frenchflair | je te fais la même réponse :
frenchflair a écrit :
Compte tenu du plan Campus, on se fout un peu de ParisTech, HEC, l'X ont présenté un dossier commun avec Centrale Paris, Mines de Paris et Supélec pour faire un grand campus commun sur le plateau de saclay, ça ça va améliorer le rayonnement et faire une grande université, mais accoler un nom n'a aucun sens, ni aucune plus value, il faut un campus pour accueillir les étudiants, des parcours croisés, des labos communs.
Avant :
http://www.lemonde.fr/societe/arti [...] r=RSS-3224
Maintenant :
http://www.nouvelleuniversite.gouv [...] niers.html
http://www.lesechos.fr/info/france [...] campus.htm
http://www.lesechos.fr/info/france [...] essine.htm
Partenaires du projet Saclay : Université Paris-Sud (Paris-XI), Agro ParisTech, Ecole centrale Paris, ENSAE, ENSTA, Ecole polytechnique, HEC, Mines ParisTech, ENS Cachan, Supélec, Institut d’optique, Institut Telecom, Université Versailles-Saint-Quentin, CEA, CNRS, INRA, INRIA, ONERA, IHES, Fondation de Coopération Scientifique "Digiteo-Triangle de la physique", Pôle de compétitivité « Sytem@tic ». Les deux Pôles de Recherche et d’enseignement Supérieur « ParisTech » et « UniverSud Paris » sont également associés au projet.
ça ça va faire de l'X-Centrale-Mines-Supélec-HEC-ENS-Paris XI-CEA-CNRS une vraie grande université bientôt dans le top 20 du classement de shanghai !
Mais pas un nom de PRES qui ne propose aucun échange, aucune recherche commune et surtout donc chacun des membres est déjà ds un autre PRES Ponts (PRES Est), X (PRES UniverSud) etc.
|
frenchflair a écrit :
cf. mon msg du dessus.
ce que tu dis c'est ce qui était prévu avant que Sarkozy disent si vous voulez l'argent, il faudra tous vous unir !
cf les liens que j'ai mis dessous.
les PRES UniverSud, ParisTech sont morts car trop entrecoupés entre eux et Saclay est à cheval sur les deux.
edit Mais bon attendons la suite de ce qui va se construire sur le plateau de Saclay :
apparemment au délà de tous les projets d'aménagement et transport pour connecter l'X, Supélec, HEC et Paris XI, les projets issus des fonds sont :
- la venue de l'ENSTA
- la venue de l'ENST
- création d'un institut commun Centrale-Supélec afin que Centrale Paris vienne en partie sur le plateau
- installation de labos de Mines de Paris
- institut commun entre X, HEC et ENSAE autour de l'économie et des maths
toutes ces installations connectant les campus existants
mais il doit y avoir plein d'autres projets
d'ailleurs QUID de ESCP et ESSEC dans cette histoire ?
|
frenchflair a écrit :
un regroupement académique de quoi ? de rien du tout. du vent.
on fait pas un campus pour qu'il n'y ait pas une université avec, mettre un nom ça n'apporte rien à personne en terme d'accueil d'étudiants, doctorants, en fusion de labos, ce qui est le but du projet de saclay.
d'ailleurs c'est ce que titrent les journaux et c'est la volonté de sarko.
tu verras bien. tu peux toujours te persuader, croire que sans unité géographique, sans échange.
un campus c'est la dimension au dessus.
d'ailleurs l'X fait partie de deux PRES, Ponts est membre fondateur de deux PRES également, ils vont se dédoubler, partager leurs labos en deux ?
tu connais une univ ds le monde qui marche comme ça ?
le gouvernement a dit qu'il voulait que les PRES correspondent à des campus, et pas à des méli mélo administratifs.
cf P. 11 http://www.universud-paris.fr/fr/s [...] ment-3.pdf
(p11 en numérotation pdf)
mais tu peux croire ce que tu veux, qui vivra, verra.
edit la page 11 (pdf) de http://www.universud-paris.fr/fr/s [...] ment-3.pdf résume la situation, la volonté du gouvernement de contenu réel et de proximité géographique feront le reste.
|
frenchflair a écrit :
nan mais tu dis tout simplement n'importe quoi, comme on te l'a déjà dit mais tu sembles pas le comprendre, ParisTech est un PRES et toutes les écoles qui le composent font partie de plusieurs PRES.
Saclay se mobilise pour devenir un site de renommée mondiale
[ Les Echos 11/07/08 ] Les grands établissements de ce territoire au potentiel scientifique exceptionnel ont fini par déposer un dossier unique. Le plateau de Saclay a de bonnes chances de faire partie des lauréats.
L'union fera-t-elle la force ? Tous les regards sont en tout cas tournés aujourd'hui vers le plateau de Saclay, dont le projet, qui a cette fois rassemblé l'ensemble des grands établissements de la zone, a désormais les plus grandes chances d'être retenu. Car ce territoire, situé à 20 km au sud de Paris, dispose d'un potentiel exceptionnel avec Polytechnique, l'université Paris-Sud-XI, Supélec, Centrale, le Commissariat à l'énergie atomique, Mines Paris Tech, l'ENS Cachan, HEC, l'Inra, l'Inria, le CNRS, le Synchrotron soleil, les laboratoires de Danone, Thales ou encore Motorola... Au total, le plateau de Saclay compte plus de 30.000 étudiants, chercheurs et salariés (dont 12.000 chercheurs dans le secteur public et 4.000 dans le privé).
Mais la première session du plan Campus, fin mai, avait mis en lumière la rivalité entre les grandes écoles, incapables de s'entendre au point de présenter six dossiers différents. La ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, avait refusé de les examiner, enjoignant les acteurs scientifiques du plateau de proposer un projet commun. Voulu aussi par l'Elysée. « Le plateau de Saclay est au coeur des priorités de ce mandat », avait déclaré le président de la République au lendemain de son élection. En visite en janvier dernier sur le campus universitaire d'Orsay, il avait réitéré sa volonté de voir émerger un grand projet à l'image du MIT américain.
260 hectares environ
L'ensemble des acteurs scientifiques a ainsi déposé le 27 juin une note d'intention commune qui s'appuie sur le rapport « Projet de développement du plateau de Saclay » remis fin avril à Nicolas Sarkozy et élaboré sous la houlette de Philippe Lagayette, président de JP Morgan France et de la Fondation de coopération scientifique Digiteo Triangle de la Physique, coordonnatrice de la candidature « plateau de Saclay ». Le périmètre retenu pour le campus, en cohérence avec l'« opération d'intérêt national » (OIN) en cours sur le plateau, concerne 260 hectares environ, dont 120 sont propriété publique.
Le dossier s'articule autour de trois grands axes, selon Philippe Lagayette : « un volet rénovation des équipements existants, un volet de projets de développement et de coopération scientifique nouveaux », avec une dimension innovation et création d'entreprises, et enfin un volet « aménagement ». « Il n'y a pas beaucoup d'interaction entre les établissements, il faut des transports mieux organisés, un centre de séminaires et des logements pour les étudiants, les scientifiques et les visiteurs », explique le président de la fondation, insistant sur la nécessité de renforcer l'attractivité internationale du plateau. Coût du projet ? Les chiffres ne sont pas encore connus mais l'ordre de grandeur serait de plus de 1 milliard d'euros. Le plan Campus sera peut-être le premier coup de pouce.
-----------------------------------
si maintenant tu t'obstines sur des croyances...
|
|