Reprise du message précédent :
http://lovelivfe.com/wp-content/up [...] assins.jpg  
 
Vu Règne des Assassins (John Woo)
 
L'histoire: un membre d'une confrérie d'assassins (Michelle Yeoh) go awol, tire un trait sur son passé (et sur son visage) et tente de refaire sa vie.   Et vous devinez quoi, ça ne marche pas.  Assassin un jour, assassin toujours.  Surtout que la miss a eu la bonne idée d'emporter avec elle une rélique très très recherchée par ses anciens confrères.  Le chef des assassins (le toujours très vilain mais très bon Wang Xueqi) finira par la retrouver...
 
J'aime bien.  C'est bon de retrouver un film de wuxia style des années '70-'80, en terme d'histoire (pas trop difficile à comprendre), en terme d'atmosphère et en terme d'accent (le mandarin est quand même plus xiantant que le cantonais), mais bien sûr, appuyé par des supports techniques moderne de mise en scène et de chorégraphie des combats.
...
Edit: J'oubliais juste un truc.  L'épée donc la lame est méga-souple, qu'on voyait pour la première fois dans Crouching Tiger Hidden Dragon, ne fonctionne pas avec moi et ça ne fonctionnera jamais.  On ne me fera pas croire qu'on peut transpercer un corps avec une feuille aluminium, même pliée en quatre.

Je viens de le voir également, je pense tout pareil. En parlant de mandarin, est-ce que Jung Woo-sung est doublé ?

 
Je ne sais pas trop  
 
Vu qu'il est coréen...  À moins qu'il joue phonétiquement.

vous l'avez vu où?  

 
Je suis canadien.  On n'est pas encore touché par Hadopi.  

 
Le throttling c'est pas mieux

j'ai un cousin canadien    
je vais regarder sa vidéothèque ce soir

Alors outrage ça vaut quoi ?

 
A noter un nouveau site à rajouter à cette enthousiasmante liste : www.eastasia.fr
 
Et pour mon dernier choc asiatique, le Soldat Dieu, du grand Wakamatsu !!!

J'hésite à aller le voir, celui-là. Ca m'intrigue assez, mais le seul Wakamatsu que j'ai regardé (Quand l'embryon part braconner) ne m'a pas convaincu...

 
Outrage de Takeshi Kitano, avec lui-même dans le rôle de sous-boss d'une famille de yakuza.
 
On pourrait résumer le film en un seul mot: trahison, frère de sang vs frère de sang, sous-boss vs boss, sous-boss vs sous-boss, petite frappe vs sous-boss, chef de clan vs sous-boss devenu boss, et finalement bras droit du chef de clan vs chef de clan.
 
Le code d'honneur des yakuzas vient de prendre une bonne claque.
 
Au final, c'est très moyen.  Aucun sens d'humour (noir ou ironique) qu'on a l'habitude de voir dans les films de Kitano.

Bonne nouvelle fans de ciné HK et amateurs de bons films tout court lol!
 
Je ne crois pas qu'on en ait parlé sur ce topic : la trilogie (culte) Infernal Affairs  est sortie en blu-ray depuis un mois en Grande Bretagne pour 29,99£ + 2,50£  (fdp) chez HMV.
 

 
Lien HMV: http://hmv.com/hmvweb/displayProdu [...] sku=195344
 
La trilogie est enfin abordable, on est loin des 70 Eur de la version HK de Yesasia...
 
Quant aux spécificités techniques, à en croire les différents forums que j'ai écumés, l'image et le son sont au top, c'est presque la même chose que la version HK : à la différence près qu'il n'y a pas de piste audio en mandarin.  
On se retrouve donc avec du cantonais sous-titré anglais  
 
 
P.S. Dégouté car le coffret était aussi dispo chez amazon uk pour un prix de lancement de 17,90 £. Il est en rupture de stock pour le moment.  
 
Lien Amazon: http://www.amazon.co.uk/Infernal-A [...] 983&sr=8-3
 
Bref, si vous ne vous êtes pas trop ruinés pour vos achats de Noël, foncez pour une des merveilles du cinéma asiatique pour commencer 2011 en beauté!  

