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Auteur Sujet :

[taupikunik] Réchauffement climatique

n°72272145
verdoux
And I'm still waiting
Posté le 23-01-2025 à 21:50:52  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
grosse production d'électricité éolienne du coup ? :o

mood
Publicité
Posté le 23-01-2025 à 21:50:52  profilanswer
 

n°72272156
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 23-01-2025 à 21:52:06  profilanswer
 

si elles s'envolent pas  :D
 
alerte 2 tornade d'estofex pour la zone sud de la GB (dont Londres)
 
https://www.standard.co.uk/news/lon [...] 06555.html
 
 [:pinkfloyd31:2]


Message édité par PinkFloyd31 le 23-01-2025 à 22:10:25

---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72274029
rdlmphotos
omnia vanitas !
Posté le 24-01-2025 à 11:04:12  profilanswer
 
n°72274080
dje33
Posté le 24-01-2025 à 11:10:18  profilanswer
 

verdoux a écrit :

grosse production d'électricité éolienne du coup ? :o


Si il y a trop de vent ce n'est pas bon.

n°72274091
Van Winkle
Tchic tcha
Posté le 24-01-2025 à 11:11:20  profilanswer
 

dje33 a écrit :


Si il y a trop de vent ce n'est pas bon.


S'il n'y en a pas assez non plus, note bien :o


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SAINT DENIS, SAINT DENIS, FON-FONKY FRESH
n°72274484
kleinekrok​odil
Posté le 24-01-2025 à 11:57:12  profilanswer
 

verdoux a écrit :

grosse production d'électricité éolienne du coup ? :o


La plupart des éoliennes s’arrêtent au delà de 90 km/h de vent.


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Source: Google
n°72274755
Sticki
Le gras c'est la vie.
Posté le 24-01-2025 à 12:35:54  profilanswer
 

Je vous mets en clair l'article d'UFC-Que choisir. Faisez gaffe avec la flotte à boire.

Citation :

Eau potable
Une contamination massive aux PFAS
Eau potable Une contamination massive aux PFAS Publié le 23 janvier 2025
Consommer régulièrement de l’eau du robinet est-il dangereux ? Difficile de répondre. Nos prélèvements dans 30 communes confirment que l’on y détecte aisément des PFAS, ces polluants éternels à la toxicité suspecte. Certes, les niveaux mesurés restent inférieurs au seuil réglementaire retenu à ce jour par la France. Mais celui-ci est-il adapté ?

 

Neuf dans l’eau du robinet de Narbonne (Aude) et de Grenade (Haute-Garonne), 10 dans celles de Tours (Indre-et-Loire) et de Tavaux (Jura), et même 11 à Sotteville- lès-Rouen (Seine-Maritime), Évry-Grégy-sur-Yerre (Seine-et-Marne) ou encore Lunel (Hérault)… Voilà au moins une certitude avec les PFAS : quand on les cherche, on les trouve. Notre campagne d’analyses, menée à l’été et à l’automne 2024 avec l’appui de l’association Générations futures, en apporte une nouvelle preuve. Nous avons traqué 33 de ces composés chimiques (soit le maximum de ce que pouvait analyser notre laboratoire) dans les eaux du robinet de 30 communes de France métropolitaine : des grandes agglomérations comme Paris, Toulouse (Haute-Garonne), Rouen (Seine-Maritime) et Amiens (Somme) ; des villes plus petites, telles que Fleury-les-Aubrais (Loiret) ; des villages, à l’instar de Lavernat (Sarthe) ; des localités potentiellement à risque, situées à proximité de sites industriels de production de PFAS, que sont Moussac (Gard) et Tavaux (Jura) ; ainsi qu’à Vendôme (Loir-et-Cher) et dans quatre communes de Seine-et-Marne, dont Melun, où de précédentes études ont montré de fortes concentrations dans des cours d’eau. Il n’y a qu’à Roubaix (Nord) où aucun des 33 PFAS que nous recherchions n’a été détecté. Au total, la moyenne s’établit à six par échantillon.

 

Derrière le sigle PFAS se cache une grande famille de subs­tances, les perfluoroalkylés et polyfluoroalkylés. Il en existe « entre 5 000 et 10 000 suivant la définition que l’on retient », cadre Céline Druet, directrice adjointe de l’évaluation des risques à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation et de l’environnement (Anses). Mais certaines estimations en englobent près de 15 000. Illustration parfaite du flou qui entoure encore ces composés.

 

« Polluants éternels », un surnom pas volé
Tous ont un point commun, leur liaison carbone-fluor très stable. Une aubaine pour les industriels, qui emploient les PFAS depuis les années 1950 pour leurs propriétés imperméabilisantes, résistantes à la chaleur, antiadhésives… On en trouve ainsi dans des poêles (en téflon), des vêtements de sport, des emballages de fast-food, des mousses anti-incendie, des médicaments, ou encore dans l’agriculture, certains pesticides ayant pour substances actives des PFAS. Mais la très forte stabilité de leur liaison carbone-fluor les rend aussi très persistants dans l’envi­ronnement. D’où leur surnom de « polluants éternels ». Ils s’accumulent depuis 70 ans dans les milieux naturels, sans épargner les eaux de surface (rivières, lacs…) et les nappes phréatiques via la pluie, les ruissellements, les rejets industriels, la désagrégation dans les sols des pesticides, les rejets des stations d’épuration, etc. Pas étonnant alors de les déceler dans l’eau potable.

 

Plutôt inquiétant. Car si les connaissances restent parcellaires, plus la science étudie ces substances, plus elle en découvre des effets délétères sur la santé. Elles sont suspectées, avec un haut niveau de certitude, de causer des maladies thyroïdiennes, des taux élevés de cholestérol, des lésions au foie, des cancers du rein, des faibles poids de naissance, ­listait l’Agence européenne pour l’environnement en 2019. Elle ajoutait d’autres risques, à un degré de certitude plus faible : cancer du sein, hypertension, obésité… Trois PFAS ont d’ores et déjà été interdits ou restreints (avec des dérogations limitées à certaines applications) à l’échelle internationale : le PFOS (en 2009), le PFOA (en 2020) et le PFHxS (en 2022). Nous les avons malgré tout retrouvés dans plusieurs de nos prélèvements. C’est dire leur persistance.

