Le dernier chapitre du Petit traité des grandes vertus de Comte-Sponville.
On ne rit pas. La réflexion est assez limitée mais, en cent pages, c'est ama une bonne présentation générale des grandes références et des grands axes problématiques.
En plus costaud, Le Phénomène érotique de Jean-luc Marion.
Sinon, ama, le chapitre sur l'amour de Schopie est bourré de préjugés sortis d'on ne sait où, mais dans l'idée directrice, c'est un bon contre-poids à une vision romantique de l'amour.