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Auteur Sujet :

hello Graphisme

n°1018518
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 15:23:37  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
 
Traitement du prolapsus rectal récidivé
 
fréquence de l’incontinence anale postopératoire persistante
n’étaient pas davantage statistiquement différentes entre
les deux groupes. Enfin, le taux de récidive était égale-
ment identique : 14,8 % vs 11,1 % au recul moyen res-
pectif de 23,9 et 22 mois. Dans les conclusions, les auteurs
suggèrent que le résultat du traitement chirurgical du
prolapsus du rectum est identique devant un prolapsus
rectal opéré pour la première fois ou au stade de récidive,
les mêmes choix chirurgicaux étant validés dans les deux
situations.
s
Commentaires de l’article
Le principal mérite de cette étude est de chercher à
répondre à une question rarement traitée dans la litté-
rature et pour laquelle il n’y a pas actuellement de
consensus chirurgical. Aucune étude prospective ran-
domisée n’a été publiée sur ce sujet et il paraît difficile
de réaliser un essai contrôlé : le caractère rétrospectif de
ce travail se trouve de ce fait largement légitimé.
Cependant, les auteurs ne précisent pas si les deux groupes
de patients comparés ont été opérés dans la même période
et les différentes interventions pratiquées dans le groupe
des patients opérés pour la première fois ne sont pas
détaillées : il s’agit là d’un biais important car le résultat
de la chirurgie du prolapsus rectal est grandement dépen-
dant de l’intervention réalisée. Dans le groupe des 27patients
opérés pour récidive du prolapsus, 5 interventions dif-
férentes ont été réalisées dont certaines actuellement
abandonnées, comme le cerclage anal réalisé 4 fois. De
même, parmi les 27 interventions réalisées pour traiter
la récidive, une résection recto-sigmoïdienne par voie péri-
néale a été utilisée 14 fois, c’est-à-dire chez plus de la moi-
tié des patients, alors qu’il n’y a eu que 8 rectopexies et
L
e meilleur traitement chirurgical du prolapsus com-
plet du rectum est actuellement toujours débattu :
voie abdominale ou voie périnéale, choix des moda-
lités de fixation du rectum en cas de rectopexie, colec-
tomie associée ou non, laparotomie ou cœlioscopie ; l’éva-
luation des résultats de la chirurgie doit tenir compte non
seulement de la prévalence de la récidive du prolapsus
à long terme mais aussi de la qualité de vie et de la qua-
lité du confort digestif postopératoire selon 2 critères de
jugement privilégiés : la qualité de la continence anale
et l’existence d’une constipation. Devant une récidive d’un
prolapsus rectal, le choix de la meilleure attitude chirur-
gicale est également débattu, d’autant que très peu de
travaux dans la littérature ont essayé de répondre à cette
question.
s
Résumé de l’article
C’est le mérite de l’article de Pikarsky et coll., d’avoir essayé
d’évaluer les résultats clinique et fonctionnel de la chi-
rurgie pour prolapsus rectal récidivé et de comparer ces
résultats à ceux d’une population de patients opérés pour
la première fois d’un prolapsus du rectum.
Parmi une population de 115 patients opérés d’un pro-
lapsus rectal, les auteurs ont étudié 27patients opérés pour
récidive et les ont comparés à un groupe de 27autres patients
opérés pour la 1
re
fois d’un prolapsus du rectum et appa-
riés par l’âge, le sexe et le type d’intervention chirurgi-
cale réalisée. Il n’a pas été relevé de différences statisti-
quement significatives entre les deux groupes sur le score
préopératoire d’incontinence anale, les résultats de la
manométrie ano-rectale ou de l’électromyographie. La
mortalité, la durée moyenne de séjour, les complications
anastomotiques ou infectieuses postopératoires, la
Francis Michot
Hôpital Charles Nicolle,
Rouen.
Page 2
ConStat N°15
ANALYSE
19
une seule rectopexie associée à une colectomie : les résul-
tats ne peuvent que pâtir de l’hétérogénéité des choix
chirurgicaux et refléter davantage le résultat de l’exérèse
colorectale par voie périnéale plus que de la chirurgie
de la récidive du prolapsus du rectum.
La question posée par les auteurs était non seulement
l’étude de la récidive après réintervention pour pro-
lapsus du rectum, mais aussi le meilleur choix global,
incluant par conséquent la qualité des résultats fonctionnels
obtenus. Il n’est jamais envisagé dans ce travail une
évaluation de la constipation ni préopératoire, ni post-
opératoire, et aucun des patients n’a eu un temps de
transit des marqueurs radio-opaques dans le but d’éva-
luer objectivement une éventuelle constipation de tran-
sit associée. N’envisager le résultat fonctionnel de cette
chirurgie qu’à travers son résultat sur l’incontinence
anale, sans jamais évaluer la constipation, est extrêmement
critiquable.
Les résultats sont rapportés avec un recul inférieur à
2 ans (23,9 et 22 mois respectivement dans chaque
groupe) : ce recul est trop bref pour permettre des conclu-
sions définitives, les récidives de prolapsus du rectum
survenant souvent tardivement. Cette insuffisance, qui
a d’ailleurs été remarquée par les auteurs, est indiquée
dans la discussion.
Les taux de récidive rapportés sont élevés : 14,8 % dans
le groupe des patients opérés pour récidive, et 11,1 %
dans le groupe des patients primitivement opérés. Dans
le groupe des patients opérés pour récidive, la prévalence
de 14,8 % est difficile à interpréter compte tenu de l’hé-
térogénéité des procédures chirurgicales choisies : un tel
taux est rapporté après exérèse recto-sigmoïdienne par
voie périnéale ou intervention de Delorme, ces 2 inter-
ventions ayant été réalisées chez 16 des 27 patients de
ce groupe ; en revanche, il est très inhabituel après recto-
pexie ou rectopexie avec colectomie associée, interven-
tion qui ne concernait qu’un tiers des patients étudiés.
Le taux de récidive rapporté chez les 27 patients opérés
pour la 1
re
fois de leur prolapsus ne peut pas être inter-
prété devant la méconnaissance des procédures chirur-
gicales réalisées, non détaillées dans ce travail.
Les causes de la récidive du prolapsus du rectum n’ont
pas été recherchées : les plus fréquemment identifiées
sont la résection insuffisante d’une boucle sigmoïdienne
redondante, l’opération de Delorme, une rupture ou
désinsertion des bandelettes prothétiques lors d’une
rectopexie comme cela a été rapporté dans l’étude de
Hool et coll. (1).
En conclusion, les auteurs indiquent que les mêmes
options chirurgicales sont validées dans la chirurgie du
prolapsus du rectum opéré pour la première fois ou au
stade de récidive. Les résultats respectifs de ces différentes
options ne sont cependant pas décrits et ce travail ne per-
met pas au lecteur de se faire une idée précise du choix
chirurgical le plus pertinent, offrant aux patients les
meilleures chances de bons résultats anatomique et fonc-
tionnel.


Message édité par justeleblanc le 23-05-2008 à 15:25:13
mood
Publicité
Posté le 23-05-2008 à 15:23:37  profilanswer
 

n°1018520
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 15:26:13  profilanswer
 

Bordel, il manque la fin de mon post :fou: , ça veut plus rien dire comme vous l'aurez tous remarqué bien sûr.

