Au fur et à mesure des tomes, on a bcp d'éléments sur la folie de Peter, et la prise de conscience du capitaine sur qui il(s) est (sont) entame en quelque sorte le réveil du lecteur, on prend de la distance avec le songe de Peter pour voir la réalité : la folie...
C'est ça qui est dur en fait, tout au long des albums, on se laisse emporté par une reverie, alors même que l'on sait dés le départ qu'il y a quelque chose qui cloche, une grande violence sous jacente (c.f. la fin du tome 1... ). Mais on préfère croire au merveilleux...