Reprise du message précédent :

 
Oui surtout qu'apparement toi, tu as des tendances schizophrènes, c'est dangereux ça

Pourquoi? C'est bien de débattre non?

 
heu...ben oui pourquoi? Je demandais juste un éclaircissement

www.serelaxer.net je vous le conseille..... looool

 
  . tu sais ce que c'est, c'est le stress du à la vie de tous les jours.

Désolé, je voulais quoter le message juste en dessous du tien  
 
C'était en réponse à: "quel debat houleux!!! en bref je vous remercie de vos maigres conseils, c'est pas trop grave mais je crois que jamais je ne reposerais de question ici! mdr"

jercec a écrit :
 
Pourquoi? C'est bien de débattre non?
 
oui aucun soucis mais je n'ai pas de reponses à ma question mis à part le fait qu'un licence de psycho ne vaut rien, à part pour integrer l'iufm. Et bifurquer sur une autre filière reste un mystère...lol

Il est encore d'actualités de FAIRE CE QU'ON VEUT DE SA VIE.  
Gardez vos conseils du style " oriente-toi vers une filière qui te mène à du boulot et bla et bla et bla" Si vous avez des exemples de filières en fac qui mènent directement à un job en or et à un salaire honnorable, allez-y balancez votre science! Je suis très curieuse de savoir ce que papa-maman vous ont donné comme conseils pour avoir un vie de frustré...  
si on s'oriente en fac de sciences humaines, c'est qu'on attend autre chose de la  Fac que certains "étudiants" de filières "prométeuses".  
 
Certains ont des discours de vieux cons et ca fait peur.  
Vous n'avez rien à foutre en sciences humaines, cest clair comme de l'eau de roche lol .  
 
Il y a bcp d'orientation possible en psycho, il faut juste aller jusqu'au Master. Et aller en centre d'orientation au lieu de lire des pauvres messages débiles de personnes qui ne savent même pas de quoi elles causent...  
 
En souhaitant une longue vie pleine de joie aux chers "étudiants" qui savent que "les études c'est pour trouver du boulot" <== pauvre tâche!

Le déterrage d'un topic de 2006 pour mettre son étron troll dessus
 

heuh je voulai savoir pr ceux ki veulent fair une licence en psycho , j'ai cherché des infos partt et je connais a pe etre tout sur la filiere mais juste un truc en L1 j'aimerais connaitre les difficultés auquelles on est  le + exposé et si possible les matiere les + importante parceke j'ai besoin de choisir entre cette filiere et une autre pr pouvoir savoir lekel j'aurai + de chance de reussir . merci de me répondre

étant en 4ème année de psychologie, je peux t'apporter qqes infos. Tout dépend où tu vas aller faire ta licence en fait.  Sache qu'à Strasbourg, ça doit être la plus scientifique de France. Beaucoup d'anatomie du système nerveux, de neurobio, et un peu de statistiques. Mais c'est pas dur, il faut juste aimer ça. Y au aussi pas mal de théorie psychanalytique. J'avais en moyenne 30h de cours par semaine, donc t'attends pas à glandouiller... Mais avec un minimum de travail, ça passe, et puis c'est super intéressant.
 
Pour les autres facs, j'imagine que certaines doivent plus se pencher sur la clinique, d'autres sur la psycho du développement, d'autres sur la psycho du travail. Voit selon les facs quels cours ils proposent en licence.

Bonsoir!
 
Quelqu'un pourrais-t-il me renseigner sur mes possibilités d'inscription en licence de psychologie (3ème année)?
Je suis titulaire d'un bac ES (mention) et d'une première année d'AES (Administration Economie et Social; sociologie, stats, ...) (mention)
Je suis actuellement en deuxième année de BTS assistante car j'avais besoin d'une formation professionnelle pour être au coeur de l'entreprise et être sûre de mes choix (je souhaiterais m'orienter en psychologie du travail)
Est-il possible d'intégrer une 3ème année de licence psychologie après obtention de mon bac + 2?
Merci pour les réponses CONCRETES!!!  
     

