Concernant l'alimentation c'est un besoin vital pas hypothetique les risques que je juge inutile je les prends pas...
Concernant l'Asthme :
Pour rigoler du genou droit :
Le développement de l’asthme
Selon l’OMS, l'augmentation rapide de la prévalence de l'asthme dans le monde, surtout chez les enfants, serait l'un des plus grands mystères de la médecine moderne.
Elle a été particulièrement frappante en Australie, où environ 25 % des enfants souffrent d'asthme. Aux Etats-Unis d'Amérique, le nombre des asthmatiques a plus que doublé en quinze ans, passant de 6,8 millions en 1980 à 14,6 millions en 1995. Une enquête conduite en Israël chez des écoliers de 13 et 14 ans a révélé un accroissement très significatif du taux de prévalence de l'asthme, passé de 5,6% en 1980 à 11,2% en 1989. En Europe occidentale, la prévalence de l'asthme a également doublé en 10 ans. Enfin, au Brésil, au Costa Rica, au Panama, au Pérou et au Paraguay, de 20 à 30% des enfants présentent des symptômes asthmatiques.
Les raisons exactes de cette augmentation échappent encore aux spécialistes et aux chercheurs. Plusieurs théories ont été proposées: gaz d'échappement des moteurs diesel, allergies, régime alimentaire, tabagisme, infections virales, air froid, et exercice physique. Aujourd'hui, la communauté scientifique paraît s'accorder pour incriminer une combinaison de facteurs génétiques et d'agents environnementaux.
Pourtant, selon une étude publiée dans le magazine Science et reprise par l’AFP du 3 janvier 1997, la nette augmentation des cas d'asthme dans les pays développés pourrait être due au développement des vaccinations contre d'autres maladies, notamment respiratoires.
Soulignant que les cas d'asthme aux Etats-Unis ont doublé en 20 ans, ce rapport établit un lien entre l'augmentation des allergies provoquant l'asthme, le rhume des foins ou l'eczéma, et la protection des enfants contre la tuberculose, la coqueluche ou la rougeole. Le principal auteur de l'étude, le Pr T. Shirakawa, du Churchill Hospital d'Oxford (Grande-Bretagne), estime que la vaccination des enfants contre ces maladies les empêche de développer un système immunitaire qui les protégeait autrefois de l'asthme.
L'équipe du Pr Shirakawa a examiné un groupe de 867 enfants japonais qui avaient régulièrement reçu le vaccin BCG à l'âge de 3 mois, 6 et 12 ans. Aucun d'entre eux n'avait certes contracté la tuberculose mais ceux qui avaient répondu le mieux au vaccin ont été affectés beaucoup plus souvent que les autres par des crises d'asthme.
Cette constatation s'est vérifiée après que les chercheurs eurent pris en compte chez les enfants leurs différents styles de vie, leur environnement, leurs habitudes nutritionnelles et leur exposition aux substances allergéniques.
La responsabilité des vaccins dans cette augmentation de l’asthme est encore plus explicite avec la publication d’une autre étude effectuée dans les Highlands d’Ecosse :
Sur 446 enfants nourris au sein jusqu’à 6 mois, 243 avaient été vaccinés contre la coqueluche. Les 203 enfants non vaccinés ont présenté 5 fois moins d’asthme et 2 fois moins d’otites que les autres, alors que les Highlands ont le taux d’asthme le plus élevé du Royaume-Uni avec un taux de pollution le plus bas (cf., Dr M. Odent, M & al., Jama, 1994
Pour rigoler du genou gauche...
ALLERGIES et ASTHME par les Vaccins
Abstract
Les anticorps circulant dans le sang sont divisés en diverses catégories: IgA/IgG / IgM / IgE; chacun de ces anticorps a des fonctions diverses.
Les IgG sont la catégorie plus importante dans la défense contre les maladies infectives
Les IgE sont au contraire l'un des indices plus fidèle de la tendance allergique de l'organisme: plus le niveau des IgE est élevé, plus il est probable que l'organisme puisse développer des maladies allergiques (par exemple dermatite atopique/urticaire/rhinite allergique/asthme). Un des examens les plus communs pour évaluer l'existence des allergies est en fait le RAST, qui mesure le niveau dans le sang des IgE spécifiques contre certains antigènes (par exemple graminées/poil de chat/acariens, etc )
En général, on affirme que les vaccins créent dans l'organisme une réponse immunologique semblable à celle créée par la maladie contre laquelle on vaccine, et pour démontrer cela et pour vérifier l'efficacité des vaccins on mesure le niveau des IgG que l'organisme a créé contre l'antigène introduit (le virus ou la bactérie présente dans le vaccin) ; en fait, dans les abrégés qui suivent, on nomme souvent le concept des IgG sprécifiques créées dans l'organisme en réponse au vaccin.
On est rarement à connaissance du fait, cependant, que certains vaccins (dans cet étude le vaccin antidiphtérique et antitétanique et dans une étude également le vaccin anti-grippe) font augmenter également le niveau des Ig E spécifiques contre l'antigène introduit par le vaccin:
ceci signifie que ces vaccins font augmenter la tendance allergique de l'organisme, et en fait, certaines études démontrent une relation entre cette augmentation des IgE et l'apparition d'effets collatéraux après le vaccin.
En particulier dans l'abrégé n 5 (Vaccination d'enfants avec maladies allergiques avec doses réduites d'anatoxine DT-m adsorbée) on affirme que "durant la période post-vaccinale ces derniers ont manifesté une augmentation des niveaux de IgE et une exacerbation de la maladie de fond dans 17.8% des cas".
Ceci signifie qu'un pourcentage élevé d'enfants (presque 1/5) présente, selon cette étude, une aggravation de sa propre maladie allergique comme conséquence de la vaccination.
De la consultation que VacciNetwork-Mouvement pour la Liberté de Vaccination est en train d'effectuer sur les banques de données (med-line) jusqu'à aujourd'hui (Octobre 1997) on n'a pas encore établi si seuls ces vaccins produisent une augmentation des IgE ou bien si d'autres vaccins peuvent la produire, mais simplement dans les études effectuées on a mesuré uniquement le niveau des autres anticorps, et l'on n'a pas mesuré également le niveau des IgE; en tous cas, le fait que des vaccins très diffusés et obligatoires en Italie (diphtérie/tétanos) font augmenter le niveau d'anticorps indices de maladies allergiques nous semble très dangereux pour la santé des enfants; en outre, cet élément, avec les allergies introduites par le thimerosal et par les autres conservateurs présents dans les vaccins, permet de commencer à expliquer le mécanisme grâce auquel les vaccins causent des maladies allergiques non seulement aigues, mais également chroniques (il ne s'agit donc pas d'un hasard si au fur et à mesure que les vaccinations se sont diffusées, les allergies ont augmenté de façon exponentielle).
Bien sûr, nous ne prétendons pas que les vaccins sont l'unique cause des allergies, mais qu'ils représentent une cause importante.
j'en passe tu as google tu est grand...
Dje33>>je le mettrai sans doute apres un avis d'un modo sinon eventuellement en Mp(mais pas a 36000)