[quotemsg=10230344,1,500975]Tout d'abord Bonjour à vous tous et Bonne fêtes de fin d'année et Bonne année à venir !!
[...]une autre Dompteuse de Dragons . L'histoire est donc en train de se repeter et Notre jaune Heros devra faire face a de grands dangers.
Voila pour la trame de fond de l'histoire je n'en dis pa plus bien sur sinon ce serai gacher le spectacle surtout que le tome 1 est presque bientot fini ^^[/i]
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J'aime bien le jaune héros.
J'aurais bien quelques questions à te poser sur ta trame. Dont une série de Pourquoi.
Par exemple : Pourquoi ton héros reprend-il la quête de son père ?
Pourquoi après tout ce temps.
Cependant, comme tu en es à la fin du premier tome, alors tu dois terminer avant que le flot des questions n'arrive.
Non, ce site n'est pas fiable pour les (c).
Tu donnes ton texte à lire sur un forum public, c'est comme si tu le criais en place publique.
Mais bon, c'est un réflexe de jeune auteur.
Le jeune auteur pense qu'il écrit quelque chose de magnifique, auquel personne n'a jamais pensé avant lui.
Il imagine qu'un autre auteur va lui voler son texte, sans savoir qu'un auteur – disons - plus avancé a déjà devant lui toute une série d'idées (en général plusieurs cahiers ou Mo) et qu'il n'aura jamais le temps de toutes les traiter.
Et si ça arrive vraiment, alors les deux histoires n'auront rien en commun, parce que chaque auteur traite un thème suivant sa propre orientation. Et un auteur peut participer sans crainte à une thématique, même avec des passages obligés.
Au cas exceptionnel où ça arriverait malgré tout, le voleur serait vite repéré, à cause justement de cette publication sur le Net. C'est bavard le Net, pour qui sait chercher.
Citation :
Enssuite ^^ Y a t'il un moyen de faire éditer son livre pour le grand public car mon reve est de voir mon livre quand je vais faire les magasin a la fnac et autre =) - Je souhaiterai également sortir 2 editions differente de mon livre une pour ma familleet une pour des amis de jeu qui désire en avoir un a l'effigie de elur guilde ^^ Par ou faut il passer et faut il venir avec la couverture etc ... ?
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Il faut passer par la case gros sous.
En payant, un imprimeur, tu obtiendras ce que tu veux.
Maintenant, avant de publier pour le grand public, il te faudra écrire
La totalité de ton roman.
La réécrire encore de une à cinquante fois.
Et la poster, et la reposter aux éditeurs. Donc t'intéresser à ce qu'ils éditent pour ne pas tenter de placer un roman d'Héroïque Fantasy chez un éditeur de polar.
Tu auras alors une seule édition, car un illustrateur ça se paie. Et tu auras du bol si tu peux ne serait-ce que voir l'illustration avant la parution du livre.
Si le grand public n'est pas ta réelle motivation. En passant par un imprimeur, éditeur Internet pour une impression "à la demande", tu pourras obtenir différentes couvertures.
Tu peux aussi photocopier tes livres.
Citation :
Et puis dernieres question voici un extrait de mon roman je souhaiterai savoir si le debut est accrochant ou pas ? car le plus important dans un livre c'est les premiere page. Pour ma part si au bout de la premiere page je n'accroche pas je persiste pas je ferme le livre et j'en ouvre un autre aussi les premieres phrases sont elles primordiales.
J'ai deja fais lire des partis a mon fiancé et a ma grand mere mais ce sont des avis un peu trop proche et qui ne seront pas necessairement critique et les " Oui c'est super !!!!!" familiales je trouve cela gentil mais pas trés instructifs ^^
merci à l'avance pour vos réponses ^^
Ps pardonnez si vous trouvez beaucoup de fautes j'ai fait lemaximum pour corriger le texte ...
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Corrige aussi ta lettre à l'éditeur lorsque tu seras prête.
Mais ça viendra avec de bons relecteurs.
Citation :
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Chapitre 1 ¤¤ La marque de Mordreka ¤¤
Tout était calme, le soleil réchauffait de ses rayons ardents, les montagnes
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Tout était calme
Mouais, ce n'est pas du tout ce que tu donnes à lire par la suite.
