Salut,
J'annonce, en finance et commerce, j'y connais rien ou presque, mais je souhaite tout de même confronter mon avis, quitte à me faire démonter, et en apprendre plus ensuite.
L'aspect éthique d'une entreprise : c'est, je pense, aux yeux du PDG, secondaire, car lplus les ventes augmenteront, plus on en demandera aux salariés, plus l'entreprise fera passer l'idée que c'est un privilège de travailler pour elle, les ventes continueront de plus belle, les opérationnelles croulant sous le poids de la pression des responsables commerciaux et financiers (sous le poids des actionnaires).
Néanmoins, on peut voir , notemment chez les PME, et bientot dans les énergies, l'avènement de l'arguùment écologique, ( merci le réchauffement climatique), qui modifie partiellement le fonctionnement de l'entreprise même s'il reste avant tout question d'adaptations aux lois, et d'image.
Il est vrai que ces dernières années, le profil des PDG par promotion interne est plus financier, mais n'est-ce pas là une conséquence de la mondialisation du modèle capitalistique américain :
mon exemple favori : les fonds pensions de retraite de ces derniers qui inondent les marché boursiers, et qui promettent un taux de bénéf de 15%. AU début, ceux ci investissaient aux States, puis Alena, puis europe et monde désormais, mais pendant ce temps-là, les pratiques boursières des autres pays du monde ont elles aussi évoluées, faisant des 15% un objectif hautement difficile pour les fonds, et donc cela influe sur les "durées" d'investissements de ces fonds de pension.
Enfin bref : désormais les actionnaires investisent non plus pour le "jeu", mais pour le gain presque certain, tout cela finflue donc sur les durées d'investisssement et donc taux lors des ventes-reventes d'actions.Le risque financier prenant alors d'avantage d'importance aux yeux des directions générales d'entreprises.
De même dans notre culture occidentale notemment, nous n'acceptons plus le risque comme avant, notamment ceux liés à la météo et aux catastrophes naturelles (séismes), influences de guerres civiles dans les pays fournisseurs de pétrole et autres matieres premières, les achats avec paiement différés de plus en plus nombreux en B2B accentuent ces flambées de prix au moindre risque, voila encore des arguments en faveur des PDG issus des directions financières.