Bonjour à tous  

Le titre est assez évocateur. Il s'agit d'un problème auquel certains (beaucoup ?) d'étudiants d'ESC (je ne parlerai que de ça vu que je sens dans l'une d'elles) font face.
Mon profil étudiant de manère succinte :
- ESC top 5
- alternant audit dans un big 4

Jusque-là, vous allez me dire que c'est pas étonnant que je n'apprécie pas l'expérience pro en question vu comme c'est chiant à mourir...je vous l'accorde. Je sers les fesses tous les matins en me levant afin d'aller augmenter le profit de ma société et de finir mon contrat.

En sortant d'école, il semble que ce soit une xp bien appréciée sur le CV dans une boîte connue. Cool. Cependant, je ne m'y plais pas et je dois dire que même la "vraie" finance d'entreprise ne m'attire pas. Rien de comptable ou de financier ne m'attire. J'ai même l'impression que le marketing que je détestais en cours doit être plus sympa (et moins chronophage) en job.

Je ne vais pas vous demander quoi faire vu que vous n'êtes pas moi. Par contre, j'aimerais savoir de quelle manière procéder pour trouver des voies, des pistes qui me permettraient de m'orienter ?
Dans 1 an, j'aurai 2 possibilités :
- CDI facile en audit, ce que je ne veux VRAIMENT pas ;
- Chercher un autre taff, mais je ne sais vraiment mais alors vraiment pas quoi.

A 23 ans, je ne suis pas beaucoup plus avancé qu'à 15 ans sur mon futur pro à long terme. Triste à dire, mais réalité. J'ai l'impression de m'être trompé de voie car le business au sens large ne m'intéresse pas réellement. Mes centres d'intérêts sont dépourvus de débouchés (arts/sciences sociales), j'avais fait le choix de la raison.

Témoignages également bienvenus.

T'es pas le seul.  
Le choix de la raison t'a donné un label et une formation qui peut servir. Faut aller vers ce qui t'intéresse là.
Oublie l'audit, essaie de bifurquer s'il reste du temps avant la fin de ton contrat, vers la partie conseil, plus large donc qui t'engage moins dans une voie donnée.
Regarde les anciens de ton école qui sont allés dans les voies qui peuvent t'intéresser (arts, sc sociales...) et contacte les pour discuter.

Hello,  
 
l'un des avantages à faire une école de commerce, c'est que ça ouvre à une palette de métiers très très larges et d'ouvrir un max de portes (je sais, c'est un poncif mais c'est néanmoins vrai) Pour peu que ton école soit bien classée et sur la bonne foi de ton diplôme, tu auras encore plus facilement accès aux métiers que tu aimerais découvrir.  
 
Pour répondre plus précisément à ta question, si j'étais à ta place, j'ouvrirais l'annuaire des anciens de mon école, et je repérerais les personnes occupant un métier sur lesquels j'ai de bons a priori ou qui m'intriguent.  
 
à partir de là, je me permettrais de les contacter par mail pour provoquer un échange téléphonique avec eux. lors de cet échange téléphonique, dans un premier temps, pose des questions pour savoir "concrètement" ce qu'ils font au quotidien. l'objectif est d'avoir la vision la plus précise et la plus juste possible du métier en demandant un max d'exemple. Une fois cela fait, enchaine avec des questions du type : qu'est ce qui te plait le plus dans ton métier? qu'est ce qui te donne envie de te lever tous les matins. ensuite termine avec des questions inverses : quels sont les contraintes de ton métier? qu'est ce que tu détestes?
 
tu verras qu'à travers les réponses apportées te permettront d'avoir des déclics. tu te diras parfois (souvent?) : " je me suis fourvoyé, ça a l'air à chier" ou parfois (et je te le souhaite) "ce qu'il me dit me semble canon : j'ai envie d'être comme ça plus tard".  
 
cela t'aidera à construire puis affiner ton projet pro sur du concret et pas uniquement sur de la recherche biblio ou des impressions.

Merci pour vos réponses.
 
