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  (écriture d'un roman) Nouveaux Nés

 


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Auteur Sujet :

(écriture d'un roman) Nouveaux Nés

n°3945588
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 12-10-2004 à 15:58:00  profilanswer
 

Bon, je me lance, après quelques hésitations et d'intérogation, je vais soumettre mon écrit au feu de la critique. Je sais que certain diront qu'il existe de nombreux topics sur le sujet, mais à chaque topics un texte est associé, je ne veux pas détourné le sujet d'un topic en y insérant mon texte.
Concernant ce que j'ai écris, le choix du point de vue et du style de la première partie a fait dire à mes amis que j'écrivais mal, mais en lisant la suite, ils ont changer d'avis (en disant que j'écrivais moins mal). J'arrête de parler et je vous envoie mon texte.


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les ombres sont les enfants de la lumière
mood
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Posté le 12-10-2004 à 15:58:00  profilanswer
 

n°3945590
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 12-10-2004 à 15:58:41  profilanswer
 

Partie 1 : Élucubrations testamentaires
"Chapitre 1
Tout commença, le lundi 29 octobre 2001, je rentrais chez moi après une journée de cour à la faculté de droit de Montpellier. En effet, j'étais en seconde année de droit, mon passage ayant surpris plusieurs personnes dont moi le premier. J'habitais à Boutonnet dans la cité U, au 4ème étage du bâtiment G. De ma chambre on apercevait une bonne partie du centre de Montpellier. Ce lundi là, je vis de loin une sorte d'attroupement devant le bâtiment F. Curieux je m'approchais rapidement. J'aperçus des voitures, certaines de la police d'autre du SAMU. Plusieurs étudiants badauds s'arrachaient les miettes du drame qui venaient de se dérouler.
En me rapprochant, je reconnus un de mes voisins, un arabe bien sympathique qui dormait plus souvent la journée que la nuit.
"Que se passe-t-il? Lui demandais-je
-Une fille s'est jetée du 3ème étage et on l'a retrouvé en bas en bouillit, j'ai entendu dire qu'on l'avait jeté de la fenêtre.
-Qui l'a jeté ?
-J'en sais rien, me répondit-il, peut être un voisin jaloux ou un tueur psychopathe qui traînerait dans le coin...
-Pourquoi pas ? Lançais-je avec une pointe d’ironie.
 