 

Début de surveillance systématique en 2026
Ce n’est pas seulement le nombre de PFAS auxquels nous sommes exposés qui importe, mais aussi leur ­concentration. Peu à peu, la réglementation se durcit. À partir de 2026, la France appliquera la directive européenne 2020/2184 ­relative à la qualité des eaux destinées à la consom­mation humaine (dites « de boisson »). Lors de contrôles sanitaires de ces eaux, dont celle du robinet, les agences régionales de santé (ARS) rechercheront ainsi systématiquement les 20 PFAS que Bruxelles juge prioritaires à suivre. Lorsque leur somme excédera 100 nanogrammes par litre (ng/l), soit 0,1 microgramme par litre (µg/l), l’eau sera considérée comme non conforme. Les producteurs d’eau potable concernés devront alors prendre des mesures afin de faire baisser les taux. Aucun de nos échantillons n’était supérieur à ce seuil, même si on s’en approchait à Tavaux (94,5 ng/l), où le groupe chi­mique Solvay a implanté une usine de production de PFAS.

 

Dans une campagne d’analyses similaire à la nôtre, publiée en septembre 2024 et portant sur 89 eaux du robinet, Radio France a repéré trois dépassements : 187 ng/l à Cognac (Charente), 119 ng/l à Saint-Symphorien-d’Ozon (Rhône) et 100,2 ng/l à Martres-Tolosane (Haute-Garonne).

 

De son côté, Veolia a effectué une série de tests identiques dans 2 400 points de production d’eau potable qu’elle gère pour le compte de collectivités locales et qui desservent au robinet 20 millions de Français. Attitude regrettable : l’entreprise a communiqué ses conclusions sans détailler ni les résultats ni la localisation de la vingtaine de sites où elle admet avoir détecté des dépassements. Elle s’est contentée d’« attester la conformité de l’eau potable au regard des normes PFAS dans plus de 99 % de ses points de prélèvement ».

 

Tout ça pourrait sembler rassurant. « D’autant plus qu’un dépassement de 100 ng/l ne veut pas forcément dire que l’eau est impropre à la consommation, relève Sylvaine Ronga-Pezeret, méde­­cin toxicologue et membre de la Société francophone de santé et environnement (SFSE). Ce 100 ng/l est une limite de qualité, soit un objectif réglementaire à ne pas dépasser. Il ne faut pas confondre avec une valeur sanitaire qui détermine, elle, la concentration dans l’eau d’une substance à partir de laquelle elle aura des effets sur la santé humaine. »

 

Une montagne de normes sanitaires à établir
Problème, pour les PFAS, cette vaste famille de composés chimiques à la toxicité imprévisible et que l’on découvre à peine, on se retrouve avec une montagne de valeurs sanitaires à définir. Même avec les 20 que l’Union européenne demande de surveiller dès 2026, le compte n’y est pas, à lire un rapport de l’Anses de décembre 2023. « Les substances les plus connues ont jusqu’à 20 valeurs sanitaires proposées dans la littérature scientifique, quand d’autres, faute de données précises, se voient appliquer des valeurs de molécules dont la composition est proche », détaille Éléonore Ney, cheffe de l’unité d’évaluation des risques liés à l’eau à l’Anses. Et ces valeurs sanitaires évoluent fréquemment, à mesure que paraissent de nouvelles données de nocivité. Un exemple : ­l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a déterminé en 2018 une dose hebdomadaire tolérable dans l’alimentation de 13 nano­grammes par kilo de poids corporel et par semaine (ng/kg/pc/sem) pour le PFOS, et de 6 ng/kg/pc/sem pour le PFOA. Deux ans plus tard, à l’aune d’études plus récentes, la même autorité a établi un nouveau seuil de sécurité groupé pour le PFOA, le PFOS et deux autres PFAS (le PFNA et le PFHxS) de 4,4 ng/kg/pc/sem. Sacrée réévaluation !

 

Dans ce contexte, comment être sûr que la limite réglementaire retenue actuellement par la France est suffisamment protectrice ? Toxicologue à Générations futures, Pauline Cervan tique déjà sur le choix des 20 PFAS à surveiller. « Il y a en ce moment une proposition de révision en cours d’examen d’une autre directive-cadre européenne, cette fois-ci sur les eaux de surface et souterraines, rappelle-t-elle. L’enjeu est notamment de mettre à jour la liste des polluants à régle­menter. Et, pour les PFAS, elle en propose 24, donc 4 de plus que la directive 2020/2184 sur les eaux de boisson. Plus étonnant, certains PFAS parmi les 20 ne figurent même pas dans les 24. »

 

Valeur limite contestée
Cependant, c’est surtout la valeur limite – les fameux 100 ng/l – que Pauline Cervan remet en cause : « Celle-ci ne repose sur aucune donnée scientifique. On a juste transposé le seuil qu’on applique déjà aux pesticides surveillés dans l’eau. Or, on sait que certains PFAS sont toxiques à des concentrations moindres. » C’est le cas, en particulier, du PFOA. En 2017, l’Anses avait défini une valeur sanitaire maximale dans l’eau potable de 75 ng/l. Pauline Cervan s’interroge : « Que dira-t-on alors d’une eau du robinet dans laquelle la somme des 20 PFAS réglementés ne dépasse peut-être pas les 100 ng/l, mais où le PFOA, à lui seul, est présent à plus de 75 ng/l ? Qu’elle est conforme ? »

 

Plusieurs États ont, en tout cas, décidé d’appliquer des seuils beaucoup plus protecteurs que ceux que prévoit la France. À l’instar des États-Unis, qui ont fixé un cap de « zéro trace » dans les eaux de boisson pour le PFOA et le PFOS. Ils considèrent qu’il n’existe pas, concernant ces deux composés, de taux qui garantissent une absence totale d’effet. Cet objectif est non contraignant. En parallèle, le pays a tout de même déterminé des limites réglementaires très basses à partir de 2029 – pas plus de 4 ng/l pour chacun. Six des eaux analysées lors de nos prélèvements ont dépassé cette valeur pour l’un de ces PFAS.