Hello,
 
Je vous présente un ouvrage qui pourrait vous intéresser, sur les actrices chinoises, que vous trouverez en librairie à la fin janvier mais vous pouvez d'ors et déjà le trouver et l'acquérir sur pas mal de site (FNAC, etc...) et sur le propre site de l'éditeur (http://www.ecrans-editions.com)
 

 
Premier ouvrage de la collection écrans d'Asie, le livre "Les actrices chinoises" va à la rencontre de ces actrices qui ont incarné la féminité chinoise des années 1930 à aujourd'hui.
Fortes, sensuelles, héroïques, mais aussi victimes, malheureuses ou perdues, ces silouettes et ces esprits sont un prisme pour mieux comprendre un cinéma, un pays, et sa condition féminine.
 
 
INTRODUCTION
 
Les actrices chinoises propose de revenir sur les carrières et les destins de femmes chinoises qui ont incarné à l'écran la féminité de tout un peuple et attisé la cinéphile mondiale.
GONG Li, ZHANG Ziyi sont des noms désormais connus de tous. Elles représentent les plus grandes marques mondiales et sont devenues les hérauts d'une certaine représentation féminine orientale.
Pourtant, avant d'en arriver là, ces actrices ont connu les difficultés du métier et ont su peu à peu s'émanciper, devenant ainsi des références pour les femmes chinoises. Ce long chemin commence en Chine dès les années 1 920/1 930 à Shanghai où le cinéma devient une industrie. Il continue ensuite par divers chemins. À Hong Kong, concession britannique, le cinéma est dominé par des studios qui souhaitent développer à leur image une identité des femmes bien à part, mais avec un panel luxuriant d'interprétations féminines. En Chine, devenu la République Populaire de Chine en 1 949, les femmes entrent dans la révolution et dans l'uniformisation, si ce n'est quelques rares exceptions comme les actrices des minorités ethniques. Puis les années 1 980 ouvrent la voie à de nouveaux champs cinématographiques pour les femmes. Hong Kong connaîtra une période érotique avec l'avènement de la catégorie III tandis que la Chine Populaire revient sur les démons du passé et appelle à une émancipation des femmes. Dès lors, Le romantisme et le réalisme frappent aux portes des années 90 avec des cinéastes tels WONG Kar-wai qui mettent délicieusement en valeur les rôles féminins tout comme, dans une autre mesure, le réalisateur JIA Zhang-ke et son regard sans compromis sur le développement économique chinois. Notre ouvrage se clôt sur une nouvelle génération de jeunes actrices issues des années 2000 et dont le jeu laisse deviner des formes de féminités singulières, en proie aux mutations incessantes de la Chine.
 
 
TROIS SUJETS ESSENTIELS
 
Le cinéma
Cet ouvrage est un regard sur le(s) cinémas(s) chinois (Hong Kong et République populaire de Chine principalement), ses évolutions au fil des décennies des années 1 920/1 930 à aujourd'hui.
 
 
Les femmes
Les actrices ont été les représentantes de la condition féminine en Chine. Elles l'ont parfois devancée, parfois suivie, mais ont toujours joué un rôle essentiel et déterminant dans l'émancipation des femmes.
 
 
La Chine
Ce pays qui nous attire et nous inquiète, dévoile un coin de son âme et de son caractère par son cinéma et les femmes qui l'ont porté. Plus on prend connaissance de sa culture, notamment cinématographique, plus on appréhende davantage nos différences et nos ressemblances.
 
 
ELEMENTS EXCEPTIONNELS DU LIVRE
 
1. Toutes les photographies sont pleines pages, voire en double page
 
2. Photographies rares des films de WONG Kar-wai
WONGKar-wai, par le biais de son équipe et de son photographe WING Shya, nous a transmis une trentaine de photographies prises pendant le tournage de ses films. Elles n'ont jamais ou rarement été exploité (inédites en France) pour un ouvrage et dans un tirage et des dimensions de cette importance. Nous en avons utilisé près d'une quinzaine.
 
 
3. Entretien avec ZHAO Tao, actrice de JIA Zhang-ke
ZHAO Tao s'exprime rarement et nous a consacré un large entretien sur sa manière de travailler avec JIA Zhang-ke et son rapport à la féminité au cinéma.
 