Je décidais de rentrer chez moi, j'avais du travail. Le soir, je mangeais au restaurant universitaire de Boutonnet avec mes deux amis Théo et Luc.
Théo était grand, brun, beau gosse au dire de certaine de mes amies, malheureusement il avait souvent des problèmes d'attentions. Il faisait du droit tout comme moi. Lui était en première année, il avait redoublé, bien que j'aie l'impression qu'il avait plus travaillée que moi.  
Luc était plus petit que moi il venait de la Réunion, sa peau bronzé contrastait bien avec ses fins traits du visage, certain de ses ancêtres étaient asiatiques. Son succès avec les filles n'était plus à démontrer, Théo l'enviait sur ce point. Luc étudiait à la fac de lettre.
Ce soir là au resto U tout le monde ne parlait que de la mort de cette pauvre fille. Les spéculations allaient bon train. On pouvait entendre qu'elle était dépressive, voire suicidaire ou qu'on l'avait assassiné après l'avoir volé ou encore violé...
J'engageais une discussion sur cet incident :
"Tout à l'heure, quand je suis rentré chez moi, il y avait la police et une ambulance devant le bâtiment F. Une fille est tombée du 3ème étage il parait qu'on l'a poussé.
-C'est bizarre, dit Luc, ce genre de truc arrive rarement.
-Non au contraire dans les cités U on avait déjà eu des vols, des viols, des agressions et maintenant on a un meurtre, lui répondis-je, moi je dis qu'il faut plus de sécurité.
-Je ne pense pas que ce soit la meilleure des solutions, on risque de tomber dans un état sécuritaire, dit Théo, le meurtre de tout à l'heure c'est un cas isolé, non ? C’est le premier.
-Attendez, reprit Luc, on ne sait pas si c'est un meurtre il se peut que ce ne soit qu'un suicide.
-Je n'en sais rien, commençais-je, mais il se peut qu'il se passe des choses étranges pendant la nuit, par exemple je connais quelqu'un qui a fait tomber son téléphone portable par sa fenêtre un soir et on l'a retrouvé à une vingtaine de kilomètre d'ici dans les mains d'un gitan.
-Ta copine ce ne serai Assia ? demanda Théo.
-Oui
-Elle ne serait pas en fac de lettre en AES
-Oui  
-C'est bien connu les étudiants à la fac de lettre on une grosse imagination et en plus la plus part sont des drogués, se moqua Théo.
-A pourquoi tu crois qu'en droit vous êtes mieux ! s'exclama Luc"
La discussion se poursuivit ensuite sur la quinzaine d'heures de cours en lettre avant de déboucher sur le programme de la soirée de mercredi, en effet se déroulerait la première grande soirée de l’année : Halloween et il fallait fêter ça.
Vers 21h00 je rentrais chez moi, je m'apprêtais à passer une soirée tranquille lorsqu’un quart d'heure plus tard on tapa à ma porte. J'accourais vers le judas et j'aperçus Assia, je la fis rentrer. C'était une fille grande et assez mince. Elle n'était pas très belle, plutôt laide avec un visage enfoncé et des dents en avant. Elle avait raté 3 fois sa première année de droit et était cette année en A.E.S. à la fac de lettre. Assia était particulièrement "futile" comme personnage. Elle ne pensait qu'à apprendre les potins plus ou moins en rapport avec le sexe, de la fac de droit. Elle passait des soirées entières à me parler de la vie sexuelle de sa voisine qu’elle entendait tard le soir.
Assia tout comme moi habitait à Boutonnet au rez-de-chaussée du bâtiment F chambre 12.
Je fis donc entrer Assia ce soir là dans ma chambre.
"Tu as vu ce qui s'est passé tout à l'heure dans mon bâtiment ? Commença-t-elle.
-J'imagine que tu veux parler du cadavre.
-Oui, oui, c'est bien ça c'est super excitant, tu ne trouve pas ?
-Moyennement, lui répondis-je désabusé, une fille s'éclate par terre et tu trouve ceci excitant.
-Mais cette fille était en fac de Droit l'année dernière, elle a raté son année et elle est venue en AES.
-Comme toi !
-Oui comme moi ! Et alors c'est quoi le problème ?
-Il n'y en a pas, c'est juste que ce ne soit pas donné à tout le monde d'être bon en droit, lui lançais-je ironiquement.
Assia me fixa sombrement du regard, je sentis que sa main lui démangeait de me coller une baffe. Il fallait que je change de sujet au plus vite.
-Tu la connaissais la fille qui est tombé ? Lui demandais-je soudain intéressé.
-Seulement de vu, elle s'appelait Sylvia, elle n'avait pas de copain, et sa meilleure amie est à la fac de droit en première année elle s'appelle Cindy, Cindy Martin..."
Assia fit une pause tout en me lançant un regard inquisiteur :
"Tu la connais, n'est-ce pas ?"
Je la connaissais en effet, nous étions dans les même travaux dirigés l'an dernier elle était insolente, orgueilleuse et hautaine, je détestais ce genre de personne. C'était une petite blonde, aux yeux bleus et à l'allure faussement bourgeoise. Les rumeurs les plus folles courraient sur elle. Il paraîtrait qu'elle aurait couché avec Monsieur Carsé célèbre et aimé professeur de droit civil. Cependant, Cindy avait redoublé.
Je me souviens le jour des résultats, elle était entrée dans une colère noire, insultant tous ceux qui avaient réussit ce qui avait posé certains problèmes.
"Je connais le personnage en effet, répondis-je à Assia.
-Tu sais, me dit-elle ce qu'elle a fait était légitime. C'était une sorte de vengeance contre le système.
-Une vengeance ! Mon cul tu veux plutôt dire qu'elle est devenue hystérique à cause de son ignorance et de son échec..."
Je fut couper dans mon élan de haine anti-Cindy par un bruit à ma porte quelqu'un y tapait. Je me levais de mon lit où j'étais assis et j'allais voir dans le juda. A ma grande surprise, j'aperçus Cindy. Avec beaucoup d'hésitation, j'ouvris la porte, c'était la moindre des politesses...
Cindy m'offrit un sourire forcé, elle me haïssait presque autant que moi je la haïssais. La première seconde de surprise passa avec une lenteur pesante. Elle pris la parole, sa voix n'était pas naturelle, certaine de ses intonations vinrent me caresser les oreilles avec une certaine perversité malsaine :
-Mon cher Arthur Cobit, comment va-tu ?
Cette question me surpris fortement comme la personne qui me la posait. Je gardais le silence pendant quelques secondes avant de lui répondre :
-ça, ça va plutôt bien, mais que tu fous... enfin non, euh... Qu'est-ce qui t'amène chez moi ?
-Je fais une fête mercredi soir chez un ami de la fac, je t'invite, tu viens ?
Ma surprise venait d'atteindre son paroxysme. Je repris au plus vite mes esprits pour pouvoir mieux refuser son invitation.
-Tu rêves, moi venir à une de tes fêtes ? Si c'est pour te voir-je préfère la compagnie d'une bouteille de whisky !
Nos regards se croisèrent, ses yeux plongèrent dans les miens, quelque chose d'immatériel rentra dans mon esprit pour mieux l'asservir. Le temps se suspendit, ma volonté fus jeté à bas je n'étais plus qu'un pantin entre ses mains, elle montra pourquoi je devais l'écouter, elle me fit accepter le fait qu'on aurait pu être ami si je n'avais pas été aussi bête. A présent elle m'offrait une deuxième chance de me racheter, je me sentis donc obligé à accepter. Je ne pris conscience d'avoir été manipulé que bien plus tard, pour l'instant j'étais un enfant qui venait de faire une bêtise. Un adulte me grondait, Cindy.
-Va-tu venir à ma fête ? Répéta-t-elle.
Une petite voix à l'intérieur de moi grandissait en me commandant : "Accepte"
-Oui, répondis-je enfin avec conviction.
-Très bien, tes amis pourront venir aussi"
Sans dire un mot Assia observa la scène, lorsque Cindy parti elle se rapprocha de moi et me demanda si tout allait bien.
-Oui tout va bien, répondis-je, maintenant peut-tu me laisser, s'il te plait.
-Attend j'ai un autre truc à te...
-Sort tout de suite, crie-je"
Assia sortit en vitesse sans protestation. Je m'assis sur mon lit avec l'impression d'avoir été lobotomiser. Une grosse migraine me fit rapidement sombrer dans le sommeil.
 


