illustre une fois de plus le fait que quand on n'a rien a dire, on raconte des conneries.
film ultra violent, violence gratuite, scenes insoutenables...  
quel beau resumé sauf que ca n'est pas le sujet.
la violence de ce film sert la narration, au meme titre que cette camera folle ou ce jeu exité.
 
le film c'est l'histoire d'une experience. est il possible de retourner le spectateur puis de l'appaiser pour qu'il ressorte de la projection presque serein et ce n'est en rien une ode a l'ultra violence, un film consensuel qui surf sur la vague initiée par baise moi ou le mouvement porno snob.
irreversible est un film fort que l'on peut aimer, ou detester mais qui ne peut se reduire a une suite de bite, de sodomie et de tetes defoncés comme ont tenté de nous faire croire ces sous doués du journal televisé.
 
cette quete du sensationnelle, quel connerie...  

illustre une fois de plus le fait que quand on n'a rien a dire, on raconte des conneries.
film ultra violent, violence gratuite, scenes insoutenables...  
quel beau resumé sauf que ca n'est pas le sujet.
la violence de ce film sert la narration, au meme titre que cette camera folle ou ce jeu exité.
 
le film c'est l'histoire d'une experience. est il possible de retourner le spectateur puis de l'appaiser pour qu'il ressorte de la projection presque serein et ce n'est en rien une ode a l'ultra violence, un film consensuel qui surf sur la vague initiée par baise moi ou le mouvement porno snob.
irreversible est un film fort que l'on peut aimer, ou detester mais qui ne peut se reduire a une suite de bite, de sodomie et de tetes defoncés comme ont tenté de nous faire croire ces sous doués du journal televisé.
 
cette quete du sensationnelle, quel connerie...  

la scène de viol m'a fait gerber
et partir du cinoche

illustre une fois de plus le fait que quand on n'a rien a dire, on raconte des conneries.
film ultra violent, violence gratuite, scenes insoutenables...  
quel beau resumé sauf que ca n'est pas le sujet.
la violence de ce film sert la narration, au meme titre que cette camera folle ou ce jeu exité.
 
le film c'est l'histoire d'une experience. est il possible de retourner le spectateur puis de l'appaiser pour qu'il ressorte de la projection presque serein et ce n'est en rien une ode a l'ultra violence, un film consensuel qui surf sur la vague initiée par baise moi ou le mouvement porno snob.
irreversible est un film fort que l'on peut aimer, ou detester mais qui ne peut se reduire a une suite de bite, de sodomie et de tetes defoncés comme ont tenté de nous faire croire ces sous doués du journal televisé.
 
cette quete du sensationnelle, quel connerie...  

la scène de viol m'a fait gerber
et partir du cinoche

 
comme je l'ai déja dit: ca joue bcp trop sur le gore et l'étalage, dommage car la réalisation est plutot pas mal (évolution des mvts de caméra, des sons, des couleurs, de l'éclairage...) tout au long du film.

 
apparement, c'est grandiose..., à la limite du sublime pour certain...  

pour moi tout s'inscrit dans un processus logique. la violence n'est pas omnipresente. on part de son paroxisme pour aller petit a petit vers l'appaisement.  

 
 et tu ressort de la salle, le pas léger, les zoizeaux chantouillent, t'as oublié tes soucis, la guerre en Irak... o joie...o extase...    
 
 

Moi j'ai beaucoup apprécié le film !  D'ailleur sur feu blabla j'avais fais un topic sur le film lors de sa sortie et présentation à Cannes.  
 
Au passage, j'ai toujours beaucoup de mal à comprendre les gens qui disent: "Moi la scène du viole ça m'a pas choqué..." Je ne dis pas uniquement ça pour Zaib3k mais c'est une remarque qui revient souvent. Pour moi celui qui dit ça, soit:
 
- il prend tout avec distance et dans ce cas là je vois mal comment il peut apprécier le cinéma. Puisque la plupart des film tentent de faire entrer le spectateur dans le récit, ou du moins de lui faire ressentir quelque chose, de l'amener à une reflexion...
 
- il est psychopathe et ça le laisse froid.  
 
- il veut se la jouer genre: "Moi je suis blindé comme gars, rien ne me choque...". Alors qu en réalité il est traumatisé à vie.
 
- peut être un mélange de tout ça.  
 
Mais franchement je crois pas que cette scène puisse laisser indifférent.

 
Perso, elle m'a touché sur le moment, bien sur, mais au final, je l'ai vite digerée, j'suis pas resté dessus la bouche ouverte et le kortex en ebullition. Elle sert le film, certes, mais a un niveau superieur, c'est le film qui ne m'a pas touché.

Moi j'ai beaucoup apprécié le film !  D'ailleur sur feu blabla j'avais fais un topic sur le film lors de sa sortie et présentation à Cannes.  
 