 
4. Fonds photographiques exceptionnels
Nous sommes allés chercher des photographies rares et exceptionnelles à Pékin, Hong Kong, à Bruxelles et aux États-Unis. Le fonds cinéma chinois de la Cinémathèque Royale de Belgique a permis de rassembler des photographies
également inédites, jamais exploitées à ce jour, venant de la collection de Brigitte DE LA ROYERE et feu Régis BERGERON, journaliste et grand spécialiste du cinéma chinois. Enfin, viennent se joindre à ces fonds, d'autres photographies des sociétés de production de JIA Zhang-ke, des éditeurs WILDSIDE et CELESTIAL PICTURES, mais également de rares archives personnelles d'actrices.
 
 
7 SUJETS TRAITÉES
 
1. 1920/1930 Vie carrière et mort des actrices chinoises par Anne KERLAN (chercheur CNRS)
Les années 1920/1930 sont le premier âge d'or du cinéma chinois et des actrices chinoises. Au début des années 1920, le métier d'actrice n'en est pas encore un, il s'agit plus d'un divertissement, et les femmes actrices ont droit à la même considération que les prostituées. D'ailleurs certaines actrices furent repérées par des producteurs ou réalisateurs dans des bordels. C'est dire si ces années sont importantes dans la perception et dans l'évolution du cinéma en Chine. Avec les années 1930 et le développement du vedettariat, les actrices deviennent de stars et en connaissent alors tous les avantages comme les inconvénients. Certaines d'entre elles comme RUAN Lingyu connaîtront des fins tragiques, d'autres traverseront le temps pour terminer leur carrière bien des décennies plus tard, mais chacune d'entre elles est une mémoire vivante d'un divertissement devenu progressivement ce qu'on appelle aujourd'hui le septième art.
 
 
2. 1950/1960 Hong Kong et le deuxième âge d'or des actrices chinoises par Christophe FALIN
Hong Kong est la ville-cinéma par excellence. Dans les années 1950 et 1960 de grands studios se développent telles la Shaw Brothers ou la Cathay qui propulsent de nouvelles stars féminines à l'écran. Certaines viennent du cinéma de Shanghai et ont fui l'arrivée du communisme, d'autres sont des Hongkongaises, et toutes doivent travailler dans un cadre multiculturel où le cantonnais et le mandarin se côtoient, où le marché du film vise tout autant la ville que le bassin sud-est asiatique et les communautés de Chinois d'outre-mer. XIA Meng, ZHU Hong, CHEN Sisi, CHANG Pei-pei et une kyrielle de talents ont su imposer une féminité subtile, mais aussi guerrière, sensuelle, contemporaine avec pour la plupart de longues carrières.
 
 
3. 1950/1980 Imagerie féminine en République Populaire de Chine par Damien PACCELLIERI
L'arrivée au pouvoir du communisme de MAO Zedong en 1949 changera pour toujours le visage du cinéma chinois. Finirent les strass et paillettes du cinéma de Shanghai, bonjour à l'idéologie sur pellicules avec notamment trois types de femmes interprétées par les actrices. Les premières sont les femmes « rouges », à savoir des ferventes communistes, propageant ou incarnant certaines valeurs fortes du collectivisme, de la nation... Elles sont révolutionnaires, soldates, mais sont aussi égales aux hommes par des métiers à fortes valeurs sociales. Les deuxièmes sont ces femmes de la diversité ethnique chinoise, capable d'incarner le bonheur d'une société unifié derrière son Grand Timonier, mais également l'exotisme et les valeurs séculaires d'un pays en proie aux illusions du communisme. Les dernières apparaissent à la fin de la Révolution culturelle, et s'émancipent de leurs devoir politiques pour enfin profiter d'une société confiante et apaisée, et enfin profiter de leurs corps, de leurs sentiments tout en appelant à un examen de conscience et à un retour à la réalité.
 
 
4. 1980/2000 Catégorie III – Des actrices entre extase et souffrance par Arnaud LANUQUE
Les années 1980 et 1990 marquent l'apparition à Hong Kong d'un mouvement cinématographique à part : la catégorie III. Films violents et/ou à caractère sexuel, les actrices jouent un grand rôle dans la popularité de ces oeuvres. Si quelques unes connaissent la gloire grâce à des rôles où la nudité est leur principale qualité, d'autres vont connaître l'enfer, celles des médias et d'une société qui ne tolère qu'à son bon vouloir une telle dépravation. Pourtant des actrices telles SHU Qi profiteront de ces années pour converger leur popularité naissante avec un nouveau départ dans le cinéma...
 