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3945607
show
Posté le 12-10-2004 à 16:02:50  profilanswer
 

tu veux un avis objectif qui fache ou un avis subjectif qui flatte?

n°3946225
Profil sup​primé
Posté le 12-10-2004 à 17:27:39  answer
 

show a écrit :

tu veux un avis objectif qui fache ou un avis subjectif qui flatte?


 
 
 [:lex]  
 
Non désolé Textorien, mais je vais y aller de mon avis subjectif, et sans prendre de gant : c'est puéril sur le fond et la forme. :spamafote:  
Et puis la "fac de lettre d'AES", si on connais le truc, ça fait rire...
 
Mais ce n'est que mon avis, je n'ai aucune compétence littéraire, si d'autres aiment tant mieux pour toi.  :)

n°3948002
deidril
French Geek Society Member
Posté le 12-10-2004 à 21:23:06  profilanswer
 

Batiment U, Batiment F, Resto U, ... Ca manque de description a mon sens. De même pour 'le centre de Montpellier'. Croit le ou pas, certaines personnes n'y sont jamais allé, et donc le terme n'évoquera rien sans la description adéquate.  Pas de couleurs de cheveux, pas de vêtements, en fait pas grand chose a se mettre sous la dent.  
 
Tout le texte suit ce rythme rapide ( ou decousu ) qui va uniquement a l'essentiel. Maintenant, certains aimeront le style, moi pas.
 
Le truc de la fac de lettre d'AES ? On peux avoir des explications ?

n°3960722
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 14-10-2004 à 16:16:08  profilanswer
 

Je vois que mon premier petit chapitre a atteint mon but, évidement que c'est nul, moi même je trouve houteux d'avoir put écrire cela. Mais j'attirerais votre attention sur l'utilisation de la première personne et sur les guillemets du début. Je ne peux pas dire que ce chapitre n'est pas mon style (parce que c'est moi qui l'ai écrit) mais je ne peux pas dire que le but visé était l'excélence. J'essai de me mettre dans la peau d'un pauvre étudiant en droit qui n'y connait rien à l'écriture, donc mon but premier est atteint. Sauf que pour le moment je ne peux pas vous prouver que je sais écrire :lol:  :lol:  :lol:


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3960734
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 14-10-2004 à 16:18:37  profilanswer
 