 
 

C'est une idée mais je ne peux pas bifurquer, pas le temps. (Et même si moins chiante, la partie conseil ne m'attire pas).
A vrai dire, je ne souhaite pas rester un "gratte-papier de luxe prestataire externe". L'ambiance très particulière de ces gros cabinets ne me correspond pas. Au moins, ça forge le caractère.
 
Je me console en me disant que j'ai une formation relativement "reconnue" en France et une xp pro junior dans une grosse boîte connue à l'international, certes.
Mais ça ne me guide pas.
 

Bonne idée. Je vais faire ça.
Ce qui ne me plaît pas dans mon métier ?
- la compta c'est ennuyeux à se tirer une balle
- l'ambiance cabinet

Je suis passé de consultant en cabinet de conseil à écrivain/photographe après en avoir eu marre au bout de 1,5 an de CDI. Du moins je tente la reconversion. Marre de tout le bullshit du monde du business. Marre de se battre pour des non-valeurs.

Tu peux mixer business et arts. Par exemple l'ESSEC a un double diplôme avec l'Ecole du Louvres. Alors oui, ça t'avance pas plus que ça de le savoir, mais tout ça pour dire que c'est possible. T'as pas du être le seul dans ton école à vouloir faire un truc "artistique" depuis qu'elle existe. Bombarde sur Linkedin, cherche des profils, réseaute et basta. T'as encore un an, t'es "large".

Tu dis que le business t'intéresse pas mais je te déconseille de tout claquer pour vivre de la peinture/écriture/photographie etc.. Alors oui, tu peux être le nouveau Baudelaire, mais 99% du temps, tu vas vivre en dessous du smic et bosser à McDo. Tu peux avoir un salaire décent et faire ce qu'il te plait sans non plus tout abandonner.

Cas classique. T'as fait tes études pour faire plaisir à tes parents mais bon, c'est pas ce qui te branche.
 
Pas de panique. Tu as ton diplôme, a peu près toutes les portes te sont ouvertes, tu as juste perdu un peu de temps.
 
Regarde ce que tu googlises tous les jours, là sont tes vrais centres d'intérêt.
 
Réoriente-toi en fonction.

 
And that is the story of how your father became a Porn Actor.

Really ?  
 

Merci du conseil.
 
Non mais t'inquiète pas, j'ai bien conscience de cela et j'en avais même conscience avant le bac. Pour ça que j'en suis là aujourd'hui.
 
L'idéal serait que je trouve une voie qui me plaît un minimum (je m'attends pas non plus à ce que ce soit une passion, il s'agit d'un boulot) et avoir du temps pour mes passions.
L'audit, non seulement c'est chiant, mais en plus tu n'as le temps de rien faire en semaine (et parfois/souvent le WE).  
 

Non, mes parents ne souhaitaient pas que je fasse des études longues. Cas familial classique où les parents n'ont pas fait d'études.
 
Oui, ce qui me rassure c'est que j'ai un diplôme, une xp "bien vue" et même un CDI facile si la folie venait de continuer dans cette "voie" (ou que je meurs de faim   ).
 
J'ai vérifié, je googlise principalement des faits d'actualité, sujets historiques et cinéma.   Les réorientations liées me semblent compromises.
 
 

Honnêtement, même avec la famille que tu décris, je pense que quelque part tes études sont en réaction. Après, c'est pas le sujet.
 
Journaliste ça le fait avec ces trucs, sinon enchaîne, thèse, prof d'histoire ou de lettres. Ou alors archéologue, mais pour en côtoyer quelques-uns, ça te nourrit pas toute l'année.
 
Après je pense qu'il faut que tu soit prêt à convertir un peu de ton salaire en bonheut. Si tu cherches un salaire ESC compliant mais que ton truc c'est la cordonnerie, ben...

Cinéma => Dans les grosse boite de production de film, genre Warner, etc ils n'ont pas besoin de manager ? Sans connaitre le milieu je pense qu'on peut dire que l'industrie du Cinéma est quelque chose de large et comme dans tout les business il y a besoin de manager et donc de diplômé d'ESC, enfin je dis ça sans connaitre le milieu mais c'est peut-être une idée à creuser.

Je ne suis pas à la recherche d'un salaire ultra compliant.
C'est peut-être un peu tard pour changer d'études, non ?  
 