 
5. 1990/aujourd'hui– Les actrices de WONG Kar-wai par Damien PACCELLIERI
Réalisateur désormais connu de tous, ancien président du Festival de Cannes, WONG Kar-wai n'a cessé durant toute sa carrière de mettre en valeurs ses actrices, de les lover dans un romantisme rare et de les voir s'épanouir ou se détruire au contact de l'être aimé. Il a lancé, confirmé ou sublimé la carrière de toutes les actrices qui sont passés sous sa direction : Faye WONG, ZHANG Ziyi, Maggie CHEUNG, Brigitte LIN, Carina LAU, GONG Li et bien d'autres...
Accompagné d'une douzaine de photographies rares, voire inexploitées, ce sujet est autant photographique que cinématographique.
 
 
6. 1990/aujourd'hui – ZHAO Tao, Singularités d'une femme chinoise en cinq actes par Antony FIANT
Elle est l'une des actrices emblématiques du cinéma indépendant chinois des années 1 990 et du début des années 2000. ZHAO Tao combine toutes les formes de
féminités chinoises en proie à une urbanité de plus en plus forte en Chine. Celle qui n'aura tourné pour le moment qu'avec le cinéaste JIA Zhang-ke est certainement le meilleur prisme pour découvrir la condition féminine d'aujourd'hui, de la petite ville aux plus grandes métropoles.
L'article est accompagné d'un entretien exclusif de l'actrice réalisé au Festival de Cannes 2010 par Bastian MEIRESONNE.
 
 
7. 2000/aujourd'hui – Actrices et jeunesse - cheminements vers l'âge adulte par Damien PACCELLIERI
Les adolescentes ont eu de tout temps une importance rare dans le cinéma chinois puisqu'elles furent et sont encore les témoins fragiles des évolutions sociologiques de la Chine. Dans un âge où tout se joue (identité, politique, maturité, féminité...), elles sont les actrices et spectatrices d'un monde qui tourne à très grande vitesse. De la campagne à la ville, cet article revient sur les principales actrices et les rôles qui ont incarné la jeunesse chinoise de ces vingt à dix dernières années.
 
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PRIX: 22 EUR

J'ai finalement vu 아저씨 (The Man from Nowhere), ça faisait depuis avoir vu la bande annonce en salles durant l'été que j'attendais l'occasion...

Bien que pas très original, il est très réussi. L'acteur principal (Won Bin) n'est pas reconnaissable comparé à ses précédents rôles dans Mother et Taegukgi (j'ai pas vu ses autres films), son personnage est ici tellement badass qu'il fait passer Lee Byung-hun dans Bittersweet Life ou même I Saw the Devil pour un rigolo.

Je regarde sympathy for my vengeance là, c n'importe quoi

ayé sympathy for Lady vengeance. Nettement meilleur que le premier, mais old boy est plus intense et moins funcky. Avoir tout de même !

De plus l'OST est joli !

 
   cette trilogie est vraiment sympa a regarder , et de belles musiques qui colle bien à l'ambiance de chaque film....(me souvient que j'avais mit la meme sonnerie sur mon portable, de la petite melodie de "Old Boy"....)
 

J'ai aussi l'OST de old boy , c'est vrai

ça veut dire quoi badass? parce que je l'ai trouvé très bon en justicier violent
 
won bin est    c'est dommage qu'il ne parle pas plus dans ses films, soit il fait le teubé...soit il fait le demi teubé
m'enfin il a pas beaucoup de répliques quoi
y'a beaucoup de sang, ça gicle beaucoup et la fin est    
la petite fille joue très bien

http://www.urbandictionary.com/define.php?term=badass

Si t'aimes won bin tu peux regarder friends. C'est un mini drama en 4 épisodes.

ok le badguy quoi
 

je l'ai vu mais en accélèré, j'en pouvais plus, entre l'une qui parlait japonais et l'autre coréen, et même là, je trouvais que la nana parlait plus que lui...mais j'ai trouvé le drama mimi
et pour guns and talk, je l'ai meme pas fini, pour un second role, il fait toujours le role du naif qui parle pas et qui fait teubé

My wife is a gangster 2 & 3 sur la freebox car ya plein de chaines gratos en ce moment.
Plutôt surpris car c'était plutôt drôle et réussi et une charmante shu qi dans le n°3
 
huhu : http://www.oonly.com/video/q31npPp [...] For_A_Ride

 
Parlant de Shu Qi, j'ai vu Jing Mo Fung Wan: Chen Zhen (Legend of the Fist: return of Chen Zhen) avec Donnie Yen...
 