 

Y'a une taille de post maxi sur ce forum ?  [:delarue3]

 


Edit: il y a un QI maxi sur achat/vente apparement, peut etre y a t-il un lien de cause à effet :gratgrat:

Message cité 1 fois
Message édité par crayon29 le 23-05-2008 à 15:27:47

---------------
www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018521
foxclan
ca passe ! ca passe !
Posté le 23-05-2008 à 15:26:49  profilanswer
 

on en tiens 2 là   [:prozac]


---------------
Topicon !
n°1018524
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 15:33:23  profilanswer
 

crayon29 a écrit :

Bordel, il manque la fin de mon post :fou: , ça veut plus rien dire comme vous l'aurez tous remarqué bien sûr.

Y'a une taille de post maxi sur ce forum ?
 [:delarue3]  
 
 
Edit: il y a un QI maxi sur achat/vente apparement, peut etre y a t-il un lien de cause à effet :gratgrat:


oué je viens de le constater  :o

n°1018526
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 15:34:21  profilanswer
 

foxclan a écrit :

on en tiens 2 là   [:prozac]


L'ICC en action
Recherche sur les fibres de collagène
Par :  Gregory Young,
Date de parution :  3/1/1991 12:00:00 PM
 
 
Les objets en peau et en cuir semi-tanné forment une grande partie des collections illustrant la culture autochtone dans les musées canadiens. Beaucoup de ces objets sont irremplaçables et tous méritent d'être traités avec le plus grand soin. Pour aider les restaurateurs dans cette tâche, les Services de la recherche analytique ont entrepris des recherches sur la composante de base de ces objets, les fibres de collagène.
 
Jusqu'à tout récemment, peu de recherches avaient été faites dans la domaine de la conservation sur le traitement des objets autochtones en peau et en cuir. Les restaurateurs avaient dû adapter des techniques servant dans d'autres domaines de la conservation ou provenant de l'industrie manufacturière du cuir, souvent sans connaître les effets à long ou à court terme des substances utilisées dans les traitements.
 
Dernièrement toutefois, les restaurateurs ont entrepris de réexaminer les méthodes et les objectifs de la conservation de la peau et du cuir et ont découvert que beaucoup de traitements traditionnels étaient inadéquats et potentiellement dommageables. Par exemple, certaines méthodes traditionnelles de nettoyage et d'assouplissement peuvent enlever d'importantes composantes naturelles des objets, et d'autres peuvent y laisser des substances susceptibles de les endommager. L'accent est maintenant mis sur les soins préventifs et sur une intervention minimale lors des traitements.
 
Pour trouver de nouveaux traitements et dispenser les soins préventifs nécessaires, il faut étudier, par des méthodes analytiques, la détérioration des objets et déterminer les effets des conditions ambiantes et de nouveaux traitements expérimentaux.
 
De récents articles sur la conservation font état de recherches effectuées pour déceler la rupture des longues molécules en forme de chaîne du collagène, en mesurant les changements de poids moléculaire. Même si ces méthodes chimiques d'analyse peuvent être d'une grande utilité pour l'étude de la détérioration, le fait qu'elles nécessitent beaucoup de travail et ne permettent souvent qu'une quantification restreinte n'encourage pas leur utilisation.
 
Les méthodes physiques d'analyse peuvent également fournir des renseignements sur la rupture moléculaire. La détérioration modifie les propriétés physiques des peaux et des cuirs; les fibres de collagène perdent leur élasticité. Une méthode physique relativement simple pour évaluer la rupture moléculaire sous-jacent à la perte d'élasticité consiste à étudier la stabilité thermique des fibres de collagène. Les variations de cette stabilité reflètent des changements dans la structure moléculaire du collagène et dans l'organisation des molécules.
 
Quand on les chauffe lentement dans l'eau, les fibres de collagène rétrécissent si elles atteignent une température critique. Cette « température de rétrécissement » varie selon le niveau de désorganisation de la structure moléculaire et peut donc servir à déterminer le degré de détérioration. Elle peut également nous renseigner tant sur les effets des substances utilisées dans les traitements que sur ceux des conditions de mise en réserve et d'exposition. Les mesures peuvent être faites au microscope, ce qui n'exige que de minuscules échantillons, et permet par conséquent de tester des objets de musée. L'utilisation d'un microscope polarisant à platine chauffante, qui rend visibles certains effets optiques et assure ainsi une bonne reproductibilité dans les mesures de routine (voir Young, 1990), est recommandé.
 
Afin de déterminer l'utilité des mesures au microscope, on est en train d'évaluer plusieurs méthodes analytiques pour décrire les processus de rétrécissement avec plus de précision. L'analyse calorimétrique différentielle (ACD) permet de déterminer l'importance des changements de structure des fibres de collagène au cours du rétrécissement et la prédisposition de ces fibres à rétrécir. On évalue aussi d'autres méthodes physiques, dont la microscopie, la microspectroscopie infrarouge et la diffraction des rayons X, afin d'étendre les connaissances sur la détérioration de l'organisation moléculaire de la structure semi-cristalline du collagène.
Pour en savoir plus :
 
National Institute for the Conservation of Cultural Property, Inc., Ethnographic and Archaeological Conservation in the United States, Washington (D.C.), National Institute for the Conservation of Cultural Property, Inc., 1984.
 
Jorgenson, J. W., « Electrophoresis », Analytical Chemistry, vol. 58, no 7 (1986), p. 743A-760A.
 
Peacock, E. E., « Archaeological Skin Materials », dans Henry W. M. Hodges (sous la direction de), In Situ Archaeological Conservation : Proceedings of Meetings, April 6-13,1986, Mexico, Mexico, Instituto Nacional de Antropologia e Historia, et Century City (Californie), J. Paul Getty Trust, 1987, p. 122-131.
 
Raphael, T. « Ethnographic Skin and Leather Products: A Call for Conservation Treatment », dans R. Barclay, M. Gilberg, J.C. McCawley et T. Stone (sous la direction de), Symposium 86 : L'entretien et la sauvegarde des matériaux ethnologiques, Actes, Ottawa, Institut canadien de conservation, 1986, p. 68-73.
 
Young, G. S., « Microscopical Hydrothermal Stability Measurements of Skin and Semi-tanned Leather », dans Preprints of the 9th Triennial Meeting, Dresden, German Democratic Republic, 26-31 August 1990, vol. II, Los Angeles, Comité pour la conservation de l'ICOM, 1990, p. 626-631.

n°1018530
th0r1
Posté le 23-05-2008 à 15:45:00  profilanswer
 

tain je savais même pas que on pouvait mettre autant de lettres d'affiliées sur hfr :whistle:


Message édité par th0r1 le 23-05-2008 à 15:45:06

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[VDS] Sony A7R IV + 24-240mm
n°1018531
Jules418
Posté le 23-05-2008 à 15:47:07  profilanswer
 

Je savais même pas que l'on pouvait écrire autant tout court (CLB de Fox)  :D


Message édité par Jules418 le 23-05-2008 à 15:47:23

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We must fight, injustice system ; have no right, injustice system
n°1018532
foxclan
ca passe ! ca passe !
Posté le 23-05-2008 à 15:54:08  profilanswer
 

ils ne savent pas écire je vous rassure  c'est juste un copier/coller des trucs qu'ils ne comprennent pas pour qu'on leur traduise :sol:


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Topicon !
n°1018533
welcom
That's life !!
Posté le 23-05-2008 à 15:54:44  profilanswer
 

sont grave les gens ici :o


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Si tu l'dis..............................................!!!
n°1018535
TSILOULOU
Tu veux un cadeau ?? ??
Posté le 23-05-2008 à 15:59:10  profilanswer
 

sequelles du tsunami  
 
Un tsunami (japonais : 津 tsu, « port » et 波 nami, « vague ») est une onde provoquée par un mouvement rapide d'un grand volume d'eau (océan ou mer). Ce mouvement est en général dû à un séisme, une éruption volcanique sous-marine de type explosif ou bien un glissement de terrain sous-marin de grande ampleur. Un impact météoritique peut aussi en être la cause, de même qu'une explosion atomique sous-marine. Ainsi, contrairement aux vagues, un tsunami n'est pas créé par le vent.
 