Chapitre 2
Cette nuit là je rêvais de contré lointaine, de bataille fantastique. J'étais une sorte de chevalier et je me battais désespérément contre une sorte d'humain avec des pouvoirs étranges. Ce combat était perdu d'avance. Mais je le menais vaillamment avant de mourir. Mon corps tomba et en regardant le ciel je vis deux lunes.
Je me réveillais en sursaut. Comme d'habitude je me douchais, je prenais mon petit déjeuné. Je partis en avance de chez moi, je pris le tramway. Ce jour là, j'eus beaucoup de mal à suivre les cours.  
Mon esprit essayait de se convaincre que la fête de Cindy serait bien. Je ne sais pourquoi la détermination qui la veille m'avait poussé à accepter commençait à s'enfuir, laissant mon esprit dans le doute et l'incertitude.
A l'inter cour, Cindy vint me voir :
"Alors tu viens toujours demain? Tu verras, tu n'oublieras pas cette soirée.
Le doute disparu dans mon esprit.
- Évidement, je ne manquerai cette soirée pour rien au monde. Tu peux compter sur moi.
-Je viendrai te chercher demain soir, à 9 heures"
Cindy repartit, sans attendre ma réponse qui ne pouvait être que positive. Elle semblait satisfaite.
Midi vint sans se presser. Je sortis de la fac pour revenir à ça au resto U. Théo et Luc furent à l'heure. Dès que nous fûmes assis, je leur parlais de la soirée de Cindy.
"Tu veux parler de la Cindy, celle qui est dans mon groupe, demanda Théo.
-Oui exactement, alors vous allez venir ? Vous verrez ça va être bien il n'y aura que du beau monde.
-Mais Arthur tu te souviens de ce qui s'est passé l'année dernière avec cette Cindy"
Cet incident me revint à l'esprit comme une sorte de boomerang. Pendant quelque temps il avait semblé que cet incident m'était sorti de l'esprit.
"Oui peut être, mais c'est du passé il faut savoir oublier, répondis-je fièrement.
-Il paraît que vous vous êtes battu à ce qu'on m'a raconté, dit Luc.
-Pas vraiment, précisa Théo, ils se sont insultés et elle l'a frappé.
-Tu ne t'es pas défendu, tu n'as pas répondu.
-Non mais on s'en fout, l'important c'est que je dois y aller, il faut que j'aille à cette fête.»
Cette idée m'obsédait de plus en plus, si je ne pouvais aller à cette fête se serait la fin du monde. A coté de cette envie irrationnelle, il semblait qu'une autre force en moi refusait que je suive Cindy. Cependant cette autre force était minoritaire pour le moment.
Après avoir finit de manger nous nous dirigions vers ma chambre. Notre route longeait le parc de la cité U. Il se situait au milieu des bâtiments. Il se composait de divers arbres : des chênes et des pins principalement. Des écureuils sautaient de temps à autre de branche en branche. Des pies et des moineaux nichaient dans les arbres. Des chemins de terre le traversaient de part en part, de petits buissons formaient une sorte de labyrinthe sauvage. Une de ces allées menait à une sorte de bâtisse en ruine, une autre lézardait jusqu'à une ancienne fontaine.
Ce jour là en passant dans le parc j'eus une impression étrange, comme si quelqu'un m'observait. Je me retournais plusieurs fois, j'observais le parc mais rien ne se produisit.
En arrivant dans ma chambre nous écoutions de la musique très fort, du Métalica si je me souviens bien. J'essayais de convaincre mes amis de venir à la soirée. Après une demi-heure de négociation et de compromis je réussis à les convaincre de venir. Je repartis en cours après les avoir convaincus.
A la fac le combat contre moi-même commença vraiment. La partie qui était contre la fête gagna du terrain. L'autre partie continuait de me persuader sans relâche, sans pause et sans répit. Je me sentais comme écarteler entre mes deux volontés. Une méchante migraine montait peu à peu, m'empêchant de suivre les cours. Mes heures de cours passèrent lentement. J'entrai en mutisme en coupant toute relation avec le monde extérieur. Je revins chez moi plus par automatisme que par action consciente. Le reste de la soirée s'effectua inconsciemment. Je ne pensais plus j'agissais...
Le lendemain, mercredi 31, je me levais en pleine forme. La nuit ayant apporté conseil, j'irais à la fête. Comme d'habitude je me douchais, comme d'habitude je prenais mon petit déjeuné. Ma volonté se taisait, elle avait perdu, je retrouvais le calme dans la défaite. Cette situation me plaisait, elle me convenait pleinement. J'allais en cour; la première heure d'institutions administratives parues durée une éternité. Un sournois mal de tête commença à s'insinuer. Des orchestres de tambours semblaient jouer d'étranges mélodies, tantôt attirantes, tantôt aussi repoussantes que la Mort elle-même. Cet enfer sembla durer encore et encore sans jamais de fin, sans aucune porte de sortie. Le professeur parlait, je ne comprenais rien. Les pouvoirs du préfet se mêlaient avec les compétences du maire qui par moment ressemblaient à celle du président de la république.  
La pause de 11 heures arriva enfin. Je sortais de l'amphithéâtre tant bien que mal. Je m'appuyais sur la balustrade du premier étage. Le terme plus exact était plutôt accroché. Mes doigts la serraient comme si j'étais un marin au milieu d'une tempête apocalyptique. Mes yeux se posèrent en bas au rez-de-chaussée qui ressemblait à une fourmilière de si haut. Des dizaines et des dizaines de premières années sortaient prendre l'air ou fumer une cigarette. Seule ombre au tableau : j'observais ces étudiants au ralenti. Lentement, un garçon alluma sa clope il en tira une bouffé qui s'envola en virevoltant. Les sons graves de toutes leurs voix arrivèrent à mes oreilles. Je ne compris aucun mot dans tout ce chaos de voix entremêlé. Rien n'avait de sens, la logique n'existait plus dans mon esprit.  