 

Toutefois, pas besoin d’aller voir aussi loin. En se fondant sur la nouvelle dose hebdomadaire tolérable (DHT) définie par l’Efsa pour le PFOA, le PFOS, le PFHxS et le PFNA, la Suède et le Danemark ont choisi d’imposer un seuil spécifique pour ces 4 PFAS, bien qu’ils figurent déjà parmi les 20 que Bruxelles demande de surveiller dans les eaux de boisson dès 2026. Leur somme ne devra pas excéder 4 ng/l en Suède et même 2 ng/l au Danemark. Dans le premier cas, 13 des eaux du robinet analysées par nos soins présentent des quantités supérieures à la limite établie, et 15 dans le second cas (lire les cartes que nous publions p. 12-13).

 

Limiter le nombre d’eaux du robinet non conformes ?
Pourquoi donc la France ne suit-elle pas le même chemin ? C’est la question que nous avons posée à la Direction générale de la santé (DGS), une instance du ministère éponyme chargée de préparer et mettre en œuvre la politique de santé publique. Qui a fini par nous répondre… sans se mouiller. « L’Anses a été saisie par ses ministères de tutelle en novembre 2022 pour améliorer les connaissances sur les voies d’exposition et les conséquences sanitaires des PFAS dans l’environnement et sur la santé humaine, nous a-t-elle fait savoir. Des valeurs guides sanitaires dans les EDCH [eaux destinées à la consommation humaine] seront disponibles mi-2025 et seront adoptées lors de leur publication. » Mais Pauline Cervan, de Générations futures, n’en attend pas trop. « On le voit bien dans les réunions que nous avons avec la DGS : son principal souci est d’avoir le moins d’eaux du robinet non conformes. Cela ne pousse guère à l’adoption de seuils protecteurs. »

Message cité 1 fois
Message édité par Sticki le 24-01-2025 à 12:36:58

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Je re aime Bayrou :)
n°72274776
Tuxerman12
Posté le 24-01-2025 à 12:39:09  profilanswer
 

Et en plus ils veulent rajouter des taxes sur la flotte minérale ! Quelle indignité ! [:christian_keyboard:1]

n°72274791
Sticki
Le gras c'est la vie.
Posté le 24-01-2025 à 12:40:10  profilanswer
 

Citation :

Nos prélèvements dans 30 communes - Les résultats au regard des seuils adoptés par 3 pays
Cet été et à l’automne, salariés et associations locales de l’UFC-Que Choisir, ainsi que l’ONG Générations futures, ont prélevé des échantillons d’eau du robinet dans 30 localités. Nous y avons recherché des PFAS, dont les 20 que surveillera la France de façon systématique (1) dans les eaux du robinet à partir de 2026, conformément à une directive européenne. Nous avons comparé les concentrations relevées aux seuils réglementaires de la France (qui ne va pas au-delà de ce qu’impose l’Union européenne) et à ceux, plus protecteurs, qu’appliqueront les États-Unis et le Danemark. La lecture des résultats (voir cartes) n’est alors plus du tout la même.
 
 
Image
https://im.qccdn.fr/node/enquete-eau-potable-une-contamination-massive-aux-pfas-148568/inline-143452.jpg
Normes françaises : un seuil laxiste ?
À ce jour, la France entend se contenter d’appliquer le seuil proposé par l’UE, soit 100 ng/l cumulés pour 20 PFAS dont la présence dans l’eau est jugée préoccupante. Aucun des échantillons analysés par Que Choisir n’a dépassé cette limite, même si on s’en approchait à Tavaux (39), avec 94,5 ng/l.
 
Normes américaines : objectif zéro trace
Les États-Unis fixent le cap de zéro trace de PFOA et de PFOS dans leurs eaux de boisson – un objectif non contraignant. Tout de même, ils appliqueront en 2029 la valeur très protectrice de 4 ng/l pour chacun de ces deux PFAS. Sur tous nos échantillons, 16 n’atteignaient pas la limite de 0 ng/l, dont 6 (en rouge) dépassant le futur seuil américain.
 
Normes danoises : le credo de la rigueur
C’est le pays de l’UE qui pousse le plus loin la réglementation. Bien qu’ils figurent dans la liste des 20 PFAS dressée par Bruxelles, le PFOS, le PFOA, le PFHxS et le PFNA seront soumis à un seuil spécifique dès 2026. Au Danemark, la somme de ces quatre PFAS ne devra pas excéder 2 ng/l. Or, 15 échantillons de notre étude dépassent cette valeur.


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Je re aime Bayrou :)
n°72274797
Sticki
Le gras c'est la vie.
Posté le 24-01-2025 à 12:41:10  profilanswer
 

Désolé pour les images trop grandes :/


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Je re aime Bayrou :)
mood
Publicité
Posté le 24-01-2025 à 12:41:10  profilanswer
 

n°72274827
alffir
Posté le 24-01-2025 à 12:45:05  profilanswer
 

verdoux a écrit :

grosse production d'électricité éolienne du coup ? :o


Tu rigoles, mais un lobbyiste des ENRi avait posté sur Twitter que l'Allemagne avait produit une grosse partie de son électricité avec les éoliennes un jour de tempête où il y avait eu des morts dans le pays…


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Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes.
n°72275129
pik3
Posté le 24-01-2025 à 13:28:13  profilanswer
 

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/r/344838


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Je suis d'accord avec patx  ©Dante2002 le 21/03/2018
n°72275870
kleinekrok​odil
Posté le 24-01-2025 à 14:58:20  profilanswer
 


Pourtant sur le papier (le powerpoint) elle semblait trés bien cette stratégie :ange:  
 
Il suffira d'ajuster avec des importations. Si l’hydrogène importé est plus gris que vert au début, ce n'est pas si grave, ça va cracher encore plus de carbone que de cramer directement du charbon, mais c'est transitoire  :o


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Source: Google
n°72275956
dje33
Posté le 24-01-2025 à 15:11:13  profilanswer
 

Comme a chaque fois, il faut faire peur et surtout ne pas écouter les spécialistes...
 

Citation :

Tout ça pourrait sembler rassurant. « D’autant plus qu’un dépassement de 100 ng/l ne veut pas forcément dire que l’eau est impropre à la consommation, relève Sylvaine Ronga-Pezeret, méde­­cin toxicologue et membre de la Société francophone de santé et environnement (SFSE). Ce 100 ng/l est une limite de qualité, soit un objectif réglementaire à ne pas dépasser. Il ne faut pas confondre avec une valeur sanitaire qui détermine, elle, la concentration dans l’eau d’une substance à partir de laquelle elle aura des effets sur la santé humaine. »


 

n°72276135
xilebo
noone
Posté le 24-01-2025 à 15:37:51  profilanswer
 

Sticki a écrit :

Je vous mets en clair l'article d'UFC-Que choisir. Faisez gaffe avec la flotte à boire.