Bien que les tsunamis puissent atteindre une vitesse de 800 km/h quand le fond de l'océan est profond, ils sont imperceptibles au large car leur amplitude y dépasse rarement le mètre pour une période (temps entre deux vagues successives) de plusieurs minutes à plusieurs heures ; il ne faut donc pas les confondre avec les vagues scélérates qui provoquent des naufrages en haute mer. En revanche, ils peuvent provoquer d'énormes dégâts sur les côtes où ils se manifestent par :
 
    * une baisse du niveau de l'eau et un recul de la mer dans les quelques minutes qui les précèdent ;
    * un raz-de-marée, à savoir une élévation rapide du niveau des eaux d'un à plusieurs dizaines de mètres provoquant un courant puissant capable de pénétrer profondément à l'intérieur des terres lorsque le relief est plat. La vague (d'une hauteur pouvant atteindre 60 mètres de haut - cela dépend de divers paramètres, principalement d'ordre géométrique : bathymétrie, présence d'une baie, d'une rivière, etc.) ralentit près des côtes et prend de la hauteur. Ensuite, elle peut tout dévaster sur plusieurs kilomètres.
 
Dans certains cas assez rares, le tsunami peut prendre la forme d'une vague déferlante ou, sur un fleuve, d'un mascaret. 75 % des tsunamis se produisent dans l'océan Pacifique, la plupart des autres dans l’océan Indien, en raison de la plus forte activité tectonique et sismique.
 
En fonction de l'intensité de l'action mécanique qui les génère et de la géométrie de l'océan, ils se propagent sur des milliers voire une dizaine de milliers de kilomètres et peuvent toucher plusieurs continents, dans des zones où le séisme ou l'éruption volcanique n'ont pas été détectés. Lors d'un fort tremblement de terre en zone côtière, ils sont généralement plus meurtriers et destructeurs que la secousse elle-même.
Sommaire
[masquer]
 
    * 1 Étymologie
    * 2 Création, propagation et déferlement
    * 3 Dangers liés
          o 3.1 Pertes humaines
          o 3.2 Dégâts
    * 4 Prévention
          o 4.1 Système d'alerte
          o 4.2 Sécurisation de l'habitat
          o 4.3 Sensibilisation
          o 4.4 Les barrières naturelles
    * 5 Fréquence et localisation du phénomène
    * 6 Caractéristiques physiques
          o 6.1 Propagation en haute mer
                + 6.1.1 Caractéristiques fondamentales
                + 6.1.2 Longueur d'onde
                + 6.1.3 Vitesse de propagation
                + 6.1.4 Amplitude
          o 6.2 Déferlement sur les côtes
                + 6.2.1 Mouvement horizontal de l'eau
                + 6.2.2 Complexité des effets en zones côtières
    * 7 Liste de raz-de-marée de grande importance
    * 8 Mégatsunamis
    * 9 Phénomènes comparables
    * 10 Voir aussi
          o 10.1 Articles connexes
          o 10.2 Références
          o 10.3 Liens externes
 
Étymologie [modifier]
La grande vague de Kanagawa (The Great Wave of Kanagawa, 神奈川沖浪裏, Kanagawa oki nami ura)gravure sur bois polychrome par Katsushika Hokusai (vers 1831), Trente-six vues du mont Fuji
La grande vague de Kanagawa (The Great Wave of Kanagawa, 神奈川沖浪裏, Kanagawa oki nami ura)
gravure sur bois polychrome par Katsushika Hokusai (vers 1831), Trente-six vues du mont Fuji
 
Le terme tsunami (kanji : 津波) est un mot japonais composé de tsu (津), « port », « gué », et de nami (波), « vague » ; il signifie littéralement « vague portuaire ». Elle fut nommée ainsi par les pêcheurs qui, n'ayant rien perçu d'anormal au large, retrouvaient leur ville portuaire ravagée. Le mot est francisé, il prend donc un s au pluriel (des tsunamis).
 
Dans l'expression « raz-de-marée », le terme « raz » désigne un courant rapide. C'est un mot d'origine viking qui a été importé lors de l'invasion de la Normandie, puis est passé dans le breton avant de passer dans le français. Il a également donné le nom à la Pointe du Raz, et le mot anglais race (course), qui évoque également la rapidité, a la même étymologie.
 
Le raz-de-marée est un phénomène qui n'a rien à voir avec les marées, qui sont provoquées par l'attraction de la lune et du soleil ; le raz de marée est provoqué par des événements d'origine terrestre. L'association avec les marées fait référence à son apparence, comme une crue extrêmement rapide du niveau de la mer, plutôt que comme une vague géante. Par ailleurs, ce terme reste imprécis car il ne préjuge pas de l'origine sismique du phénomène : le passage d'un ouragan peut également élever le niveau de l'eau d'un à deux mètres et provoquer des inondations similaires (exemple, l'ouragan Katrina à la Nouvelle-Orléans); certaines baies ou certains ports ayant une configuration particulière peuvent réagir au passage d'une dépression en se vidant et/ou en se remplissant rapidement : on parlera d'un tsunami météorologique, phénomène assez fréquent en Méditerranée (Baléares, mer Adriatique) qui peut entraîner des dégâts.
 
Pour éviter l'association fausse avec les marées et pallier l'imprécision du terme « raz-de-marée », les scientifiques préfèrent le mot tsunami, officialisé en 1963. Le terme est passé par ailleurs dans la langue courante.
 
Création, propagation et déferlement [modifier]
Fig. 1 - Vie d'un tsunami : création par un séisme, propagation et déferlement sur les côtes
Fig. 1 - Vie d'un tsunami : création par un séisme, propagation et déferlement sur les côtes
 
Un tsunami est créé lorsqu'une grande masse d'eau est déplacée. Cela peut être le cas lors d'un séisme important, d'une magnitude de 7 ou plus, lorsque le niveau du plancher océanique le long d'une faille s'abaisse ou s'élève brutalement (voir Fig. 1), lors d'un glissement de terrain côtier ou sous-marin, ou lors d'un impact par une météorite. Il est notable qu'un fort séisme ne produit pas nécessairement un tsunami : tout dépend de la manière dont se modifie le niveau du plancher océanique aux alentours de la faille et dont la déformation est transmise à la colonne d'eau.
 
Le déplacement d'eau se propage de proche en proche et crée un mouvement de grande longueur d'onde (généralement quelques centaines de kilomètres) et de grande période (quelques dizaines de minutes). Lorsque la cause du tsunami a lieu près d'une côte, celle-ci peut être atteinte en moins d'une heure ; on parle alors de tsunami local.
 
Certains tsunamis sont capables de se propager sur des distances de plusieurs milliers de kilomètres et d'atteindre l'ensemble des côtes d'un océan en moins d'une journée. Ces tsunamis de grande étendue sont généralement d'origine tectonique, car les glissements de terrain et les explosions volcaniques produisent généralement des ondes de plus courte longueur d'onde qui se dissipent rapidement : on parlera de dispersion des ondes.
 
