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  extrait début de roman. Besoin de critiques, suite

 


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extrait début de roman. Besoin de critiques, suite

n°18296408
didpat
si on veut on peut
Posté le 28-04-2009 à 19:19:08  profilanswer
 

Bonjour, voici la suite de ce que j'ai posté hier. Je vous remercie, par avance, de vos remarques.
 
10 jours plus tôt.
 
Randy éteignit son ordinateur. Sur l’écran il voyait son fils disparaître progressivement au profit du logo de Windows. Il avait mis cette photo en fond d’écran ce matin même.
 Il l’avait prise ce week-end pendant qu’il se promenait dans le parc avec sa femme Patricia et son fils Matthew. Ils aimaient venir ici. L’endroit était tranquille. Il y avait une grande aire de jeux réservée aux enfants et un chemin piétonnier serpentait le long des frênes et des pins. En ce début du mois de juin la température atteignait les vingt degrés à Baker city. Il faisait beau et les gens du coin affluaient pour s'y détendre. Le parc était situé juste à coté du stade des Bulldogs. L’équipe de baseball locale de Baker city. Randy y avait joué dans les dans les catégories de jeunes. Il était receveur et Doug, son entraîneur, fondait en lui de grands espoirs. Son père recevait des lettres de recruteurs de différentes villes de l'état. Ils lui demandaient que Randy participe à des camps d'entraînement. Roy, son père, était heureux. Il n'avait pas eu tous ces honneurs. Il arrivait même que des coaches de softball, sport descendant du baseball, essayaient de venir le débaucher. Roy était un sportif de très bon niveau. Il jouait en ligue mineure de baseball avec les Beavers de Portland. Comme Randy, il était receveur. Un des meilleurs de l'Oregon au dire de certain. Il avait la particularité d'être gaucher. C'était rare à ce poste. Il emmenait souvent Randy voir des matchs. Il lui prodiguait des conseils. Randy avait toujours été accro à ce sport. Quand il était tout jeune, il jouait dans la rue avec ses copains selon des règles qu'ils transformèrent pour les besoins du lieu. Il était évident que dès le début, Randy, était doué pour le Baseball. Il avait un bon bras et des mains agiles. Il tannait souvent son père pour avoir un gant. Quelque fois il dormait avec. Il collectionnait les cartes. Il en avait un nombre incalculable. Il les gardait précieusement. Il avait des cartes à l'effigie de tous les grands joueurs. Il rêvait souvent d'avoir le sien. Dans sa chambre il avait un poster de Tom Glavine. Quelques fois quand le temps ne le permettait pas, il s'entraînait dans la maison. Le salon était son terrain de jeu. La batte à la main, il swinguait de toutes ses forces. Quand sa mère le surprenait elle lui confisquait son engin. Malgré son âge, il sautait aux yeux que Randy avait des dons. L'entraîneur des Volcanoes de Salem le repéra très vite. Le destin en avait décidé autrement. Il mettait les bouchées doubles à l'entraînement, travaillait dur. Un jour, en cours d'exercice, alors qu'il s'apprêtait à recevoir une balle, il sentit son genou se tordre. Il refusa d'y prêter attention. Il se disait, comme tous les sportifs, que cela passerait, que ce n'était qu'une blessure passagère. La douleur revint le lendemain et empira. Deux après il ne pouvait plus marcher. C'était le genre de blessure qui vous met sur le carreau pendant six mois. C’était la veille de ses seize ans. Randy fut mal soigné. Il avait vu deux spécialistes des articulations. Le professeur Brown, rhumatologue à  l'hôpital St Elizabeth de  Baker city qui lui avait conseillé de porter un plâtre pendant un mois. Et, à l'Oregon state hospital de Salem, le professeur Guttenberg préconisait l'opération. En concertation avec son entraîneur il avait choisi d'être plâtré. Il ne s’en était jamais remis. Mauvais choix, mauvais conseil, mauvais diagnostic ou le destin peut-être. Après sa blessure, il ne retrouva jamais son niveau. Il était diminué physiquement. Il était retombé du piédestal sur lequel on l'avait mis. Il redevint un jouer ordinaire. Il s'interrogea sur la suite de sa carrière. Accepterait-il de jouer à niveau modeste ? Il n'était plus le futur grand joueur de la région. Il deviendrai, tout au plus, un héros local. Une prometteuse carrière venait de se terminer avant d’avoir commencée.  