Au passage, j'ai toujours beaucoup de mal à comprendre les gens qui disent: "Moi la scène du viole ça m'a pas choqué..." Je ne dis pas uniquement ça pour Zaib3k mais c'est une remarque qui revient souvent. Pour moi celui qui dit ça, soit:
 
- il prend tout avec distance et dans ce cas là je vois mal comment il peut apprécier le cinéma. Puisque la plupart des film tentent de faire entrer le spectateur dans le récit, ou du moins de lui faire ressentir quelque chose, de l'amener à une reflexion...
 
- il est psychopathe et ça le laisse froid.  
 
- il veut se la jouer genre: "Moi je suis blindé comme gars, rien ne me choque...". Alors qu en réalité il est traumatisé à vie.
 
- peut être un mélange de tout ça.  
 
Mais franchement je crois pas que cette scène puisse laisser indifférent.

Moi j'ai beaucoup apprécié le film !  D'ailleur sur feu blabla j'avais fais un topic sur le film lors de sa sortie et présentation à Cannes.  
 
Au passage, j'ai toujours beaucoup de mal à comprendre les gens qui disent: "Moi la scène du viole ça m'a pas choqué..." Je ne dis pas uniquement ça pour Zaib3k mais c'est une remarque qui revient souvent. Pour moi celui qui dit ça, soit:
 
- il prend tout avec distance et dans ce cas là je vois mal comment il peut apprécier le cinéma. Puisque la plupart des film tentent de faire entrer le spectateur dans le récit, ou du moins de lui faire ressentir quelque chose, de l'amener à une reflexion...
 
- il est psychopathe et ça le laisse froid.  
 
- il veut se la jouer genre: "Moi je suis blindé comme gars, rien ne me choque...". Alors qu en réalité il est traumatisé à vie.
 
- peut être un mélange de tout ça.  
 
Mais franchement je crois pas que cette scène puisse laisser indifférent.

Mais moi ca me fait delirer les gars ki disent ouai ct gerbant j ai couru comme un mongole en sortant du cinema ct trop triste ... C est dure comme scene meme si on sert les dents mais je trouve que les reactions EXAGERER de certains rendent les avis ...euh bizzare non ?

dix minutes de sodomisations qui ne laisse aucun espoir de fuite au spectateur
 
la film ouvre sur un dialogue sordide au possible entre deux homme, l'un gras et immonde, l'autre sec comme un couteau, dans une ambiance de chaleur moite au dessus d'une boite qui s'appelle le rectum, les amateurs de glauque sont mis en appétit
 
puis on assite au carnage à l'extincteur, non sans avoir apercu auparavent un mec les jambes écartées de faire défoncer le cul...  
 
vous savez quoi ? c'est n'est pas le coupable...
 
nos deux benets, foux d'amour pour la belle italienne dans le comat, ce sont fait vendre une vengeance par des vendeurs de vengeances, qui font semblant de remonter en effrayant les prostituées (menacées au couteau çà va sans dire...)
 
puis la scène du viol, interminable, par sodomie à sec, (forcément douloureux) puis le mec remonte sa braguette satisfait et lui éclate la tete contre le sol (gros son dans les basses, on est en dolby 5.1 au moins)
 
ect etc..pour arriver avant, l'amour, l'amoureux transit, les enfants, le reve du futur et Bethoveen pour faire profond...
 
y en a qui crient au génie, à chacun ses gouts ...    
 

dix minutes de sodomisations qui ne laisse aucun espoir de fuite au spectateur
 
la film ouvre sur un dialogue sordide au possible entre deux homme, l'un gras et immonde, l'autre sec comme un couteau, dans une ambiance de chaleur moite au dessus d'une boite qui s'appelle le rectum, les amateurs de glauque sont mis en appétit
 
puis on assite au carnage à l'extincteur, non sans avoir apercu auparavent un mec les jambes écartées de faire défoncer le cul...  
 
vous savez quoi ? c'est n'est pas le coupable...
 
nos deux benets, foux d'amour pour la belle italienne dans le comat, ce sont fait vendre une vengeance par des vendeurs de vengeances, qui font semblant de remonter en effrayant les prostituées (menacées au couteau çà va sans dire...)
 
puis la scène du viol, interminable, par sodomie à sec, (forcément douloureux) puis le mec remonte sa braguette satisfait et lui éclate la tete contre le sol (gros son dans les basses, on est en dolby 5.1 au moins)
 
ect etc..pour arriver avant, l'amour, l'amoureux transit, les enfants, le reve du futur et Bethoveen pour faire profond...
 
y en a qui crient au génie, à chacun ses gouts ...    
 

Moi j'ai beaucoup apprécié le film !  D'ailleur sur feu blabla j'avais fais un topic sur le film lors de sa sortie et présentation à Cannes.  
 