Ce n'est pas principalement la hauteur du tsunami qui en fait sa force destructrice, mais la durée de l'élévation du niveau de l'eau et la quantité d'eau déplacée à son passage : si des vagues de plusieurs mètres de hauteur, voire d'une dizaine de mètres, sont légion sur les côtes de l'océan Pacifiques, elle ne transportent pas assez d'eau pour pénétrer dans les terres. Au contraire, un tsunami d'une hauteur d'un ou deux mètres peut s'avérer ravageur, car la quantité d'eau qu'il transporte lui permet de déferler jusqu’à plusieurs centaines de mètres à l'intérieur des terres si le relief est plat et sans obstacles naturels (arbres, par exemple). On peut voir le phénomène sous un autre angle : une vague classique, d'une période d'au plus une minute, n'élève pas le niveau de l'eau suffisamment longtemps pour qu'elle pénètre profondément, tandis que le niveau des eaux s'élève au dessus de son niveau normal pendant 5 à 30 minutes lors du passage d'un tsunami.
 
Dangers liés [modifier]
 
Les dangers liés aux tsunamis sont dus à l'inondation qui en résulte, à la force du courant qu'ils engendrent tant lors du flux que du reflux et à sa capacité à happer les personnes au large.
 
Pertes humaines [modifier]
Illustration 1 - Hawaii gens fuyant à l'approche d'un tsunami sur Hilo, le 1er avril 1946.
Illustration 1 - Hawaii gens fuyant à l'approche d'un tsunami sur Hilo, le 1er avril 1946.
 
Les victimes emportées par un tsunami peuvent recevoir divers coups par les objets charriés (morceaux d'habitations détruites, bateaux, voitures, etc.) ou être projetées violemment contre des objets terrestres (mobilier urbain, arbres, etc.) : ces coups peuvent être mortels ou provoquer une perte des capacités menant à la noyade. Certaines victimes peuvent aussi être piégées sous les décombres d'habitations. Enfin, le reflux du raz-de-marée est capable d'emmener des personnes au large, où elles dérivent et, sans secours, meurent de noyade par épuisement ou de soif.
 
Dans les jours et les semaines suivant l'événement, le bilan peut s'alourdir, en particulier dans les pays pauvres. L'après tsunami peut être plus mortel que la vague elle-même. Les maladies liées à la putréfaction de cadavres, à la contamination de l'eau potable et à la péremption des aliments sont susceptibles de faire leur apparition. La faim peut survenir en cas de destruction des récoltes et des stocks alimentaires.
 
Pour exemple, le Tsunami du 26 décembre 2004 a fait plus de 200 000 morts[1].
 
Dégâts [modifier]
Train renversé par le tsunami du 26 décembre 2004 au Sri Lanka.
Train renversé par le tsunami du 26 décembre 2004 au Sri Lanka.
 
Les tsunamis sont susceptibles de détruire habitations, infrastructures et flore en raison :
 
    * du fort courant qui emporte les structures peu ancrées dans le sol (voir la photo ci-contre) ;
    * de l'inondation qui fragilise les fondations des habitations, parfois déjà atteintes par le tremblement de terre précédant le raz-de-marée ;
    * de dégradations dues aux chocs d'objets charriés à grande vitesse par la crue.
 
De plus, dans les régions plates, la stagnation d'eaux maritimes saumâtres peut porter un coup fatal à la faune et à la flore côtières, ainsi qu'aux récoltes. Sur les côtes sableuses ou marécageuses, le profil du rivage peut être modifié par la vague et une partie des terres, immergées.
 
    * des pollutions induites par la destruction d'installations dangereuses et de dispersion de toxiques, de pathogènes à partir de ces installations (usines, décharges sous-marines..) ou par dispersion de sédiments pollués (estuaires, ports, en aval d'émissaires industriels, décharges sous-marines ou littorales). Lors du Tsunami du 26 décembre 2004, un dépôt de munitions immergées a par exemple été dispersé sur les fonds marins sur de grandes distances. Il existe plusieurs centaines de décharges sous-marines dans le monde, contenant notamment des déchets nucléaires et des déchets militaires ou industriels hautement toxiques.
 
Les récifs coralliens peuvent également être disloqués et mis à mal par le tsunami lui-même et par la turbidité de l'eau qui peut s'ensuivre les semaines suivantes, ainsi que par les polluants (engrais, pesticides..) que l'eau a pu ramener.
 
Prévention [modifier]
 
La présence d'un système d'alerte permettant d'alerter la population quelques heures avant la survenue d'un tsunami, la sensibilisation des populations côtières aux risques et aux gestes de survie, et la sécurisation de l'habitat permettent de sauver la plupart des vies humaines.
 
Système d'alerte [modifier]
 
Il suffit généralement de s'éloigner de quelques centaines de mètres à quelques kilomètres des côtes ou d'atteindre un promontoire de quelques mètres à quelques dizaines de mètres pour être épargné. La mise à l'abri ne prend donc que quelques minutes à un quart d'heure, aussi un système d'alerte au tsunami permet-il d'éviter la plupart des pertes humaines.
 
Un système de bouées adaptées à la réception des mouvements (capteurs de pression disposés sur les fonds océaniques) peut être installé le long des côtes et ainsi prévenir du danger.
 
Un dispositif de surveillance et d'alerte, utilisant une maille de sondes sub-océanique et traquant les séismes potentiellement déclencheurs de tsunamis, permet d'alerter les populations et les plagistes de l'arrivée d'un tsunami dans les pays donnant sur l'océan pacifique : le Centre d'alerte des tsunamis dans le Pacifique, basé sur la plage d'Ewa à Hawaii, non loin d'Honolulu.
 
Sécurisation de l'habitat [modifier]
 
À Hawaii, où le phénomène est fréquent, les règlements d'urbanisme imposent que les constructions proches du rivage soient bâties sur pilotis.
 
À Malé, la capitale des Maldives, une rangée de tétrapodes en béton dépassant de 3 mètres le niveau de la mer est prévue pour diminuer l'impact des tsunamis.
 
Sensibilisation [modifier]
Panneau de prévention des tsunami en Alaska, États-Unis
Panneau de prévention des tsunami en Alaska, États-Unis
 
La sensibilisation au phénomène et à ses dangers est également un facteur déterminant pour sauver des vies humaines, car toutes les côtes ne possèdent pas de système d'alarme - les côtes des Océans Atlantique et Indien en sont notamment dépourvues. De plus, certains tsunamis ne peuvent être détectés à temps (tsunamis locaux).
 
Deux indices annonçant la survenue possible d'un tsunami sont à reconnaître et impliquent qu'il faut se rendre en lieu sûr :
 
    * retrait rapide et inattendu de la mer, car il annonce la survenue d'un raz-de-marée ;
    * tremblement de terre, même de faible densité, car il peut s'agir d'un séisme majeur distant provoquant un tsunami.
 
Si l'on est surpris par le raz-de-marée, grimper sur le toit d'une habitation ou la cime d'un arbre solide, tenter de s'accrocher à un objet flottant que le tsunami charrie sont des solutions de dernier recours. En aucun cas, il n'est sûr de revenir auprès des côtes dans les heures suivant le raz-de-marée, car celui-ci peut être composé de plusieurs vagues espacées de quelques dizaines de minutes à plusieurs heures.
 
Sources : voir Bibliographie thématique : prévention.
 
Les barrières naturelles [modifier]
 
Un rapport publié par le PNUE suggère que le tsunami du 26 décembre 2004 a causé moins de dégâts dans les zones où des barrières naturelles, telles que les mangroves, les récifs coralliens ou la végétation côtière, étaient présentes.
 