Mon tourment s'amplifia lorsque je l'aperçu en bas. Contrairement à tous les autres elle m'observa. Ses yeux bleus pénétrèrent au plus profond de mon être en écrasant encore un peu plus ma volonté, en la malaxant pour qu'elle devienne sienne. Elle sourit, son visage exprimait la joie, la satisfaction du travail bien fait. Elle se retourna et partit d'un pas décidé. Elle sortit du bâtiment une rafale de vent fit flotter ses cheveux. Je me pouvais détourner mon regard d'elle tout entier j'étais fixé sur elle. Je sentis une main se poser sur mon épaule. Je revins d'un coup à la réalité.
"Arthur, Arthur... dit une voix lointaine"  
Je me retournais pour apercevoir un camarade d'amphi, Jean Patrice. Il représentait à lui seul l'archétype de l'étudiant en fac de droit. Il présentait bien : toujours bien coiffé, bien rasé, propre sur lui et habillé avec un brin de vanité. Il descendait d'une grande famille de nobles languedociens.
"Arthur, Arthur, répéta-t-il encore.
-Oui, qu'est-ce qu'il y a, répondis-je enfin.
-Tu n'as pas l'air de bien aller, tu as une sale mine.
-Non ne t'inquiète pas, je suis juste un peu fatigué, j'ai bossé tard hier soir.
-Tu n'as qu'à rentrer chez toi te reposer, je te passerai les cours.
-Non ça ira, viens c'est l'heure de rentrer"
Nous revenions dans l'amphithéâtre, je m'assis à ma place le professeur commença le cours. La migraine recommença avec plus d'intensité. Elle me frappa avec la force d'un forgeron tapant sur un bout d'acier pour lui donner forme. On essayait de tordre mon esprit. Ce fut le noir.  
Mes yeux s'ouvrirent à la fin du cours. Je devais aller à la fête sinon mon monde s'écroulerait. Cette idée se transformait en obsession. Petit à petit l'obsession se métamorphosait en folie autodestructrice, l'heure d'égarement que je venais de vivre en était la preuve.
Je mangeais seul au déjeuner, un garçon et une fille que je ne connaissais pas vinrent s'asseoir à coté de moi. Apparemment, ils semblaient s'aimer. Pendant tout le repas leurs regards s'entrecroisèrent encore et encore, ils parlaient de projets : de maison, d'enfant, de voyage, d'amour...
Je les écoutais avec une certaine envie en repensant à elle. Le passé sembla revenir l'espace d'une seconde. Il fut vaincu par les regrets et le ressentiment. Le passé ne changerait pas, seul l'avenir comptait et l'avenir c'était la fête de Cindy ou ce ne serait rien.
Je finis mon déjeuner en ne me rappelant plus ce que je venais de manger. La migraine reprit ses sempiternelles attaques. Je décidais donc de rentrer chez moi. Une sorte de force lointaine m'appela lorsque je passais devant le parc de ça Les arbres semblèrent bouger. En passant devant un des sentiers des feuilles mortes volèrent vers moi comme si elles étaient poussées par le vent. Elles retombèrent, soudain tous les bruits venant de la forêt s'arrêtèrent d'un commun accord comme si la nature retenait son souffle.  
Soudain une lumière jaillit de nul part au milieu des arbres sur les ruines. C'était comme un reflet du soleil dans un miroir. La lumière m'éblouie les yeux un court instant. Ma migraine disparue comme par magie. Surpris et très curieux je décidais de m'approcher de la source de la lumière. J'entrais dans les bois avec une certaine prudence. Je prenais un large chemin de feuilles mortes puis bifurquais vers les ruines.
Elles formaient une sorte d'escalier. Mon regard se posa sur une boule de lumière qui trônait tout en haut des ruines. Ce n'était qu'une petite sphère grosse comme un ballon de volley-ball. Mais elle flottait au-dessus des ruines en brillant magnifiquement. Sa lumière blanche semblait venir d'ailleurs, d'un ailleurs qui effacerait tous mes problèmes, d'un ailleurs qui sublimerais ma vie. Dans mon esprit aucune trace de peur n'accompagnait cette vision surnaturelle.
Lentement, ma main s'approcha de la sphère, elle ne dégageait pas de chaleur. Alors que ma main allait frôler la sphère, j'entendis une voix que malheureusement je connaissais bien :
"NON ! N’y touche pas crétin"
Je me retournais pour apercevoir cette blonde, cette Cindy. Son visage était horriblement modifié par la haine. J'eus peur. Je sentais ma fin venir.  
"Pou... Pourquoi ? Balbutiais-je pitoyablement"
Cindy, en bas des escaliers, me fixait du regard. Ma faiblesse mentale repris de plus belle. Mon corps pétrifié ne répondait plus. Elle parla sa voix changea elle devint gutturale avec une sorte d'écho démentiel dans mon esprit :
"Viens à moi, je te l'ordonne"
Avec une douleur folle mon corps répondit à cet appel. Les ténèbres de la douleur m'entouraient, mon seul espoir se trouvait dans la boule de lumière. En y repensant, j'essayais en vain de toucher la sphère de ma main. Ma lutte n'avait aucun espoir évidemment. Il ne me manquait que quelques centimètres pour faire la différence mais elle m'empêchait mentalement d'y arriver. Elle cria dans mon esprit si fort que je crus que la mort m'ouvrait ses portes :
"Ça ne sert à rien, JE. TE .... CONTROLE... viens à...."
Ses mots furent arrêtés nets. Quelque chose venait de traverser sa tête, à présent elle s'écroulait. Je fus si soudainement libéré que mon corps recula vivement en touchant du bout des doigts la sphère. Je ressentis un frisson d'intensité qui glaça mon être. Une puissance me souleva et me projeta en arrière. Ce fut le noir je ne me sentis pas tomber.