 
Après un BTS Assistante, il n'est pas possible d'intégrer directement une L3 de psychologie. Même si tu as validé une première année d'AES avant.

Je suis universitaire en psychologie (enseignant-chercheur) et je voudrais réagir à des commentaires selon lesquels la psychologie ne sert à rien et que les étudiants feraient mieux de faire des formations utiles (dans l’industrie par exemple).
 
Concernant l’utilité de la psychologie, je travaille sur les effets secondaires de nouvelles techniques de neurosciences (Stimulation Magnétique Transcranienne, Stimulation Cérébrale Profonde par implants d’électrodes dans différentes zones du cerveau) permettant de soigner plusieurs maladies (telles que la maladie de Parkinson, la dépression, les TOCs, etc.) Ces recherches permettent de sauver des vies tous les jours. Est-ce que cela rentre dans la définition de « utile » ? Peut-être que les gens qui trouvent la psychologie inutile changeront d’avis lorsqu’ils se retrouveront avec 2 électrodes dans la tête suite à une maladie neurodégénérative et qu’ils seront bien contents que l’ont aient pu d’une part améliorer l’efficacité de ces techniques et d’autres part proposer des thérapies cognitivo-comportementales (TCC) adaptées en complément de ces nouvelles méthodes thérapeutiques. Des milliers de patients bénéficient de ces techniques et il y a dans ce domaine des débouchés énormes pour des étudiants un minimum motivés et intelligents. Autre exemple de « l’utilité » de la psychologie : une amie recherche une neuropsychologue pour sa fille qui a des problèmes d’apprentissage scolaire (problème de représentation visuo-spatiale). Délai d’attente pour un RDV avec une neuropsychologue (diagnostique et exercices de remédiation cognitive): 6 mois d’attente ! Apparemment, certaines personnes ont donc compris l’utilité de la psychologie. Entre les problèmes scolaires, les victimes d’accidents neurologiques (AVC, tumeurs, accidents de la route, etc.) ou les diagnostiques/exercices pour personnes vieillissantes, cette neuropsychologue libérale ne peut simplement pas répondre à la demande.
Il est vrai qu’au niveau de la formation, les places sont chères, dans mon Université : 30 places en Master 2 pour 500 étudiants en première année, soit 6% des meilleurs étudiants, donc un taux de sélection plus élevé qu’en Médecine ou en Classes Préparatoires par exemple. Ceci dit, sur les 500 étudiants de 1° année, si on enlève les gens qui sont là sans vraiment savoir pourquoi (et qui ne viennent même pas aux examens lorsqu’ils se rendent compte qu’il s’agit en fait de matières scientifiques) et ceux qui font une formation en psychologie pour intégrer une école spécialisée (éducateur spécialisé, assistante sociale, Conseiller d’Orientation Psychologue, psychomotricien, orthophoniste, Conseiller Principal d’Education ou pour beaucoup prof), un Master est en fait tout à fait possible pour des étudiants motivés, travailleurs et intelligents. Le suivi de nos étudiants de Master montrent qu’ils trouvent ensuite tous un emploi, par contre ils savent qu’il faut être mobile (au moins en début de carrière). En même temps la mobilité n’est pas spécifique à la psychologie, la plupart des diplômes niveaux bac+5 sont spécialisés et nécessitent donc de la mobilité.
 
Concernant cette fois la plus grande utilité d’une formation dans l’industrie par rapport à la psychologie. Je travaille aussi sur les systèmes cognitifs artificiels. Des auteurs comme Mc Clelland, Rumelhart ou Hinton (des pontes de la psychologie et des sciences cognitives) ont révolutionné la psychologie grâce aux réseaux de neurones artificiels. Cette révolution s’est maintenant propagée aux sciences de l’ingénieur et de belles surprises sont en préparation entre chercheurs de psychologie, de neurosciences et de robotique. Un exemple concret auquel j’ai participé il y a moins d’un mois lors d’une conférence : des systèmes cognitifs artificiels sont maintenant tout à fait capables de remplacer les humains aux postes de commandes numériques. Les gens qui jouent les gros bras en ce moment feraient bien de commencer à réfléchir à comment sera le monde dans 10 ans et quelle sera leur place dans ce monde !