Fréquence et localisation du phénomène [modifier]
 
Au XXe siècle, dix tsunamis par an furent enregistrés, dont un et demi par an a provoqué des dégâts ou des pertes humaines. Sur cette période d'un siècle, sept provoquèrent plus d'un millier de morts, soit moins d'un tous les dix ans.
 
80% des tsunamis enregistrés le sont dans l'océan Pacifique ; parmi les huit tsunamis ayant causé plus d'un millier de victimes depuis 1900, seul le tsunami du 26 décembre 2004 n'a pas eu lieu dans l'océan Pacifique.
 
Sources : voir Bibliographie thématique : statistiques sur les tsunamis.
 
Caractéristiques physiques [modifier]
 
Propagation en haute mer [modifier]
Fig. 2 - Mouvement d'une particule d'eau lors du passage d'un tsunami en haute mer. Le mouvement des particules et l'amplitude du tsunami sont exagérés pour rendre le graphique lisible.
Fig. 2 - Mouvement d'une particule d'eau lors du passage d'un tsunami en haute mer. Le mouvement des particules et l'amplitude du tsunami sont exagérés pour rendre le graphique lisible.
 
En pleine mer, le tsunami se comporte comme la houle : c'est une onde à propagation elliptique, c'est-à-dire que les particules d'eau sont animées d'un mouvement elliptique à son passage. Il n'y a (presque) pas de déplacement global de l'eau, une particule retrouve sa position initiale après le passage du tsunami. La figure 2 illustre le déplacement des particules d'eau au passage de la vague.
 
Mais, contrairement à la houle, le tsunami provoque une oscillation de l'eau aussi bien en surface (un objet flottant est animé d'un mouvement elliptique à son passage, cf. point rouge du haut sur la Fig. 2) qu'en profondeur (l'eau est animée d'une oscillation horizontale dans le sens de la propagation de l'onde, voir le point rouge du bas sur la Fig. 2). Ce fait est lié à la grande longueur d'onde du tsunami, typiquement quelques centaines de kilomètres, qui est très supérieure à la profondeur de l'océan - une dizaine de kilomètres tout au plus. Il en résulte que la quantité d'eau mise en mouvement est bien supérieure à ce que la houle produit ; aussi le tsunami transporte-t-il beaucoup plus d'énergie que la houle.
 
Caractéristiques fondamentales [modifier]
Fig. 3 - Schéma d'une vague de tsunami : longueur d'onde et amplitude (notée I sur la figure).
Fig. 3 - Schéma d'une vague de tsunami : longueur d'onde et amplitude (notée I sur la figure).
 
Un tsunami possède deux paramètres fondamentaux :
 
    * l'énergie mécanique E libérée ;
    * pour simplifier, sa période T, c'est-à-dire le temps écoulé entre deux crêtes successives (Dans la pratique, un tsunami est un court train d'onde qui est caractérisé par son spectre de périodes – voir transformée de Fourier pour une explication détaillée).
 
Ces paramètres sont sensiblement constants au cours de la propagation du tsunami, dont la perte d'énergie par friction est faible du fait de sa grande longueur d'onde.
 
Les tsunamis d'origine tectonique ont des périodes longues, généralement entre une dizaine de minutes et plus d'une heure. Les tsunamis générés par des glissements de terrain ou l'effondrement d'un volcan ont souvent des périodes plus courtes, de quelques minutes à un quart d'heure.
 
Les autres propriétés du tsunami comme la hauteur de la vague, la longueur d'onde (distance entre les crêtes) ou la vitesse de propagation sont des quantités variables qui dépendent de la bathymétrie et/ou des paramètres fondamentaux E et T.
 
Longueur d'onde [modifier]
Fig. 4 - Propagation du tsunami en profondeur variable : augmentation de l'amplitude, diminution de la longueur d'onde et de la vitesse en milieu peu profond


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Le topic de mon feedback http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
mood
Publicité
Posté le 23-05-2008 à 15:59:10  profilanswer
 

n°1018536
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 16:05:54  profilanswer
 

justeleblanc a écrit :


[...]
Quand on les chauffe lentement dans l'eau, les fibres de collagène rétrécissent si elles atteignent une température critique. Cette « température de rétrécissement » varie selon le niveau de désorganisation de la structure moléculaire et peut donc servir à déterminer le degré de détérioration.
[...]


Très intérèssant.
Ces résultats sont à l'opposée des resultats obtenus sur les testicules humains.
Ceci pourrait etre une piste à suivre pour mes recherches ayant pour but la conception d'un slip de bain qui conserve la taille des organes génitaux masculins quelle que soit la température de l'eau dans laquelle on se baigne (une commande spéciale de Liverpowen) .
 
Merci d'avoir porté à moi ces informations qui pourraient permettre à de nombreux hommes d'arborer fièrement un lingo convenable sur les plages de france et de navarre :jap: .
 
Le prix nobel est proche.


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www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018537
welcom
That's life !!
Posté le 23-05-2008 à 16:05:58  profilanswer
 

tsiloulou a du prendre un coup sur la tete, il devient comme eux :heink:


---------------
Si tu l'dis..............................................!!!
n°1018538
TSILOULOU
Tu veux un cadeau ?? ??
Posté le 23-05-2008 à 16:07:38  profilanswer
 

welcom a écrit :

tsiloulou a du prendre un coup sur la tete, il devient comme eux :heink:


pas sur la tête le coup  ..........   :sweat:   :cry:          
 
s'est des fornicateurs  :fou:


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Le topic de mon feedback http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
n°1018539
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 16:09:00  profilanswer
 

crayon29 a écrit :


Très intérèssant.
Ces résultats sont à l'opposée des resultats obtenus sur les testicules humains.
Ceci pourrait etre une piste à suivre pour mes recherches ayant pour but la conception d'un slip de bain qui conserve la taille des organes génitaux masculins quelle que soit la température de l'eau dans laquelle on se baigne (une commande spéciale de Liverpowen) .

 

Merci d'avoir porté à moi ces informations qui pourraient permettre à de nombreux hommes d'arborer fièrement un lingo convenable sur les plages de france et de navarre :jap: .

 

Le prix nobel est proche.


oui ben ça doit pas être compliqué pour lui de garder la taille normale même dans l'eau, y'a une limite inférieure dans la taille tout de même :o
 limite t'as plus vite fait de trouver un truc pour la lui grossir en dehors de l'eau :o

Message cité 1 fois
Message édité par justeleblanc le 23-05-2008 à 16:09:29
n°1018540
TSILOULOU
Tu veux un cadeau ?? ??
Posté le 23-05-2008 à 16:10:49  profilanswer
 

:lol:  :lol:  
 
 [:prozac]


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Le topic de mon feedback http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
n°1018541
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 16:13:03  profilanswer
 

justeleblanc a écrit :


oui ben ça doit pas être compliqué pour lui de garder la taille normale même dans l'eau, y'a une limite inférieure dans la taille tout de même :o
limite t'as plus vite fait de trouver un truc pour la lui grossir en dehors de l'eau :o


Ton cul donne de bons résultats déja :o  
 
Sinon des grands coups de batte de base ball provoquent un enflement conséquent également, mais on manque de volontaires pour valider les essais cliniques de cette méthode :/ .


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www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018543
liverpowen
Profil : Friche Culturelle
Posté le 23-05-2008 à 16:14:23  profilanswer
 

on parle de moi ?


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OUAIB | FLICKR | HFR | 500 PX
n°1018544
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 16:16:29  profilanswer
 

liverpowen a écrit :

on parle de moi ?


Seulement d'une toute petite partie de toi.
Partie négligeable en fait, donc non, on parle pas de toi :) .


