Cherry_ | Je sais pas mal de topics politiques en ce moment (législatives, présidentielles, Sarkozy et cie) mais j'aimerai bien que les modérateurs laissent une petite place à celui-là. Il va donc de soit que tous les trolls infondés ne sont pas les bienvenus. Ce topic a pour destiné d'être le topic officiel de la politique du gouvernement Fillon, le débat risque d'être musclé au vu de certaines réformes mais resté courtois, je vous prie. Essayez de centrer le débat sur Fillon sur ce topic et sur les nominations des ministres de demain ici aussi.
Fillon est donc depuis ce matin, le 17 mai 2007 à 11h10, le premier Premier ministre de Nicolas Sarkozy.
Voici la biographie de Fillon tiré de Wikipedia :
Citation :
Il est le fils de l'historienne Anne Fillon, et de Michel Fillon, notaire. Il a trois frères. Il grandit dans la petite ville de Cérans-Foulletourte dans la Sarthe où il fréquente l'école communale.
Il étudie ensuite au collège privé de Saint-Michel-des-Perrais à Parigné-le-Pôlin, puis le lycée Notre-Dame de Sainte-Croix au Mans. Il obtient en 1972 un baccalauréat de philosophie.
Il étudie ensuite à l'Université du Maine (France) où il est l'élève de Christian Philip. Il y obtient une maîtrise de droit public en 1976. L'année suivante il obtient un DEA en droit public de l'Université René Descartes de Paris et un DEA en sciences politiques de la Fondation nationale des sciences politiques.
Il envisage un temps de devenir journaliste et effectue pendant trois ans des stages à l'AFP. Il opte pour la carrière politique quand le député de la Sarthe, Joël Le Theule l'engage comme assistant parlementaire en 1976. Lorsque celui-ci devient ministre, François Fillon sera chef-adjoint de son cabinet.
Il se marie le 28 juin 1980 avec Pénélope Clarke, d'origine galloise. Il a cinq enfants : Marie, Charles, Antoine, Édouard et Arnaud.
Après le décès de Joël Le Theule, il est élu député puis conseiller général en 1981. Il devient ainsi le plus jeune député de l'Assemblée nationale. Il est longtemps un proche de Philippe Séguin.
Après la victoire de Jacques Chirac en 2002, il est tout d'abord ministre des Affaires sociales au sein des gouvernements Raffarin (2002-2005), numéro 3 du gouvernement. Il mène la principale réforme de ce gouvernement : une réforme des retraites, appelée loi ou réforme Fillon, qu'il conduit jusqu'au bout, malgré de nombreuses manifestations. Il mène également une réforme des 35 heures.
Nommé ministre de l'Éducation nationale en mars 2004, il entame une autre réforme qui suscite des mouvements de protestation très importants parmi les lycéens durant le printemps 2005 : de nombreux lycées sont bloqués et/ou occupés. Il abandonne la partie de la réforme concernant le Baccalauréat et fait voter le reste du projet de loi.
Après le « non » au référendum sur le Traité constitutionnel européen et la démission de Jean-Pierre Raffarin qui suit, il est écarté du gouvernement. Furieux, il déclare dès le lendemain dans un article du Monde du 3 juin 2005 « de Chirac on ne se souviendra de rien, sauf de mes réformes », annonçant sa mise en campagne en faveur de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2007.
Il est devenu le 17 mai 2007 le premier Premier Ministre du Président de la République nouvellement élu Nicolas Sarkozy.
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Et voici le détail de sa carrière politique :
Citation :
Débuts * 1976 - 1977 : assistant parlementaire de Joël Le Theule, député de la Sarthe.
* 1977 - 1978 : chef-adjoint du cabinet de Joël Le Theule, ministre des Transports.
* 1980 : chef-adjoint du cabinet de Joël Le Theule, ministre de la Défense.
* 1981 : chef du Service des travaux législatifs et parlementaires au cabinet d'André Giraud, ministre de l'Industrie.
Carrière élective locale
* 1981 - 1986 : élu conseiller municipal de Sablé-sur-Sarthe (adjoint au maire, chargé des affaires économiques).
* Mars 1983 - 2001 : maire de Sablé-sur-Sarthe.
