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avis pour début de roman

n°7921924
florys
Posté le 17-03-2006 à 18:45:23  profilanswer
 

bonjour à tous,
donc voila, j'ai toujours été fan de lecture et depuis peu j'ai voulu commencer une histoire, je sais que ce n'est pas un chef d'oeuvre, et vu  que je suis assez jeune que ce n'est pas pour les rayons adultes. Mais j'ai vu dans d'autres sujets, que bous aidiez, comme des problèmes de phrases, fautes....
C'est pourquoi je vous demande si vous pouvez me donner votre avis sur ce début de roman de fantasy. Dites moi tout ce qui ne va pas(ou ce qui va lol)Je n'ai aps peur que vous me dites la vérité comme quoi c'est bof et tout, mais au moins ça me fera avancé!!
merci d'avance
 
Grade était un petit village d'Isil, entouré par des forêts et des contrées hostiles. Une vaste étendue d’arbres, de champs et de montagnes séparaient Grade des autres villes. La plus proche étant Kalyste, se situant à trois jours de marche. Trois cent cinquante-sept personnes habitaient dans ces maisons aux toits bas faits de chaume et construites par de gros rondins de bois, du moins bientôt 358 puisque M. et Mme Celbinde attendaient un heureux évènement. Grade se constituait d'une rue principale et de quelques rues adjacentes, d'où son surnom: Grade Le Minime.
 
L'église du petit village sonnait minuit et tout était silencieux. La lune déjà haute dans le ciel éclairait quelques habitations, le reste du village étant plongé dans le pénombre. Un petit vent venant de l'est soufflait doucement dans les rideaux de la ferme, qui était à l'écart du village. Le vent passait par la fenêtre ouverte, du premier étage, et venait rafraîchir la jeune demoiselle blonde qui bougeait sans arrêts dans son lit.
   - Bonsoir maître, contente de vous revoir, dit-elle à voix haute en se retournant une nouvelle fois  
 La bougie qu'elle avait laissée allumé éclairait son visage en sueur. C'était une jolie jeune fille aux traits fins et délicats, sa bouche finement dessinée esquissa un sourire quand elle reparla à voix haute
   - Comment ? Ryll est rentré? Mais c'est magnifique, moi qui ne l'avais pas vu depuis si longtemps  
Elle se retourna encore une fois sur son matelas qui était posé, à même le sol, dans un coin de la petite pièce aux murs blancs.
   -Maître, quand allez vous me prendre comme apprentis ? Cela fait un an que je viens vous voir presque tous les jours pour apprendre à lire. Au tout début que l’on se voyait vous m’aviez promis que vous me prendriez comme apprenti. Maintenant je sais lire et même écrire et la seule chose que je fais dans mes journées c’est creuser des trous, réparer la toiture de la ferme, m’occuper des animaux, récolter les légumes.. Et j’en passe ! Je ne suis toujours pas devenus votre apprentis. Je sais que ce n’est pas bien de demander, ma tante me l’a assez répété, mais je vous le répète quand même je veux devenir votre apprenti !  
A cet instant l’adolescente se réveilla en sursaut, essoufflée. Elle s’assit sur son matelas pour reprendre son souffle et se massa les tempes.
« Cette migraine est encore revenu ! Cela fait un mal de tigre, pensa- t-elle. » Elle décida de se lever et s’approcha de sa gourde qui traînait sur la table près de la porte d’entrée de sa chambre. La jeune fille but une longue gorgée d’eau puis se rafraîchit le visage. Elle se demanda alors l’heure qu’il était et alla donc rejoindre sa fenêtre qui était resté ouverte. En passant sa tête par l’ouverture, le vent lui caressa le visage, s’engouffra dans ces longs cheveux, d’un blond foncé.  Ses yeux d’un bleu océan se dirigèrent vers l’église du village.
« Minuit et demi, déjà ! Je suis en retard ! Tant pis au lieu de courir avant l’entraînement, j’irais courir un peu après. D’ici là, il me reste une demi-heure avant mon rendez-vous » Elle remarqua alors qu’elle était chemise de nuit et décida de s’habiller rapidement pour partir plus vite. Elle enfila donc en toute hâte un vieux  pantalon, usé sur les bords avec une des poches arrachées, et une chemise qu’elle avait prise à son oncle où il manquait un bouton. Puis la jeune fille pris un sac en toile marron et elle y mit sa gourde d’eau et quelques affaires. La voilà enfin prête.