Je pensais plutôt à bullshiter (un des rares trucs appris en ESC, avec un peu d'analyse fi ) sur des compétences transférables pour bifurquer vers autre chose afin de trouver un métier plus ou moins "ESC" car faut pas se voiler la face, et dans un secteur qui me plaît un peu plus (= mes centres d'intérêts).
 
Sauf qu'en France, si tu as une xp dans un métier donné et pas d'xp dans le métier recherché, c'est pas simple de changer de voie.
Suffit de voir les offres de stage où il faut déjà avoir fait un stage similaire (grotesquerie à son maximum ) ou les postes de junior avec 5 ans d'xp.
 
Je caricature un peu, certes, mais l'idée est là.

En effet. Cela dit, "manager" ça veut tout et rien dire à la fois.
J'y ai déjà pensé, sans xp préalable et contacts, c'est mort de chez mort. Concurrence énorme et réseau primordial, pas étonnant pour un secteur passionnant.

Après, oui, qui ne tente pas n'a rien etc...

Le réseau ça se créé.
Je serai pas étonné qu'il y ait des alumni EDHEC dans le cinéma, le business de l'art contemporain, etc. Faut utiliser LinkedIn/le career center de ton école, trouver les bons interlocuteurs et mettre le pied dans la porte.

Il existe un Msc EDHEC Arts & NGO Management, dirigé par I. S.e.quei.ra, regarde si ça t'intéresse et contacte ces alumnis là. Certains bossent pour les fondations de boîtes du CAC 40, d'autres à l'ONU.

 
 
Après il faut justement une école de commerce "compliant" type EDHEC. Seule une formation reconnue (dans la majorité des cas) permet en partie de passer outre les étiquettes. Avec une école lambdas ou pire la faculté tu resteras cantonné dans ton domaine d'expertise (si on peut parler d'expertise après une ou deux années de stage et des études généralement très voire trop théoriques).  
 
Pour dire, même dans la fonction publique après avoir passé un concours j'ai eu le droit à un poste collant de près à mon profil (ce que je voulais éviter en passant un concours suite à une période introspective comme celle qu'a sûrement vécu l'auteur).

Je vais faire ça. Il s'agit d'un moyen que je n'ai pas encore utilisé (alumni), peut-être que ça donnera quelque chose.
 
Là j'ai juste envie de finir mon "Master in Bullshit Management" et de changer de vie (pro). Je suis pessimiste devant les carrières de bureau ennuyeuses qui m'attendent si je ne trouve pas la lumière.  

T'as essayé de faire autre chose à part l'audit, mais qui va dans le même sens que ton diplome bullshit ? Genre du PE small cap, ca peut etre intéressant et le métier est quand même différent.
On dirait que t'insistes beaucoup sur l'environnement, ca t’arrive de te demander ce que tu fous la quand tu regardes tes collègues ou c'est le taf en lui même qui t'irrites ?

Si t'as encore du jus pour les études longues et que t'as un profil scientifique, tu peux tenter la passerelle pour médecine.

PE small cap ? Soit je ne comprends rien, soit c'est de la finance d'entreprise.

Tu pointes ce qui fait mal. J'me demande en effet ce que je fous dans un tel milieu (une description est inutile, je pense que vous voyez le truc cabinet américain blahblah)+ l'audit c'est objectivement irritant. L'environnement ne rend cela que plus désagréable.

Je considère un boulot moyen dans une environnement satisfaisant comme déjà une énooorme progression.

Quelle est cette passerelle ?
Mon profil est 0% scientifique (glandeur --> bac ES ). Je n'ai pas de compétences particulières si ce n'est des soft skills bidons (mais dont l'utilité est réelle pour pipeauter en entretien ), toucher un peu excel et une aisance rédactionnelle (on en revient au bullshit). Rien qui ne me dissocie d'un bac + 5 lambda.

Faut croire que j'ai un (non) profil à bosser dans le conseil.

Au moins je suis conscient de la grotescroquerie que cela représente. Dans 10 ans je ne souhaite pas parler de mon boulot en étant obliger d'y mettre de grandes notions et des anglicismes afin de faire croire en l'intérêt d'un truc vide de sens.

