Y'a rien qui empêche de panacher si le besoin se fait sentir de durcir le ton. Une clique sur les fesses quand le gamin ne veut rien entendre question raison, ça le vexe un bon coup plus que ça ne lui fait mal (surtout si c'est sur le cul rembourré à la couche culotte).
 
Y'a des moments où un gosse veut rien savoir. Si l'adulte ne sait pas prendre le dessus intelligemment, c'est le gosse qui a gagné.

http://lecolporteur.files.wordpres [...] ants-2.jpg
 
Fucking so true  

L'enfant roi ? Jamais chez moi, quitte à passer pour un dictateur (ce qui sera est le cas  chez tous les parents bobos chez qui :
 
- Oh mon D.ieu : j'ai donné un fessée à mon fils de 2 ans à qui j'ai dit/expliqué/démontré (parce que maintenant, il parait qu'il faut expliquer aux enfants POURQUOI ils ont tort, sinon ils seront frustrés)
- j'ai PUNI le même enfant, qui malgré les avertissements, n'a pas obéi (mot tabou)
- j'ai tenu bon : puni, c'est puni, sinon quid de l'autorité ? Ah bon on s'en fout, l'essentiel c'est que tes gosses soient tes potes. Oui, mais non.
Vieux con powered, mais au moins mes gosses ne seront pas des sales gosses. Ah, tout le monde s'en fout. Ah-derechef- je suis un facho, bla bla je le sais. Ouais mais même

'tain, ça fout les boules, ce genre de comportement.

Et ça fout encore plus les boules, les parents qui réagissent en faveur de leur fils.

ouais c'est connu on survit tres bien sans amour parental....    

Privé d'amour complètement, l'enfant meure je crois.

Tu dis ça pour déconner où tu penses vraiment que c'est ça le role des parents et que ça marche ?

Dans un sens, je comprends ce que veut dire t_faz, mais en effet l'autorité parentale ce n'est pas que le père, c'est aussi la mère bien entendu.

 
Le role des parents est le suivant :
- s'assurer que la descendance soit en bonne santé
- s'assurer qu'elle soit indépendante
- s'assurer qu'elle soit le plus intelligente possible
- eventuellement si pas intelligent, s'assurer qu'elle soit performante sportivement

Et donc ? Tes performances sportives, ça donne quoi ?

+ 1. Je me souviens encore des torgnoles mémorables que je me prenais par ma mère.
 
Je venais de faire ma connerie. Sachant que j'allais m'en prendre une, je me réfugiais dans ma chambre, ma mère à mes trousses. Je me fermais dans ma chambre. Ma mère tambourinait à la porte. "Ouvre cette porte tout de suite !". Moi, flippant, je ne cédais pas à la première somation. Au bout de plusieurs somations et plusieurs promesses du genre "Mais non, je ne te ferrai rien, ouvre cette porte !", je déverrouillais le loquet. Naturellement, les promesses n'étaient pas tenues.  
 
   

 
OMFG epic répartie, je m'y attendais mais alors pas du tout... t'es une masse niveau vanne toi
 
anyway, stop attaque perso et retourne au debat
 
merci.

Il y a une contradiction dans ton truc :
Tu commences et tu finis par "c'est une erreur" ("craquer", "pas à être parfaits" ). Et au milieu, tu dis qu'elle est "justifiée".
 
Alors ?  
Il faut choisir, c'est un geste irréfléchi et bête qui peut arriver à tout le monde ou c'est un principe éducatif clair et justifié ?

 
Pour moi c'est un principe éducatif clair et défini, c'est la sanction ultime, un peu comme les TIG avec sursis pour la justice française  (pour faire plaisir aux wannabe Jean Gabin du topic   ). Et donc absolument exceptionnel.
 
 
Pas que je sois spécialement fan des chats, mais je ne peux pas laisser impunément mon neveu sauter à pieds joints sur un animal. Et je préfère devoir lui donner une fessée qu'euthanasier le chat qui l'aurait griffé.
 
(Tout en nuances subtiles, oui).

