Bonsoir, sur le forum fr.bio.medecine, les médecins n'ont pas supporté ce dernier témoignage à quelques heures du jugement de Monsieur Le Ribault le 12/2. Visiblement, il gène beaucoup trop.
Je vous remercie de comprendre sa présence sur ce forum.
et ne croyez pas que je m'amuse à inventer tous ces témoignages, cela ne tient pas : les médecins n'en critiquent pas la cohérence des évènements et l'attitude des professionnels de santé. Le problème majeur est l'actuel procès en sorcellerie qui s'est tenu le 5 février dernier où tous les malades qui consomment du G5 (la centaine qui est venue) ont été traité par le Procureur de bande de "gogos". Pourtant sur l'onglet groupe de google, en faisant les recherches "silicium group:fr.bio.medecine.*" ou
"silicium g5 group:fr.bio.medecine.*", la littérature technique est riche mais visiblement inconnu du procureur et des juges complétement dépassés par ce dossier... et bonne lecture.
Paris le 18 janvier 2004
En septembre 2002, ma mère, Denise Sxxxxxxx, 88ans (née le 6 novembre 1914 à Pxxxx.29), grande fumeuse en état de carence alimentaire marchait avec difficulté, ne se déplaçant plus que pour aller à la salle de bain ou aux toilettes. Elle semblait ne plus voir clair, lisant ses livres à l'envers...
Un accident vasculaire à l'oeil gauche la priva définitivement de la vue avec cet oeil. Elle fit une première chute et je dus appeler les pompiers pour la remettre dans son lit. Le 9 octobre, elle refit une chute se fracturant le nez et ne pouvant plus se relever. Le médecin des pompiers diagnostiqua une arthérite. Le 11 octobre - Le Docteur Cxxxx, son médecin traitant, posa le diagnostic d'artériopathie périphérique. Nous avons constaté peu à peu que la circulation ne se faisait plus dans les membres
inférieurs. A dater de ce jour elle ne put plus se déplacer et souffrait énormément. Le 16 octobre - on mit en place un lit médicalisé. Le 6 novembre - on fit un Echo-dopler qui confirma le diagnostic et permit de voir qu'une des artères était totalement bouchée au niveau iliaque, l'autre jambre au niveau du genou. Un escarre se créa sous le mollet droit au-dessus du talon. Les soins commencèrent le 22 novembre en même temps que la morphine. Les jambes perdirent leur aspect habituel devenant « comme
mortes », l'escarre se creusa rapidement. Les pieds prirent une teinte terne presque grise sur les doigts de pieds. Le risque de grangrène était important et imminent. Les mains elles aussi perdaient leur sensibilité et changeaient de couleur. Peu à peu, elle voyait de moins en moins sans toutefois vouloir le reconnaître. Mais de la voir tâter devant elle au moment du repas en demandant ce qu'elle touchait, je compris qu'elle ne
voyait plus du tout. Elle distinguait seulement les formes les plus importantes. Le Docteur Cxxxx m'expliqua que nous nous acheminions vers un fin rapide et difficile, mais qu'il ne fallait pas laisser la grangrène s'installer et donc prévoir l'amputation... ou les amputations ! Sur ses conseil, un rendez-vous à la clinique Xxxx du XVI° arrondissement, fut pris
pour une consultation le 17 décembre avec le Docteur Jxxxx Xxxxx, chirurgien vasculaire. Ce médecin précisa effectivement le danger imminent de gangrène, mais étant opposé aux amputations, il décida de faire un double pontage iliaque qui sans la guérir, lui permettrait du moins de mourir dignement avec « ses jambes » souhait qu'elle avait elle-même formulé. L'opération fut décidée le 8 janvier 2003 car elle voulait passer « ses dernières fêtes de famille avec ses enfants ». Nous avions conscience que
nous approchions de la fin. Ma mère entra à la clinique Xxxx le 7 janvier. L'opération a réussi et le Docteur Xxxxx était optimiste. Sa sortie était prévue le 21 janvier et l'ordonnance de la clinique n'avait prévu que les soins infirmiers post-opératoires, ne prenant pas en compte la douleur. Le