Réchauffait, rayons ardents, faisait danser, allure d'une mer secouée et soulevée... c'est un calme de montagnes russes ;-)
Le verbe être est aussi un rien faible.
Essaie : tout frissonnait.
Citation :
verdoyantes, le vent frais faisait danser les champs, leurs donnant l’allure d’une mer sans cesse secouée et soulevée. Les hommes vivaient en paix depuis l’arrêt des guerres, ils cultivaient leurs céréales et extrayaient de la terre une roche précieuse qu’ils offraient aux quatre déesses régissant leur monde. Ils étaient de simples hommes, sans particularités, des gens comme vous et moi.
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intervention de l'auteur (ou du narrateur) qui se montre dans le texte
des gens comme vous et moi.
A voir si ce genre d'intervention est vraiment intéressante (se montre vraiment intéressante) par la suite.
Citation :
Lors d’un après midi particulièrement désagréable en raison de la pluie, un homme et son fils étaient resté dehors afin de ranger dans la grange tous ce qui traînait à l’extérieur. La pluie tombait de plus en plus violemment, le tonnerre criait et le vent faisait hurler les murs en bois de la vieille bâtisse .
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Là encore, on est loin du "calme" évoqué plus haut.
Répétition d'homme.
Ce qui montre l'auteur débutant.
Je te renvoie à ce topic pour l'importance du nom
http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] 5273_1.htm
et le vent faisait hurler les murs en bois de la vieille bâtisse.
Encore un verbe faire (trop de fer nuit au texte)
Et le vent hurlait entre les murs en bois de la vieille bâtisse.
Citation :
Le père se tenait à l’étage et couvrait les céréales de façon à ce qu’il ne prennent pas le pluie, les mettant dans les sacs et les couvrant de bâches.
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couvrait, couvrant (répétition)
beaucoup de mots pour dire que le père SamSam couvrait les céréales avec des bâches...
Et encore, en toute logique, on se demande pourquoi il couvre des céréales à l'intérieur d'une grange. Celles dehors, ok, mais à l'intérieur d'une grange ?
On peut encore se poser la question : pourquoi maintenant ?
Là, il faudrait dire que la récolte est fraîche, donc il est logique d'emballer les céréales.
Plus intéressant : il emballe des céréales pour une prochaine livraison à la ville (on introduit un mouvement futur, le lecteur s'attend alors à du mouvement dans le texte)
Citation :
Pendant ce temps son fils s’affairait à ranger les outils. Le vent soufflait avec fureur, jamais il n’avait été aussi violent ! Une bourrasque soudain s’engouffra dans la grange, l’enfant surprit par le souffle glacial cessa net son activité et se tourna vers la fenêtre la plus proche.
Son corps se figea, ses mains se glacèrent, il n’entendait autour de lui qu’un murmure indistinct lui déchirant le cœur. Son père était toujours à l’étage, il n’entendait rien, seulement le bruit de la pluie et du tonnerre. L’enfant terrorisé par ce qui lui arrivait ne pouvait néanmoins pousser aucun cri, et pourtant, il aurait tant aimer expulser cette frayeur qui lui nouait la gorge. Mais rien ! Nul son ne sortait de sa bouche. Le murmure au départ plutôt doux, ce fit plus fort pour ce transformer en cri. Le cerveau prêt à éclater l’enfant réussit à bouger les bras pour en enlacer sa
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l'enfant, l'enfant...
Problème du nom.
Citation :
tête, dans un effort suprême il se recula violemment. Sa tête lui faisait atrocement mal, l’envie de pleurer le submergea soudain, mais les larmes ne pouvaient atteindre le bord de ses yeux, il tenta à nouveau de pousser un cri ; en vain. Le vent cessa avec le retour de la mobilité de l’enfant, le ciel retrouva sa clarté, les nuages reprirent leur course dans le ciel, tout était redevenu normal.
-Arion! L’enfant se retourna puis vit sont père derrière lui. Que s’était il passé ? Il
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Voilà ton nom.
Utilise-le plus haut.