Assis sur un banc, à l'ombre d'un conifère, Randy regardait son fils faire des allers-retours en vélo sur le sentier. Il venait d'avoir sa bicyclette la semaine passée pour ses sept ans. Un vrai vélo, sans les deux petites roues stabilisatrices à l'arrière. C'était un grand maintenant, il n'avait plus besoin des quatre roues. Matthew n’était pas encore très sur de lui, et zigzaguait entre les joggers. Patricia l’aidait, tant bien que mal, à rester en ligne. Elle tenait d’une main la selle de son vélo. Cela faisait rire Randy. Il savourait ces moments de complicités en famille. Il mitraillait ces instants se disant qu’il en tirerait sûrement quelques bonnes photos. Patricia s’amusait aussi de la situation. Elle était sportive et courir près de son fils était, pour elle, un plaisir. Randy regardait sa femme avec passion. Il la trouvait merveilleuse. Pour tout l'or du monde il n'en aurait voulu une autre. Il avait trouvé la femme idéale. Celle qui faisait son bonheur. Il le lui disait souvent. Cela faisait maintenant huit ans qu’ils se connaissaient et rien n’avait changé. Ils s’aimaient toujours.  
Ils s’étaient croisés dans une file d’attente au Eltrym theater. Le cinéma de Valley avenue. Ce jour là on jouait Ocean’s eleven avec Georges Clooney. Randy avait accroché son regard clair en longeant la file d’attente pour y prendre sa place. Pourtant ce soir là elle n’avait rien fait pour attirer les regards sur elle. Elle portait un jean large et un gros pull marron en mohair. Un bonnet en laine recouvrait ses cheveux blonds laissant juste dépassé quelques mèches sur sa nuque. Rien de très sexy. Il faisait frais. C’était le début du printemps et en soirée la température dans ce coin de l’Oregon n’incitait pas à se découvrir. Randy saisit de nouveau son regard lorsqu’elle se retourna. Il y eut, alors, comme une étincelle. Cela avait duré cinq secondes, mais elles furent suffisantes pour que quelque chose d’inexplicable parcours le corps de Randy. Les yeux verts et le visage ronds de Patricia l’avaient hypnotisé. Elle lui avait souri. Enfin, il n’en était pas sur, mais il avait cru. Dans la salle obscure il s’était arrangé pour s’asseoir à coté d’elle. Et cela n'avait pas été facile. Le film faisait recette et le public était venu en masse. Il avait du batailler pour arriver à ses fins. Il aurait aimé engager la conversation, mais il ne savait pas comment l’aborder. Il ne voulait paraître ridicule. Il n’aimait pas l’idée de passer pour un dragueur des salles obscures. Et puis ce n’était son genre. Déjà à l’école, il n’abordait que rarement les filles. Il préférait les voir venir vers lui. Sentir qu'il les attirait. Et elles venaient. Il avait déjà un physique agréable. Il est mignon disaient les filles de l'école. Surtout Amy Stewart une petite blonde aux yeux verts avec qui il était sorti presque une année entière. C’est elle qui l’avait quitté pour sortir avec un balèze du foot américain. Il avait du mal à s’en remettre. Randy s’attachait facilement. C‘était un romantique.
 L’odeur du parfum de Patricia lui parvenait jusqu’aux narines. Il profitait de cet instant et le respirait à pleins poumons. Il adorait ce parfum. Il ne savait pas dire si c’était du lilas, du jasmin ou autre chose, mais il l’aimait déjà. Il aurait donné n’importe quoi pour que ce moment dure longtemps. Il profitait de chaque secondes. Il savait que cela aurait une fin. Après elle irait sans doute retrouver son petit ami. Il avait du rester avec ses copains. Voir Clooney ne devait pas le passionner. C’était bien pour les filles ce genre d’acteur. Il préférait certainement jouer au poker. Cà c’était une occupation d’homme. Peut-être était-elle amoureuse. Randy espérait au fond de lui que non.  
Il la raccompagne dans son coupé Mercedes flambant neuf. Elle n’est pas contre l’idée finir la soirée chez lui pour boire un dernier verre. Il débouche une bouteille de champagne, du vrai qui vient de France, de Reims. Ils s’échangent les coupes. Chacun trempant ses lèvres dans le verre de l’autre. Ils s’embrassent. Ils basculent sur le canapé.
Il releva son visage et aperçut Patricia essayant tant que mal de lire par-dessus ses épaules le programme du mois d’Avril de l’Eltrym théater. Il était en train de le triturer en tournant les pages dans n’importe quel ordre.  Se fut elle qui l’aborda. Elle lui demanda si elle pouvait lui emprunter son programme. Ses lèvres dessinèrent un sourire et il lui donna sans dire un mot.