20 janvier, je passais voir le Docteur Cxxxxx à son cabinet pour avoir une ordonnance de morphine, car ma mère souffrait encore beaucoup et puis je savais qu'elle serait en état de manque en rapport avec le tabac qui lui était désormais interdit, on décida d'ailleurs de lui mettre des patchs nicotiniques (elle fumait 2 à 3 paquets par jour de cigarettes dites légères, depuis son adolescence). Le mardi 21 janvier, vers 15h, je la ramenais à domicile ou le service d'hospitalisation à domicile prenant effet
le lendemain matin. Malheureusement, prise d'une moment d'égarement, pendant que je remplissais les papiers avec les ambulanciers elle arracha le pansement gauche ainsi que les fils de suture, ouvrant une plaie triangulaire de 4x4x4cm. Je demandais immédiatement à la Clinique la possibilité de la ramener, mais ils refusèrent. Le Docteur Cxxxxx est venu
le 24, constater son état et compléter le protocole infirmier. Mais en quelques jours , la plaie s'infectée et son retour à la clinique a été décidé pour le 30 janvier. Elle est restée à la clinique du 30 janvier au 11 février. En effet ce jour-là, des travaux dans le service ont provoqué le déplacement des malades dans différents services et au mieux (ou au pire) à leur domicile. Il a donc fallu que je la ramène en urgence. A ma grande surprise, la plaie n'avait pas été recousue. Il y avait juste eu un traitement antibiotique. La plaie était saine. A la clinique, les infirmières m'avaient fait comprendre que la situation était sans espoir.. Je n'avais pas pu revoir le Docteur Fxxxx et je n'était pas contente de cette situation qui n'avait rien donné de bon précédemment. Comme le Docteur
Cxxxx me l'a fait constater avec l'infirmière comme témoin, lors de sa visite le 14 février : on voyait le pontage au fond de la plaie ! Il était évident qu'elle ne cicatriserait plus, vu son état. Cette opération avait surtout été faite pour éviter l'amputation... et lui-même n'était pas optimiste. J'ai donc appelé un ami médecin ne sachant plus que faire et ne comprenant pas la situation, il m'a conseillé d'utiliser le G5, silicium
organique, que j'utilisais pour moi et qui avait guéri me oedème des jambes en 8 jours alors que rien n'y faisait. Mais ne faisant pas moi-même de soins infirmiers et n'y assistant pas, je ne voyais pas comment faire sur le moment. Le dimanche 16 février, je suis restée dans la chambre pour voir le protocole et assister aux soins. En regardant l'infirmière faire les soins, je repérais qu'elle nettoyait la plaie comme l'escarre avec du sérum
physiologique. Le sérum phy était en flacon d'un demi-litre. Le flacon était terminée et le second venait d'être ouvert. J'ai donc vidé la moitié du flacon et je l'ai rempli avec du silicium. En plus, je mis un demi-verre de silicium organique dans chaque demi-litre de jus d'orange allongé d'eau filtrée (à un litre), seule boisson acceptée par ma mère qui refuse tout autre liquide. Ainsi, j'étais sûre d'améliorer un peu l'état vasculaire
général de cette ex-grande fumeuse. Par ce subterfuge, dès le lundi matin 17 février, des soins que j'espérais plus efficaces avec le G5 ont donc commencé. Le 21 février lors de la visite du médecin traitant, nous constations avec l'infirmière que la « plaie bourgeonnait du fond » : une mousse rose couvrait le pontage que l'on ne voyait plus. Le médecin est venu ensuite chaque semaine, le vendredi. Très vite, il a constaté que l'escarre lui aussi commençait à se « remplir », et a donné l'ordre de ne plus le creuser en coupant les bords qui jusqu'à présent s'était nécrosés. Le 14 mars, la plaie était cicatrisée, la croûte se formait, l'escarre faisant de même. A ce moment là, j'ai pu descendre les doses de morphine jusqu'à zéro.
