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  Ce que nous dit la physique quantique sur le temps

 


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Auteur Sujet :

Ce que nous dit la physique quantique sur le temps

n°52045263
saletemps
Je n\\
Posté le 07-01-2018 à 23:31:21  profilanswer
 


L’océan des guirlandes quantiques
 
 
La situation actuelle de la physique quantique est qu’elle fonctionne parfaitement.
 
Toutes les expériences ont validé les équations mathématiques.
 
Il n’en reste pas moins, qu’il existe un « mystère » quantique, et c’est bien là le comble. Il y a un doute, un doute sur l’interprétation des résultats, un doute fondé sur le fait que nous n’arrivons pas à nous représenter ces mécanismes autrement qu’avec les mathématiques.
 
Seules les équations mathématiques rendent compte de la réalité expérimentale – ou le contraire plutôt - mais il nous est impossible aujourd’hui de conceptualiser cette réalité avec le langage courant car nous ne nous l’expliquons pas.
 
Il faut créer un monde dans lequel le chat de schrödinger n’existerait pas.
 
L’effort qu’il faut faire, c’est d’adapter notre conception de la réalité afin qu’elle soit conforme avec l’expérimentation et la théorie quantique.
 
Il s’agit de ne rien contester mais au contraire d’accepter, de fabriquer une nouvelle représentation mentale « quantique ». Les mathématiques ont raison.
 
Le seul intérêt de cet exercice est d’essayer de trouver un autre langage pour parler de physique quantique, et on y arrive.
 
Ce que nous dit la physique quantique ?
 
- Une particule emprunte deux chemins au même instant.
- Dans un état intriqué, les conditions de changement d’état de deux particules semblent liées : lorsque l’on modifie l’état d’une particule, l’autre change instantanément.
 
En quoi notre conception de la réalité est-elle choquée par ces deux propositions ?
 
- La matière ne peut pas être à deux endroits en même temps.
- Un message ne peut pas se transmettre plus vite que la lumière.
 
De quoi est fait notre réalité ?
 
C’est la perception de notre environnement et des conditions qui en découlent : je vois un mur devant moi, je ne peux pas traverser le mur. Je vois un trou, si je vais dedans, je tombe.
Notre réalité c’est la photo de l’instant présent (la position de la matière dans l’espace : le mur occupe ces points de l’espace) et les conditions qui en découlent (anticipation des possibilités : Je ne peux pas traverser le mur). Nous devons changer cette réalité ...
 
Pour parler de mécanique quantique, nous devons faire évoluer notre conception de cette réalité : la photo des positions des particules et les conditions qui en découlent.
 
Comment imaginer qu’une particule soit en deux endroits au même instant ?
 
C’est très surprenant parce que c’est très simple : Chacun des points de l’espace possède la connaissance de l'existence de chacune des particules dont l’espace est constitué …
 
Je vais juste avoir besoin d’inventer de nouveaux champs pour que ma perception de la réalité puisse admettre qu’une particule soit en deux endroits. J’appellerai ces champs des « guirlandes ».
 
Qu’est-ce qu’une guirlande quantique ? c’est un champ comme il en existe déjà pour chacune des forces de la nature (faible, forte, electro, …), le dernier dont l’existence a été validée étant celui de higgs.
 
On peut s’imaginer un champ, une guirlande, comme un filet en trois dimensions avec des ampoules à chaque nœud, ces ampoules étant disposées sur chacun des points de l’espace.
 
Et maintenant faisons le grand saut : En admettant qu’il y aurait une guirlande pour chacune des particules de l’univers, tous les points de l’espace aurait la connaissance de chacune d’elle.
 
Visualisons : Sur chacun des points de l’espace, il y a donc au moins autant d’ampoules que de particules dans l’univers, puisqu’il a au moins autant de guirlandes que de particules.
 
A la naissance d’une particule, une guirlande supplémentaire est créée, et les lumières de cette nouvelle guirlande s’allument aux points de l’espace disponibles pour l’accueillir.
 
Ce n’est pas aussi éloigné de notre réalité : ne voyons-nous pas les points de l’espace ne contenant aucune matière, les points de l’espace disponibles pour l’accueillir ? Nous avons la perception des points de l’espace occupés par la matière et ceux disponibles pour en accueillir, c’est notre vrai réalité après tout ...
 
Peut-être me voyez-vous venir ? Qu’est-ce que peut bien apporter ce concept de guirlande à notre conception de la réalité ?
 
Qu’en est-il de notre nouvelle réalité ?
 
Nous avons ajouté une information supplémentaire à notre réalité : Un point de l’espace contient l’information qu’il est disponible pour accueillir telle ou telle particule.
 
Chaque particule, est associée à une guirlande dont les lumières seraient éteintes pour les points de l’espace déjà occupés par une particule et pour les point derrière eux (devenus inaccessibles).
 
Nous avons fait la moitié du chemin, nous avons construit une nouvelle réalité qui contient toutes les destinations possibles à l’instant pour chacune des particules de l’univers.
 
