Ah ben c'est super, on en arrive en 2003 à être heureux parce que c'est mieux que du temps de Zola?
Eh bien oui, la logique a tjs été d'avoir de plus en plus d'acquis sociaux. Si on commence à revenir en arrière, où va-t-on s'arrêter?
c'est pas le sens de ma remarque.
Le goût au travail n'est pas lié forcément aux conditions de travail. A cette époque heureusement révolue, les conditions étaient merdiques mais le travail était vu comme une nécessité.
C'est pas forcément lié gout autravail et conditions de travail.
c'est pas le sens de ma remarque.
Le goût au travail n'est pas lié forcément aux conditions de travail. A cette époque heureusement révolue, les conditions étaient merdiques mais le travail était vu comme une nécessité.
C'est pas forcément lié gout autravail et conditions de travail.
Pas forcément, mais en l'occurrence, actuellement, ça l'est...
c'est pas le sens de ma remarque.
Le goût au travail n'est pas lié forcément aux conditions de travail. A cette époque heureusement révolue, les conditions étaient merdiques mais le travail était vu comme une nécessité.
C'est pas forcément lié gout autravail et conditions de travail.
ça veut dire que tu affirmes qu'à cette époque une écrasante majorité des travailleurs avaient goût à leur travail
ça veut dire que tu affirmes qu'à cette époque une écrasante majorité des travailleurs avaient goût à leur travail
le travail était vu comme une nécessité pour survivre.
Les loisirs ne venaient qu'après, bien après.
Tout ce tintouin autour du 'goût au travail', c'est juste que certains estiment que notre socièté place les loisirs avant le travail. Et moi je dis que cela n'est pas forcément dû au fait que la crise économique est là et qu'on est plus ou moins bien traité à son travail.
wala.