Bonsoir.
J'ai lu en partie un papier qui propose une théorie entre autre concernant le phénomène lumique de la quelle l'auteur conclue sur un raisonnement notoirement divergent de ce que l'on peu déduire en allant à l'école sur notre territoire.
Alain Gouvenaux propose une négation du déplacement de la lumière ; Theorie de laquelle il déduit que l'expension prend une autre dimension à notre échelle sur terre.
Pour cité son propos, il dit que c'est le sol qui monte. Sous entendu à la vitesse de la lumière.
Je voudrais ici appuyer son propos en vous présentant ma thèse qui découle je pense d'une simple méprise d'entendement linguistique du à l'ignorance de l'apprentis face à son maître.
Vous dites que la lumière se déplace. Comme d'autre corp peuvent se déplacer. je pense que c'est une erreur.
En rejoignant M. Gouvenaux, je pensais dans cette journée, que la lumière ne se déplace pas, moi également, car elle n'a pas les attribut qui le lui permette.
Perso, je dirais que la lumière fuse. j'ai alors regardé l'étimologie de "fuser" et la première définition.
Je déduit alors ce soir, que rien ne se déplace.
J'espère être rejoint par la physique quantique dans mon propos.
C'est l'énergie qui est transformé. Pour le soleil, il diminu mais pas irreverssiblement. Pour nous sur terre la transformation de l'énergie nous fait perdre notre consistance, d'ou l'expension.
C'est ainsi, que la lumière, matière du soleil nous parait nous éclairer, nous entrons en colision avec les particule resté immobile alors que le coeur du soleil à réduit d'une ceratine quantité.
J'avance une phénoménologie qui ni les notion d'espace et de durée, je ne dis pas le temps car pour moi, c'est la météo.
Le soleil aurait donc la dimension d'une balle de golf, et la terre serait peut-être bien plate.
Message édité par Profil supprimé le 28-03-2020 à 23:49:40