Citation :

Eau potable
Une contamination massive aux PFAS
Eau potable Une contamination massive aux PFAS Publié le 23 janvier 2025
Consommer régulièrement de l’eau du robinet est-il dangereux ? Difficile de répondre. Nos prélèvements dans 30 communes confirment que l’on y détecte aisément des PFAS, ces polluants éternels à la toxicité suspecte. Certes, les niveaux mesurés restent inférieurs au seuil réglementaire retenu à ce jour par la France. Mais celui-ci est-il adapté ?
 
Neuf dans l’eau du robinet de Narbonne (Aude) et de Grenade (Haute-Garonne), 10 dans celles de Tours (Indre-et-Loire) et de Tavaux (Jura), et même 11 à Sotteville- lès-Rouen (Seine-Maritime), Évry-Grégy-sur-Yerre (Seine-et-Marne) ou encore Lunel (Hérault)… Voilà au moins une certitude avec les PFAS : quand on les cherche, on les trouve. Notre campagne d’analyses, menée à l’été et à l’automne 2024 avec l’appui de l’association Générations futures, en apporte une nouvelle preuve. Nous avons traqué 33 de ces composés chimiques (soit le maximum de ce que pouvait analyser notre laboratoire) dans les eaux du robinet de 30 communes de France métropolitaine : des grandes agglomérations comme Paris, Toulouse (Haute-Garonne), Rouen (Seine-Maritime) et Amiens (Somme) ; des villes plus petites, telles que Fleury-les-Aubrais (Loiret) ; des villages, à l’instar de Lavernat (Sarthe) ; des localités potentiellement à risque, situées à proximité de sites industriels de production de PFAS, que sont Moussac (Gard) et Tavaux (Jura) ; ainsi qu’à Vendôme (Loir-et-Cher) et dans quatre communes de Seine-et-Marne, dont Melun, où de précédentes études ont montré de fortes concentrations dans des cours d’eau. Il n’y a qu’à Roubaix (Nord) où aucun des 33 PFAS que nous recherchions n’a été détecté. Au total, la moyenne s’établit à six par échantillon.
 
Derrière le sigle PFAS se cache une grande famille de subs­tances, les perfluoroalkylés et polyfluoroalkylés. Il en existe « entre 5 000 et 10 000 suivant la définition que l’on retient », cadre Céline Druet, directrice adjointe de l’évaluation des risques à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation et de l’environnement (Anses). Mais certaines estimations en englobent près de 15 000. Illustration parfaite du flou qui entoure encore ces composés.
 
« Polluants éternels », un surnom pas volé
Tous ont un point commun, leur liaison carbone-fluor très stable. Une aubaine pour les industriels, qui emploient les PFAS depuis les années 1950 pour leurs propriétés imperméabilisantes, résistantes à la chaleur, antiadhésives… On en trouve ainsi dans des poêles (en téflon), des vêtements de sport, des emballages de fast-food, des mousses anti-incendie, des médicaments, ou encore dans l’agriculture, certains pesticides ayant pour substances actives des PFAS. Mais la très forte stabilité de leur liaison carbone-fluor les rend aussi très persistants dans l’envi­ronnement. D’où leur surnom de « polluants éternels ». Ils s’accumulent depuis 70 ans dans les milieux naturels, sans épargner les eaux de surface (rivières, lacs…) et les nappes phréatiques via la pluie, les ruissellements, les rejets industriels, la désagrégation dans les sols des pesticides, les rejets des stations d’épuration, etc. Pas étonnant alors de les déceler dans l’eau potable.
 
Plutôt inquiétant. Car si les connaissances restent parcellaires, plus la science étudie ces substances, plus elle en découvre des effets délétères sur la santé. Elles sont suspectées, avec un haut niveau de certitude, de causer des maladies thyroïdiennes, des taux élevés de cholestérol, des lésions au foie, des cancers du rein, des faibles poids de naissance, ­listait l’Agence européenne pour l’environnement en 2019. Elle ajoutait d’autres risques, à un degré de certitude plus faible : cancer du sein, hypertension, obésité… Trois PFAS ont d’ores et déjà été interdits ou restreints (avec des dérogations limitées à certaines applications) à l’échelle internationale : le PFOS (en 2009), le PFOA (en 2020) et le PFHxS (en 2022). Nous les avons malgré tout retrouvés dans plusieurs de nos prélèvements. C’est dire leur persistance.
 
Début de surveillance systématique en 2026
Ce n’est pas seulement le nombre de PFAS auxquels nous sommes exposés qui importe, mais aussi leur ­concentration. Peu à peu, la réglementation se durcit. À partir de 2026, la France appliquera la directive européenne 2020/2184 ­relative à la qualité des eaux destinées à la consom­mation humaine (dites « de boisson »). Lors de contrôles sanitaires de ces eaux, dont celle du robinet, les agences régionales de santé (ARS) rechercheront ainsi systématiquement les 20 PFAS que Bruxelles juge prioritaires à suivre. Lorsque leur somme excédera 100 nanogrammes par litre (ng/l), soit 0,1 microgramme par litre (µg/l), l’eau sera considérée comme non conforme. Les producteurs d’eau potable concernés devront alors prendre des mesures afin de faire baisser les taux. Aucun de nos échantillons n’était supérieur à ce seuil, même si on s’en approchait à Tavaux (94,5 ng/l), où le groupe chi­mique Solvay a implanté une usine de production de PFAS.
 
Dans une campagne d’analyses similaire à la nôtre, publiée en septembre 2024 et portant sur 89 eaux du robinet, Radio France a repéré trois dépassements : 187 ng/l à Cognac (Charente), 119 ng/l à Saint-Symphorien-d’Ozon (Rhône) et 100,2 ng/l à Martres-Tolosane (Haute-Garonne).
 
De son côté, Veolia a effectué une série de tests identiques dans 2 400 points de production d’eau potable qu’elle gère pour le compte de collectivités locales et qui desservent au robinet 20 millions de Français. Attitude regrettable : l’entreprise a communiqué ses conclusions sans détailler ni les résultats ni la localisation de la vingtaine de sites où elle admet avoir détecté des dépassements. Elle s’est contentée d’« attester la conformité de l’eau potable au regard des normes PFAS dans plus de 99 % de ses points de prélèvement ».
 