Les guirlandes nous permettent ça : il y a une détermination de tous les points de l’espace pour chacune des particules de l’univers, finie la détermination des particules …
 
Nous avions dit que notre réalité était constituée d’une photo de la position de la matière et des conditions qui en découlent. Maintenant elle est enrichie de la disponibilité des points de l’espace pour chacune des particules qui constitue l’univers.
 
Cette nouvelle réalité confrontée aux deux fentes de young
 
Notre nouvelle réalité est enrichie de guirlandes.
Dans cette expérience il apparaît qu’une particule peut suivre deux chemins simultanément.
De même le pourcentage de particule, qui traverse une plaque, quadruple lorsque l’on passe d’une fente à deux fentes.
Les guirlandes contiennent les trajectoires possibles, l’information que la particule peut traverser tel ou tel point de l’espace.
Tous les points reliant le point d’émission de la particule, passant par les deux fentes, jusqu’à la plaque détectrice sont « allumés », c’est notre nouvelle réalité.
L’expérience des fentes rend compte des trajectoires possibles inscrites dans les guirlandes.
On l’explique maintenant sans problème.
 
 
Un point sur notre raisonnement
 
Nous n’avons fait qu’utiliser une chose existante, les champs quantiques, et en avons inventé un nouveau « la guirlande ».
Ce nouveau concept de « guirlande » nous permet d’ancrer dans notre réalité l’étrange phénomène de la localisation, d’en rendre compte « facilement ». C’est le nouveau support de l’information quantique, notre nouvelle réalité quantique faite de guirlandes.
 
La physique quantique rend compte des champs du possible, de toutes les trajectoires possibles.
Les fonctions d’ondes seraient-elles la représentation mathématique des guirlandes ?
En tout cas, les mathématiques ont raison, et cette conception de la réalité est compatible non seulement avec les équations mais aussi avec l'expérience. Cette réalité serait plus vrai ...
 
Désormais une conversation concernant la localisation des particules ne devrait traiter que de lumières et de guirlandes:)
 
Il n’en reste pas moins qu’il nous est toujours impossible de parler de ces particules qui changent d’état instantanément des que l’on change l’état de l’autre.
 
Ce nouveau concept de « guirlandes » pourrait-il nous aider à traiter cette question ?
 
Comment imaginer que deux particules communiquent plus vite que la lumière ?
 
Nous observons que deux particules intriquées sont liées de manière à ce que le spin de l’une change instantanément dès que l’on change celui de l’autre.
 
Il y a deux problématiques :
- Quel est le support du message .
- Comment peut-on voyager plus vite que la lumière ?
 
 
Le support du message des particules intriquées.
 
Devinez ? Une guirlande !
 
Une guirlande délimite le champ des possibles pour une particule, elle lui donne tous les points des destinations possibles. Elle contient donc également le champ des impossibles, ce que la particule ne peut pas faire, les conditions de sa réalité.
 
Nous allons ajouter une nouvelle condition à notre réalité, nous avons les conditions de déplacement sous la forme de guirlandes et bien ajoutons les conditions d’intrication sous la forme de guirlandes d’intrication. Nous appellerons les premières, les guirlandes de position.
 
Toujours de la même façon, à la naissance de deux particules intriquées, il y a deux guirlandes de position créées, mais, aussi une guirlande d’intrication qui porte les conditions de changement des états des deux particules (Telle valeur de spin de l’une correspond à telle valeur de spin de l’autre).
 
Nous avons relié deux particules intriquées à tous les points de l’espace. Dorénavant tous les points de l’espace savent qu’une valeur de spin de cette particule vaut cette valeur de cette autre particule.
Les deux particules intriquées partagent en quelque sorte la même guirlande d’intrication.
Alors qu’une guirlande de position ne relie qu’une seule particule aux points de l’espace.
 
Mais comment expliquer la simultanéité des changements d’état des deux particules ?
 
La simultanéité des changements d’état des deux particules intriquées
 
Comment expliquer que les états de deux particules intriquées se synchronisent simultanément et ce, quelque soit l’espace qui les sépare ?
 
La encore c’est très simple, la raison en est que les lumières des guirlandes se synchronisent instantanément. En fait cela peut paraître simple …
 
Il n’y a pas de photos (au sens image du présent) intermédiaires entre la photos : Etat A et Etat B des deux particules et la photo : Etat B et Etat A de ces mêmes particules. Les lumières des guirlandes sont synchronisées.
 
Il n’a pas de temps entre ces deux images du présent parce que c’est le temps.
 
Nous appellerons ce phénomène une synchronisation.
 
Si nous considérons que le temps c’est bien la succession des photos du présent. Ces photos seraient la succession d’images de l’univers dans lequel serait apparu la plus petite modification. La plus petite modification possible, c’est une synchronisation, elle s’opère sur tout les points de l’espace.
 
Lorsque nous avons évoqué la naissance d’une particule, il y a eu une synchronisation instantanée de tous les points de l’espace signifiant qu’ils pouvaient recevoir ou non la particule (ou la création d’une guirlande de position, si vous préférez, ça veut dire la même chose).
 
Qu’elle est notre nouvelle réalité ?
 
