Bonjour à tous ;
Voilà, pour la rentrée, j'ai un devoir maison de philosophie à rendre avec pour problématique : "Faut-il tolérer toutes opinions en démocraties ?" et/ou "Toutes opinions sont-elles tolérables ?".    
 
Je précise que je suis en terminal STI GEL et j'ai étudier en cours le chapitre sur la "CONNAISSANCE ET CROYANCE" ainsi que c'est ma 1er dissertation et je n'ai absolument aucune idée sur comment m'y prendre et peu sur le sujet.
 
Voilà j'aimerai bien, svp, que vous me donniez quelques idées... et si possible les différentes à aborder ( non je ne demande pas qu'on le fasse à ma place   , quoique ^^  
 
(   Pour tous les prétentieux, je demande de l'aide, alors si c'est pour me dire de me débrouiller tout seul ou tout autres choses que le sujet de départ, je vous prie d'aller voir ailleurs ).
 
Merci d'avance et désolé pour les fautes probablement commises.  

 
Montre tout de même ce que tu as fait.Tu peux t'appuyer sur une citation assez célèbre de Voltaire .A toi de chercher.

Oui je me disais aussi que ce serait pas mal de commencer par cette citation qui a le mérite d'exposer la difficulté de la question.

En premier lieu, la tolérance elle peut définir une liberté de conscience et d'opinions ( et bien sur la tolérance n'est pas pour les intolérants ).
On peut s'aider aussi des termes politiques quand le gouvernement emploie le terme : tolérance 0.
 
Définition de la tolérance ( source : Wikipédia ) : La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est aussi la vertu qui porte à se montrer vigilant tant envers l'intolérance qu'envers l'intolérable.
En d'autres termes, c'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. Et par extension moderne, l'attitude d'un individu face à ce qui est différent de ses valeurs.  
Je pense donc qu'il faut que je j'explique en 1er et 2éme parties pourquoi il faut ou ne faut-il pas tolérer toutes opinions et conclure.
 
Pour ce qui est de la citation de Voltaire, je pense qu'il s'agit de : "Un jour tout sera bien, voilà notre espérance ; tout est bien aujourd'hui voilà l'illusion" mais je ne vois pas vraiment le rapport avec la problématique.
 
S'il vous plait, je n'ai aucune idée pour aborder le sujet et je ne sais pas trop comment m'y prendre ( c'est ma 1er dissertation de philo et j'ai envie de la réussir ). Aider moi !!!

Le sujet flirt avec "peut-on tout accepter dans une démocratie ?". C'est un sujet qui t'engage sur ce qu'est la notion de liberté d'expression (la liberté s'arrête là ou commence celle des autres). Est-ce que toutes les opinions, même les moins défendables comme le racisme ont leur place dans une démocratie ?  
 
Il faut que tu tentes de répondre à cette question en partant d'un postulat (thèse) qu'à priori toutes les idées peuvent être émises avant d'être jugées et discutées par la démocratie (littéralement par le pouvoir du peuple, in extenso par ses représentant). Que ces idées aussi mauvaises puissent-elles être alimentent un débat de fond.  
 
Puis tu peux embrayer dans l'antithèse le fait que ces idées (pour rester sur le racisme) entravent la liberté des autres (les étrangers, donc) et qu'à ce titre là, elle ne sont plus des idées en adéquation avec les droits de l'homme par exemple, texte référent de la démocratie.  
 
En synthèse, tu modères le propos en reprenant l'essentiel des éléments.  
 
Bien sur, il faut alimenter le débat avec d'autres exemples que celui (presque trop évident) du racisme. Mais là, je vais te laisser chercher ;-)

Alors là chapeau    
Je te remercie vraiment de ton aide là c'est sur ce que tu as écrit va vraiment m'aider    
 
Évidement si vous avez d'autres idées n'hésiter pas à me les faire paraître, toutes bonnes idées est bonne à prendre ( bien sur je cherche aussi de mon coter ).

Aux USA, la liberté d'expression permet à n'importe quel groupe politique d'exister, comme les nazis par exemple.  
 
A priori, la démocratie peut donc fonctionner avec ce principe.