Tout ça pourrait sembler rassurant. « D’autant plus qu’un dépassement de 100 ng/l ne veut pas forcément dire que l’eau est impropre à la consommation, relève Sylvaine Ronga-Pezeret, méde­­cin toxicologue et membre de la Société francophone de santé et environnement (SFSE). Ce 100 ng/l est une limite de qualité, soit un objectif réglementaire à ne pas dépasser. Il ne faut pas confondre avec une valeur sanitaire qui détermine, elle, la concentration dans l’eau d’une substance à partir de laquelle elle aura des effets sur la santé humaine. »
 
Une montagne de normes sanitaires à établir
Problème, pour les PFAS, cette vaste famille de composés chimiques à la toxicité imprévisible et que l’on découvre à peine, on se retrouve avec une montagne de valeurs sanitaires à définir. Même avec les 20 que l’Union européenne demande de surveiller dès 2026, le compte n’y est pas, à lire un rapport de l’Anses de décembre 2023. « Les substances les plus connues ont jusqu’à 20 valeurs sanitaires proposées dans la littérature scientifique, quand d’autres, faute de données précises, se voient appliquer des valeurs de molécules dont la composition est proche », détaille Éléonore Ney, cheffe de l’unité d’évaluation des risques liés à l’eau à l’Anses. Et ces valeurs sanitaires évoluent fréquemment, à mesure que paraissent de nouvelles données de nocivité. Un exemple : ­l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a déterminé en 2018 une dose hebdomadaire tolérable dans l’alimentation de 13 nano­grammes par kilo de poids corporel et par semaine (ng/kg/pc/sem) pour le PFOS, et de 6 ng/kg/pc/sem pour le PFOA. Deux ans plus tard, à l’aune d’études plus récentes, la même autorité a établi un nouveau seuil de sécurité groupé pour le PFOA, le PFOS et deux autres PFAS (le PFNA et le PFHxS) de 4,4 ng/kg/pc/sem. Sacrée réévaluation !
 
Dans ce contexte, comment être sûr que la limite réglementaire retenue actuellement par la France est suffisamment protectrice ? Toxicologue à Générations futures, Pauline Cervan tique déjà sur le choix des 20 PFAS à surveiller. « Il y a en ce moment une proposition de révision en cours d’examen d’une autre directive-cadre européenne, cette fois-ci sur les eaux de surface et souterraines, rappelle-t-elle. L’enjeu est notamment de mettre à jour la liste des polluants à régle­menter. Et, pour les PFAS, elle en propose 24, donc 4 de plus que la directive 2020/2184 sur les eaux de boisson. Plus étonnant, certains PFAS parmi les 20 ne figurent même pas dans les 24. »
 
Valeur limite contestée
Cependant, c’est surtout la valeur limite – les fameux 100 ng/l – que Pauline Cervan remet en cause : « Celle-ci ne repose sur aucune donnée scientifique. On a juste transposé le seuil qu’on applique déjà aux pesticides surveillés dans l’eau. Or, on sait que certains PFAS sont toxiques à des concentrations moindres. » C’est le cas, en particulier, du PFOA. En 2017, l’Anses avait défini une valeur sanitaire maximale dans l’eau potable de 75 ng/l. Pauline Cervan s’interroge : « Que dira-t-on alors d’une eau du robinet dans laquelle la somme des 20 PFAS réglementés ne dépasse peut-être pas les 100 ng/l, mais où le PFOA, à lui seul, est présent à plus de 75 ng/l ? Qu’elle est conforme ? »
 
Plusieurs États ont, en tout cas, décidé d’appliquer des seuils beaucoup plus protecteurs que ceux que prévoit la France. À l’instar des États-Unis, qui ont fixé un cap de « zéro trace » dans les eaux de boisson pour le PFOA et le PFOS. Ils considèrent qu’il n’existe pas, concernant ces deux composés, de taux qui garantissent une absence totale d’effet. Cet objectif est non contraignant. En parallèle, le pays a tout de même déterminé des limites réglementaires très basses à partir de 2029 – pas plus de 4 ng/l pour chacun. Six des eaux analysées lors de nos prélèvements ont dépassé cette valeur pour l’un de ces PFAS.
 
Toutefois, pas besoin d’aller voir aussi loin. En se fondant sur la nouvelle dose hebdomadaire tolérable (DHT) définie par l’Efsa pour le PFOA, le PFOS, le PFHxS et le PFNA, la Suède et le Danemark ont choisi d’imposer un seuil spécifique pour ces 4 PFAS, bien qu’ils figurent déjà parmi les 20 que Bruxelles demande de surveiller dans les eaux de boisson dès 2026. Leur somme ne devra pas excéder 4 ng/l en Suède et même 2 ng/l au Danemark. Dans le premier cas, 13 des eaux du robinet analysées par nos soins présentent des quantités supérieures à la limite établie, et 15 dans le second cas (lire les cartes que nous publions p. 12-13).
 
Limiter le nombre d’eaux du robinet non conformes ?
Pourquoi donc la France ne suit-elle pas le même chemin ? C’est la question que nous avons posée à la Direction générale de la santé (DGS), une instance du ministère éponyme chargée de préparer et mettre en œuvre la politique de santé publique. Qui a fini par nous répondre… sans se mouiller. « L’Anses a été saisie par ses ministères de tutelle en novembre 2022 pour améliorer les connaissances sur les voies d’exposition et les conséquences sanitaires des PFAS dans l’environnement et sur la santé humaine, nous a-t-elle fait savoir. Des valeurs guides sanitaires dans les EDCH [eaux destinées à la consommation humaine] seront disponibles mi-2025 et seront adoptées lors de leur publication. » Mais Pauline Cervan, de Générations futures, n’en attend pas trop. « On le voit bien dans les réunions que nous avons avec la DGS : son principal souci est d’avoir le moins d’eaux du robinet non conformes. Cela ne pousse guère à l’adoption de seuils protecteurs. »



 
 
je filtre avec une berkey depuis plusieurs années, je suis tranquille  [:o_doc]  

n°72276507
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 16:41:32  profilanswer
 

alffir a écrit :