Elle s’était enrichie des guirlandes qui reliait une ou deux particule(s) à tous les points de l’espace.
 
Elle s'enrichît des synchronisations. Une synchronisation, c’est la plus petite portion du temps que l’on peut prendre en photo. A l’intérieur d’une synchronisation le temps n’est plus sécable.
 
Le temps ne passe plus, les synchronisations se succèdent.
Les synchronisations qui se succèdent, c’est le temps.
 
En habillant notre réalité de ce nouvel artifice, elle contient le temps car il est défini, on peut lui donner des caractéristiques, une matière.
 
Cette matière, c’est la synchronisation, une particule élémentaire du temps, une synchronisation d’ampoules sur des guirlandes, la photo de la matière dans un état cohérent à chaque instant.
 
Que se passe-t-il d’une synchronisation à l’autre ?
 
La matière se déplace dans l’espace. Chacune des particules constituant la matière se déplace donc aussi dans l’espace. Si on découpe le temps assez finement, on peut classer chronologiquement les déplacements ce chaque particule de tout l’univers et les traiter séquentiellement.
 
Le déplacement d’une particule d’un point A à un point B, c’est la synchronisation des ampoules de toutes les guirlandes de position de toutes les particules en fonction du point de l’espace qu’occupe nouvellement la particule.
C’est le passage d’un état cohérent à un autre état cohérent sans étape intermédiaire.
 
Les synchronisations donne des présentations cohérentes du monde.
 
D’une synchronisation à l’autre nous avons une évolution cohérente de la réalité, c’est la succession des possibles inscrits sur les guirlandes.
 
Cette nouvelle réalité confrontée à l’intrication
 
Nous percevons que l’intrication est un phénomène avec une relation de cause à effet instantanée, et c’est bien le cas dans cette nouvelle réalité.
 
Il n’y a plus de temps entre le changement d’état des deux ampoules de la guirlande d’intrication.
 
Elles sont synchronisées, la modification d’une particule se fait dans la même portion de temps que celle ou l’autre change.
 
C’est le propre de la synchronisation.
 
Un point sur notre raisonnement
 
Notre réalité est faite de guirlandes.
 
Lorsque les conditions extérieures font qu’une ampoule d’une des guirlandes change d’état, toutes les ampoules se synchronisent instantanément, c’est la synchronisation, la matière du temps car elle n’en contient pas.
 
Les guirlandes se comportent comme si elles contenaient les lois de la nature :
-La guirlande de position donne les points de l’espace ou il est possible d’aller.
-La guirlande d’intrication est le gendarme de l’état d’une particule par rapport à l’état de l’autre.
 
La guirlande de position est le gendarme de l’espace, le changement d’un point de l’espace d’une particule provoque une synchronisation qui génère une image cohérente de la réalité pour toutes les autres particules (synchronisation de toutes les guirlandes).
 
En admettant cette réalité, il devient évident qu’il existe d’autres guirlandes pour toutes les autres lois de la nature.
 
Prenons notre exemple d’une particule qui vient de naître. Que s’est-il passé juste avant ? Il y a eu une telle concentration d’énergie sur un point de l’espace qu’une particule est apparue.
Serait-ce l’effet de la guirlande « électron » qui spécifierait qu’a partir de 1Mev un électron est créé. Aurait-elle provoqué une synchronisation dans laquelle
- l’énergie serait transformé en matière, en électron.
- La guirlande de position de la particule serait créée .
- Toute les ampoules de toutes les guirlandes de position seraient synchronisées.
 
On voit que ces guirlandes s'apparentent à bien des égards aux champs quantiques des forces (en tout point de l’espace, ils se synchronisent, ...). Notre nouvelle réalité n’est pas très éloignée de celle que nous connaissons, en fin de compte.
 
Il reste quand même un problème : les collisions en cascade !
 
Ou la synchronisation devient une onde
 
On voit qu’une synchronisation peut provoquer une nouvelle synchronisation : Une collision peut provoquer une nouvelle collision, et les synchronisations ne se succèdent plus mais s'emboîtent.
 
Elle s'emboîtent !! Comme une onde qui passe sur les guirlandes…
 
Une synchronisation, c’est une onde qui passe sur les guirlandes, elle fait avancer le présent en changeant les lumières sur son passage, c’est bien le temps qui passe.
 
Nous avions dit que le temps était fait de synchronisations qui se succédaient, en fait, il est fait d’un flot continu d’ondes de synchronisation.
 
L’état d’une ampoule change une fois que toutes les synchronisations qu’elle a provoquées sont terminées, jusqu'à ce qu’elle n’en provoque plus … L’onde de synchronisation au fil des collisions se disperse et disparaît (comme un champ quantique à zéro). Jusqu'à ce que que les particules aient consommé toute son énergie pour exister, vivre, se déplacer, échanger ...
 
Notre présent est constitué des synchronisations en cours et non plus de l’instant de notre ancien temps.
 
L’étude des particules, la science ou l’on isole les synchronisations ou l’on séquence non seulement les particules élémentaires, mais aussi les intéractions et les échanges élémentaires, le phénomène de synchronisation nous apparaît comme des images qui se succèdent. Nous sommes dans un monde élémentaire, un monde dans lequel une collision n’en provoque pas d’autre.
 