* Février 1981 - 1998 : élu conseiller général de la Sarthe, dans le canton de Sablé-sur-Sarthe.
o Mars 1985 : vice-président du Conseil général de la Sarthe, chargé des Affaires économiques.
o 1992 - 1998 : président du Conseil général de la Sarthe.
* Depuis 1998 : conseiller régional des Pays de la Loire.
o Avril 1998 - mai 2004 : président du Conseil régional des Pays de la Loire.
* Depuis 2001 : conseiller municipal de Solesmes dans la Sarthe.
* Président de la Communauté de communes du district de Sablé-sur-Sarthe.
Carrière parlementaire * En 1981, malgré la « vague rose », il est élu député RPR de la 4e circonscription de la Sarthe. À 27 ans, il est le benjamin de l'Assemblée nationale. Il est réélu en 1986, 1988, 1993, 1997 et 2002.
o Membre de la Commission de la Défense (Président de la commission de 1986 à 1988).
o Président du Groupe d'amitié France-Thaïlande.
* Sénateur UMP de la Sarthe, depuis le 18 septembre 2005, élu avec 54,9% des suffrages au premier tour. Démission suite à sa nomination comme Premier ministre.
Carrière ministérielle * avril 1993 - 1995, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le Gouvernement Édouard Balladur avec Christian Philip comme directeur de cabinet.
* mai 1995 - juin 1997, ministre des Technologies de l'information et de la Poste, puis ministre délégué chargé de la Poste, des Télécommunications et de l'Espace dans les premier et deuxième gouvernements d'Alain Juppé.
* mai 2002 - mars 2004, ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité, dans les premier et deuxième gouvernement de Jean-Pierre Raffarin.
* mars 2004 - juin 2005, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le troisième gouvernement de Jean-Pierre Raffarin.
* 17 mai 2007, nommé Premier ministre par Nicolas Sarkozy.
Au sein du RPR et de l'UMP * 1997 : secrétaire national du RPR, chargé des Fédérations.
* 1998 : porte-parole de la commission exécutive du RPR.
* Depuis 2002 : membre fondateur de l'Union en Mouvement, rédacteur du projet de l'Union en Mouvement (« Notre vision pour la France ») et du programme de l'UMP pour les élections législatives de 2007. Il a également fondé un club regroupant ses partisans, l'Association France.9.
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François Fillon a souvent exprimé sa volonté réformatrice et la nécessité de fermeté. Il est estimé des partenaires sociaux par son attitude de dialogue, qu'il a montré aux cours de ses mandats de ministre.
Il est souvent qualifié de "Gaulliste social".
Son gouvernement sera annoncé demain mais les rumeurs vont bon train.
Voici un article interessant en attendant demain matin du monde :
Citation :
Sans surprise, François Fillon, 53 ans, a été nommé, jeudi 17 mai, premier ministre par le président de la République, Nicolas Sarkozy. Le communiqué de l'Elysée a été publié à 9 heures 50, juste après un petit-déjeuner à l'Elysée entre les deux hommes.
La nomination de M. Fillon ne faisait pratiquement aucun doute. "Ils ont fait de moi le directeur de campagne de Nicolas Sarkozy!" , avait lancé M. Fillon, après que Jacques Chirac et Dominique de Villepin ne l'aient pas retenu dans le gouvernement, lors du remaniement survenu fin mai 2005.
C'est le même Dominique de Villepin qui lui a remis les clefs de Matignon, à 11 heures jeudi matin, lors d'une cérémonie de passation des pouvoirs, codifiée par les règles républicaines : la garde républicaine déployée de part et d'autre du tapis rouge déroulé dans la cour jusqu'à l'escalier d'honneur, le personnel de Matignon applaudissant le premier ministre, entrant à son arrivée, et le sortant à son départ. Dans l'intervalle, les deux hommes se sont réunis dans le bureau pour un entretien.
