Miss Kaktus a écrit :
Citation :
mais il y a aussi des élèves qui ont des problèmes, s en rendent compte, n aiment pas l ecole, bref veulent aller en apprentissage. Et là tu leur dis: ben non, tu restes ici jusqu a tes 16 ans. (dans ce cas précis, c est un eleve de 6è, ils sont loin ces 16 ans)
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Un élève de 10 ans ne peut pas ne pas aimer l'école. Le problème est "l'école", le fait que les classses soient surchargées, qu'il n'y ait pas de suivi un minimum personnalisé etc... Un enfant de 10 ans n'est pas en mesure de savoir ce qu'il voudra faire de sa vie dans 8 ans. D'autre part autoriser l'apprentissage à 14 ans c'est la porte ouverte à l'exclusion direct des "mauvais élèves" des "éléments lents" vers l'apprentissage. Je n'ai rien contre l'apprentissage au contraire, mais bénéficier d'un enseignement commun, de base indispensable qui passent par les matières fondamentales (français, maths, langues) mais également par l'initiation à la culture (histoire, artS etc...) est indispensable, selon moi, à l'épanouïssement personnel. Prenons exemple sur les pays nordiques, où l'enseignement est adapté, et où les résultats sont hallucinant: pas d'échec scolaire!
D'autre part ça veut dire quoi ne pas aimer l'école? Ne me dis pas que 100% des bacheliers sont des fans de l'école? Je ne pense pas qu'on passe son bac par amour de l'école...
Citation :
Actuellement, le tri se fait suivant l'argent. Si tu ne me crois pas, compare les prix de l'immobilier entre des quartiers riches et des quartiers pauvres, compare ensuite lestaux de succès au bac des lycées de ces quartiers.
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Premièrement l'argument, les gens aisés peuvent démménagés comme ils veulent pour entrer dans le secteur voulu. Non. mais c'est vrai j'avais oublié c'est le paradis de l'immobilier, on démménage de nos jours quand on veut, c'est fou le nombre de maisons, appartements de libres. Je pense que les gens qui démménagent et les gens qui font des dérrogations sont certes un certains nombre mais ce n'est pas la majorité, sinon celà ferait bien longtemps que les classes en lycées ou collèges de zep ne seraient plus surchargées, or actuellement, environ 35 élèves MINIMUM par classes...
Ensuite quant au taux de réussite, ça m'interresserait de connaitre le nombre d'effectif par classe d'un lycée ZEP et d'un lycée dit réputé, et également connaitre le nombre de classes en total d'un lycée ZEP et d'un lycée dit réputé, et à mon avis, en partant de ces facteurs et en recalculant, on tombera sur des taux de réussite différents.
Le collège unique:
Je n'incrimines pas nos parents d'avoir été pour mais je pense qu'en 20ans ce collège unique à montrer ses limites et mieux vaut faire des classes adaptées à chaque niveau scolaire, que de mélanger les élèves et ce quyi fait que ceux qui sont un plus lents perdre le fil et ne le retrouveront jamais. Donc classes de niveau MAIS un brevet national, pas de brevet de niveau, un brevet national et des classes de niveau qui prépare au brevet avec chacun son rythme. Enfin c'est mon avis.
Et pour finir (dsl je suis bavarde):
Citation :
Un gamin qui veut faire du japonais en deuxième langue, tu vas lui interdire parce que dans le lycée de son secteur, c'est russe ou espagnol ?
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Et tu ne trouves pas ça scandaleux que tous les lycées ne puissent pas offrir les mêmes options ou au moins une belle pallette? Que seuls les élèves de centre ville puissent bénéficier des options théâtre, art plastiques et cie dans certaines villes?
Après j'avoue le japonais ne peut pas être enseigner partout. Mais pour ce type d'option, avec une réelle motivation, généralement la dérogation est acceptée.
Valà mon humble avis.
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