Les phénomènes quantiques sont d’autant plus évidents que la particule est isolée, qu’il n’y a plus qu’une collision.
 
Une nouvelle dimension
 
Qu’avons-nous fait ?
 
Nous avons ajouté un niveau à tous les points de l’espace, les guirlandes.
Nous avons également divisé le temps, les synchronisations.
 
C’est la définition d’une dimension, un nouvel espace/temps.
 
Nous avons créé dans notre réalité la représentation d’une nouvelle dimension, la dimension de l’infiniment petit, LA dimension de la physique quantique, la dimension guirlande/synchro.
 
Nous avons une dimension qui régit le mouvement des planètes, il y en a une autre pour celui des particules et ainsi la planète peut exister et rester cohérente tandis qu’elle continue à se déplacer. Tout se tient car ces dimensions partagent les mêmes points de l’espace.
 
Conclusion
 
Cette nouvelle réalité, découpée en dimension est conforme aux expériences et aux théories quantiques puisqu’elle a été spécifiée par elles. Et elle résiste bien aux conditions « climatiques quantiques ».
 
Le critère qui pourrait valider cette nouvelle réalité serait qu’en introduisant dans notre langage la dimension guirlande/synchronisation, on évacuerait la problématique du chat de schrodinger sans faire émerger d’autre problème, notre langage pourrait rendre compte de la réalité mathématique.
 
La problématique du chat de schrodinger réside en ce que la mesure détermine l’état. C’est bien le cas dans notre nouvelle réalité puisque la mesure provoque une synchronisation et modifie les conditions du présent.
 
Les guirlandes nous donnent les champs du possible comme le font les équations mathématiques quantiques et les synchronisations rendent comptent de l’expérimentation. Maintenant savoir pourquoi les mesures vont donner telle ou telle valeur, il faudrait expliquer le sens du monde et voir dans le futur, ou plutôt maintenant, dans cette réalité, accéder à la dimension originelle. Et c’est un sujet autrement plus ambitieux ...
 
Alors il me semble, que oui, cette nouvelle réalité rend compte de la réalité quantique sans aucun chat dans les environs ...
 
Même si cette réalité n’est pas la vrai réalité, et elle ne l’est pas, est-ce bien important ?
 
En attendant, il nous faut un monde qui correspond à nos observations, et puis en inventer un autre, la terre n’est pas ronde depuis bien longtemps …
 
Pour ma part, le monde est balayé par le souffle des vagues sur les guirlandes  
 
 
___________________________________Ancienne Version___________________________________________________________________
Ce que nous dit la physique quantique sur le temps : La création et suppression de possibilités.
Implication sur la localité, l’intrication et la causalité.
 
 Il apparaît, qu’à chaque instant, tous les champs du possible sont créés.
 
Si le présent est l’écoulement de photos instantanées qui se succèdent. En imaginant que ces photos se succéderaient avec une vitesse infinie, elles se rejoindraient. Le présent serait constitué de toutes les images des futurs possibles.  
 
Le temps ne passe plus, nous évoluons dans le champ de tous les possibles, créons de nouvelles possibilités, en excluons d’autres. Le champ de nos possibles fluctuent en fonction de ceux de notre  l'environnement et ceux induits par nos actions (qui sont de toutes façons exercées sur notre environnement ...).
 
Lorsque nous déplaçons un objet, nous partons d’un état initial ou les possibilités existantes sont que l’objet ne se place qu’à partir de l’endroit ou il posé et qu’il est impossible de le déplacer d’autre part.  
Lorsque vous avez déplacé l’objet, vous avez exclu les possibilités qu’il se déplace de l’endroit ou il était, mais créée toutes les possibilités pour qu’il se déplace de ce nouvel endroit vers toutes les autres positions dans l’espace. A cet instant, des possibilités infinies, sont créées, et d’autres sont exclues.  
 
Tant qu’un objet n’est pas déplacé le temps présent est constitué de toutes les photos des futurs déplacements possibles de l’objet.    
 
La vitesse du temps est infini ( ou a 0 ça marche aussi ), le futur rejoint le passé, et le présent est réduit à un champ de possibilités non plus à l’écoulement du temps … Le temps, ce sont de nouvelles possibilités qui sont créées mais aussi d’autres qui disparaissent, c’est un flux de possibilité, c’est la navigation que  nous faisons dans le champs du tout possible.
 
 
Tout se passe comme si tout les futurs possibles existaient au temps présent. Nous pensons que nous écrivons notre futur alors que c’est nous qui nous nous déplaçons à travers lui, il existe avant nous ... Notre future existe avant même que nous l’ayons créé (il se confond avec le présent en quelque sorte).
Il n’y a donc plus de futur, ni de passé, mais un flux de photos instantanées de tout ce qui pourrait être possible et un flux de photo rendu impossible.  
 
- Le futur et le passé cohabitent sous la forme de pages possibles et celles rendues impossible.
 
- Toutes les conséquences sont créées dès que leurs causes surgissent.
 