Tu rigoles, mais un lobbyiste des ENRi avait posté sur Twitter que l'Allemagne avait produit une grosse partie de son électricité avec les éoliennes un jour de tempête où il y avait eu des morts dans le pays…


c'est le prix à payer pour recharger son smartphone.
on va pas en faire tout un fromage.
des martyrs, voilà tout
 
 [:michel_cymerde:7]


---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72277459
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 19:33:25  profilanswer
 

kleinekrokodil a écrit :


La plupart des éoliennes s’arrêtent au delà de 90 km/h de vent.


oui  :o  
 
[:teepodavignon:8]

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/f/327943 Andy Scollick (andyscollick.bsky.social) :

Damage to a wind turbine at Inverin (Indreabhán) Wind Farm in County Galway, #Ireland. #StormÉowyn
 
https://gitlab.com/BZHDeveloper/HFR/raw/master/emojis-micro/1f4f7.png Naoise Ó Muirí TD
https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://cdn.bsky.app/img/feed_thumbnail/plain/did:plc:jaghk4rwlrciav5aieckiiit/bafkreiaodyooncudmqgwgka3uoxt3zhnlevo45phqqtxdn57faiej3uuh4https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://cdn.bsky.app/img/feed_thumbnail/plain/did:plc:jaghk4rwlrciav5aieckiiit/bafkreictl7jxkoamdho6vhucenonsp5ctwnq2sobosugwl3udf7ng7snki


 
[:teepodavignon:8]

[:salami dubongout:4] Bloomberg Asia https://i.imgur.com/6C4thzC.png (@BloombergAsia) :

Fierce wind gusts in the UK shuttered wind turbines in the middle of Storm Éowyn, pushing electricity prices to rise sharply during the day trib.al/rA8m4MB
https://pbs.twimg.com/card_img/1882804785675419648/auT6K2ep?format=jpg&name=280x150

Citation :

UK Wind Farm Shutdowns Amid Storm Prompt Higher Power Prices



 
du coup, beh.....gaz à donf


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Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72277535
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 19:48:31  profilanswer
 

[:teepodavignon:8]

[:salami dubongout:4] Unite Hospitality Glasgow (@GlasgowUnite) :

Today, hundreds of our members are being pressured to take taxis to work despite the red weather warning.  
 
This is why we won’t tolerate such coercion from greedy, belligerent employers.
 
Today in Scotland https://gitlab.com/BZHDeveloper/HFR/raw/master/emojis-micro/2b07.png️  
https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://pbs.twimg.com/amplify_video_thumb/1882785339195957248/img/H9sY0SesQRk7lE6g.jpg&hfr-url-data=https%3A%2F%2Fvideo.twimg.com%2Famplify_video%2F1882785339195957248%2Fvid%2Favc1%2F364x640%2F4-T5Z2DcmR9ur4mw.mp4%3Ftag%3D14&hfr-media-type=video%2Fmp4


 
[:teepodavignon:8]


 
#economiefirst
 
va mourir esclave  :o


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Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72277709
Sticki
Le gras c'est la vie.
Posté le 24-01-2025 à 20:40:31  profilanswer
 

Putain  [:vinnchent]  
 
j'ai chipé ça sur le topic LFI, j'en reviens toujours pas, à me demander si c'est pas fake  
 

Citation :

20 heures de vol correspondent à la consommation du chauffage et de l’eau chaude d’une maison de 80 m², pendant toute une année. »


https://reporterre.net/Voler-en-mon [...] atmosphere


---------------
Je re aime Bayrou :)
n°72277729
360no2
I am a free man!
Posté le 24-01-2025 à 20:45:08  profilanswer
 

Jay Kay a écrit :


Non. Selon moi il faut dire que leur choix concernant le nuke et le charbon est désastreux.

ET le déploiement massif de l'éolien et du photovoltaïque est stupide et ruineux pour un pays (soi-disant) développés hors cas bien spécifiques de communautés très isolées (e.g. insulaires, et encore)


---------------
"a fool and his money are soon parted" (Affolant Monet : art sans partage) | Ça nous coûte un pognon de dingue ! (circa 2018)
n°72277731
wurst
Posté le 24-01-2025 à 20:45:31  profilanswer
 

Sticki a écrit :

Putain  [:vinnchent]  
 
j'ai chipé ça sur le topic LFI, j'en reviens toujours pas, à me demander si c'est pas fake  
 

Citation :

20 heures de vol correspondent à la consommation du chauffage et de l’eau chaude d’une maison de 80 m², pendant toute une année. »


https://reporterre.net/Voler-en-mon [...] atmosphere


 
Si la maison a une PAC et que l’électricité est nucléaire, l’avion a un bilan incomparablement plus dégeulasse au niveau du CO2, sans même compter l’énergie nécessaire.

n°72277745
360no2
I am a free man!
Posté le 24-01-2025 à 20:47:36  profilanswer
 

rakame a écrit :

C'est très bien. ils sont dépendant de notre nuke comme nous on est dépendant du pétrole US. Il ne faut surtout pas changer ça, ça nous donne un moyen de pression sur eux. Vous voulez du jus ? ça tombe bien en a plein par contre, on a besoin de taxer les importations agricole depuis l'Amérique du Sud pour aider nos paysans. Vous ferez comment pour leur vendre des Audi si vous n'avez plus de jus pour les fabriquer ? Deal ?

 

[:presidentdonald]

Tu rêves : il faudrait que nos politiques soient logiques, pragmatiques avec une certaine sensibilité à l'intérêt supérieur de la nation... :/


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"a fool and his money are soon parted" (Affolant Monet : art sans partage) | Ça nous coûte un pognon de dingue ! (circa 2018)
n°72277764
TiDom
Posté le 24-01-2025 à 20:51:01  profilanswer
 

Sticki a écrit :

Putain  [:vinnchent]

 

j'ai chipé ça sur le topic LFI, j'en reviens toujours pas, à me demander si c'est pas fake

 
Citation :

20 heures de vol correspondent à la consommation du chauffage et de l’eau chaude d’une maison de 80 m², pendant toute une année. »


https://reporterre.net/Voler-en-mon [...] atmosphere

 

https://co2.myclimate.org/fr/flight_calculators/new

 

Pour l'avion tu prends grossierement 1000km = 1h pour les longs courriers
Exemple un paris-tokyo A/R


Message édité par TiDom le 24-01-2025 à 20:54:39
n°72277857
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 21:11:54  profilanswer
 

Sticki a écrit :

Putain  [:vinnchent]

 

j'ai chipé ça sur le topic LFI, j'en reviens toujours pas, à me demander si c'est pas fake

 
Citation :

20 heures de vol correspondent à la consommation du chauffage et de l’eau chaude d’une maison de 80 m², pendant toute une année. »


https://reporterre.net/Voler-en-mon [...] atmosphere


Citation :

Néanmoins, ces différents facteurs pèsent peu sur le bilan carbone comparé à la combustion du propane. « Le propane est un déchet du raffinage du pétrole. On en produit, alors autant l’utiliser plutôt que de le relâcher dans l’atmosphère », répond Charles Aréthuse, gérant d’Art Montgolfières, qui en consomme entre 30 et 35 tonnes par an.