Ouais enfin la concurrence et le réseau primordial, tu peux l'appliquer à tous les domaines. D'ailleurs, je connais pas le secteur mais je doute que les gens d'ESC top 5 se rue vers le marketing dans le cinéma ou la direction financière des musées comme en M&A ou en PE.
Comme les gens te le disent, fait un énorme focus sur le réseau via linkedin et l'annuaire des anciens. Ça sert à ça l'école de commerce.
Secondo, crois pas que t'as 0 skill pour un secteur plus artistique. T'as fait de l'audit dans une grosse boite, ça rassure les gens sur tes capacités à travailler longtemps et sous pression, ton côté carré et organisé etc etc. T'es pas le saltimbanque qui a fais un master fumeux dans une fac de lettres no-name et qui veut bosser dans l'art parce que le business, ça tue les africains.

Je comprends que ça doit être dur de bosser dans un secteur qui te plait pas, mais faut pas se lamenter, faut que tu capitalises sur tes atouts et commencer dès maintenant à se réorienter. Dis toi que t'es dans une bonne école avec un bon stage, ça pourrait être vraiment pire.

Il dit être branché sciences sociales et arts et tu lui parles de PE et médecine.

Ton témoignage reste intéressant. Perso je me pose actuellement les mêmes questions que toi et je crains d''etre dans la même situation d'ici quelques mois.

La passerelle dont je parle, tu rejoins directement la 2e année, sélection sur dossier + entretien (un truc rapide de 5-10min).
Fais des recherches tu verras que des profils similaires au tien ont intégré : j'ai en tête une ex-HEC (pense pas que le nom de l'école importe) et une en M2 philo/lettres qui a fait un bac... ES ! (M2 à Ulm par contre, la c'est du lourd ).

Loulilol : Il a dit qu'il voulait faire autre chose, on sait jamais.
S'il est allé en ESC, il a peut être un jour voulu être un tantinet compliant, on est sur hfr après tout bourdel !

Certes, l'audit m'aura apporté une résistance psychologique à l'ennui et aux collègues parfois difficiles, ainsi que le côté "carré". Ce sont des avantages.    

M&A chez Warner Bros
 
Btw SoucoupeVolante, j'ai peut être mal lu mais t'as un secteur concret qui t'intéresse ? Parce que l'art, c'est un peu vague quand même

Comme j'ai dit, c'est le SEUL truc qui me rassure. Un bac + 5 reconnu et une expérience de 2 ans reconnue après être tout juste diplômé dans une année.
Il y a bien pire. Mais ça ne me donne pas un emploi qui me plaît, car je ne sais juste pas où me diriger. Concrètement, là, je suis juste (scolairement et professionnellement parlant, pour le reste je vais très bien ) un mec paumé.

Mon cas est loin d'être isolé. L'idée n'est pas de passer pour le mecquitrouvequetoutestinjuste. La question de quête de sens/d'intérêt se pose spécialement pour les jobs ESC.
Tes 2 cas sont des grosses têtes qui étaient peut-être hyper motivés. Si j'ai eu une école correcte c'est grâce à mes talents de pipeauteur.   J'ai un intérêt pour les questions de santé, mais ça reste branché sur le côté sciences humaines plutôt que scientifique pur. J'ai arrêté la chimie que je haïssais cordialement après la seconde et j'me vois pas rattraper tout ça. Je ne suis pas une grosse tête.

L'industrie cinématographique d'un côté, et tout ce qui est historique ou actualité de l'autre (littérature, musée, expositions etc).
 
Chaud quoi

A mon avis tu baisses les bras un peu (beaucoup) trop vite.

Je suis de nature pessimiste. Un défaut. Je vais voir les alumni dans le domaine et les contacter.
 

Non. Je viens de quitter un premier job avec un salaire au dessus de la moyenne de ceux qu'on touche à la sortie d'HEC. Je ne pense pas en retrouver un pareil. Mais bon, jme faisais trop chier, j'ai repris mes études, je bascule en stage en janvier.
 
Il n'est jamais trop tard pour faire ce qui nous plait.

