lorelei a écrit :
Je te dis, à trois, dont deux pros, on a pas réussi à la maîtriser. Enfin si, il était vaguement immobilisé, mais pas assez pour opérer une tâche de précision sans danger de l'éborgner ou de le poignarder.
En plus il pratique le lâcher de poils défensif : quand il panique, tel la fleur de pissenlit au printemps, il dégage une quantité hallucinante de poils qui t'étouffent, te forçant à t'essuyer le nez et donc à lacher la bête à moitié
Le véto avait jamais vu ça
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