SUBTILS ÉQUILIBRES
Le nouveau premier ministre devrait ensuite mettre, au cours de la journée de jeudi, un point final à la composition du gouvernement. Selon l'article 8 de la Constitution, il doit proposer les noms des ministres au président de la République, qui les nomme. En réalité, les deux chefs de l'exécutif préparent, ensemble, depuis plusieurs jours, les subtils équilibres de l'équipe gouvernementale. MM. Sarkozy et Fillon se sont fixés une date limite : vendredi matin car ils envisagent de convoquer un conseil des ministres extraordinaire, vendredi après-midi.
Dans la dernière ligne droite, les ultimes arbitrages s'annoncent difficiles. Première difficulté : constituer une équipe limitée à une quinzaine de membres, et redécouper les grands ministères afin d'initier une réforme de l'Etat (Le Monde des 13 et 14 mai). Deuxième difficulté : garantir la parité hommes-femmes promise par le candidat pendant sa campagne. Il faudra, enfin, respecter les équilibres politiques entre fidèles du président, courants de l'UMP, ralliés centristes et personnalités incarnant l'ouverture.
La liste des ministrables circule depuis plusieurs jours dans les milieux politiques. Mais elle change d'heure en heure. "Il y a des pièges, des ballons d'essai et des leurres" , résume un des architectes de ce puzzle. Seul Alain Juppé semble assuré d'hériter d'un grand portefeuille du développement durable, des transports et de l'énergie, et du titre de ministre d'Etat.
Il sera le seul, au grand dam de Michèle Alliot-Marie qui l'a longtemps exigé et qui a failli perdre le portefeuille de l'Intérieur qui lui était promis. "Si MAM n'était pas une femme, elle n'aurait rien", tranche-t-on dans l'entourage du nouvel exécutif.
INTENSES TRACTATIONS
Même Jean-Louis Borloo, qui pensait être assuré de diriger un grand ministère de l'économie et de l'emploi, va devoir se battre jusqu'au dernier moment pour garantir ses prérogatives. M. Borloo a demandé à Nicolas Sarkozy d'être en charge d'un des principaux objectifs du quinquennat : ramener le taux de chômage à 5 % en 2012. Mais les stratégies industrielles, dont il estime avoir besoin pour y parvenir, sont revendiquées par Alain Juppé, au nom de la politique du développement durable.
Du coup, M. Borloo, qui avait accepté bien volontiers de céder le budget et les comptes sociaux à un autre ministre, prend le risque de devenir un roi nu. Le nouveau ministère des comptes fait d'ailleurs l'objet d'intenses tractations. Au départ promis à l'ancien ministre de la santé et porte-parole du candidat Sarkozy, Xavier Bertrand, il échoit, depuis vingt-quatre heures, à Eric Woerth, trésorier de l'UMP. Mais l'attelage Borloo-Woerth a provoqué une levée de bouclier dans les principales direction du ministère.
M. Bertrand était donné favori, jeudi matin, pour reprendre le ministère des affaires sociales. Et donc pour hériter de quatre grands chantiers du quinquennat : service minimum, contrat de travail unique, organisation des quatre conférences sociales de la rentrée et, pour 2008, réforme des régimes spéciaux.
Côté femmes, c'est l'autre porte-parole de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati, qui symboliserait la montée en puissance de la "génération Sarkozy" en prenant en charge la justice. Christine Lagarde, l'ancienne ministre déléguée au commerce extérieur, prendrait l'agriculture et l'OMC. Roselyne Bachelot est favorite pour la santé et les sports, Valérie Pecresse pour l'université et la recherche.
Le grand ministère rêvé par Nicolas Sarkozy de l'Education et de la Culture n'en serait plus un : Xavier Darcos reprendrait l'éducation et l'actuelle présidente de l'établissement public du Château de Versailles, Christine Albanel, hériterait de la culture.
L'ouverture au centre semble, pour le moment, curieusement limitée à un candidat : Hervé Morin qui serait en charge de la défense. Maurice Leroy aurait vu s'éloigner ses chances de rentrer au gouvernement.
Quand à l'ouverture à gauche, elle serait incarnée par l'arrivée de Bernard Kouchner aux affaires étrangères et de Jean-Pierre Jouyet, patron de l'inspection des finances, ancien directeur de cabinet adjoint de Lionel Jospin et proche du couple Hollande-Royal.
