La stratégie d'Inter est simple : programmer sur 5 ans la privatisation.
1/ On fait venir un directeur d'Europe1, avec toute la médiocrité que ça suppose...
2/ On amène des animateurs de la télé, pas trop évolués, mais dont le sourire passe à la radio. Genre Giordano ou la demi-retardée Colombe(hin-hin)Shneck.
3/ On vire certains gêneurs de gauche pour élitisme, et on embauche encore plus de golios de la télé. Innofensifs, mais tellement dociles. La radio comme un ronron douillet, comme une télé sans images.
4/ On constate avec amertume la baisse d'audimat, les auditeurs "historiques" ayant déserté. On fini donc de purger les derniers intellos d'inter, dont Bern.
L'heure des décisions graves a sonnée.
Didier Porte est déporté à Cayenne, Carlier est retrouvé mort dans ses cornflakes. Mermet est toujours en fuite.
Le pontifiant Getta est dans un placard aux couleurs de l'Europe à délirer en boucle sur "un vote "oui" aux européennes".
5/ Pour justifier l'éclatement en plein de micro-boites de prods, bientôt toutes rachetées par Lagardère ou Bouygues.
On annonce un déficit monstre, et on fait venir Cauet à la matinal de 7h-13h, une vraie personnalité des médias.
Jean-Marc sylvestre passe PDG de "Radio-France N°1" et Brigitte Jeanperrin, directrice d'"europe-Inter".
Gélinet, agent-taupe du groupuscule "Occident" s'est réveillé et devient le commissaire de la pensée officielle du "Conducator-Magyar-Talonettor".
Paoli anime toujours Baobab, garant d'une certaine qualité culturelle.