Pourquoi tu lui as pas parlé. C’était l’occasion. Mais pour lui dire quoi. Je vous en prie, avec plaisir. En plus elle a bien vu que je ne le lisais pas ce foutu programme.
Si Randy avait pu se flageller il aurait fait sur le champ.
  Durant le film leurs bras s'effleuraient souvent sur l’accoudoir. D’habitude cela le gênait toujours et il finissait généralement par plaquer son bras sur ses jambes. Mais là il n’en fit rien. A chaque fois qu’ils se touchaient il en avait des frissons.  Randy s’était complètement détaché du film. Cette fille lui prenait toutes ses pensées. Elle l’attirait terriblement. Pourquoi ne pas avoir fait le premier pas. Il s’en voulait. Mais si elle l’avait rejeté. Peut-être l’avait-elle regardé comme elle regardait les autres hommes. Il ne la connaissait pas après tout. Il ne savait rien d'elle. En voyant Georges Clooney sur l’écran géant il se demandait si il était son type d’homme. Il essayait de se trouver une quelconque ressemblance avec lui. Mais contrairement à l’acteur il avait les yeux bleus, les cheveux châtains clairs, et son visage était plus rond. Il était moins sexy. Cà il en était sur. Par contre, il avait une bonne dizaine d’années de moins. Et ce critère pouvait jouer en sa faveur. A la sortie du cinéma il l’avait suivi discrètement jusqu’à Carter Street. Trois pâtés de maisons plus loin. Elle louait une chambre dans une maison. Les propriétaires avaient aménagé leur sous-sol en créant deux chambres. Patricia occupait celle qui donnait sur la rue. Un peu bruyante mais beaucoup plus claire que celle qui s'ouvrait sur la cour intérieure.  
Le lendemain comme tous les dimanche matin Randy faisait son jogging. D’habitude  il empruntait Elton Avenue puis longeait Mitchell Avenue jusqu’au stade de baseball puis finissait par cinq tours du parc. Cette fois il partait en sens inverse par Baker street pour passer devant la maison où il avait vu entrer Patricia. Il était neuf heures du matin et avait aperçut les volets de sa chambre ouverts. Il fit le tour du pâté de maison plusieurs fois, quatre exactement, ils les avaient comptés, avant de la voir sortir. Elle était en jogging et coiffé d’un casque de baladeur, elle commençait à courir vers Hilton Avenue. Il l’a rattrapa cinq cent mètres plus loin. Comme si il n'avait pas fait attention à elle, Il l’a doubla. Puis l'air de rien il tourna la tête, feint la surprise et lui fit un signe de la main. Il piétina sur place et attendit qu’elle arrive à son niveau. Un peu essoufflé il osa lui parla.  
- Vous me remettez… Le cinéma, hier soir
- Oui, bien sur
- On peut faire un bout de chemin ensemble, si vous vous voulez.
- Avec plaisir, répondit-elle en souriant.
Il adapta sa foulée à la sienne et continua la conversation.
- Vous courrez souvent ?
- De temps en temps. Et vous ?
- Tous les dimanches… Mais je ne connais même votre nom!
- Smith… Patricia Smith. Et vous?
- Randy Seagren
 La demi heure de jogging à ses cotés lui avait parut trop courte. Il avait sans trop de mal obtenu un rendez-vous pour le soir même.  
Vers dix huit heures Patricia entreprit de prendre un bain. Pendant que l'eau coulait généreusement dans la baignoire, elle cherchait dans un placard ce qu'elle pourrait mettre ce soir comme vêtement. Elle sortit plusieurs jupes et pantalons mais n'arrivait pas à se décider, soit cela n'allait pas avec le haut qu'elle voulait mettre soit elle trouvait çà trop ringard. Elle verrait çà plus tard. Le bain la détendit, elle se sentait un peu nerveuse. Elle voulait faire bonne impression vis-à-vis de Randy. Elle choisit finalement un pull blanc et une jupe noire qu'elle venait d'acheter la semaine dernière puis elle consacra un peu de temps à son maquillage. A dix neuf heure trente elle attendait assise dans son fauteuil en rotin quand la sonnerie de la porte se fit entendre. Randy se tenait sur le pas de la porte, une rose rouge à la main.
- Tu es superbe, lui dit-il.  
- Merci toi aussi, répondit-elle en le voyant dans un costume gris clair qu'il trouvait un peu trop grand pour lui et avait oublié de mettre une cravate. Ils se regardèrent quelques secondes sans rien dire. Randy voulait parler mais restait interloqué. Il finit par balbutier ;
- J'avais prévu pizza Hut, mais je crois que je vais changer mes plans.
- Patricia rit. T'as tort j'adore les pizzas.  
C'était là dans un restaurant bas de gamme de Baker city que leur histoire commençait.
 
