Reprise du message précédent :
Ouééééééé, tu viens de réinventer le scénario de "Allô maman j'ai raté l'avion", à peu de choses près

Ne tombons pas dans la gaudriole hollywoodienne, ou alors je ne réponds plus de rien

Désolé j'connaissais pas!

En tout cas, je tiens à préciser à mon tour que j'ai bien apprécié ce sujet. Je trouve ça tout aussi bien d'avoir quelquechose de relativement précis  

Ou sinon vous êtes dans la peau d'un chien raconter sa vie.

Pumas > tes idées sont marrantes, mais pour une rédaction niveau 6ème

Je sais c'est pas terrible. Mais je propose.

 
Désolé j'ai que 12 ans

Je n'en crois rien
 
Je te donne plutôt 16 ans.

Ce sera quoi le sujet prochain ?

Vous pensez que se sera quoi le prochain sujet ?

Vous avez une idée pour le prochain sujet ?

On dit

Voilà les idées pour le moment. J'ai beaucoup de mal à choisir. Je pense qu'il faut un truc auquel Pumas puisse participer, s'il a effectivement 12 ans. Mais il faut aussi que ça nous intéresse.
 
 
Choisissez un endroit peuplé, mettez en scène la vie qu'il
contient. (Attention, la vie ne concerne pas que les humains.) Inspiré
de "Kew Gardens", de Virginia Woolf.
 
Vous êtes vieux, la fin est proche, vous faites un bilan de votre vie
et préparez le grand voyage.
 
Décrivez une créature imaginaire à la manière d'une encyclopédie.
 
Deux amis se promènent et aperçoivent deux jolies filles, qu'ils décident
de suivre. Comme elles ne vont pas dans la même direction, ils se
séparent. Inspiré de "La Perspective Nevski", de Gogol.
 
Un petit groupe d'amis se lance dans une exploration risquée : il peut
s'agir d'une maison abandonnée, d'un bar à strip-teaseuses, ou d'une
course en montagne, par exemple, selon l'âge et les préoccupations de
l'auteur.

Je propose : "vous êtes une créature imaginaire que vous devrez décrire, évoluant dans un endroit peuplé, et devez garder un enfant de 6 qui est en train de vous rendre fou, à un point que vous sentez que votre fin est proche. Racontez votre préparation au grand voyage."

 
Idée de sujet : Jean-Pierre est insupportable. Ce soir pendant qu'il regardera la télé, je vais le tuer.

Comme il faut bien t'aider à faire un choix, voici mon vote, juste parce qu'E-nyar en avait parlé d'abord, que ça peut correspondre à Pumas et que le sujet me plaisait.

Ceci dit les autres sont vraiment tentants, on pourra les garder pour après.
 
Maintenant c'est vrai que c'est pas de la "vraie" littérature au sens strict et que ça risque d'en rebuter quelques-uns.

Ne vous dérangez pas pour moi pour le topic.

Choisissez le sujet que vous voulez!!!

Il va peut-être falloir lancer le sujet 14 vite fait sinon Pumas va nous faire une crise d'acné à force de patienter, là!

Hop !
http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 9430-1.htm

Qu'elle est douée!

J'ai une idée de sujet :
 
Vous roulez à moto sur le périph parisien à 2 heures du matin, il pleut à mort, il fait froid et votre pantalon de pluie prend la flotte au niveau de l'entre-jambe.
 
Soudain, vous sentez des vibrations étranges monter de ce moteur qui tournait jusque là si rond, et d'un seul coup c'est le drame, gros bruit de pièces métalliques sous le réservoir, la roue arrière se bloque. Vous débrayez immédiatement, libérant ainsi la roue arrière, et vous avez juste le temps de vous ranger sur la voie la plus à droite.
 
Hélas, pas de bande d'arrêt d'urgence à cet endroit. Pas de téléphone portable non plus. Et bien évidemment, il est inutile de penser à redémarrer la moto, qui agonise tristement dans une mare d'huile et de soupe de soupapes broyées.
 
Racontez.
 

Vécu ?

Presque

Si ça a été vécu cette nuit, en tout cas, à 2:12 t'étais rentré pour raconter ta mésaventure. Et là, je dis respect!