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www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018546
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 16:20:01  profilanswer
 

liverpowen a écrit :

on parle de moi ?


on parle de p'tite bite:o

n°1018547
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 16:20:54  profilanswer
 

crayon29 a écrit :


Ton cul donne de bons résultats déja :o  
 
Sinon des grands coups de batte de base ball provoquent un enflement conséquent également, mais on manque de volontaires pour valider les essais cliniques de cette méthode :/ .


la bate dans le rectum et tu le fait enfler aussi, c'est physiologique
mais ça résout pas le problème de la taille  [:manust]  

n°1018548
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 16:31:47  profilanswer
 

justeleblanc a écrit :


la bate dans le rectum et tu le fait enfler aussi, c'est physiologique
mais ça résout pas le problème de la taille  [:manust]  


En effet, mais ta pertinante remarque (si si cher confrère) me rappelle la thèse de Baéza Elisabeth et Brillard Jean-Pierre de la station de Recherches Avicoles à l'INRA de Tours, sur l'effet d'une réversion du sexe sur le développement du poulet, qui serait probablement transposable à l'homme (ou au moins au Liver).
 
Pour résumer:
Cette étude avait pour objectif d’évaluer l’effet d’une réversion du sexe sur le développement et la typologie des
fibres musculaires du Pectoralis major (muscle du filet à contraction rapide et métabolisme glycolytique) et du
Sartorius (muscle de la cuisse à contraction rapide et métabolisme oxydo-glycolytique) de poulet. Le traitement
in ovo avec du Fadrozole (un inhibiteur d’aromatase, enzyme permettant la conversion d’androgènes en
oestrogènes) au 4ème jour d’incubation, de femelles génétiquement identifiées permet d’obtenir une réversion de
leur sexe. Ce traitement n’a pas d’effet sur le poids vif à 28 semaines des femelles reversées, ni sur le
développement de leur filet (poids et pourcentage par rapport au poids vif). La taille et la typologie des fibres
musculaires du Pectoralis major, dont le développement est tardif, ne sont pas non plus affectées. En revanche,
la réversion du sexe a entraîné un accroissement du poids de Sartorius et de son pourcentage par rapport au
poids vif. Chez ce muscle, dont le développement débute très tôt au cours de la phase embryonnaire, la
proportion de fibres oxydo-glycolytiques de type IIa est plus importante chez les mâles et les femelles reversées
que chez les femelles témoins, au détriment uniquement des fibres glycolytiques de type IIb. La taille des fibres
musculaires du Sartorius des femelles reversées est supérieure à celle mesurées chez les femelles témoins.
Effect of sex reversal on muscle development of chicken
The aim of this study was to evaluate the effect of sex reversal on development and typology of muscle fibres in
Pectoralis major (fast twitch breast muscle with a glycolytic metabolism) and Sartorius (fast twitch thigh
muscle with an oxydo-glycolytic metabolism) of chicken. In ovo treatment with Fadrozole (a nonsteroidal
aromatase inhibitor, enzyme allowing the conversion of androgens into oestrogens) at 4 days of incubation was
able to induce a sex reversal of genetically identified females. In reversed females, this treatment had no effect
on body weight at 28 weeks of age, neither on their breast development (weight and percentage to body weight).
In Pectoralis major muscle, which has a late development, the size and typology of muscle fibres were not
affected. By contrast, in Sartorius muscle sex reversal induced an increase in weight and percentage to body
weight. In this muscle, which development begins earlier during the embryonic period, the percentage of type
IIa oxydo-glycolytic fibres was higher in males and reversed females than in control females only to the
detriment of type IIb glycolytic fibres. In Sartorius muscle, the size of fibres of reversed females was higher
than the size of control females.
Sixièmes Journées de la Recherche Avicole, St Malo, 30 et 31 mars 2005
470
INTRODUCTION
Les volailles sont caractérisées par un dimorphisme
sexuel sur le poids vif au bénéfice des mâles qui se
traduit par des différences de poids des muscles. Il
semblerait que les différences de caractéristiques
musculaires observées entre mâles et femelles après
éclosion soient déterminées au cours de la myogénèse
embryonnaire (Henry et Burke, 1999). De
nombreuses hormones interviennent dans le contrôle
de la croissance des muscles (Robelin, 1990 ; Cassar-
Malek et al., 1998). En particulier, il a été démontré
chez les mammifères que l’administration post-natale
d’androgènes favorise la croissance musculaire en
stimulant la synthèse protéique et qu’elle diminue la
proportion des fibres musculaires glycolytiques à
contraction rapide de type IIb (Cassar-Malek et al.,
1998). Chez le poulet, au contraire, l’administration
post-éclosion d’androgènes inhibe la croissance
(Harvey et Scanes, 1978). L’injection in ovo, avant la
mise en incubation, n’a pas d’effet sur le poids des
embryons mâles à 12, 16 ou 20 jours d’incubation, ni
sur les caractéristiques musculaires de leur filet
(Henry et Burke, 1999). Mais, ces auteurs n’ont pas
pu étudier les conséquences de ce traitement au cours
de la croissance post-natale car le développement de
la bourse de Fabricius est inhibé et les poussins sont
alors immunodéficitaires. En revanche, l’administration
in ovo d’un agent bloquant le récepteur aux
androgènes déprime la croissance post-natale des
poulets mâles et n’a pas d’effet chez les femelles
(Burke et Henry, 1999). Il est possible de réverser le
sexe d’embryons de femelles génétiques en injectant
in ovo, avant le 5ème jour d’incubation, du Fadrozole,
un inhibiteur d’aromatase (enzyme permettant la
conversion d’androgènes en oestrogènes ;
Abinawanto et al., 1997a et 1997b ; Burke et Henry,
1999). Chez le poulet et la dinde, ce traitement n’a
pas modifié le poids vif des femelles reversées, ni le
poids de leur filet (Burke et Henry, 1999). L’objectif
de notre étude est d’évaluer l’effet d’une réversion du
sexe sur le développement et la typologie des fibres
musculaires du Pectoralis major et du Sartorius
(respectivement muscles du filet et de la cuisse).
1. MATERIELS ET METHODES
Des poules pondeuses Isabrown adultes ont été
inséminées avec du sperme en mélange de 8 coqs. Un
total de 380 œufs a été collecté et mis en incubation
en conditions standards. Le 4ème jour d’incubation, la
moitié des œufs a subi une injection de Fadrozole (1
mg dilué dans 0.1 ml de tampon phosphate) et l’autre
moitié a subi une injection de tampon phosphate
uniquement comme décrit par Vaillant et al. (2003). A
l’éclosion, les poussins ont été sexés phénotypiquement
et génétiquement comme décrit par Vaillant
et al. (2003). Ils ont été élevés au sol, en claustration
totale, jusqu’à l’âge de 16 semaines puis, placés en
cages individuelles jusqu’à l’âge de 28 semaines. A
l’âge de 24 jours, les poussins ont été répartis en 10
lots, décrits dans le Tableau 1. De 4 à 28 semaines,
les animaux traités après éclosion ont subi une
injection intramusculaire dans le filet deux fois par
semaine (Vaillant et al., 2003). A 28 semaines, les
animaux ont été pesés et sacrifiés avec une dose létale
de pentobarbital (1 ml/kg). L’appareil reproducteur a
été prélevé et analysé par histologie (Vaillant et al.,
2003). Le Pectoralis major (muscle du filet à
contraction rapide et métabolisme glycolytique) et le