 

bah ouais, faut pas déconner....tu crois quoi toi ?

 

et puis :

 
Citation :

À l’image d’Aérocom, une entreprise implantée à Onzain, près du château d’Amboise, qui emploie 4 pilotes et a transporté 3 500 passagers en 2021, soit 500 de plus qu’en 2020. Un de ses concurrents, Art Montgolfières, installé près du château de Chenonceau, monte jusqu’à 4 000 passagers par an, grâce à des nacelles de plus en plus grandes. « Il faudrait informer les touristes, mettre le bilan carbone sur le ticket de montgolfière », dit Laurent Buisine.

 

#ouimaisl'économie

 

nb : les touristes s'en foutent du bilan carbone car :

 
Citation :

En pratique, difficile de comparer la montgolfière à un moyen de transport classique. « On ne peut pas mesurer les chiffres sur une distance, précise un pilote, sous couvert d’anonymat. La montgolfière, c’est un moment de vie, un loisir, pas une finalité. »

 

#jeveuxpaspasseràcotédemavie
#j'yaidroit

 

[:gaston10241:9]  :D

 

et le meilleur pour la fin :

 
Citation :

Dernier rempart, le coût : 25 à 30 % supplémentaire sur la facture de gaz. Pour Brian Poussardin, pilote et gérant d’Air Alpes Adventure, aucun aérostier ne pourrait répercuter cette hausse sur le tarif des vols. « Nous sommes déjà à plus de 200 euros par vol, si on répercute l’augmentation, nous n’avons plus de clients. » En attendant, chacun peut réfléchir à son quota carbone avant d’embarquer.

 

[:schiroosh:9]

 

dit-il à des clients qui doivent venir en bagnole ou en avion des 4 coins du monde.  :o

 

cherchez pas....c'est mort

 

il ne reste qu'à observer et prier si on croit en dieu, pour passer entre les gouttes.

 

[:michel_cymerde:7]


Message édité par PinkFloyd31 le 24-01-2025 à 21:13:53

---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72277876
Tuxerman12
Posté le 24-01-2025 à 21:16:11  profilanswer
 

wurst a écrit :


 
Si la maison a une PAC et que l’électricité est nucléaire, l’avion a un bilan incomparablement plus dégeulasse au niveau du CO2, sans même compter l’énergie nécessaire.


Rajoute les 20k bornes annuels en Sandero Stepway tce.

n°72277910
Polza Manc​ini
Posté le 24-01-2025 à 21:22:12  profilanswer
 

Les gens qui font ça le font en général une fois dans leur vie, alors que ceux qui prennent l'avion... (je dis pas ça pour défendre leur business, mais faudrait pas que ça serve de prétexte comme "ouiméléchinois" ).

n°72277950
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 21:28:42  profilanswer
 

sans doute, et ils arrêteront, quand la vie sera devenu trop chère.
 
en attendant, on continue afin que ce moment arrive plus vite  :o


---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72278067
Sticki
Le gras c'est la vie.
Posté le 24-01-2025 à 21:48:51  profilanswer
 

PinkFloyd31 a écrit :

sans doute, et ils arrêteront, quand la vie sera devenu trop chère.
 
en attendant, on continue afin que ce moment arrive plus vite  :o


Entre ça et le RC, on est foutus quoi qu'il arrive


---------------
Je re aime Bayrou :)
n°72278074
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 24-01-2025 à 21:50:15  profilanswer
 

en tous cas, on en prend le chemin
et ça va pas s'arranger avec l'autre abruti à la maison blanche

 

[:michel_cymerde:7]


Message édité par PinkFloyd31 le 24-01-2025 à 21:51:04

---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72278134
wurst
Posté le 24-01-2025 à 22:03:00  profilanswer
 

Tuxerman12 a écrit :


Rajoute les 20k bornes annuels en Sandero Stepway tce.


Moins de 7k km par an, je vis à moins de 5km du boulot, à la campagne c’est possible  [:zedlefou:1]

n°72278567
nakata
frog game
Posté le 24-01-2025 à 23:24:16  profilanswer
 

wurst a écrit :

Si la maison a une PAC et que l’électricité est nucléaire, l’avion a un bilan incomparablement plus dégeulasse au niveau du CO2, sans même compter l’énergie nécessaire.


Mais le chauffage en France est majoritairement au gaz.
On ne peut pas honnêtement faire des calculs à partir des cas les plus favorables.

n°72279470
edhelas
'Pendant' nous… le déluge ?
Posté le 25-01-2025 à 11:08:02  profilanswer
 

nakata a écrit :


Mais le chauffage en France est majoritairement au gaz.
On ne peut pas honnêtement faire des calculs à partir des cas les plus favorables.


 
Attends qu'il se rende compte que le transport, l'agriculture et l'industrie en France a un mix dégueux similaire aux autres pays Européens [:coroners:6]


---------------
╯°□°)╯︵ ┻━┻
n°72279960
Polza Manc​ini
Posté le 25-01-2025 à 13:22:46  profilanswer
 

Tuxerman12 a écrit :


Rajoute les 20k bornes annuels en Sandero Stepway tce.


 
Pas sûr qu'ils soient plus impactant pour le climat que les geek csp+ en Tesla qui ont contribué à pousser (en toute connaissance de cause puisque c'est l'Elite) le duo Trump Musk aux manettes.