Randy ferma son tiroir à clés. Par habitude, il tira sur la poignée pour s'assurer de la fermeture. Il se leva, prit son sac à dos et alla saluer Alex Baumgardner, son collègue, qui partageait le même bureau que lui à la Bank of America de Baker city. Ils s’entendaient bien. Depuis 3 ans qu’ils travaillaient ensemble ils avaient fini par s’apprécier. Ils n’en étaient pas pour autant devenus amis mais ils entretenaient de bonnes relations. Alex était arrivé six mois après Randy dans le service Sécurité, Réseaux Informatique. Il était plus jeune et sortait de l’université de Bent, un master en informatique dans les poches. Randy l’avait initié aux exigences de la banque en matière de sécurité informatique. Elles étaient draconiennes. Alex était compétent mais il ne connaissait pas tous les rouages du plus grand établissement de crédit de tous les Etats-Unis d'Amérique. Il devait être guidé, accompagné. Randy s'en chargeait. Il reconnaissait qu’Alex était très doué. Qu'il apprenait vite et bien. Il était brillant. Il le portait sur lui. Son visage rond et ses petites lunettes carrées lui donnaient cet air intelligent. Randy pouvait reconnaître rien qu’au faciès si une personne était intelligente ou pas. C’était du moins ce qu’il croyait. Randy n’était pas passé par Bent. Il était autodidacte. Il avait vingt huit ans quand il était entré dans la banque. Il avait gravit pas mal d’échelons. Il avait débuté au service courrier puis une opportunité le fit accédé au service informatique. Il y traçà son chemin et se forgea une expérience non négligeable dans ce domaine.de formation en formation il était arrivé au service Sécurité Informatique. En huit ans il avait son chemin à la Bank of América. Il ne comptait pas s’arrêter là. Il visait le poste de responsable du service Sécurité Réseaux et Informatique. Et, justement,  dans deux mois le poste sera vacant. Il le savait et avait mis tout les atouts de son coté. Randy voulait le poste. C’était son objectif depuis qu’il avait incorporé ce service. Il le voulait pour lui, pour sa femme, pour que son fils soi fier de lui et aussi pour l’argent. Le poste était bien mieux payé. Il pourrait vivre plus décemment et faire plaisir à Patricia. L’emmener en Australie. Son rêve. Pour l’instant le crédit de la maison et de la voiture l’empêchait de mettre de coté l’argent nécessaire. Malgré tout il savait qu’il était en concurrence avec Alex.  Leur supérieur les avait prévenu. Et le choix de la direction était déjà fait avaient-ils appris d’une rumeur de couloir. Chacun de leur côté avaient bien essayé de savoir qui pourrait avoir le poste, mais sans résultat.  
- A demain lui a dit Randy en lui serrant la main.
 Dans l’ascenseur il se regardait dans le miroir et rapprochait son visage très près jusqu’à le toucher avec son nez. Ses yeux bleus virent un début de rides au coin de la bouche. Il fronça les sourcils et toucha la cicatrice qu’il avait juste à coté de l’œil droit. En bas du sourcil. Elle ne le faisait plus souffrir depuis le temps. Un accident idiot quand il avait seize ans. Il était passé à travers une porte vitrée au lycée. Celle qui menait au réfectoire. Ils avaient du tellement bien l’astiquer que Randy pensait qu’elle était ouverte. L’infirmière qui l’avait recousu lui avait dit qu’il avait eu beaucoup de chance. A quelques millimètres près il pouvait perdre son œil.
La vieillesse commence, se disait-il.  
Il passa ses mains dans ses cheveux châtain clair qui lui barraient le front et les remonta au maximum. En tout cas j’ai pas de calvitie, se satisfaisait-il. En sortant de l’ascenseur il passait devant l’accueil et saluait le gardien qui lui répondait d’un signe de la tête. Il s’engagea sur le parking extérieur et alla au numéro 23. C’était celui qu’on lui avait attribué lors de son arrivée. Il ouvrit à distance sa Toyota Yaris noire et aperçut une enveloppe coincée avec un essuie glace. Elle était à son nom. Randy Seagren. A l’intérieur il y avait une feuille de papier pliée en quatre. Il l’ouvrit. Quatre mots étaient écris.
TU AS ÉTÉ CHOISI

