and increase libido among women with induced menopause. Further studies would help to better delineate the usage of hormones as an antidepressant strategy (monotherapy or augmenting treatment) for peri- and postmenopausal women. A brief review of some nonhormonal interventions for the treatment of menopause-related symptoms that may significantly affect a woman's quality of life is also presented. There are some preliminary data suggesting the efficacy of antidepressants for the treatment of hot flushes; existing data on diet supplements and herbal products have shown more mixed results.
 
 

• Effet de l'augmentation du taux d'oestrogene sur l'humeur

J Clin Endocrinol Metab. 2003 May;88(5):2026-30.  Related Articles, Links  
 
   
Increase of estrogen dose deteriorates mood during progestin phase in sequential hormonal therapy.
 
Bjorn I, Sundstrom-Poromaa I, Bixo M, Nyberg S, Backstrom G, Backstrom T.
 
Department of Clinical Science, Obstetrics and Gynecology, University Hospital of Umea, 90185 Umea, Sweden. inger.bjorn@telia.com
 
Previous studies have indicated that the addition of progestins during sequential hormonal replacement therapy (HRT) causes negative mood and physical symptoms. History of premenstrual syndrome, type of progestin, and dose of progestin have thus far been shown to influence the progestin-induced adverse mood symptoms during HRT. The aim of this study was to compare adverse mood effects of two different doses of estradiol, in combination with a progestin, during postmenopausal HRT. Twenty-eight perimenopausal women were included in this randomized, double-blind, crossover study comparing 2- or 3-mg continuous estradiol, with an addition of 10 mg medroxyprogesterone acetate on d 17-28 during each treatment cycle. The main outcome measures were mood and physical symptoms kept on a daily rating scale. Together with the progestin, the higher dose of estrogen caused significantly more negative mood symptoms than the lower dose. Tension, irritability, and depressed mood were all significantly augmented during the progestin phase of cycles with 3 mg estradiol (P < 0.001). Physical symptoms also increased during the progestin phase of 3-mg estradiol cycles (P < 0.001), whereas positive mood symptoms were less affected. The only positive mood that changed with estrogen dose was friendliness, which decreased during the progestin phase of high estradiol cycles compared with cycles with lower estradiol (P < 0.05). Our conclusion is that an increase of the estrogen dose accentuates negative mood and physical symptoms during the progestin phase of sequential hormonal therapy.
 

• Effet de la progesterone sur l'humeur

Eur J Endocrinol. 2003 May;148(5):571-7.  Related Articles, Links  
 
   
Progesterone effects during sequential hormone replacement therapy.
 
Andreen L, Bixo M, Nyberg S, Sundstrom-Poromaa I, Backstrom T.
 
Department of Clinical Sciences, Obstetrics and Gynecology, Umea University, University Hospital, S-901 87 Umea, Sweden.
 
OBJECTIVE: The aim was to investigate the effect on mood and the physical symptoms of two dosages of natural progesterone and a placebo in postmenopausal women with and without a history of premenstrual syndrome (PMS). DESIGN: A randomized, placebo-controlled, double-blind, crossover study was performed. METHOD: Postmenopausal women (n=36) with climacteric symptoms were recruited. They received 2 mg estradiol continuously during three 28-day cycles. Vaginal progesterone suppositories with 800 mg/day, 400 mg/day, or placebo were added sequentially for 14 days per cycle. Daily symptom ratings using a validated rating scale were kept. RESULTS: Women without a history of PMS showed cyclicity in both negative mood and physical symptoms while on 400 mg/day progesterone but not on the higher dose or the placebo. Women without a history of PMS had more physical symptoms on progesterone treatment compared with placebo. Women with prior PMS reported no progesterone-induced symptom cyclicity. CONCLUSION: In women without prior PMS natural progesterone caused negative mood effects similar to those induced by synthetic progestogens
 
et pour les recherches d'articles, c'est la:  
http://www.ncbi.nlm.nih.gov

ok donc ca confirme ke pour les femmes, la chimie altere la pensée ... mais ca c connu, quiconque cotoie une femme pendant 1 mois d'affilée le comprendra egalement
 
mais c'est l'autre sens qui m'interesse plus particulierement : l'esprit qui controle le corps ... de facon conscience ou inconsciente (inconsciente on l'a vu par les temoignages dans ce topic, mais consciente ?)
 
nb : c un site americain, c digne de confiance ?

c'est l'une des plus grosses bases de donnees de publications
 
l'esprit qui controle le corps, tu risques de trouver moins de publis "scientifiques" a ce sujet.
les esssais en D/A, randomises, versus, je vois pas trop comment ils vont les faire...

 
c'est beau ce que tu dis-la
 
(en effet, il faudrait que pas vos meres se soient battues pour rien...a l'action, mesdames )

et un oubli de pilule 1 jour ? quelles consequences ? risques ?
 
enfin bref , stress ou pas stress pour un oubli inopiné ?

 
 
Rien de plus sur n'existe a l'heure actuelle, c ZE reference pour qui sait y chercher  

Quel type de pilule? La jeune femme a-t-elle rattrapé son retard? Enfin, de toute façon, dans l'idéal, c'est capote jusqu'à la prochaine plaquette...

oki
je dit ca paske bon, on c jamais, les sites en .gov ..

 
 
si dans les 12h tu t'en rappelles tu peux rattraper le coup (par exemple si tu prends d'habitude la pilule le soir avant de te coucher et qu'un soir tu l'oublies, la prendre le lendemain 7h30 avant d'aller au boulot c'est ok) En tout cas c'est ce qui est écrit dans la brochure

et si pas possible de recup le coup et qu on saute un jour ?
c grave doc ?
 
ps : desolé pour ces questions

 
 
ben si je me réfère de nouveau à la brochure, il y a quand même un risque aussi minime soit-il (car ovuler pile à ce moment là ce serait pas de bol mais bon on sait jamais!) si on oublie la pilule un jour, alors pendant le reste de la plaquette il faut se protéger autrement.

ok merci pour ces reponses  
bonne continuation