caveat How do you know? | Soit elle joue les capacités académiques et elle intègre une école type Essec comme citée ci-dessus (partenariat LVMH, école cible de l'Oréal etc) et elle maximise ses chances.
Pour info et a contrario, je connais une fille passée par une école de commerce parisienne lambda, qui a fait la spé "Luxe" (ou appellation équivalente) et qui rame depuis un an, malgré qq stages pas trop mal.
Soit...euh, elle doit travailler d'autres atouts distinctifs, qui peuvent influer sur son choix de formation.
- La vente au début plutôt que le marketing: ok, ça fait moins noble, mais c'est une bonne école terrain et le marketing est ouvert en priorité aux JD de très bonnes écoles. Pourquoi ne pas s'aguerrir à la vente en grand magasin, puis chez une marque du luxe, avant de poursuivre les études?
- Approche géo: quelles langues parle-telle? Le russe, une langue d'Asie, l'arabe peuvent être utiles. Possibilité de se perfectionner dans l'école ou via des partenariats, de faire un échange en Asie, y trouver un stage etc. quid de son niveau d'anglais qui doit être très bon dans ce milieu? Envisager une expatriation, pour réduire le différentiel académique tout en profitant du plus "français", valorisé dans le haut de gamme à l'étranger...
- Approche technique: plutôt que de vouloir apprendre le "marketing du luxe", pourquoi ne pas privilégier un secteur économique ou une compétence? Faire une formation en parallèle ou postérieure/préalable en arts, du droit-formation de commissaire-priseur pour enchères, école de designer, immobilier, chercher une expertise du côté des artisans.
Voilà qq pistes de réflexion, il y aurait bcp à dire, mais bon c'est ta cops, à toi d'y réfléchir Message édité par caveat le 08-12-2008 à 23:00:07
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