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3960739
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 14-10-2004 à 16:19:20  profilanswer
 

deidril a écrit :

Le truc de la fac de lettre d'AES ? On peux avoir des explications ?


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3960822
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 14-10-2004 à 16:30:31  profilanswer
 

En fait, la fac D'AES (administration économique et sociale) se trouve avec la faculté de lettre à Montpellier. Les étudiants en droit étant bien connu pour leur esprit de synthèse, dans leur esprit Fac de lettre = drogué et fénéant, AES qui se trouve en lettre=drogué et fénéant.


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3960916
al pacino
Posté le 14-10-2004 à 16:48:30  profilanswer
 

c'est pas trop mal pour une premiére écriture mais on voit que tu ne maitrise rien à cet art.
 
Tout d'abord je pense qu'il ne sert à rien le fait de vouloir obstinément la premiére fois vouloir écrire d'emblée un livre! Occupe toi déja avec des petites nouvelles pour t'entrainer et commencer à créer un style.
 
En suite il est urgent que tu lises beaucoup car lire beaucoup entraine l'oeil à la construction des recits et surtout nous apprend l'orthographe petit à petit; et tu fais beaucoup de fautes d'orthographes et tu construis mal ton récit.
 
 
Par ailleurs, pourquoi pas acheter un livre qui explique comment faire de bons cenarios,comme le livre de bernard chion?
 
Voila deja un bon commencement pour toi,je résume,lire plus pour les fautes; lire des becherelles et profils sur la grammaire et la conjugaison,sur la ponctuation car on a l'impression soit qu'on ne t'a rien appris à l'ecole,soit qu'on te l'a mal appris;et surtout s'entrainer sur de courts recits dans le genre nouvelles. :hello:

mood
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Posté le 14-10-2004 à 16:48:30  profilanswer
 

n°3960945
al pacino
Posté le 14-10-2004 à 16:53:39  profilanswer
 

tu vois honnetement ton texte j'ai qusi rien lu car ça se voit que tu te moques de ton lecteur,on dirait qu'il a été ecrit d'une traite,la preuve ,il manque des mots donc tu ne l'a pas relu méme une fois,donc à quoi ça te sert de mettre en ligne un texte écrit à la va vite,sans relectureni corrections?

n°3967419
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 15-10-2004 à 14:50:39  profilanswer
 

tiens c'est bizarre je croyais que la plus part des fautes avaient été enlevé, concernant les mots qui manque, c'est tout aussi étrange je vais quand même vérifier. Ce que tu dit, est relativement vrai, j'ai écrit les premiers mots de ce texte en 2001 j'ai donc eu le temps de m'amélioré. Toujours est-il que le style est celui du narrateur de ces quelques lignes à qui il arrive des trucs incroyables qu'il ne comprend pas forcément et n'a pas les mots pour transcrire ses pensés. Sans parler d'une certaine niaiserie post-adolescente dans le ton...


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3967437
Fred999
Rabat-joie
Posté le 15-10-2004 à 14:52:32  profilanswer
 

le textorien a écrit :

tiens c'est bizarre je croyais que la plus part des fautes avaient été enlevé, concernant les mots qui manque, c'est tout aussi étrange je vais quand même vérifier. Ce que tu dit, est relativement vrai, j'ai écrit les premiers mots de ce texte en 2001 j'ai donc eu le temps de m'amélioré. Toujours est-il que le style est celui du narrateur de ces quelques lignes à qui il arrive des trucs incroyables qu'il ne comprend pas forcément et n'a pas les mots pour transcrire ses pensés. Sans parler d'une certaine niaiserie post-adolescente dans le ton...


 
Hola :(
 
Tu emploies très fréquemment l'imparfait au lieu du passé simple !
 