Citation :
semblait terrorisé, bouleversé par ce qu’il venait d’entendre -Qu’est ce qu’il y a ? L’interrogea sont père, tu es tout pâle.
-Il n’y a rien papa, c’est juste que le vent faisait un drôle de bruit en passant par les trous de la grange.
-Allons! Lui dit sont père en lui posant la main sur l’épaule, ce n’est pas la première fois que tu entends le vent ?
Arion était un petit garçon à peine âgé de dix ans, ses cheveux étaient châtain clair et cours ; ses yeux marrons et il était vêtu d’un large pantalon qu’il rentrait dans ses bottes et portait également une tunique, l’ensemble était de cuir brun.
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quatre était.
Tu as là une description statique.
Il te faut lui rajouter du mouvement, de l'intérêt, donc du verbe.
-Allons! lui dit son père en lui posant la main sur l’épaule, ce n’est pas la première fois que tu entends le vent ? Et tu as peur ?
Arion grinça des dents. Il avait dix ans dans moins d'une lune et se comportait encore comme un petit.
- J'ai été surpris par le tonnerre, père, dit-il en rivant ses yeux marrons foncés dans ceux de son père. Cela ne se reproduira plus !
- C'est certain, mon fils, sourit SamSam.
L'homme caressa les cheveux châtains de son fils, et le poussa vers un sac de blé.
- Fais attention à ton pantalon, et ne mets pas de grain dans tes bottes...
- Et ne crotte pas ta tunique ! renchérit Arion en imitant la voix de sa mère.
Les deux hommes se regardèrent un court instant, avant d'éclater de rire.
- Dépêchons-nous quand même ! elle nous attend pour manger.
Arion récupéra son sac et recommença à le remplir, sous le regard soucieux de son père. Son fils était trop solitaire, trop indépendant, qui pouvait-il donc rencontrer dans les bois... il serait bientôt en âge d'être un homme. Il devait se mêler un peu plus aux jeunes du village.
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Ici, on ne lit plus une description statique,
On voit ce qu'ils font. Arion est décrit par son père pour une partie de ses activités.
Et on prépare la suite : le déplacement de la scène vers la mère.
Après la peur, le rire... pour contraster la situation.
L'homme a des soucis, le fils aussi.
On ajoute des relations entre eux, une sorte de complicité de travailleurs.
Arion n'est pas tout seul dans ce monde, et le monde ne gravite pas autour de lui. Chaque personnage a des espoirs, des buts et des pensées.
C'est à rajouter dans la réécriture.
Citation :
Il était d’un naturel solitaire, indépendant et aimait marcher seul dans les vastes bois entourant son village. Son père l’appela de l’entré de la grange et lui fit signe de rentrer à la maison. Le ciel redevenu clément était percé par les rayons du soleil, le vent avait cessé d’être violent et jetait de nouveau son fin souffle sur les mers de céréales. Arion n’y comprenait plus rien. Pourquoi le vent lui avait il parlé ? Que signifiait ce qu’il lui avait dit, ce mot, telle une plainte lui était parvenu avec violence : Ketlais.
[...]
Il s’avança dans les bois, marchant d’un pas lent vers la rivière, sa main lui faisait atrocement mal, mais cela ne l’arrêta pas. Il marchait, marchait. Ce chemin qui d’habitude était extrêmement rapide à parcourir semblait durer une éternité. Il arriva enfin à la rivière. L’eau était turquoise, les rochers humides étaient recouverts d’une fine couche de plantes d’eau douce. Le bruit que faisait l’eau sur les galets ne pouvait être interrompu, toute la forêt écoutait le chant de la rivière. La lune se mirait en elle, Arion s’y avança puis posa sa main douloureuse sur la surface de l’eau.
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Bien. Encore beaucoup de faire et d'être dans cette dernière partie.
Mais là, c'est à toi de jouer et de les éliminer lors de ta propre réécriture.
La mienne n'est là qu'à titre d'un exemple de ce qu'il est possible de faire (d'écrire)
Il y a de l'idée dans ton récit.
De l'idée à affiner par une réécriture.
Mais ce n'est que mon avis.
L'Amibe_R Nard