Sartorius (muscle de la cuisse à contraction rapide et
métabolisme oxydo-glycolytique) ont été prélevés et
pesés. Un échantillon de chaque muscle a été congelé
dans de l’isopentane refroidi avec l’azote liquide et
conservé à -80°C avant l’analyse histochimique. La
typologie des fibres musculaires de chaque
échantillon a été ensuite réalisée comme décrit
précédemment par Baéza et al. (1999). L’utilisation
d’huile lors des injections pour les lots 2, 3, 7 et 8 a
entraîné la formation d’abcès et de kystes dans les
filets qui n’ont donc pas été prélevés pour ces lots.
Les résultats ont été traités par analyse de variance
avec une procédure GLM de SAS (1989).
2. RESULTATS, DISCUSSION
2.1. Développement corporel et musculaire
L’observation des gonades des animaux sacrifiés à 28
semaines a montré que seul le traitement in ovo des
femelles génétiques avec le Fadrozole avait entraîné
une réversion plus ou moins complète de leur sexe
(Tableau 1, Vaillant et al., 2003). Pour la présentation
des résultats (Tableau 2), les lots 1 à 4 constitués
uniquement par des femelles, les lots 5 et 10
constitués uniquement par des mâles et les lots 6 à 9
constitués de femelles génétiques reversées au niveau
du phénotype ont donc été regroupés. La réversion du
sexe n’a eu aucun effet sur le poids vif à 28 semaines,
ni sur le développement du P. major (Tableau 2),
confirmant les observations de Burke et Henry
(1999). Par contre, le poids du Sartorius et son
pourcentage par rapport au poids vif ont été
significativement accrus et les femelles reversées
présentent des valeurs moyennes intermédiaires à
celles des femelles et des mâles témoins.
2.2. Typologie des fibres musculaires du P. major
et du Sartorius  
Malgré un effet du sexe important sur le poids vif (+
1041 g, Tableau 2) et sur le poids du filet (+ 65.6 g),
au bénéfice des mâles, l’aire de section transversale
des fibres musculaires du P. major, chez les mâles et
les femelles, est équivalente (Tableau 2), confirmant
les observations de Zanusso (1999). La différence sur
le poids du muscle pourrait donc être due à un
Sixièmes Journées de la Recherche Avicole, St Malo, 30 et 31 mars 2005
471
nombre et/ou une longueur plus importants des fibres
musculaires chez les mâles. Prentis et al. (1984) ont
observé chez différentes souches de poulets que les
coqs avaient généralement plus de noyaux par fibre
musculaire que les femelles et donc un potentiel de
croissance supérieur. Henry et Burke (1998) ont
montré que les muscles d’embryons mâles de poulet
avaient un nombre plus important de fibres
musculaires mais de plus petite taille que les muscles
des embryons femelles et donc un potentiel de
croissance musculaire post-natal supérieur. La
réversion du sexe n’a eu aucun effet sur la typologie
et la taille des fibres musculaires du P. major. En
revanche, dans le Sartorius, la proportion de fibres
oxydo-glycolytiques de type IIa est plus importante
chez les mâles et les femelles reversées que chez les
femelles témoins, au détriment uniquement des fibres
glycolytiques de type IIb. Shimazawa et al. (1997) ont
observé également un pourcentage plus important de
fibres IIa dans l’Iliotibialis lateralis (muscle de la
cuisse) de poulets mâles de 14 semaines comparés
aux femelles. Par contre, chez des poulets âgés de 9 à
22 semaines, Zanusso (1999) n’a pas mis en évidence
de différence de typologie des fibres musculaires
entre mâles et femelles pour ce même muscle. La
proportion de fibres oxydatives de type I est
équivalente pour les trois groupes d’animaux. L’aire
de section transversale des fibres musculaires du
Sartorius des femelles reversées est également
supérieure à celle mesurée chez les femelles témoins :
+ 31, 42 et 45 % respectivement pour les fibres de
type I, IIa et IIb mais elle n’atteint jamais celle
mesurée chez les mâles. Cette augmentation de taille
des fibres correspond à l’augmentation du poids du
Sartorius (+ 44 %) chez les femelles reversées.
CONCLUSION
Seul le traitement in ovo, de femelles génétiquement
identifiées, avec du Fadrozole permet de reverser leur
sexe et de modifier la croissance et la typologie des
fibres de muscles tels que le Sartorius dont le
développement débute très tôt au cours de la phase
embryonnaire (Berri et al., 2003). La croissance et la
typologie des muscles dont le développement est
postérieur à l’éclosion tels que le P. major ne sont pas
affectées.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Abinawanto, K. Shimada, N. Saito, 1997a. Jpn. Poult. Sci. 34 : 158-168.
Abinawanto, K. Shimada, N. Saito, T. Sugishima, E. Shiokawa, 1997b. Jpn. Poult. Sci. 34 : 318-328.
Baeza, E., G. Marche, N. Wacrenier, 1999. 3èmes Journées De La Recherche Avicole, St Malo, 23-25/3/99 :
391-394.
Berri, C., A. Guernec, E. Le Bihan-Duval, M. J. Duclos, 2003. 4èmes Journées De La Recherche Avicole,
Tours, 26-27/3/03 : 437-440.
Burke, W.H., M.H. Henry, 1999. Poult. Sci. 78 : 1019-1033.
Cassar-Malek, I., A. Listrat, B. Picard, 1998. Inra Prod. Anim. 11(5) : 365-377.
Harvey, S., C.G. Scanes, 1978. J. Endocr. 79 : 145-146.
Henry, M.H., W.H. Burke, 1998. Poult. Sci. 77 : 728-736.
Henry, M.H., W.H. Burke, 1999. Poult. Sci. 78 : 1006-1013.
Prentis, P.F., R.K. Penney, G. Goldspink, 1984. Brit. Poult. Sci. 25 : 33-41.
Robelin, J., 1990. Inra Prod. Anim. 3 (4) : 253-263.
Sas Institute, 1989. Sas User’s Guide : Statistics. Sas Institute Inc., Cary, Nc.
Shimazawa, K., K. Matori, T. Araki, 1997. Jpn. Poult. Sci. 34 : 137-144.
Vaillant, S., D. Guemene, M. Dorizzi, C. Pieau, N. Richard-Mercier, J.P. Brillard, 2003. Mol. Reprod.
Dev. 65 : 420-428.
Zanusso, J., 1999. Thèse De Doctorat, Inp Toulouse : 238 Pp.
Sixièmes Journées de la Recherche Avicole, St Malo, 30 et 31 mars 2005
472
Tableau 1 - Description des lots et de la structure des gonades des animaux à 28 semaines
Traitemen
t in ovo
Lots (n) Sexe
génétique
Traitement postnatal
2 ovaires * 1 testicule * 2 testicules *
PBS 1 (6) Femelle Aucun 6 0 0
2 (7) Femelle Huile + PBS 7 0 0
3 (7) Femelle Testostérone
+ Fadrozole
7 0 0
4 (5) Femelle Fadrozole 5 0 0
5 (7) Mâle Aucun 0 0 7
Fadrozole 6 (6) Femelle Aucun 0 4 2
7 (5) Femelle Huile + PBS 0 2 3
8 (7) Femelle Testostérone
+ Fadrozole
0 3 4
9 (6) Femelle Fadrozole 0 2 4
10 (9) Mâle Aucun 0 0 9
PBS = tampon phosphate - * Nombre d’animaux présentant deux ovaires, un ou deux testicules normaux
Tableau 2 - Effet d’une réversion du sexe sur le développement corporel et musculaire du poulet et sur la
typologie et la taille des fibres musculaires du Pectoralis major (muscle du filet) et du Sartorius
(muscle de la cuisse)
Paramètres Femelles témoins
(lots 1 à 4)
Mâles témoins
(lots 5 et 10)
Femelles réversées
(lots 6 à 9)
Poids vif à 28 semaines (g) 3519 + 251 b 4557 + 236 a 3361 + 316 b
Poids du Sartorius (g) 10.19 + 0.95 c 23.06 + 2.76 a 14.70 + 2.51 b
% Sartorius / poids vif 0.29 + 0.02 b 0.51 + 0.05 a 0.44 + 0.07 a
Poids du P. major (g) 193.18 + 26.21 b 258.78 + 21.11 a 186.45 + 24.88 b
% P. major / poids vif 5.48 + 0.33 b 5.68 + 0.36 a 5.40 + 0.32 b
Sartorius : % I 15 + 5 a 17 + 6 a 15 + 4 a
CSA I (µm2) 1777 + 392 b 2623 + 520 a 2333 + 468 ab
% IIa 50 + 5 b 58 + 7 ab 60 + 6 a
CSA IIa (µm2) 1694 + 290 b 2860 + 494 a 2399 + 353 ab
% IIb 35 + 8 a 26 + 10 b 25 + 5 b
CSA IIb (µm2) 2728 + 367 b 4371 + 743 a 3955 + 850 a
P. major : CSA IIb (µm2) 4025 + 834 a 4047 + 686 a 3805 + 662 a
a, b, c : différence significative à P < 0.05 - CSA = aire de section transversale – I = fibres oxydatives
contraction lente – IIa et IIb = respectivement fibres oxydo-glycolytiques et glycolytiques à contraction rapide