Message cité 1 fois
Message édité par Polza Mancini le 25-01-2025 à 13:25:56
n°72280065
PlayTime
Posté le 25-01-2025 à 13:47:02  profilanswer
 

Polza Mancini a écrit :

 

Pas sûr qu'ils soient plus impactant pour le climat que les geek csp+ en Tesla qui ont contribué à pousser (en toute connaissance de cause puisque c'est l'Elite) le duo Trump Musk aux manettes.

 

Dans la réalité c'est pas impossible que trump ait un bilan plus favorable sur le co2 qu'un autre président. Il suffit de regarder son premier mandat.

 

Les accords dont il se retire sont non contraignant,, c'est donc du bullshit et c'est un moyen facile de faire plaisir à son électorat. Mais dans la réalité ce qu'il fait, c'est autre chose, suffit de regarder son premier mandant.

 

En tout cas ce sera toujours 1000 fois mieux ce qu'il fera que les vert allemand ou que ce que pourrait faire la gauche et les écolo en France à cause de leur dogme anti nucléaire.

 

Bref il faut regarder la réalité comme toujours mais c'est un concept difficile pour beaucoup de gens.

 

Ca fait tellement rire de voir les français effrayés par Trump alors que c'est du pareil au même par rapport à un Obama. Sauf que Trump ne fait pas de greenwashing en effet.


Message édité par PlayTime le 25-01-2025 à 13:48:41
n°72280539
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 25-01-2025 à 15:31:04  profilanswer
 

Trump, il fout la trouille, mais il est aussi très drôle

 

[:teepodavignon:8]

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/f/327943 Aaron Rupar (atrupar.com) :

Trump: "I'm signing an executive order to open up the pumps and valves in the north. We want to get that water pouring down here as quickly as possible ... you're talking about unlimited water coming up from the Pacific Northwest, even coming from parts of Canada."
https://video.bsky.app/watch/did:plc:4llrhdclvdlmmynkwsmg5tdc/bafkreib4cw6r5sw3oywjgqqijaj2khotsvbupxohqccgydkg3qm4lhjhne/thumbnail.jpg?vdata=https%3A%2F%2Fvideo.bsky.app%2Fwatch%2Fdid%3Aplc%3A4llrhdclvdlmmynkwsmg5tdc%2Fbafkreib4cw6r5sw3oywjgqqijaj2khotsvbupxohqccgydkg3qm4lhjhne%2Fplaylist.m3u8

 

[:teepodavignon:8]

 

https://x.com/Acyn/status/1882956122564489479

 

[:clooney24]


Message édité par PinkFloyd31 le 25-01-2025 à 15:32:40

---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72280564
Eife
Juste avant le .G - Topic de
Posté le 25-01-2025 à 15:37:08  profilanswer
 


 

PinkFloyd31 a écrit :


 
bon, ça, c'est fait, ça sera prêt pour les prochaines  :o
 
[:teepodavignon:8]


 

PinkFloyd31 a écrit :


 
12....bon, celle-là aussi faudra penser à lui rajouter 1 ou 2 niveau, parce qu'on est à fond là.  :o


 
Ah oui, propre !  [:alph-one]  


---------------
Topic de vente de trucs divers
n°72280654
Tuxerman12
Posté le 25-01-2025 à 16:02:19  profilanswer
 

edhelas a écrit :


 
Attends qu'il se rende compte que le transport, l'agriculture et l'industrie en France a un mix dégueux similaire aux autres pays Européens [:coroners:6]


Il essaie de promouvoir la campagne française, la pac chinoise et la dacia roumaine :o

n°72281462
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 25-01-2025 à 19:13:53  profilanswer
 

[:teepodavignon:8]

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/f/327943 Climate Central (climatecentral.bsky.social) :

https://gitlab.com/BZHDeveloper/HFR/raw/master/emojis-micro/1f5e3.png️“The destruction caused by some of the strongest winds on record has been unprecedented” - Irish Prime Minister Micheál Martin.
 
#Éowyn intensified over Atlantic waters made 40x to 100x MORE likely to be unusually warm due to climate change.
 
More https://gitlab.com/BZHDeveloper/HFR/raw/master/emojis-micro/25b6.pngwww.climatecentral.org/climate-shif...
https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://cdn.bsky.app/img/feed_thumbnail/plain/did:plc:rvso2itxklrx7kn5qrwtkuy6/bafkreiakknq3tiabarfpt75urehoi77r4orvlwhvq3m6zbsnpf3cps4lba


 
et la douceur actuelle dans l'est de la France :
 
https://csi.climatecentral.org/clim [...] 360&zoom=6
 
x1.5 à x5 à cause du RC


---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72281782
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 25-01-2025 à 20:39:41  profilanswer
 

vous préférez lequel ?
 
cui-là
 
[:teepodavignon:8]

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/f/327943 Ryan Katz-Rosene, PhD (ryankatzrosene.bsky.social) :

The Great Divergence (or as James Hansen calls it, Humanity's 'Faustian Bargain')...
https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://cdn.bsky.app/img/feed_thumbnail/plain/did:plc:pwrqw4ij2qgsrfa2gtyz2pbd/bafkreihvhud4scyhmfyyrq6hojkmgiezwx4fkbukbjvhpkvk2rzmfhguue


 
ou cui-là
 
[:teepodavignon:8]

https://rehost.diberie.com/Picture/Get/f/327943 Leon Simons (leonsimons.bsky.social) :

This is how we (@williamripple.bsky.social et al.) presented the CO₂ and SO₂ emissions in 'The 2023 state of the climate report: Entering uncharted territory':
 
academic.oup.com/bioscience/a...
https://rehost.diberie.com/Rehost?size=min&url=https://cdn.bsky.app/img/feed_thumbnail/plain/did:plc:t2djpdnyzyyqvyja3w65dlz2/bafkreifkgiaz75fwzqvau6rbgiw3ommyj5nsyyibisttqbxy56ewvqt53a


 
 :o


---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
n°72282166
edhelas
'Pendant' nous… le déluge ?
Posté le 25-01-2025 à 21:47:13  profilanswer
 

Ça découple donc bien comme prévu :o


---------------
╯°□°)╯︵ ┻━┻
n°72282385
PinkFloyd3​1
Jancoviciste
Posté le 25-01-2025 à 22:25:16  profilanswer
 

j'en conclue que tu préfère le second  :D


---------------
Le plus dur c'est pas l’Atterrissage, c'est la Chute. Covfefe
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