Disons que j'ai fait un mix de plusieurs faits : une panne d'essence sur le périiph en pleine nuit sans BAU (ce qui m'est arrivé), et un serrage du moteur dû à une panne de la pompe à huile (ce qui est arrivé à un pote)
 
aaaaaaah, la moto, c'est pour le meilleur et parfois pour le pire

 
 
j'avais compris, il n'empêche tu as raison et que c'est une idée applicable et c'est pouquoi je la met dans ma poche

 
 
  trannnnquilleeeeeuh c'était ironique, juste un peu d'humour mal placé
faut pas sentir attaqué pour si peu.

Bon, j'étais pas vraiment vexée. Ce qui me vexe par contre, c'est que je vois pas d'où sort ta signature, et pourtant je prétends être experte en Tennessee Williams.

 
 
hououououou!!!!!!!! pardon ma p'tite dame seule au monde à être une experte de Tennessee Williams    
interwiew 1964. maintenant je ne veux pas me targuer apprendre quelque chose à une experte de Mr Tennessee Williams ...  

t'aurais pas un lien vers la transcription de cette interview? paske ça m'interesse aussi mais le seul truc que j'ai trouvé s'y rapportant est un site de citation où il y a juste marqué Interview 1964

 
 
c'est là que je l'ai trouvé c'est pour ça que je me la jue mais en fait c'était juste pour la faire bisquer    
 
je vais chercher.

Et ça marche, dis donc. Heureusement que j'ai lu jusqu'au bout .

 
 

 
  je suis chiante mais pas méchante. c'est le ton qui m'a dis qu'une belle perche se préparait  

Alors c'est que ma phrase était mal foutue, parce que le ton n'était pas voulu. Ou alors il manquait un smiley .

 
 
ca doit être ca  
le problème des forums c'est que sans smiley c'est facile de se méprendre, ca m'arrive tout le temps apr ce que j'ai la flemme  

Pour une fois j'avais le courage de détailler, donc je l'ai fait. Du coup vous aurez peut-être envie de réagir, ne vous privez pas.
 
Lechimistefou
Les hésitations et découvertes qui suivent la rencontre sont bien rendues, crédibles et sensibles. Mais il manque une explication là où justement tu refuses d'en donner : pourquoi ce visage est-il "connu" ? S'il était réellement connu, il ne devrait pas y avoir besoin de découverte.
Sur la forme, pas mal de mélange de temps : passé, présent, sans autre effet que de donner l'impression que l'auteur ne sait pas où il en est. Si la fille entre pour la première fois, tu peut te contenter de dire "entrant" au lieu de "rentrant". La phrase entre "Je la reconnais" et "plaisait énormément" n'apporte rien : tu montres que tu caches une information, et tu avoues que la fille te plait. Ca, on s'en doutait, vu la métaphore sur le sourire. Il manque un mot entre "gêne" et "des deux côtés". Une répétition à la fin du premier paragraphe ("l'autre" ). Le "en effet" ("les points communs ..." ) est lourd. (D'ailleurs à mon avis cette expression est toujours lourde et à éviter. Mais on ne sait jamais.) Le "d'où" ("la magie ..." ),
pareil. Le crissement d'un train sur les rails est-il "sourd" ? Moi, il me paraît plutôt strident. C'est vachement aigu, ça fait mal aux oreilles. D'ailleurs ça irait mieux avec "retentit". Ou alors, s'il est étouffé pour les voyageurs qui sont à l'intérieur, il faut remplacer "retentit". Et paf ! une phrase au passé, on sait pas pourquoi. Les guillemets autour de "négligemment" donnent un doute au lecteur, qui du coup partage moins ta surprise finale.
 
Tigerlily
Sympathique et bien construit : le lecteur est guidé doucement vers la révélation et on sent l'émotion. Une seule remarque de ponctuation : j'aurais mis un point virgule entre "la radio" et "choisis sur le CD". Ça évite une phrase sans verbe.
 
Lirana
Du grand n'importe quoi mais annoncé et contrôlé : j'aime bien. C'est peut-être un peu long pour le topic mais ça se lit bien, et l'interaction entre le narrateur et sa soeur est un peu légère : on a l'impression qu'elle n'est citée que de temps en temps pour rester dans le sujet ; tout le côté affectif manque, en fait. Une petite incohérence : le soleil se lève effectivement à l'Est, ça ne colle pas avec l'inversion du sens de rotation de la terre. Il me semble qu'il faudrait préciser plus tôt qu'il est sur l'éléphant au moment de la douche : j'avais compris qu'il était à côté, donc logiquement il pouvait facilement l'éviter. Un dernier détail : "entrer" au lieu de "rentrer" dans l'agence de voyage : c'est la première fois qu'il le fait, donc pas de "re".
 