Billy, je suis globalement d'accord avec toi surtout que tu parles en connaissance de cause. Néanmoins, ne lissons pas non plus les traits de façon excessive. On sait que tous les docteurs en psychologie sociale ne sont pas casés même 3 ans (voire 5 ans) après leur thèse. Certes, ils peuvent se recycler en assistante sociale ou en COP mais après un doctorat + 2/3 ans en tant qu'esclave sous-fifre pour en arriver, ce n'est pas trop fun.
 
Mais tu as raison, un crack en psychologie cognitive n'a aucun souci à se faire.

Le problème n'est pas tant le cursus lui même mais plutôt la vision que les autres ont sur ce genre de cursus.  
Je connais beaucoup de personnes tout à fait compétentes qui se sont lancés dans lettres modernes (mais ne veut pas être prof), psycho, histoire de l'art, art plastique...  
Ils ont fait un master pour la plus part. Et bien, une bonne partie d'entre eux, après 1 ou 2 ans à chercher un job ou à enchainer les petits boulots, ont repris leurs études dans un autre domaine offrant plus de débouchés.  
 
D'un autre coté, cela permet d'avoir une double compétence non négligeable une fois inséré.
 
Il est normal de vouloir faire ce qu'on aime, mais il faut aussi avoir à l'esprit la réalité du marché du travail dans ce domaine.

 
Est ce que tu as des données exhaustives sur l'emploi occupé par les étudiants de ces masters. C'est le genre de données très peu communiqué par les facs qui préfèrent dire, "x% des étudiants occupent un emploi après x années", mais quelque soit la formation les taux de chômage sont relativement faibles, ce qui compte c'est le type d'emplois. Ou alors ils citent des postes occupés mais sans que l'on sache si c'est la règle ou l'exception.

Bien sur par exemple j'ai un ami qui a un master "Sciences de l'Environnement", ben il est dans sa branche, pour gagner sa vie il fait rippeur (en attendant mieux)

 
La psychologie n'est pas inutile, mais trop de gens y vont car ils trouvent ça "sympas" et se cassent les dents après une licence ou un master et leur diplôme ne leur sert à rien car il y a très peu de place.

Bonjour à tous
Je sais, le topic est un peu vieux mais je vais dire ce que j’aurais voulu que l’on me dise à moi. NE FAITES PAS PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL. Si la dimension RH vous intéresse, alors faites un master RH. Sinon, vous allez vous retrouver sur le marché de l’emploi avec de belles illusions. Je parle en connaissance de cause.  
Je suis diplômée d’un master 2 de psycho du travail. C’est joli, mon diplôme rend super bien encadré dans le salon mais ça s’arrête là. Sur le marché de l’emploi, je me retrouve systématiquement face des recruteurs qui ne connaissent pas la psycho du travail (et donc, qui n’y comprennent rien). Et face à cet ovni, ils ne prennent aucun risque et optent pour un bon vieux profil RH.
Cela va faire deux ans que je suis diplômée. C’est vrai que du travail, j’en trouve. Mais des emplois précaires mal payés et de plus en plus insignifiants. Et franchement, je n’en veux pas aux recruteurs. On est formé dans tout mais spécialiste dans rien…

Ton témoignage est intéressant car effectivement les RH englobe bcp de choses qui sont quand-même assez précises. Et finalement, les vrais diplômes orientés RH (ex : IAE) sont plus prisés par les recruteurs. Le problème quand pour les psy du travail, c'est qu'ils pourraient "être utilisés" à un moment donné dans le processus de recrutement mais pour travailler dans les RH d'une boîte, leurs compétences sont assez limitées. En RH, il y a quand-même du droit social, du management, du pilotage de performance, de la gestion stratégique.
 
En revanche, une possibilité pour les psy du travail, c'est de faire une année d'IAE (par exemple). Ca allonge d'un an la scolarité mais sur le cv, ca devient intéressant.

+1 essaye de t'inscrire en master MAE nescafe

En général c'est l'inverse.

 
A la sortie aussi  

C'était le propos oui.

 
Je sais