+ 1. Je me souviens encore des torgnoles mémorables que je me prenais par ma mère.
 
Je venais de faire ma connerie. Sachant que j'allais m'en prendre une, je me réfugiais dans ma chambre, ma mère à mes trousses. Je me fermais dans ma chambre. Ma mère tambourinait à la porte. "Ouvre cette porte tout de suite !". Moi, flippant, je ne cédais pas à la première somation. Au bout de plusieurs somations et plusieurs promesses du genre "Mais non, je ne te ferrai rien, ouvre cette porte !", je déverrouillais le loquet. Naturellement, les promesses n'étaient pas tenues.  
 
   

Genre t'as pas compris... En gros que le gosse a clairement dépassé les limites, il s'agit pas de craquer parce qu'il a pas fini son assiette quoi.

Pour ça, j'avais le droit au bouquet d'orties contre ma peau.  
 
Étonnamment, mon assiette finissait souvent vide.

Quel bel exemple pour la jeunesse ...

 
Elle a l'air sympa ta mère    
 
Quand tu rangeais pas ta chambre, c'était le fer rouge?  

Pour moi, j'ai été correctement éduqué.

 
Pour faire aller son mome le plus loin possible (en terme de pouvoir/responsabilité/argent/célébrité/perf sportive ou que sais-je...) il n'est pas du tout nécessaire de l'aimer je pense. Un entraineur n'aime pas ses athlete, il en tire le maximum. C'est pareil avec un mome, faut juste savoir repérer son potentiel et l'exploiter au mieux.
 
Apres l'amour ca peut etre un plus.
 

Pour moi, j'ai été correctement éduqué.
 

Pour les orties, c'était ma grand-mère.
 
Tu veux également que te parles des torgnoles que je prenais à l'école par les professeurs ? Pour moi, et mes autres camarades, on trouvait cela normal.
 
Et encore, c'est light quand tes parents ou tes grands-parents t'expliquent comment c'était, eux, à leur époque.  

 
 
j'ai jamais eu d'amour de mes parent , mon enfance ressemblais plus a  
http://www.encyclopedie.picardie.f [...] ssette.jpg a comparez encore cossette ca ressemblais au paradis la ou elle etait
 
et j'en suis pas mort , malgré des tentative de suicide, donc généralise pas  
 

Ce genre de sévices de la part d'un adulte ayant autorité c'est évidemment inadmissible. Mais d'un autre côté la dérive actuelle où les personnels éducatifs n'ont même pas le droit de se défendre contre les coups portés par les gosses turbulents, c'est également n'importe quoi.

J'avais un très bon instit, jamais il ne portait la main sur nous, mais quand il faisait les gros yeux en montrant la classe, on avait compris qu'on devait passer la récré à recopier des verbes, parce qu'on n'aurait pas dû grimper sur le toit pour chercher le ballon, et personne mouftait.

En apprenant à ne pas tenir tes promesses ?
 
Et il n'y a que les coups qui peuvent te faire comprendre un truc ?  
C'est flippant, même avec les chevaux on peut faire autrement.

 
Tu es pourtant plus jeune que moi    
 
Quand ils ont raccordé le village au réseau électrique, c'était encore Mitterand le prés'?  

Pareil. Mais j'ai du mal à évaluer correctement à quel point ça a changer, ça.  
Et si c'est le cas, qu'est ce qui a changé ?  
Parce que franchement, les instits et les profs que j'ai eu, si ils faisaient très exactement la même chose aujourd'hui, ça m'étonnerait beaucoup qu'il risque un procès. J'ai eu peur de prendre une baffe de toute ma vie.

C'était une ville thermale donc bourgeoise, même si je faisais partie de la classe moyenne.

 
Il manque un mot dans la dernière phrase non?
 
 
 
Pour les instits qui ont naturellement de l'autorité, ça doit aller, mais ça doit être dur pour la jeune débutante de 45 kilos de se retrouver face à des fauves déchaînés et pourtant prépubères, alors que la formation pédagogique/autorité à l'IUFM, macache.
 
