Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, a dénoncé mardi l'augmentation prévue des impôts sur les entreprises françaises, estimant qu'il s'agit d'une «taxe sur le made in France» qui «pousse à la délocalisation». «Je reviens des USA et j'ai pu voir le vent d'optimisme qui régnait dans ce pays. Et quand on revient en France, c'est un peu la douche froide», a déclaré celui qui a été aperçu avec ses enfants Delphine, PDG de Dior, et Alexandre, directeur général délégué de Moët-Hennessy, parmi les dizaines d'invités les plus proches de Donald Trump lors de la cérémonie d'investiture du président américain.

«Aux USA, les impôts vont descendre à 15%, les ateliers sont subventionnés dans une série d'Etats et le président (Trump) encourage ça», a salué le dirigeant du géant français du luxe lors de la présentation des résultats 2024 de LVMH. «Quand on revient en France et qu'on voit qu'on s'apprête à augmenter de 40% les impôts des entreprises qui fabriquent en France, c'est incroyable. Pour pousser à la délocalisation, c'est idéal!», a-t-il dénoncé. «C'est la taxation du made in France.»

Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, a dénoncé mardi l'augmentation prévue des impôts sur les entreprises françaises, estimant qu'il s'agit d'une «taxe sur le made in France» qui «pousse à la délocalisation». «Je reviens des USA et j'ai pu voir le vent d'optimisme qui régnait dans ce pays. Et quand on revient en France, c'est un peu la douche froide», a déclaré celui qui a été aperçu avec ses enfants Delphine, PDG de Dior, et Alexandre, directeur général délégué de Moët-Hennessy, parmi les dizaines d'invités les plus proches de Donald Trump lors de la cérémonie d'investiture du président américain.
 
«Aux USA, les impôts vont descendre à 15%, les ateliers sont subventionnés dans une série d'Etats et le président (Trump) encourage ça», a salué le dirigeant du géant français du luxe lors de la présentation des résultats 2024 de LVMH. «Quand on revient en France et qu'on voit qu'on s'apprête à augmenter de 40% les impôts des entreprises qui fabriquent en France, c'est incroyable. Pour pousser à la délocalisation, c'est idéal!», a-t-il dénoncé. «C'est la taxation du made in France.»

C’est une décision qui peut choquer, admet le magistrat. Le procureur de Melun, Jean-Michel Bourlès, a annoncé lundi que des plaintes seront classées sans suite, sans acte d'investigation, pour tenter d'absorber le flot de procédures qui submerge les services enquêteurs.

Aussi loin que je remonte dans ma vie professionnelle, je ne me souviens pas d'une atmosphère aussi mauvaise. » Arrivé aux manettes en janvier, le nouveau patron de l'industrie allemande, Peter Leibinger, n'a pas mâché ses mots pour décrire la situation de l'économie outre-Rhin. Lors d'une conférence de presse, ce mardi, le syndicat professionnel BDI a annoncé s'attendre à une troisième année de récession en 2025, avec un recul de l'économie de 0,1 %. Ce serait une première depuis 1950.

D'après un sondage mené par son organisation auprès de 1.785 industriels, une entreprise sur deux veut réduire ses investissements en Allemagne et quasiment autant prévoit de supprimer des postes. En cause, des coûts du travail exorbitants, l'instabilité de la politique industrielle, la bureaucratie ou les prix de l'énergie. « Les entreprises ont besoin maintenant d'un signe crédible de rupture, appelle Oliver Zander. Le nouveau gouvernement doit sauver l'industrie allemande. »

Mercredi, une partie des patrons allemands descendront dans la rue, à l'appel d'une centaine de fédérations patronales. Des rassemblements auront lieu à Berlin, Munich, Hambourg et Stuttgart. A moins d'un mois des élections législatives, les patrons entendent alerter les candidats du « déclin » de l'économie et appeler à des réformes urgentes. 

L’Algérie a déclaré, mardi 28 janvier, avoir convoqué l’ambassadeur de France à Alger pour dénoncer des « traitements dégradants » auxquels auraient été soumis des passagers algériens arrivés dans des aéroports parisiens, selon un communiqué officiel.

C’est une décision qui peut choquer, admet le magistrat. Le procureur de Melun, Jean-Michel Bourlès, a annoncé lundi que des plaintes seront classées sans suite, sans acte d'investigation, pour tenter d'absorber le flot de procédures qui submerge les services enquêteurs.

La sécurité en prison, elle n’existe pas. Les Français disent : « il faut les incarcérer, ils n’avaient qu’à pas faire de conneries ». Mais à force de les enfermer dans cette école du crime et de ne pas s’en occuper, les détenus exportent la violence lorsqu’ils sortent.
(...)
Ils [des jeunes] sont totalement désociabilisés, habitués à subir tout le temps des contrôles au faciès, à ne pas obtempérer avec la police, à être armés…
(...)
Aujourd’hui, à cause de la surpopulation carcérale, les gars sont enfermés 22 heures sur 24. Comment vous voulez faire un travail sur eux ?