 La demoiselle passa sa jambe par la fenêtre  et se retrouva à cheval dessus, une de ses jambes dans le vide, l’autre encore dans sa chambre. Elle passa alors cette dernière par la fenêtre et s’agrippant de toutes ses forces à son cadre, elle descendit lentement avec la force de ses bras. Puis lâchant le bord de la fenêtre, elle tomba sur le sol qui se reçut aisément, tel un félin. La fille prit un prit un ruban dans sa poche et noua ses longs cheveux blonds afin de bien dégager son visage. Alors, se dirigeant vers les routes désertes de Grade, elle commença à courir tranquillement avec son sac sur le dos.
 Après avoir traverser la rue principale, elle se dirigea vers la forêt en passant par quelques champs et contrées magnifiques. Quand la jeune fille courrait, son esprit se vidait. Elle adorait ce sentiment de bien être de plénitude, comme si tout était possible même les choses les plus invraisemblables. Quand elle courrait, elle regardait d’un autre œil ses problèmes où les oubliait. De plus courir, était comme pour elle un défi car dans ces moments là, elle pouvait se surpasser, donner le meilleur d’elle-même.
 Après cette demi-heure à la fois de défi et de bien être, elle commençait à sentir ses jambes devenir lourdes. Sa cheville lui faisait mal depuis qu’elle se l’était tordue en trébuchant sur une racine. La douleur s’intensifiait au fur et à mesure qu’elle s’approchait de Grade.
 Elle aperçut enfin le petit village. Courant lentement afin de ménager sa cheville, elle se dirigea vers le côté opposé de là où se situait  la ferme. La jeune fille s’arrêta alors devant la porte d’une maison semblable à toute les autres du village. Elle frappa trois fois à la porte et attendit que l’on vienne lui ouvrir.
 Un homme d’une quarantaine d’année vint lui ouvrir. Ses cheveux mi-long d’un blanc argenté étaient retenus par un ruban en queue de cheval. Il passa ses doigts dans sa barbe d’une semaine et dit :
-Ah ! Te voilà Florys, tu as trois minutes de retard, si ça continue je ne t’apprendrais plus rien.
Florys resta impassible à la remarque de son maître. Tiloé était un homme très pointilleux et trouvait toujours qu’une personne avait du retard.
 Un jour, Florys avait essayé d’arriver avant l’heure pour que son maître ne lui fasse pas sa remarque habituelle. Elle était arriver une bonne minute en avance et après avoir frapper à la porte elle avait dû attendre que l’on vienne lui ouvrir. Tiloé avait alors pris tout son temps pour venir lui ouvrir et avait encore une fois dit : « Ah ! Te voilà Florys, tu as dix secondes de retard, si ça continue je ne t’apprendrais plus rien ! » L’adolescente avait donc désespéré d’arriver en avance où à l’heure pour recevoir un compliment sur sa ponctualité, car son  maître l’aurait alors fait s’impatienter devant la porte. Florys prenait donc sa remarque comme un « bienvenue » où encore « je t’attendais »
-Bonsoir maître, contente de vous revoir répondit-elle en boitillant à l’intérieur de la maison.
 Elle s’arrêta dans une pièce qui devait être la salle à manger puisqu’on y trouvait une petite table en bois, grossièrement taillée, ainsi que trois chaises, en mauvais état. Florys alla directement vers une des chaises et s’assit lourdement.
-Tu n’as pas l’air dans ton état habituel, fit remarquer Tiloé d’un œil d’expert. Je dirais à vue d’œil, vu comment tu boitilles, une foulure.
La jeune fille releva le bas de son pantalon au-dessus de son genou et avoua :
-Oui maître, en courant pour arriver j’ai trébuché sur une racine et je me suis tordu la cheville. Après quelques minutes, j’ai senti que ma bottine, en plus de la douleur, me serrait. J’en ai donc déduit que ma cheville avait enflé.
Elle accompagna la parole au geste en retirant sa bottine et l’on pouvait voir une cheville qui faisait deux fois sa taille normale.  
 Tiloé alla s’asseoir sur une autre chaise, en face de son élève et dit :
-Bon, pour ce que j’avais prévu ce soir je pense que c’est tombé dans la mer. Tu étais censé travailler tes déplacements de jambes autour de moi et après on aurait pu commencer à manier le bâton.