- Les pages du temps présent, de tous les possibles, existent toutes en même temps.
 
 -Nous avons des choix dont toutes les possibilités existent avant même qu’ils ne soient fait.
 
- De même qu’un choix exclura les pages ou il n’est pas fait. De même lorsqu’un choix n’est pas fait, toutes les pages des deux choix perdurent.
 
- Ce que vous n’avez pas fait existe tant que cela est possible.
 
- Au big bang car il n’y avait qu’une possibilité, qu’un choix, d’une énorme probabilité.  
 
 
 
Au niveau des particules élémentaires,( ayant réduit le nombre des possibilités au strict minimum ou plutôt le niveau de précision sur le déplacement est tellement fin que l’on se pose vraiment la question qui est de savoir : par ou ça passe ?), ce comportement du temps apparaît clairement :
- Les mesures ne nous donne pas la quantité d’un évènement mais la quantité de toutes les possibilités de celui-ci, puisque c’est de cette matière dont est constitué le moment :de toutes les possibilités.
- Les mesures ne nous donnent que les résultats rendus possibles. Les particules ne peuvent évoluer que dans le champs des possibles. Lorsque deux particules partagent les seules possibilités ou elles sont égales, ces particules restent identiques.
 
Il n’y a pas d’indétermination de la particule, il y une une détermination des champs du possible pour la particule.  
 
Pourrait-on postuler que l’énergie serait la densité du flux des possibles ?
 
En adoptant cette vision, je trouve une explication à certains phénomènes quantiques comme la localisation, intrications, causalité …  
 
Localisation :
 
Le taux de particule qui passe par une fente est de 1 %.
Le taux de particule qui passe par deux fentes est de 4 %.
 
Cela devrait être de 2 % ! Tout ce passe comme si la particule passait par les deux fentes.
 
Lorsque l’on veut détecter par quelle fente elle passe le pourcentage passe à 2 % !!!
 
Lorsque que les deux fentes sont positionnées on exclue toutes les pages du présent dans les quelles la particule pourrait traverser sans passer par les fentes, nous avons donc deux possibilités et le présent est constitué des pages ou la particules passe par la fente droite et des pages ou la particule passe par la fente gauche.
 
Lorsque nous mesurons le taux de passage dans ces conditions nous observons que le résultat obtenu est la quantité des possibilités de passage et non pas le comptage du passage d’une particule. Nous le double puisque nous avons deux fentes.  
 
Lorsque l’on cherche à savoir par quelle fente est passée la particule, on exclue les pages dans les quelles la particule passe par l’autre fente et on revient au pourcentage attendu : 2 %
 
 
Intrication :
 
Deux particules dans un état intriqué excluent toutes les possibilités où elles seraient différentes, il ne reste que celles ou elles sont identiques, si bien que lorsqu’on en change une, l’autre change instantanément puisqu’il n’y pas d’autres possibilités.
 
 
Causalité :
 
Les conséquences sont créées lorsque leur cause surgissent … Si vous mesurez que le chat est vivant,  il le sera, s’il n’est pas mort. Mais si vous voulez vous renseigner sur la santé du chat il est vivant ET il est mort.
 
Conclusion
 
ça ne change rien, mais ça m’aide à comprendre ...

Message cité 2 fois
Message édité par saletemps le 22-01-2018 à 17:26:56
mood
Publicité
Posté le 07-01-2018 à 23:31:21  profilanswer
 

n°52045652
v-X-v
Posté le 08-01-2018 à 01:03:50  profilanswer
 

saletemps a écrit :

Ce que nous dit la physique quantique sur le temps : La création et suppression de possibilités.
Implication sur la localité, l’intrication et la causalité.
 
 Il apparaît, qu’à chaque instant, tous les champs du possible sont créés.
 
Si le présent est l’écoulement de photos instantanées qui se succèdent. En imaginant que ces photos se succéderaient avec une vitesse infinie, elles se rejoindraient. Le présent serait constitué de toutes les images des futurs possibles.  
 
Le temps ne passe plus, nous évoluons dans le champ de tous les possibles, créons de nouvelles possibilités, en excluons d’autres. Le champ de nos possibles fluctuent en fonction de ceux de notre  l'environnement et ceux induits par nos actions (qui sont de toutes façons exercées sur notre environnement ...).
 
Lorsque nous déplaçons un objet, nous partons d’un état initial ou les possibilités existantes sont que l’objet ne se place qu’à partir de l’endroit ou il posé et qu’il est impossible de le déplacer d’autre part.  
Lorsque vous avez déplacé l’objet, vous avez exclu les possibilités qu’il se déplace de l’endroit ou il était, mais créée toutes les possibilités pour qu’il se déplace de ce nouvel endroit vers toutes les autres positions dans l’espace. A cet instant, des possibilités infinies, sont créées, et d’autres sont exclues.  
 
Tant qu’un objet n’est pas déplacé le temps présent est constitué de toutes les photos des futurs déplacements possibles de l’objet.    
 