M. Jouyet serait nommé secrétaire d'Etat aux affaires européennes et directement rattaché à François Fillon. Seul le premier ministre devrait d'ailleurs hérité d'un ou de deux secrétaires d'Etat, les autres ministres devant attendre les élections législatives pour étoffer leurs équipes.
Enfin, deux ministrables auraient déjà perdu leur statut au cours des dernières heures : Christine Boutin ne figurerait plus dans le casting, tout comme Frédéric Salat-Barroux, le secrétaire général de l'Elysée sortant.
Beaucoup de ténors de la droite, et notamment la quasi totalité des ministres sortants du gouvernement Villepin, devront se faire une raison : les places sont chères. Jean-François Copé, lui, a déjà trouvé un plan B : il sera président du groupe UMP, comme le lui ont "proposé" MM. Sarkozy et Fillon, a-t-il annoncé mercredi soir sur France3.
NOUVEAUX RAPPORTS
Au delà-de la constitution de l'équipe gouvernementale, ce sont les nouveaux rapports entre l'Elysée et Matignon qui devront être réinventés dans les prochaines semaines. Face à la présidentialisation du régime, voulue par Nicolas Sarkozy, François Fillon devra inventer une gouvernance différente.
Le nouveau premier ministre affirme ne pas avoir d'état d'âme à devenir le "super directeur de cabinet" de Nicolas Sarkozy. Les deux hommes, qui ont parfois été en opposition au sein de la droite, ont appris à se connaître depuis deux ans. "Ils s'entendent exceptionnellement bien" , assure un familier du nouveau couple exécutif.
Il n'empêche, l'Elysée se renforce, avec l'arrivée de conseillers de poids dans la plupart des domaines de l'action publique : outre le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, et la directrice du cabinet, Emmanuelle Mignon, Jean-David Levitte, ambassadeur de France à Washington, va diriger la cellule diplomatique, Raymond Soubie sera en charge des dossiers sociaux et Jérôme Peyrat deviendra le conseiller politique.
François Fillon, même s'il a fait vœu d'allégeance, muscle lui aussi son cabinet. Il sera dirigé par Jean-Paul Faugères, l'actuel préfet de la région Alsace. Franck Robine, secrétaire général de la même région, deviendrait chef de cabinet. Igor Mitrofanoff, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, devrait devenir le conseiller politique de François Fillon, assisté probablement de Jérôme Paolini.
La cellule politique serait renforcée par Daniel-Georges Courtois, délégué général de la fédération parisienne de l'UMP. Le pôle social de François Fillon est également en place : il serait composé d'Eric Aubry, de Vincent Chriqui, ancien directeur du cabinet de Gérard Larcher et de Pierre Mayeur, chargé de la sécurité sociale. "Tout ira bien entre l'Elysée et Matignon, à condition d'être aux ordres...", glisse un proche du nouveau premier ministre.
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Que pensez-vous de sa nomination ? Auriez-vous préferer un Borloo légèrement moins à droite ?
Voilà d'après Le Monde.fr la composition du gouvernement :
Citation :
Premier ministre : François Fillon.
Ministre d'Etat, chargé de l'environnement, de l'énergie et transports : Alain Juppé (il pourrait également hériter de l'industrie).
Affaires étrangères : Bernard Kouchner.
Intérieur : Michèle Alliot-Marie.
Justice : Rachida Dati.
Immigration et identité nationale : Brice Hortefeux.
Défense : Hervé Morin.
Stratégie économique et emploi : Jean-Louis Borloo.
Budget (ou comptes) : Eric Wœrth.
Affaires sociales : Xavier Bertrand.
Education : Xavier Darcos.
Recherche et enseignement supérieur : Valérie Pécresse.
Santé et sport : Roselyne Bachelot.
Agriculture : Christine Lagarde .
Culture : Christine Albanel.
Secrétaire d'Etat aux affaires européennes : Jean-Pierre Jouyet.
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Et pour le Figaro :
Citation :
La plupart des ministrables ont été reçus jeudi après-midi à Matignon ou à lElysée. Avec à la clé, heureuses surprises ou déceptions.
20h00 : Après recoupement des différentes sources, on peut esquisser les contours du prochain gouvernement, tel qu'il devrait être annoncé vendredi matin.
