Je vous explique mon cas :
Début 2005, j'ai intégré mon nouveau service. Le poste ne correspondant pas à ce qui avait été convenu, j'ai exprimé mon souhait de mobilité (mars 2005). Mais la hiérarchie a bloqué ma demande de mobilité.Mon chargé de développement a tenu en ma présence les propos suivants : « encore ces Chintoks qui nous piquent notre boulot », « les grandes entreprises ne virent pas les gens, ils les mettent au placard pour croupir avec les balais », « ces étrangers ne sont bons que pour rouler en BM et vendre de la drogue ».
Depuis, ma hiérarchie, avec le soutien de la DRH, me fait subir, par des agissements répétés, une dégradation des conditions de travail, une altération de ma santé et une compromission de mon avenir professionnel.
Et la Direction de Vélizy remonte de fausses informations pour me faire passer pour un mauvais employé.
Conclusion :
2 ans et 1 mois = au placard
9 mois de boulot d'ingénieur et cadre (payé en tant que technicien, et non reconnu)
J'ai fait une descente en enfer.
J'ai vu la porte du suicide, mais je ne l'ai pas ouverte contrairement à mes sept collègues de PSA.
licencié le 10 janvier 2008 (pas de certificat de travail à cette date), pour motif, soit disant, refus de poste et fait perdre à PSA 50% du bénéfice d'un véhicule utilitaire.Rétention du dossier médicale (j'ai reçu deux feuilles test urine et oculaire).
D'origine Indo-Vietnamien, je suis très travailleur. Je n'ai jamais refusé du travail, mais j'ai toujours refusé la Discrimination et le Harcèlement Moral qu'ils m'ont fait subir.
Voilà mon témoignage (rapide).
D'autres n'ont pas la force mentale pour résister et ils ont choisi la mort, c'est pour leur mémoire et la prévention que je témoigne.
D'avance je vous remercie d'avoir lu mon témoignage.