La vitesse du temps est infini ( ou a 0 ça marche aussi ), le futur rejoint le passé, et le présent est réduit à un champ de possibilités non plus à l’écoulement du temps … Le temps, ce sont de nouvelles possibilités qui sont créées mais aussi d’autres qui disparaissent, c’est un flux de possibilité, c’est la navigation que  nous faisons dans le champs du tout possible.
 
 
Tout se passe comme si tout les futurs possibles existaient au temps présent. Nous pensons que nous écrivons notre futur alors que c’est nous qui nous nous déplaçons à travers lui, il existe avant nous ... Notre future existe avant même que nous l’ayons créé (il se confond avec le présent en quelque sorte).
Il n’y a donc plus de futur, ni de passé, mais un flux de photos instantanées de tout ce qui pourrait être possible et un flux de photo rendu impossible.  
 
- Le futur et le passé cohabitent sous la forme de pages possibles et celles rendues impossible.
 
- Toutes les conséquences sont créées dès que leurs causes surgissent.
 
- Les pages du temps présent, de tous les possibles, existent toutes en même temps.
 
 -Nous avons des choix dont toutes les possibilités existent avant même qu’ils ne soient fait.
 
- De même qu’un choix exclura les pages ou il n’est pas fait. De même lorsqu’un choix n’est pas fait, toutes les pages des deux choix perdurent.
 
- Ce que vous n’avez pas fait existe tant que cela est possible.
 
- Au big bang car il n’y avait qu’une possibilité, qu’un choix, d’une énorme probabilité.  
 
 
 
Au niveau des particules élémentaires,( ayant réduit le nombre des possibilités au strict minimum ou plutôt le niveau de précision sur le déplacement est tellement fin que l’on se pose vraiment la question qui est de savoir : par ou ça passe ?), ce comportement du temps apparaît clairement :
- Les mesures ne nous donne pas la quantité d’un évènement mais la quantité de toutes les possibilités de celui-ci, puisque c’est de cette matière dont est constitué le moment :de toutes les possibilités.
- Les mesures ne nous donnent que les résultats rendus possibles. Les particules ne peuvent évoluer que dans le champs des possibles. Lorsque deux particules partagent les seules possibilités ou elles sont égales, ces particules restent identiques.
 
Il n’y a pas d’indétermination de la particule, il y une une détermination des champs du possible pour la particule.  
 
Pourrait-on postuler que l’énergie serait la densité du flux des possibles ?
 
En adoptant cette vision, je trouve une explication à certains phénomènes quantiques comme la localisation, intrications, causalité …  
 
Localisation :
 
Le taux de particule qui passe par une fente est de 1 %.
Le taux de particule qui passe par deux fentes est de 4 %.
 
Cela devrait être de 2 % ! Tout ce passe comme si la particule passait par les deux fentes.
 
Lorsque l’on veut détecter par quelle fente elle passe le pourcentage passe à 2 % !!!
 
Lorsque que les deux fentes sont positionnées on exclue toutes les pages du présent dans les quelles la particule pourrait traverser sans passer par les fentes, nous avons donc deux possibilités et le présent est constitué des pages ou la particules passe par la fente droite et des pages ou la particule passe par la fente gauche.
 
Lorsque nous mesurons le taux de passage dans ces conditions nous observons que le résultat obtenu est la quantité des possibilités de passage et non pas le comptage du passage d’une particule. Nous le double puisque nous avons deux fentes.  
 
Lorsque l’on cherche à savoir par quelle fente est passée la particule, on exclue les pages dans les quelles la particule passe par l’autre fente et on revient au pourcentage attendu : 2 %
 
 
Intrication :
 
Deux particules dans un état intriqué excluent toutes les possibilités où elles seraient différentes, il ne reste que celles ou elles sont identiques, si bien que lorsqu’on en change une, l’autre change instantanément puisqu’il n’y pas d’autres possibilités.
 
 
Causalité :
 
Les conséquences sont créées lorsque leur cause surgissent … Si vous mesurez que le chat est vivant,  il le sera, s’il n’est pas mort. Mais si vous voulez vous renseigner sur la santé du chat il est vivant ET il est mort.
 
Conclusion
 
ça ne change rien, mais ça m’aide à comprendre ...
 
 
 
 


Intéressant mais déroutant. :)  

Citation :

Tout se passe comme si tout les futurs possibles existaient au temps présent.


Pour que quelque chose se passe il faut que le futur ne soit pas au présent.  
 
La MQ nous surprendra toujours !

n°52048215
saletemps
Je n\\
Posté le 08-01-2018 à 11:35:26  profilanswer
 

Pas nécessairement si on considère le temps comme un champ de possibilités et non plus comme quelque chose qui passe.
Cette interprétation est aussi extravagante qui celle qui nous laisse à penser que le temps passe ...
Toute interprétation du temps est déroutante mais c'est comme cela que ça se passe ;)

n°52048354
saletemps
Je n\\
Posté le 08-01-2018 à 11:43:07  profilanswer
 

quand j'écris "Tout se passe comme si tout les futurs possibles existaient au temps présent" je dis "qu'a l'instant tout ce qui est  possible existe déjà". Le temps ne passe donc plus c'est la variation entre ce qui devient possible et ce qu'il ne l'est plus. ça change tout ... avec cette interprétation du temps on comprend mieux les phénomènes quantiques.

n°52048708
Totoche17
Posté le 08-01-2018 à 12:04:32  profilanswer
 

J'ai l'impression d'avoir déjà lu ça quelque part, Philippe Guillemant je crois.
 