Au passage, j'ai toujours beaucoup de mal à comprendre les gens qui disent: "Moi la scène du viole ça m'a pas choqué..." Je ne dis pas uniquement ça pour Zaib3k mais c'est une remarque qui revient souvent. Pour moi celui qui dit ça, soit:
 
- il prend tout avec distance et dans ce cas là je vois mal comment il peut apprécier le cinéma. Puisque la plupart des film tentent de faire entrer le spectateur dans le récit, ou du moins de lui faire ressentir quelque chose, de l'amener à une reflexion...
 
- il est psychopathe et ça le laisse froid.  
 
- il veut se la jouer genre: "Moi je suis blindé comme gars, rien ne me choque...". Alors qu en réalité il est traumatisé à vie.
 
- peut être un mélange de tout ça.  
 
Mais franchement je crois pas que cette scène puisse laisser indifférent.

c'etait l'effet voulus. choquer, marquer, prendre le spectateur a temoin.
bcp se plaignent de la longueur de la scene. 10 minutes c'est trop.  
il faut rappeler que tous le film est une suite de plan sequences et ce n'est pas neutre. c'est destiné a immiscer un peut plus le spectateur dans l'histoire. en restituant "le temps reel", on prends pleinement consience de chaque action. leur durée est essentielle.
et 10 minutes de viol c'est 10 minutes d'enfer. pour les hommes, le viol est souvant un peut abstrait, on imagine sans realiser. la on comprends la chose dans son attrocité et sa longueur. on peut parler viol, on ne peut pas le regarder dans son integralité.
qui plus est cette scene est ultra violente sans l'etre. pas de gros plans sur la queue, pas de lame qui decoupe la chaire, pas de face tumefiée en gros plan, c'est inutile. la violence du viol reside dans son essence. la soumission, les larmes, la peur. elle est la la violence. meme les coups a la fin ne sont pas dignes de films americains. pas de gerbe de sang sur les murs, pas de dents qui volent etc. c'est inutile.
 
bref, je trouve cette scene tres reussie parceque tres efficace.  

illustre une fois de plus le fait que quand on n'a rien a dire, on raconte des conneries.
film ultra violent, violence gratuite, scenes insoutenables...  
quel beau resumé sauf que ca n'est pas le sujet.
la violence de ce film sert la narration, au meme titre que cette camera folle ou ce jeu exité.
 
le film c'est l'histoire d'une experience. est il possible de retourner le spectateur puis de l'appaiser pour qu'il ressorte de la projection presque serein et ce n'est en rien une ode a l'ultra violence, un film consensuel qui surf sur la vague initiée par baise moi ou le mouvement porno snob.
irreversible est un film fort que l'on peut aimer, ou detester mais qui ne peut se reduire a une suite de bite, de sodomie et de tetes defoncés comme ont tenté de nous faire croire ces sous doués du journal televisé.
 
cette quete du sensationnelle, quel connerie...  

Dans le même genre, il y a ce film japonais ou un mec se fait séquestrer par une malade mentale... je ne me rapelle même plus du titre   Dans une scène de ce film le protagoniste se fait couper le pied par sa goelière, l'angle est celui de la vision de la victime, pendant qu'il se fait charcuter. J'ai jamais vu un truc plus glauque. Je n'ai pas compris le but de ce film, je suis donc resté sur une incompréhension. A quoi bon montrer la folie pure d'une psychopate?
 
Pareil pour orange mécanique; j'ai rien capté hormis le 1er degré. Je ne pense donc pas regarder irreversible juste pour subir des scènes d'"ultra violence" (dixit le protagoniste d'orange mécanique).

la scène de viol m'a fait gerber
et partir du cinoche

 
c'était pas audition le film en question?

J'vais dire un truc con: j'ai pas vu ce film, et j'ai vraiment pas envie de le voir.
Et ce qu'en dit Dolohan, bien que moins "scandalogène" que ce qui s'est lu dans les journaux, m'en donne encore moins envie...  

 
right

J'vais dire un truc con: j'ai pas vu ce film, et j'ai vraiment pas envie de le voir.
Et ce qu'en dit Dolohan, bien que moins "scandalogène" que ce qui s'est lu dans les journaux, m'en donne encore moins envie...  

c'est assez naze de toute façon dis toi bien que tu ne perds pas grand chose.

 
j e ne souhaitais pas polémiquer, mais je ne suis pas d'accord du tout. Qu'on aime ou qu'on aime pas, le film comporte un vrai message.Oui c'est trash, oui ca m'est mal à l'aise, on est à la fois spectateur du viol et spectateur de la vengeance du cops de la violée .... on ne peut cautionner aucun de ces actes violents et c'est frustré de n'être que spectateur.
Du reste, je suis d'accord.. il faut avoir du cran pour supporter certaines scenes    

c'est ton choix.