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Mais la véritable information de cet entretien, c’est que Steevy termine un roman. Mieux, «un thriller géopolitique». Et de livrer le pitch en exclu aux journalistes de «Voici». «Tout commence avec Arthur, le futur roi d’Angleterre qui a mal au cou parce que son père Edouard IX, Terry Hapson, le Premier ministre et Robert Waley, le chef du MI6, lui ont implanté une puce pour le localiser, en cas d’attentat ou d’enlèvement. Or, peu de temps après, Moscou est rayé de la carte: 11 millions de morts quand même ! Et...»
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