Il parle aussi de rétro causalité


Message édité par Totoche17 le 08-01-2018 à 12:05:09
n°52048988
saletemps
Je n\\
Posté le 08-01-2018 à 12:25:53  profilanswer
 

Le problème est effectivement posé par Philippe Guillemant , mais je ne crois pas qu'il remettre en cause la structure du temps de cette manière.

n°52072355
v-X-v
Posté le 10-01-2018 à 11:47:15  profilanswer
 

saletemps a écrit :

quand j'écris "Tout se passe comme si tout les futurs possibles existaient au temps présent" je dis "qu'a l'instant tout ce qui est  possible existe déjà". Le temps ne passe donc plus c'est la variation entre ce qui devient possible et ce qu'il ne l'est plus. ça change tout ... avec cette interprétation du temps on comprend mieux les phénomènes quantiques.


Et c'est là ou mon mal de tête commence ! :)  
C'est comme si tu avais une photo ou le futur est présent avec un présent au passé.
Comment une telle image peut être possible à un instant ?
A l'instant on fige mais avec de la variation.  
On a l'ombre d'un objet qui n'existe pas.
intéressant toussa !  ;)  

n°52073343
saletemps
Je n\\
Posté le 10-01-2018 à 13:08:14  profilanswer
 

Oui, mais je ne sais pas comment cela est possible; je dis simplement qu'en imaginant le temps comme cela on explique des phénomènes expérimentaux ;) et après tout comment imagines-tu que le temps passe ? :)
Les mesures quantiques nous donnent le nombre de possibilité d'un évènement (fentes).
L'intriquation lie les particules d'une façon telle que le temps et le espace sont effacés.
Tout se passe comme si au moment présent il existait les possibilités des futurs évènements (que ce soit le passage par une ou deux fentes ou l'intriquation)

n°52078310
masterrosh​i
jamais d'eau sans pernaud
Posté le 10-01-2018 à 18:56:47  profilanswer
 

https://reho.st/self/657a700f9dfa6c669b92eef0c9b72353ab4fbd6d.jpg
 
 :)


---------------
nunc est bibendum
n°52089536
saletemps
Je n\\
Posté le 11-01-2018 à 18:30:57  profilanswer
 

Et comme ça ?
Lorsque l’on modifie un point de l’espace (apport d’énergie, déplacement de matière, ...) ce n’est pas seulement ce point précis de l’espace que l’on modifie mais aussi tout ceux de l’univers (le temps ne passe pas, les points de l’espace changent constamment et instantanément). Lorsque l’on déplace de la matière tous les points de l’espace ou elle n’est pas présente se rendent disponibles instantanément (fente / plaque : les points de l’espace disponibles sont ceux derrières les fentes, les autres se rendent indisponibles). En physique quantique on mesure l’état d’un point de l’espace (paquet d’onde) et une intervention sur d’un point de l’espace modifie instantanément tous ceux qui l’entourent. La détection dans un point de l’espace d’une particule dans une des fentes rend indisponibles les points de l’espace de l’autre instantanément.  

mood
Publicité
Posté le 11-01-2018 à 18:30:57  profilanswer
 

n°52101442
v-X-v
Posté le 12-01-2018 à 20:51:32  profilanswer
 

saletemps a écrit :

Oui, mais je ne sais pas comment cela est possible; je dis simplement qu'en imaginant le temps comme cela on explique des phénomènes expérimentaux ;) et après tout comment imagines-tu que le temps passe ? :)
Les mesures quantiques nous donnent le nombre de possibilité d'un évènement (fentes).
L'intriquation lie les particules d'une façon telle que le temps et le espace sont effacés.
Tout se passe comme si au moment présent il existait les possibilités des futurs évènements (que ce soit le passage par une ou deux fentes ou l'intriquation)


Salut ST
Une manière de voir:
C'est comme si la particule parcourait tout l'itinéraire possible : tous les scénarii se faisant en même temps.
Est-ce cela ?
 

Citation :

L'intrication lie les particules d'une façon telle que le temps et le espace sont effacés.


Intéressant ce que tu dis mais l'espace demeure entre les deux particules.
Qu'est ce qui est vraiment effacé ?
A moins que la vitesse de la lumière n'est la chose la plus rapide ! :)  

n°52126876
saletemps
Je n\\
Posté le 15-01-2018 à 21:34:15  profilanswer
 

La nouvelle version du texte se trouve ici et je pense qu'elle répondra à tes question ;)
 
https://www.facebook.com/permalink. [...] on_generic

n°52154055
v-X-v
Posté le 18-01-2018 à 03:43:27  profilanswer
 

saletemps a écrit :

La nouvelle version du texte se trouve ici et je pense qu'elle répondra à tes question ;)
 
https://www.facebook.com/permalink. [...] on_generic


Merci ST.  
Super !
Je te dirais ce que je pense. :)

n°52176347
saletemps
Je n\\
Posté le 20-01-2018 à 12:51:12  profilanswer
 

Impatient de te lire ;)

n°52196348
Elessar777
Tripatt' Faux-reveur.
Posté le 22-01-2018 à 16:59:36  profilanswer
 

v-X-v a écrit :


Salut ST
Une manière de voir:
C'est comme si la particule parcourait tout l'itinéraire possible : tous les scénarii se faisant en même temps.
Est-ce cela ?
 