Commençons déjà par de nouveau appeler les IUFM "Ecoles Normales" et les "professeurs des écoles" des "instituteurs", rien que la novlangue n'inspire plus le respect.
 
Mais un changement de la part des élèves aussi. Sans doute plus d'enfants à problèmes, que ce soient des enfants-rois ou des petits durs subissant une "éducation" brutale.
Parce que mes camarades de classe les plus turbulents/ayant un trouble du comportement, c'étaient ceux qui subissaient des sévices corporels chez eux.

 
Il manque un mot dans la dernière phrase non?

 
Changement au niveau de la relation/du statut avec les parents aussi, auparavant l'instit était moins contesté que maintenant.

Il manque un mot dans la dernière phrase non?

Pour les instits qui ont naturellement de l'autorité, ça doit aller, mais ça doit être dur pour la jeune débutante de 45 kilos de se retrouver face à des fauves déchaînés et pourtant prépubères, alors que la formation pédagogique/autorité à l'IUFM, macache.

Commençons déjà par de nouveau appeler les IUFM "Ecoles Normales" et les "professeurs des écoles" des "instituteurs", rien que la novlangue n'inspire plus le respect.

Mais un changement de la part des élèves aussi. Sans doute plus d'enfants à problèmes, que ce soient des enfants-rois ou des petits durs subissant une "éducation" brutale.
Parce que mes camarades de classe les plus turbulents/ayant un trouble du comportement, c'étaient ceux qui subissaient des sévices corporels chez eux.

Non, mes parents étaient anti-religion, bien qu'élevés dans le catholicisme. Ils n'étaient pas forcément au courant des baffes que je me prenais à l'école.

 
Changement au niveau de la relation/du statut avec les parents aussi, auparavant l'instit était moins contesté que maintenant.

Exactement. Et si toi, enfant, tu contestais l'instit auprès de tes parents, ils te foutaient une torgnole supplémentaire (là, c'était plus dans le années 60-70 ).

 
Je ne parlais pas de ta famille, mais de l'environnement général, qui explique pourquoi c'était accepté.
 

 
Changement au niveau de la relation/du statut avec les parents aussi, auparavant l'instit était moins contesté que maintenant.

Ma mère me faisait systématiquement faire mes punitions à domicile en double. Une fois pour l'instit' et une fois pour elle
Ben j'en ai pas eu beaucoup

Pour moi, j'ai été correctement éduqué.
 
 
Pour les orties, c'était ma grand-mère.
 
Tu veux également que te parles des torgnoles que je prenais à l'école par les professeurs ? Pour moi, et mes autres camarades, on trouvait cela normal.
 
Et encore, c'est light quand tes parents ou tes grands-parents t'expliquent comment c'était, eux, à leur époque.  

En apprenant à ne pas tenir tes promesses ?
 
Et il n'y a que les coups qui peuvent te faire comprendre un truc ?  
C'est flippant, même avec les chevaux on peut faire autrement.

Non, mes parents étaient anti-religion, bien qu'élevés dans le catholicisme. Ils n'étaient pas forcément au courant des baffes que je me prenais à l'école.

 
Ma mère me faisait systématiquement faire mes punitions à domicile en double. Une fois pour l'instit' et une fois pour elle
Ben j'en ai pas eu beaucoup

Pour moi, l'école primaire, c'était dans les années 80 à Paris. Les parents contestaient déjà pas mal les instits dans mon souvenir. Souvent pour dire que les "nouvelles" méthodes étaient mauvaises d'ailleurs ;-)

Bonne méthode.
 
J'avoue que quand j'étais au collège, ma mère me filait du papier carbone pour mes punitions reçues de la part des surveillants.

la classe , moi mes parent mon apprit a boire, frapper voler , mais je le fait pas (voire topic noel ces encxxx mon fait un coup de xxx ce matin)
 
donc au final c'est si un enfant arrive a avoir une personne comme moi qui ma sauvé de la spirale infernal, en apprenant les chose bien, il peut s'en sortir