mood
Publicité
Posté le 28-04-2009 à 19:19:08  profilanswer
 

n°18296779
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 28-04-2009 à 19:55:19  profilanswer
 

tu vas créer un topic pour chaque chapitre?


---------------
Acceuil
n°18296940
didpat
si on veut on peut
Posté le 28-04-2009 à 20:09:17  profilanswer
 

meriadeck a écrit :

tu vas créer un topic pour chaque chapitre?


 
Je suis désolé que çà t'ai dérangé. J'recommencerai plus.

n°18303639
yadae365
Posté le 29-04-2009 à 10:13:29  profilanswer
 

LU
C'est vrai que ce serait mieux de publier dans le post : ecrire un livre
tu aurais davantade de lecteurs et cela fait vivre le post en plus.
 
c'est bien mais la il y a de grosses erreurs de flash back. on s'y perd.
tu veux dire egalement trop de choses trop vite.
 
si tu as un roman ecrit presque complet (genre plus de 200 pages sous word ) ca doit pouvoir vite se corriger.

n°18463760
globodayne
Posté le 13-05-2009 à 10:30:13  profilanswer
 

je vous félicite ! c'est bien , je l'ai lu ainsi que la partie d'hier et c'est du bon travail ..peut être que l'histoire manque de captivité c'est a dire un peu monotone et manque d'action , il faut pas que le lecteur s'ennuie au bout de quelques lignes en se perdant dans les déscriptions que je trouve parfois inutile d'ailleur ce n'est pas un scenario , c'est une histoire .. au cour de la lecture on se perd un peu ..il vous manque quelques idées a fin d'ordonnée le cour de l'histoire qui doit avoir l'allure d'une courbe c'est a dire une suite d'évenement de plus en plus intense qui captive le lecteur et qui mene jusqu'au sommet de l'histoire ou on pose le probleme et puis la libération , découverte..solutions ..trouver les éxplications et la maniére a anticiper les problémes posées au cour de l'histoire et ça doit être de maniéres ordonnées et liées qui nous méne jusqu'a la fin ...vous savais ce n'est pas facile d'être un écrivain ça néçéssite beaucoup de travail et de pérseverance et du don ...le don vous en avez ..bonne continuation


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