Citation :

L'intrication lie les particules d'une façon telle que le temps et le espace sont effacés.


Intéressant ce que tu dis mais l'espace demeure entre les deux particules.
Qu'est ce qui est vraiment effacé ?
A moins que la vitesse de la lumière n'est la chose la plus rapide ! :)  


 
l'intrication quantique n'a rien a faire ni a voir avec la vitesse de la lumière, c'est une propriété particulière.... en fait il faut considérer les particules comme faisant parties d'un système unique....
 
ce qui est effacé c'est le délai de transmission d'un changement de propriété d'une particule intriquée à l'autre, c'est l’instantanéité de cette transmission de changement de propriété qui surprend de prime abord (Einstein n'y croyait d'ailleurs pas, au depart).


---------------
Cassoulet, again !
n°52227856
bongo1981
Posté le 25-01-2018 à 14:53:50  profilanswer
 

saletemps a écrit :

- La matière ne peut pas être à deux endroits en même temps.
- Un message ne peut pas se transmettre plus vite que la lumière.

L’erreur est peut-être de croire qu’il y a un message qui est transmis…
 

saletemps a écrit :

Je vais juste avoir besoin d’inventer de nouveaux champs pour que ma perception de la réalité puisse admettre qu’une particule soit en deux endroits. J’appellerai ces champs des « guirlandes ».
 
Qu’est-ce qu’une guirlande quantique ? c’est un champ comme il en existe déjà pour chacune des forces de la nature (faible, forte, electro, …), le dernier dont l’existence a été validée étant celui de higgs.

Mais… il y a déjà des champs pour toutes les particules, alors je ne comprends pas ce qu’apporte une guirlande…
Soit tu viens d’inventer une nouvelle grandeur quantique (spin ? charme ? ou autre chose encore), soit… tu inventes un nouveau champ (comme Higgs comme tu dis, ou l’inflaton qui serait à l’originie de l’inflation), et dans ce cas tu viens d’inventer une nouvelle particule.
Mais ça reste très qualitatif pour ne pas dire que ça n’apporte franchement rien à la non-localité. Tu sembles vouloir expliquer la non-localité en rajoutant un champ que tu décrètes non local. Finalement la guirlande n’explique pas plus que le formalisme de la MQ.
 

Elessar777 a écrit :

l'intrication quantique n'a rien a faire ni a voir avec la vitesse de la lumière, c'est une propriété particulière.... en fait il faut considérer les particules comme faisant parties d'un système unique....
 
ce qui est effacé c'est le délai de transmission d'un changement de propriété d'une particule intriquée à l'autre, c'est l’instantanéité de cette transmission de changement de propriété qui surprend de prime abord (Einstein n'y croyait d'ailleurs pas, au depart).

En fait, quand on observe une particule issue d'une paire intriquée, le plus surprenant est l'interprétation de la MQ.
En effet, la MQ parle de superposition d'état avant l'observation, puis effondrement de la fonction d'onde une fois l'observation faite. Pourtant l'état des deux particules est bien corrélé.
 
Ou bien :
- les deux particules avaient déjà un état avant observation, et dans ce cas, la MQ est impuissante à prédire un état qui pourtant existe, position du réalisme d'Einstein
- les deux particules n'avaient pas d'état, ou étaient dans une superposition d'état avant observation, et prennent un état cohérent malgré une distance arbitraire lorsqu'elles sont observées, c'est l'instrumentalisme, ou la position de Bohr.
 
Ce qui est surprenant, c'est que c'est testable par les inégalités de Bell, que la MQ viole manifestement, et que cela ait été mis en évidence par Aspect ; ce qui permet de donner raison à Bohr.
 
Ceci suggère donc que la réalité du monde quantique semble montrer qu'il n'y a pas de réalité objective indépendante de l'observateur, du moins il n'existe pas de théorie à variables cachées locales.


Message édité par bongo1981 le 25-01-2018 à 15:02:43
n°55886338
dahu_fr
Posté le 26-02-2019 à 10:40:19  profilanswer
 

Citation :

Corpus
 
Je suis un frisson, une crispation, un paquet d’onde projeté dans le vide sans autre trame que celle du temps. Je croise chronos dans un train avec une lampe de poche. Ceux qui m’accompagnent m’obligent à la décohérence.
 
Koondera


 
 :)

n°56128830
zardoz
Posté le 25-03-2019 à 15:08:12  profilanswer
 

une conférence sur le temps, très intéresante :
The Physics and Philosophy of Time - with Carlo Rovelli
https://www.youtube.com/watch?v=-6rWqJhDv7M
 


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