Même un F7 dans Word te corrigerait pas mal de fautes.

n°3967448
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 15-10-2004 à 14:54:43  profilanswer
 

J'essaierais ce que tu me dit dans ce cas là. D'ailleur ça me fait pensé.


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les ombres sont les enfants de la lumière
n°3967535
Fred999
Rabat-joie
Posté le 15-10-2004 à 15:07:03  profilanswer
 

Je te l'aurais bien fait en attendant le week-end, mais mon dico Word est en anglais :D

n°3984571
Michelpopo​pleye
Oyoyoyoye !
Posté le 18-10-2004 à 14:06:20  profilanswer
 

Plusieurs remarques que je ferai à n'importe qui commençant à écrire quelquechose :  
 
         - 1) Faire attention à l'orthographe : c'est essentiel, car tout le monde écrit mal. Montres que tu vaux plus que ça en soignant ton orthographe.
         - 2) Créer son "scénario" avant de commencer à écrire : il faut que tu ais une idée bien ancrée sur laquelle te baser pour avancer. Si tu écris au fur et à mesure, ton récit sera décousu, indigeste et tu te paumera facilement (attends d'avoir de l'expérience dans l'écriture avant de te lancer sans idée prédéfinie pour ton récit).
         - 3) Lire beaucoup et différents styles et genres : ça t'aide pour tout : culture générale, expressions, styles différents d'écriture... et surtout dégager plus clairement ce qui te plait de ce que tu aimes moins...
         - 4) Relire et corriger : on cherche toujours à améliorer son récit (Flaubert était un grand perfectionniste  :D ), il faut ABSOLUMENT que tu te relises et que tu n'hésite pas à reformuler certaines de tes tournures de phrases...
         - 5) Et aussi, accepter la critique et persévérer... [:nico42]  
 
     Je te dis tout ça en tant que lecteur : il me faut un scénario intéressant, des personnages attachants et du rythme pour que j'accroche à ton récit... Le lecteur n'est pas dupe : il voit les tournures de phrases qui semblent bizarres, les lourdeurs et le manque de rythme...

n°3985112
le textori​en
ultime et impossible
Posté le 18-10-2004 à 15:46:50  profilanswer
 