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www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018549
darth21
Modérateur
¡ uʍop ǝpısdn
Posté le 23-05-2008 à 16:35:47  profilanswer
 

foxclan a écrit :

[:anita_1]  les [:phenos]  de Graphisme  
 
Alors les modos vos venez plsu nous dire bonjour  dans ACH/VDS ?  
 
 
 [:demis_roussos]


 
pas le temps, trop de trucs à faire :o
 
(par exemple là faut que j'essaye TrackMania Nations Forever)


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TZR un jour…  |  gamertag: cropNcut
n°1018550
TSILOULOU
Tu veux un cadeau ?? ??
Posté le 23-05-2008 à 16:36:18  profilanswer
 

darth21 a écrit :


 
pas le temps, trop de trucs à faire :o
 
(par exemple là faut que j'essaye TrackMania Nations Forever)


 :hello:  :sol:


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Le topic de mon feedback http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
n°1018551
liverpowen
Profil : Friche Culturelle
Posté le 23-05-2008 à 16:46:56  profilanswer
 

crayon29 a écrit :


Seulement d'une toute petite partie de toi.
Partie négligeable en fait, donc non, on parle pas de toi :) .


justeleblanc a écrit :


on parle de p'tite bite:o


vous faites fausse route messieurs  :o  
 
 [:kirateo]


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OUAIB | FLICKR | HFR | 500 PX
n°1018555
darth21
Modérateur
¡ uʍop ǝpısdn
Posté le 23-05-2008 à 17:19:00  profilanswer
 

Ayé, sont tous nazes les gars d'ha/v.
 
Ca tient pas la distance ces gens là :o


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TZR un jour…  |  gamertag: cropNcut
n°1018556
welcom
That's life !!
Posté le 23-05-2008 à 17:21:02  profilanswer
 

nan nan, ont est pas naze :o  
 
et moi chui pas un gars, mais foxgay toute façon c'est connu qu'il ne tient pas la distance :o


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Si tu l'dis..............................................!!!
n°1018558
justelebla​nc
Posté le 23-05-2008 à 17:29:36  profilanswer
 

darth21 a écrit :

Ayé, sont tous nazes les gars d'ha/v.
 
Ca tient pas la distance ces gens là :o


un paragraphe et hop à la poubelle
toute façon ils servent à quoi eux hein ?  [:le kneu]  
 
au moins les autres cats c'est des pros, des beaux, des malins, des bien burnés, des héros, des hérauts, ils sont utiles quoi :o
 
achats/ vente moi j'aurais appelé ça achiasse/ fiantes franchement :o

n°1018561
th0r1
Posté le 23-05-2008 à 17:41:46  profilanswer
 

ouai c'est vrai quoi  :o
y'a des cat pour les handicapé qui ont des problème avec leur pc , un autre pour refourger toute leur merde et une autre pour faire des ptits dessin quand il se font chier :o


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[VDS] Sony A7R IV + 24-240mm
n°1018563
liverpowen
Profil : Friche Culturelle
Posté le 23-05-2008 à 17:43:51  profilanswer
 

y'a même des topics pour ceux qui savent pas être drôles  :o


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OUAIB | FLICKR | HFR | 500 PX
n°1018564
liverpowen
Profil : Friche Culturelle
Posté le 23-05-2008 à 17:44:09  profilanswer
 

ouais j'y suis déjà allé faire un tour  :o


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OUAIB | FLICKR | HFR | 500 PX
n°1018565
crayon29
mine de rien...
Posté le 23-05-2008 à 17:48:23  profilanswer
 

liverpowen a écrit :

ouais j'y suis déjà allé faire un tour  :o


Ils t'appellent toujours "vénérable maitre" là bas ? [:djmb]  
 
 
 
 
 
 
 
ok je vais y faire un tour .... [:dawotsin]


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www.crayon29.com (incompatible IE) -- Liverpowen a écrit: Moi quand je suis bourré, je suis gay  :o
n°1018575
foxclan
ca passe ! ca passe !
Posté le 23-05-2008 à 18:27:27  profilanswer
 

darth21 a écrit :


 
pas le temps, trop de trucs à faire :o
 
(par exemple là faut que j'essaye TrackMania Nations Forever)


 
 [:anita_1]  vieille folle :o alors c'est comem ca qu'on est acceuilli :o  
 

welcom a écrit :

nan nan, ont est pas naze :o  
 
et moi chui pas un gars, mais foxgay toute façon c'est connu qu'il ne tient pas la distance :o


 
il te distance surtout  [:demis_roussos]


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Topicon !
n°1018642
welcom
That's life !!
Posté le 24-05-2008 à 00:17:02  profilanswer
 

il court, il court ! :o


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Si tu l'dis..............................................!!!
n°1018665
th0r1
Posté le 24-05-2008 à 10:20:55  profilanswer
 
n°1018669
Speedball2
Si vis pacem, para bellum
Posté le 24-05-2008 à 10:49:23  profilanswer
 

:hello:

n°1018681
athenaa
Posté le 24-05-2008 à 11:25:43  profilanswer
 

th0r1 a écrit :

le renard  [:autobot]


 
 
bah non, c'est le furet  :o

n°1018688
th0r1
Posté le 24-05-2008 à 11:39:20  profilanswer
 

meuh non fox c'est le renard :o


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[VDS] Sony A7R IV + 24-240mm
n°1018692
athenaa
Posté le 24-05-2008 à 11:42:34  profilanswer
 

th0r1 a écrit :

meuh non fox c'est le renard :o


 
 
nan car Fox et Furet  ca commence par un F  :o

n°1018693
th0r1
Posté le 24-05-2008 à 11:43:12  profilanswer
 

m'enFou :o


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[VDS] Sony A7R IV + 24-240mm
n°1018696
athenaa
Posté le 24-05-2008 à 11:46:31  profilanswer
 

:kaola: FFFFFzzzzzzz

n°1018697
th0r1
Posté le 24-05-2008 à 11:48:31  profilanswer
 
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