- Alain Juppé (Ministre d'Etat, chargé de l' Environnement, du développement durable, de l'énergie et des transports)
- Jean-Louis Borloo (Stratégie économique, entreprises, emploi)
- Xavier Bertrand (Affaires sociales, travail)
- Brice Hortefeux (Co-développement, coopération, immigration, intégration, identité nationale)
- Xavier Darcos (Education)
- Bernard Kouchner, socialiste, (Affaires étrangères)
- Hervé Morin, centriste, (Défense)
- Eric Woerth (Budget, Comptes publics, Fonction publique)
- Christine Boutin (Cohésion sociale)
- Rachida Dati (Justice)
- Michèle Alliot-Marie (Intérieur)
- Valérie Pécresse (Recherche, enseignement supérieur)
- Christine Lagarde (Agriculture)
- Christine Albanel (Culture)
- Roselyne Bachelot (Santé et sports)
18 h 40 : La présidence met un terme au défilé en annonçant que la liste du gouvernement sera rendue publique vendredi à 9h45 par Claude Guéant. Précision de poids: il sera composé de huit hommes, dont un socialiste et un UDF, et de sept femmes, selon des sources concordantes.
18 h 00 : Alors que François Fillon se dirige vers l'Elysée, Philippe Douste-Blazy est reçu par Nicolas Sarkozy. Le nom du ministre des Affaires étrangères démissionnaire n'a pourtant jamais été cité pour faire partie du nouveau gouvernement.
17 h 45 : Hervé Morin, député UDF et ex-lieutenant de François Bayrou, arrive à Matignon pour s'entretenir avec François Fillon. Il semble bien placé pour occuper le ministère de la Défense. Cette entrevue clos la session de consultations du nouveau premier ministre.
17 h 30 : Jean-Louis Borloo est à son tour accueilli à l'Elysée. Au même moment, Rachida Dati, pressentie à la Justice, est arrivée dans la cour de Matignon.
17 h 00 : Après sa visite à l'Elysée, Michèle Alliot-Marie arrive à l'Elysée pour y rencontrer François Fillon.
16 h 30 : Parmi les plus attendus, le socialiste Bernard Kouchner fait une arrivée remarquée à Matignon. Il semble assuré dobtenir le Quai dOrsay.
16 h 00 : Xavier Bertrand arrive à Matignon. Il est le favori pour les Affaires sociales et le Travail, un des portefeuilles les plus épineux. Au même instant, à lElysée, cest Michèle Alliot-Marie qui arrive. Elle pourrait se voir confier le ministère de la Sécurité intérieure.
15 h 35 : Jean-Louis Borloo ouvre le bal à Matignon. Il semble quasi-assuré dobtenir un grand ministère de la Stratégie économique, des Entreprises et de l'Emploi.
15 h 30 : Autre fidèle parmi les fidèles, Brice Hortefeux, qui pourrait hériter d'un ministère regroupant Immigration, identité nationale et co-développement. Il est suivi de Bernard Accoyer, actuel président du groupe UMP à lAssemblée, intéressé par le perchoir de lhémicycle.
15 h 00 : C'est au tour de l'ancien ministre du Budget Jean-François Copé d'arriver à l'Elysée. Il avait indiqué plus tôt que Nicolas Sarkozy et François Fillon lui avaient proposé de présider le groupe UMP à lAssemblée, un poste que convoite pourtant Christian Estrosi, très proche du président de la République.
14 h 30 : Patrick Devedjian patiente à lElysée quand Nicolas Sarkozy revient, en short et baskets, de son jogging avec François Fillon. Devedjian, fidèle du nouveau président, na pas caché son amertume suite à « louverture » à gauche et au centre prônée par Nicolas Sarkozy, qui lui aurait proposé la tête du Conseil général des Hauts-de-Seine. Après une heure de tête-à-tête, Patrick Devedjian sort en déclarant : « Je suis toujours satisfait de mes entretiens avec le président ».
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ATTENTION : Sondage en deux temps, votez demain à la deuxième partie. Message édité par Cherry_ le 25-05-2007 à 15:34:39
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