Merci pour les conseils. Mais maintenant je vais mettre le chapitre 3 de la partie 1 qui n'est pas vraiment une coupure dans le récit mais qui aurait put l'être.
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Chapitre 3
Un bourdonnement, tout est noir. Quelque chose bourdonnait dans mon esprit. Les ténèbres m'enveloppaient. Le bourdonnement s'accéléra. Il devint de plus en plus aigu, de plus en plus destructeur. J'essayai de l'arrêter, mais rien n'y faisait.
Au paroxysme de la douleur le bruit s'arrêta net. Je ressentis un choc, puis ce fut comme si je tombais dans les ténèbres. Cette chute sembla s'allonger dans le temps tout comme une mauvaise heure de cours avant une fête. L'espace n'avait plus d'importance, le haut et le bas n'existaient plus. Avaient-ils déjà existé ?
Ma réponse arriva avec fracas, lorsque j'atterris sur ce qui semblais être du sol. Mes yeux étaient fermés, je ne pouvais pas encore les ouvrir. Lentement le bruit revint, au départ ce ne fut que des lointains bruits de ferrailles. Les sons devinrent distincts. Il y eut une sorte de cris, je sentais qu'à travers les ténèbres on m'appelait.
"Il est tombé sauvons-le."
Les cris se faisaient plus fort, plus désespéré. Au milieu du tumulte de la foule, mes yeux s'ouvrirent. Allongé au sol, une grande agitation régnait tout autour de moi. Des centaines de jambes se dressaient sous mes yeux. Je tenais quelque chose dans ma main. Une grande forme ceinte d'un halo de lumière solaire apparut dans mon champ de vision. Cette forme tenait quelque chose en main et elle se préparait à me frapper avec. Instinctivement je parais le coup avec ce que j'avais en main. Une épée ! Je tenais en main une épée. Mes jambes frappèrent la forme à l'abdomen. D'un bon je me relevais et tranchais la tête de la forme. Je me trouvais en fait au beau milieu d'une bataille. Je n'avais aucun contrôle de mon corps. Peu à peu entre une parade et un coup d'estoc des informations me parvenaient. Il y avait des milliers de soldats en armure, ce n'était pas le moyen âge à cause de nos ennemis. Ils n'étaient pas humains. Leur nombre fantastique ne décourageait pas les soldats qui se battaient comme si la mort elle-même leur donnait des ordres. Du sang vert gicla sur mon plastron. L'orque tomba à terre. Je savais ce qu'ils étaient, je savais ce que je voulais : une boucherie. Sans contrôler mon corps mon épée s'abattit encore et encore, semant la mort. Tel un automate je tuais encore et encore.
"Content de te revoir, dit un homme proche de moi"
Le chaos le plus total régnait. Les corps se mouvaient, se blessaient, se démembraient, s'entretuaient. Ma belle armure fut bientôt verte foncé, pleine de sang. Je n'agissais pas, mais je ressentais tout ce que ce personnage ressentait sans que l'osmose n’aille pas plus loin. Je rassemblais un petit groupe pour pouvoir percer les positions orques. D'un coup j'aperçus le ciel où une vision terrifiante s'offrit à moi : Le ciel brûlait. Une sorte de guerre céleste se déroulait en même temps. Des dizaines de bateaux semblaient tirer sur un immense bâtiment de guerre volant. Des moustiques voulaient tuer un aigle, le seul fait de croire qu'il pouvait avoir un espoir n'était que pure folie.  
Mon groupe et moi percions une position orque. La frénésie s'emparait de moi. Mes hommes moururent un à un. Je vengeais la mort de chacun. Je plantais mon épée dans la tête de bouledogue du dernier orque. Je ne retrouvais seul isolé du reste de la bataille, avec pour compagnie des centaines de cadavres.
Tout d'un coup j'entendis un horrible bruit de chair écrasé. Je me retournais aussi vite qu'un chat surpris. Un homme se tenait devant moi, il ne ressemblait pas à un soldat. Une longue robe au motif changeant l'habillait magnifiquement. Ses yeux sondaient mon être. Il sourit d'une façon obscène. La haine brûlait en lui tel un bûcher d'hérétiques. D'un mouvement entre beauté absolue et horreur finale, il sortit une longue épée de derrière son dos. La lame noire brillait magiquement. Je sentis sur mon visage un petit vent de puissance lors du premier mouvement de la lame.
"Alors, dit l'homme, nous nous rencontrons enfin. Tout le plaisir sera pour moi dans quelque seconde.
-Vous allez sûrement trouver du plaisir dans la mort, dis-je"
Je chargeais, nos épées s'entrechoquèrent, des étincelles jaillirent. Les attaques et les parades se succédèrent de plus en plus vite. Il finit par me repousser. Nos yeux se croisèrent, son visage exprimait un intense plaisir, il semblait adorer le combat. Son corps semblait en demander encore. Je repris mon souffle.
"Déjà fatigué Majesté, me railla-t-il."
Je me cramponnai à mon épée et je chargeai avec l'énergie du désespoir : "Pour Bloar, hurlai-je."
Il ne restait plus aucun espoir évidemment, est-ce qu'il y en avait déjà eu ?
Je frappais de toutes mes forces, l'homme para mon coup avec une simplicité déconcertante. Ma lame se brisa, la partie cassée tomba au sol, sans un bruit elle toucha l'herbe verte de ma future tombe.
L'homme, si ça en était bien un, pointa sa main tout doigt écarté dans ma direction. A ce moment précis, tous mes muscles se contractèrent, je reçus un coup, non pas à un seul endroit de mon corps, mais à tous en même temps. Tous mes nerfs entonnèrent la symphonie de la douleur. Des milliers de voix chantaient à l'unisson, une sombre chorale de mort.
Mon corps fut projeté à quelques mètres plus loin. Je m'écrasai au sol tel l'oiseau tué en plein vol. Mes os semblaient brisés, tout mouvement me semblait interdit.
L'homme se rapprocha de moi et me dit :  
" A présent nous sommes les dieux des hommes. Qu'avez-vous cru ? Votre victoire était impossible. Les humains vont devenir nos esclaves. Nous vous dominerons à votre détriment, vos douleurs n'auront de fin qu'avec votre trépas."
Je compris, je compris tout ce que cela signifiait. La sombre épée du Textorien se leva lentement comme s’il voulait apprécier chaque moment.
J'observais le ciel en riant, c'était plus fort que moi, la mort venait pour moi, nimbé de flamme, la beauté et l'ironie de la scène étaient splendides et à la hauteur de la mégalomanie textorienne. L'immense bâtiment de guerre textorien explosait, des flammes titanesques s’envolaient dans le ciel clair de Bloar. Le vaisseau chutait vers nous, une énorme boule de feu fonçait sur moi.
Je riais. Le textorien en m'observant ne comprit pas, il leva la tête.
"NON!!!"
Ma dernière image fut celle de deux lunes.
Le noir, encore et toujours le noir, une sorte de non-existence, un sommeil profond mais conscient, une sorte de mort. Je regagnai enfin mon corps. Mes yeux s'ouvrirent. Le sol de ça m'accueillait, un vent frais caressa mon visage et celui de Cindy. Elle semblait tranquille. J'ai d'abord cru qu'elle dormait profondément, mais une partie de sa tête était écarlate.


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