MP

Ouais mais je serai pas de cet avis.
Changer d'études, ok why not, mais en quoi ?
Prenons l'exemple du cinéma. J'ai un excellent pote qui y bosse donc je vois un peu comment ça marche.
Pour le technique (réalisation, son etc...), ça se joue au réseau à 400%. A moins d'être ultra ultra actif, t'as du taf de temps en temps. Et pas payé en général parce que faut pas croire que les mecs ont toujours du bif pour payer l'équipe ET le matos quand les mecs sont semi pros. C'est 2K de budget pour le matos, 5 jours de tournage et vous ramenez vos casse croutes. Ou alors t'as de la "chance", dans le sens où tu fais une école de cinéma (Louis Lumière par exemple) et là t'as le réseau qui va avec. Mais bonne chance pour l'intégrer. D'ailleurs les masters de cinéma à la fac sont monstrueusement bidons dans le sens où t'as très peu de pratique et ils se touchent à décortiquer les films slovaques des années 30 en noir&blanc muets. Ça finit surtout en thésard et non en praticiens.

Après si le côté technique l'intéresse pas, il peut toujours s'occupe de la partie gestion/comm/RH etc. Et dans ce cas là, pourquoi quitter ses études ?

Ça peut être alléchant de tout quitter, mais :
- pour aller où ? histoire de l'art ? master de cinéma ?
- c'est bien de vivre de sa passion, vraiment, mais j'ai peur qu'il se rende compte que quand il touchera le RSA en bouffant des nouilles dans son 8 mètres carrés avec son master d'histoire de l'art germaniques du 11ème siècle, finalement, c'était pas si horrible les jobs en ESC. Et il y a pas que l'audit.

Bref, tout ça pour dire qu'il peut combiner la sûreté d'un job ESC en faisant un truc qui le passionne. Pas obligé de tout claquer.

 
   
 
Donc l'idéal ce serait de trouver un taff non compliant ESC mais dans un secteur intéressant, qui m'assure assez de revenus et de temps pour faire ce que j'aime réellement en dehors du taff.
Si j'me fais chier, autant avoir le temps de profiter de la vie après le boulot.

Mon message c'était plutôt de combiner le job ESC et le secteur qui te fait vibrer.
Ça se trouve tu kifferas faire de la comm pour les musées, te dis pas tout va te faire chier parce que ça a un rapport de loin avec un job en ESC.

 
Je comprends pas la dimension temporelle en revanche, tu dis que tu manques de temps mais en audit en big4 normalement, tu sors vers 19-20h (parfois avant) et tu bosses pas le we, ca devrait te laisser assez de temps pour tes loisirs non ?

   
 
Pardon.  
 
Pour le WE, à mon niveau tout en bas de la pyramide, c'est assez vrai. Par contre, une fois en CDI, tu travailles souvent le WE (selon les missions, certes).

Ca dépend des missions et du staffing qu'il y a dessus. J'ai déjà été sur des missions 9h-minuit en juillet (!!) comme des missions 9h-20h en février.
Pas de moyenne, le seul truc à retenir c'est qu'il faut pas espérer avoir une vie personnelle en semaine, à part août où tout le monde prend ses congés anyway. Et faire des horaires normaux du genre 40h/45h, faut oublier.

 
Tu t'y prends comment pour bosser le week end en audit ?  

Ca dépend des missions et du staffing qu'il y a dessus. J'ai déjà été sur des missions 9h-minuit en juillet (!!) comme des missions 9h-20h en février.
Pas de moyenne, le seul truc à retenir c'est qu'il faut pas espérer avoir une vie personnelle en semaine, à part août où tout le monde prend ses congés anyway. Et faire des horaires normaux du genre 40h/45h, faut oublier.

Je bosse pas le WE (ou presque jamais) parce que je refuse vu ma rémunération grotesque et mon statut non cadre.
Tu as un pc portable, la masse de trucs à formaliser, documents à finir etc...de quoi t'occuper le WE.

 
Non mais tu fais ça en semaine, quitte à bosser une heure de plus par jour. Faut sanctuariser le week end. Je m'interdis de bosser le week end (et c'est normalement sanctuarisé, sauf si t'as pas terminé le boulot de la semaine, mais c'est ton problème) sauf cas extrême avec rdv client le lundi, mais c'est rare.