Le film est moyen, très moyen.  L'histoire est toujours la même: Chen Zhen (Donnie), mains nues contre une armée de japonais dont le grand méchant est bien sûr un expert en karaté. Une chance qu'il y a Shu Qi, toute mignone en Mata Hari japonaise déguisée en chanteuse de cabaret chinoise.  Vous voyez le style.
...
 
Vu aussi Man from Nowhere déjà mentionné.
 
Eh ben, j'aime bien le film et ses combats à coups de canifs.  J'aime aussi les deux-trois méchants: les deux frères avec leur sale geule et leur homme de main qui est finalement pas si méchant que ça.  Par contre je trouve que Won Bin n'est pas fait pour le rôle, un peu trop jeune peut-être.
 
...
 

 
Un autre film que j'ai bien aimé: Gôruden Suranbâ (Golden Slumber).

Legend of the Fist: return of Chen Zhen : Ca cest clair que cest tres moyen, j'ai accéléré mais rien à faire, je n'ai pas fini.
 
Par contre, en parlant de ça, The Legend Is Born - Ip Man est une excellente surprise avec Yuen Biao, Samo et le propre fils de Ip Man. J'en attendais pas tant et avec Gallants, c'est les deux films d'arts martiaux de 2010.

 
Tout à fait d'accord pour The Legend is Born qui est très bien.  Comme quoi, même sans Donnie Yen, du moment où le scénario et la mise en scène tiennent la route...

Encore un Ip Man
 

très bon le dernier kitano ...  real sobre,une ambiance proche des films de gangsters ricain des années 50
 
le "beat" en second plan dans celui ci,sinon acteurs excellent et ja'p au émotions toujours a Fleur de Peau  
 
excellent
 

Ip Man c'est le personnage à la monde en ce moment

Ip Man (2008) => Très bon
Ip Man 2: Legend of the Grandmaster (2010) => Très moyen
Yip Man chinchyun aka The Legend is Born - Ip Man (2010) => apparement pas trop mal d'après les retours de beleg et ftikai
Yut doi jung si aka The Grandmasters (2011) => en tournage

Mais il y a un film qui parle de l'apprentissage à Bruce Lee. Car depuis le début on nous sort Ip Man l'histoire de maitre de Bruce Lee, mais pour l'instant on a vu que dalle.

Ma copine m'a fait regarder The Soong Sisters, Chiang Kai-shek en prend pour son grade, pas toujours de manière très objective apparemment, mais le film reste historiquement très intéressant.

J'ai maté une interview de lui. le présentateur le charrie sur ça http://www.youtube.com/watch?v=O6o-RqO33mY#t=2m50s
 
En fait il a pas l'air de parler beaucoup même en vrai

c'est pas grave je parlerais pour deux

Merde à ce prix là j'aurais acheté direct
Faut esperer qu'Amazon en rechoppe une caisse et qu'ils gardent le même prix.

edit : a mon avis c'était une erreur de prix.

YES !!
Je l'ai trouvé ! Infernal affairs trilogy bluray UK à 30 livres (hors FDP)
http://hmv.com/hmvweb/simpleMultiS [...] rimaryID=0
 
Par contre je ne connais pas ce site.
 
edit : oh pinaise les tarifs !! Ip man à 7 livres !

 
Vu hier soir.
Tres bon film de yakuza et de leur organisation tres structuré (j'ai eu un peu de mal a suivre entre les differents clans, les hierarchies de chacun qui changeant sans cesse....) mais au final une bonne impression.
c'est du Kitano quoi  

 
HMV est une grande chaîne de magasins de disques de musique, de dvd, etc.   Il est très présent dans les pays anglo-saxon, un peu comme Virgin.  Il y a justement un grand HMV près chez moi, à Montréal.

vous avez des bons films de yakuza a me recommander?
Le genre de film qui explique un petit peu les rouages d une organisation yakuza.

 
On parlait justement de Outrage de Kitano qui pourrait être un bon exemple de film yakuza (courbettes, bastonnades et coupages de petits doights).

 
oui mais comme je l ai dit plus haut, je l ai vu hier soir  

Il y a Election 1 et 2, tu peux trouver le coffret pas cher. Moi qui ai vu des tonnes de fils de Yakuza, j'ai découvert que les Yakuzas votaient pour elire leur grand chef.