E-nyar
J'aime assez : on ressent bien le sentiment d'impuissance du narrateur face à tout ça. Je suppose que c'est en partie grâce aux phrases très courtes et au choix du présent : bonne idée donc. Un petit problème de cohérence dans le premier paragraphe : si le transal avance, c'est que ses moteurs vrombissent déjà : on ne peut pas les faire commencer à vrombir deux phrases plus loin. Ou bien on parle alors du vrombissement pleine puissance, qui annonce la prise de vitesse pour le décollage, et à ce moment c'est trop tard pour monter dedans. Entre les paragraphes 2 et 3, une semi-répétition : "ce foutoir" et "ce capharnaum". C'est un peu trop proche, il faudrait trouver une solution plus légère. Le "en effet" (paragraphe 3) est moche. Problème de concordance au dernier paragraphe : "je voudrais" eu lieu de "j'aurais voulu" puisque tout le reste est au présent. Il manque un mot dans la dernière phrase.
 
Michounette
Très drôle, chute parfaite. Je comprends pas la première phrase, et j'ai un problème  avec "cette souillonne festoyait ... misérable tribu" : l'idée exprimée avant la virgule est pas claire (il faut réfléchir un peu, quoi) et à mon avis on ne peut pas changer de mode de discours comme ça au milieu d'une phrase - même au Moyen-Âge. Donc soit tu coupes la phrase en deux, soit tu modifies la deuxième proposition pour qu'elle s'enchaîne mieux avec la première.
 
moktar1er
C'est une bonne idée d'introduire un faux compagnon (le sac) avant l'arrivée du vrai (la fille). L'émotion est difficilement ressentie parce qu'il manque une accroche pour le lecteur : impossible de s'imaginer la fille dont tu parles, de la voir entrer dans le compartiment. Il faudrait un détail de son apparence, un son de voix, un parfum, quelque chose qui la rende réelle au moment où tu l'aperçois. Il y a un problème de choix des temps dans le paragraphe où la fille arrive : tu mélanges présent et passé, c'est pas logique. Et puis votre relation est réumée un peu sèchement : c'est peut-être à cause des chiffres qui n'apprennent rien sur vous, seulement sur le fait que la relation est terminée. Il faudrait peut-être moins de chiffres, et accentuer plus le fait que c'est le narrateur qui avait rompu, ce qui me semble important pour sa réaction ultérieure. La fin est bien.
 
ceridwen
L'histoire donne envie d'aller plus loin ; le fiancé est sympathique car on le sent curieux et ouvert. Par contre le personnage d'Octavia me paraît un peu faible : elle est soumise aux convenances, ok, mais on a l'impression qu'elle n'a aucune idée personnelle. Quels sont ses vrais sentiments face à l'apparition de son fiancé, à part "oh mon dieu, je n'ai pas de chaperon" ? Elle rit, donc ça ne doit pas lui déplaire. Mais plus loin, après le sourire coquin, elle semble interrompre volontairement sa réflexion en se disant que "il serait bientôt son mari après tout". Elle n'est même pas surprise de le voir si charmant alors que c'est quand même un type qui se fiance par correspondance, qui est avocat et vise la politique, donc qu'on attendrait vachement sérieux.
Sur la forme : le style est simple mais s'alourdit parfois à cause de phrases trop longues. Le dialogue est bon, il amène des informations sans paraître trop forcé (sauf réplique d'explications du fiancé ; à ce propos : "faire ça à votre arrivée" tout court, sans "de" ). L'introduction sur les circonstances du voyage est un peu longue, elle fait un bon tiers du texte. "L'Allemagne le pays où elle était née" -> "son Allemagne natale". Dans la phrase "Pensant à son avenir ... dans le vague", il vaudrait mieux inverser "les yeux dans le vague" avec "alors que le soleil commençait à se coucher" sinon on dirait que tu parles des yeux du soleil.
 