Le 18 avril tout était cicatrisé, la peau était reformée et ma mère ne souffrait plus du tout. Le médecin s'est interrogé sur cette incroyable guérison (dans toute sa carrière, il n'avait jamais vu ça « ça aurait jamais du arriver ... qu'est ce qui se passe ici ? ») en effet, vu son état de carence alimentaire et de tabagisme, mais elle n'aurait du guérir. A l'époque, je n'ai pas voulu répondre à ses interrogations car je savais que le
chercheur qui avait mis au point ce fabuleux produit était poursuivi par l'Ordre des Médecins et des Pharmaciens. Aujourd'hui, il se retrouve en prison, ce qui justifie mon témoignage. Comme quoi faire le bien, dans ce pays est loin d'être reconnu, et l'on préfère toujours les thérapies
chimiques ou lourdes à des moyens simples et visiblement efficaces comme ce médecin a pu le constater sans le savoir. L'infirmière m'a dit qu'elle avait compris qu'il se passait quelque chose et m'a demandé « ce que je faisais en
plus de ses soins ». « Mais c'est vous » lui ai-je répondu en lui demandant de prendre la bouteille de sérum phy. Et je lui ai expliqué. L'association des soins infirmiers m'a aussi demandé des explications, car tous ceux qui ont approché ma mère savent qu'elle devrait décédée.... Après j'ai continué le G5 dans le jus d'orange : 2 cuillières à soupe par litre. J'ai constaté
que la vision de l'oeil droit était revenue. Il faut noter qu'à la clinique, sur les conseils de mon frère, j'avais demandé que l'on fasse un examen des yeux. Cela nous a été refusé car trop compliqué à mettre en oeuvre .... Début Août 2003, je n'avais plus de G5 liquide depuis 15 jours. Un vendredi matin, l'aide-soignante m'a signalé que les talons étaient en très mauvais état, elle craignait la formation d'escarres à brève échéance. Il fallait selon elle, effectuer au moins 2 massages par jour avec de la Biafine. Les Visites du médecin étant le vendredi matin, il était trop tard. J'ai regardé : les talons étaient rouges vifs très enflés, la peau extrêmement fine
semblait prête à éclater. Heureusement, il me restait un pot de G5 en gel. Le soir même, je m'en suis servi pour effectuer un massage. J'ai répété cette opération le samedi et le dimanche, matin et soir. Le dimanche soir, je constatais que les talons et les pieds avaient retrouvé une allure normale. J'ai donc signalé à l'aide soignante que « si cela recommençait, il ne fallait pas attendre mais simplement masser avec le G5 ». Elle était
stupéfaite du résultat. J'ai pu aussi constater que lors de la canicule de l'été, elle a traversé cette période qui aurait du lui être fatale (je n'avais même pas de ventilateur à la maison), et que contrairement à ce que l'on m'avait dit, il n'y a pas de suite fâcheuse.... Maintenant, elle peut s'acheminer doucement vers la fin de sa vie, une fin de vie naturelle. Pour
moi, il ne s'agissait pas « d'une expérience » mais de sauver ma mère d'une mort affreuse et douloureuse. Le médecin, les soignants ignorant tout mais ayant constaté les résultats, d'ailleurs comme ma mère elle-même à qui je n'avais rien dit. Voilà donc cette histoire où l'on ne peut que constater l'
effet du silicium organique, et j'en suis ravie, car je sais qu'il a guéri aussi un ami d'un psoriasis géant très ancien et tenace. Et fait extraordinaire, il n'y a pas d'effets secondaires ... ! Maintenant, il me semble que si le G5 appartenait à la pharmacopée française (alors qu'il est autorisé dans de nombreux pays), beaucoup de patients seraient soulagés. Combien de personnes âgées souffrent d'escarres très graves que rien ne
vient soulager ? Etant de famille de médecins, je ne peux que souhaiter que les ordres professionnels ouvrent enfin les yeux et fassent les essais cliniques nécessaires, et que la justice rende une justice vraie, car il s'agit d'un problème de santé publique.
Quoi qu'il en soit je me dois de remercie Monsieur Loïc Le Ribault d'avoir poursuivi la mise au point du Silicium organique qui a souvé ma mère et qui améliore considérablement ma santé au quotidien.
Xxxxx Sxxxxxx
xx xxxxxxxxxx
75xxxx Paris.
Je suis informé que toute fausse déclaration de ma part peut entrainer des sanctions pénales. Fait pour valoir ce que de droit.
<signature>
PJ
hotocopies carte nationale d'identité certifiée conforme à l'original (témoin née en 1946).
(Ce témoignage est consultable sur place à l'Association Internationale des Amis de Loïc Le Ribault, 6, rue Montbrun 75014 Paris (RdC ; Métro Alésia)