Subsk8
L'idée est pas mauvaise mais il y a quelques lourdeurs et incohérences qui la gachent un peu. Exemple : redondance entre "se laisser dominer" et "me dépassant" ; répétition du verbe 'lire'dans le troisième paragraphe ; le "que je qualifierais" est de trop, il vaudrait mieux décrire cette impression, tu la ferais mieux partager. Les phrases sans verbe auraient pu être attachées à la précédente avec un point-virgule. Si le narrateur ne peut pas se tourner pour voir la fille, comment
sait-il qu'elle lui plait ? Comment peut-il se souvenir de son visage ?
Le passage au discours indirect vers la fin ("La prochaine fois ..." ) devrait être au conditionnel, puisque le reste du texte est au passé. Si tu le laisses au présent, c'est du discours direct, tu ajoutes des guillemets.
 
Mario
Le désir du moine reste trop théorique. Il faudrait le rendre un peu plus charnel, et accentuer son combat avec la conscience religieuse. Si je prends mes notes dans l'ordre :  
répétition de "durant" ("durant tout le trajet", "durant ces 14h de train" )
"jeune et belle" : un peu vague
"vers le péché qu'elle représentait" : ça fait complètement tartuffe, ça. Le péché ne doit pas être la première idée qui lui passe par la tête : il faut qu'il y ait autre chose d'abord, et qu'aussitôt il se le reproche.  
Le "démon de la tentation" fait référence à quoi ? Les pulsions de la jeunesse ou bien la femme qui vient d'entrer ?
"Ma vie ... régulier" : j'aurais dis "par le pouls régulier du carillon", c'aurait été plus léger, il me semble.
"qu'il m'avait été donnée de cotoyer" : tu reprends exactement la même expression au paragraphe suivant, ça fait cliché.
C'est bizarre qu'il n'ait jamais fréquenté d'autres femmes que sa mère et sa soeur, au 19e siècle : il n'y a pas de boulangère dans son village ? Sa mère n'a pas une amie qui vient cancaner de temps en temps à la maison ?
"Pourtant les informations ..., mais ..." Il y a 2 contradictions dans la même phrase, ça la rend un peu floue. Il faudrait peut-être vérifier que c'est bien d'une opposition qu'il s'agit chaque fois.
"puis [] mon ouvrage" : à mon avis il faut ajouter un "sur" (c'est peut-être juste une faute de frappe, mais on ne sait jamais).
"j'avais pu me concentrer" + "je pus la regarder" : répétition de la tournure, un peu lourd.
Une longue phrase sans verbe.
"tellement différent" puis "si différend"
"cet oeil lubrique" : tout ce qui précède ne fait pas tellement lubrique. Je veux bien comprendre qu'il interprète une simple admiration comme de la lubricité, mais ça me gêne quand même.
 
Starket
Le texte est original, de fond comme de forme. "Michèlle" écrit comme ça me fait tiquer : un accent ou une consonne double ; choisis !
Une petite incohérence : il ne peut pas ouvrir la bouche, mais il peut étendre la main. Je voudrais bien une explication.
J'aime bien l'idée du dialogue à bouche fermée, par contre les répliques sont pas toujours terribles (sens de "là où meurt le soleil" ?)
Il y a un problème de temps : tu démarres au passé, puis au milieu du dialogue tu passes au présent ("à présent, je vogue..." ). Pourtant, si je passe cette phrase et la suivante au passé, ça va moins bien ; je ne vois pas de solution.
La dernière phrase est banale, dommage.
 
Grenouille Bleue
C'est bien construit, le retournement de situation est chouette, la chute amusante. Par contre, j'ai un problème avec le comportement de la fille : ses larmes sont fausses au début ? Ou bien elle a vraiment passé une mauvaise soirée et elle se venge sur le pauvre gars. Alors elle est vraiment de mauvaise foi, parce que c'est elle qui rengage la conversation, non ? À part ça, rien à redire.
 
FrigoAcide
Si j'ai bien compris, le voyage est celui d'un corps et d'une âme. Mais qui parle ? Qui a des souvenirs ? C'est quoi cette route et cet asphalte ?
Tu essaies de faire de jolies images, mais tu oublies parfois de leur donner un sens. Les phrases sont longues et alambiquées. Certaines expressions sont carrément moches ("j'aurais mieux aimé pas" ). Voilà, ça sent le travail à l'arrache. C'est vrai que tu l'as posté après la dernière minute, ceci explique peut-être cela.
 
Le classement :

Cette satanée grenouille bleue

Ben il a de la bouteille, quoi.