 Florys parut déçue, elle avait toujours espéré apprendre à se battre. Avec son maître elle avait appris à lire, à écrire, à se relaxer et à donner des coups à mains nues. « Mais seulement pour de l’autodéfense » avait précisé Tiloé. Et voilà que le jour où elle allait enfin commencer à apprendre à manier le bâton, elle était dans l’incapacité de le faire à cause de sa cheville.
-Je sais que tu aurais aimé commencer aujourd’hui, fit-il en remarquant sa mine déconfite. Mais je ne veux pas te blesser plus que tu ne l’es déjà. Surtout que si tout va bien tu seras remise dans une semaine, alors que si tu te faisais une entorse, un long temps de repos t’attendra.
-Alors, qu’allons nous faire aujourd’hui maître ?
Tiloé se leva de sa chaise et fit les cent pas dans la petite pièce. :
-Je sais que tu n’as jamais aimé étudier, que tu préfère de loin e qui est physique, mais sache qu’une tête bien remplie est mieux que de savoir manier l’épée ! Surtout que dans la vie de tous les jours, tu n’as aucunement besoin de te battre à l’épée ! Sauf bien sur si tu décides de quitter le village et de partir quérir l’aventure à la recherche d’un quelconque trésor ou autres choses. Dans ces moments là, vu les malheurs qui te tomberont dessus, mieux vaut savoir te battre. De plus tu sais….
 Florys écoutait d’une oreille distraite, elle réfléchissait plutôt à son avenir. Elle n’avait pas encore choisi la route qu’elle suivrait bientôt. Préférait-elle rester à la ferme et s’occuper d’animaux toute sa vie? Où alors de partir à l’aventure voir le bout d’Isil ? Elle ne savait pas. Surtout qu’il y a dix ans, son oncle lui avait appris qu’elle avait été abandonnée, puis recueillie par la sœur de son –soi disant – père, ainsi que son mari, quand elle était encore qu’un bébé. Depuis, elle avait décidé que, quand elle atteindrait l’âge de femme elle partirait à la recherche de ses parents, s’ils sont encore vivants, où alors à la recherche des réponses aux questions qu’elle se pose. «Pourquoi m’ont-ils abandonnés ? Quel était cet homme qui était venu m’amener chez ma tante quand j’avais deux mois?Mon fort caractère, vient-il de ma mère ou de mon père ? D’où viens-je ? Mon père est-il vraiment le frère de Ava ? Qui était ma mère ? Ava m’avait toujours parlé de mon père, en bien, mais n’avait jamais évoqué de femme. Elle m’a même dit qu’elle avait été surprise d’apprendre mon existence ainsi que mon abandon, par cet homme si sensible. »Voilà donc seize ans qu’elle vivait chez sa tante et son mari. Dans exactement huit mois et trois jours Florys deviendra une femme, elle pourra alors se marier, et ne sera plus sous l’autorité de ses tuteurs. C’était une des lois d’Isil, quand une jeune femme où un jeune homme atteint ses dix-sept, ses parents où tuteurs ne peuvent plus s’opposer à ces choix de vie, juste l’aider à choisir la bonne route.
 Elle était encore dans ses pensées quand son maître lui passa une main devant les yeux.
-Tu m’écoutes j’espère. Voilà cinq minutes que je te parle, et je ne suis même pas sur que tu es retenu un seul mot !
Tiloé avait un ton de reproche dans la voix. La jeune fille le regarda fixement et avec un sourire elle lui répondit :
-Maître, dites-moi !! Dites-moi que Ryll est revenu et qu’en ce moment même, il est dans sa chambre en train de ranger ses affaires.
Tiloé parut surpris et dans son habitude, quand il ne comprend plus, il garde la bouche entrouverte sans prononcer un mot. Après avoir remis ces pensées en place il demanda à son élève, qui le surprenait tous les jours :
-Tu as refait tes rêves ? Pourtant tu m’avais dis que c’était fini !
-Je le pensais aussi maître, jusqu’à cette nuit où j’ai rêvé que vous m’annonciez la nouvelle après votre discours sur le fait que la tête pleine était le plus important, ce dont j’ai retenu et presque au mot près. Ensuite vous m’avez laissé le voir et je me suis réveillée avant même de l’avoir vu en rêve.
 Tiloé se rassit l’air perplexe, les problèmes recommençaient si c’était ce qu’il croyait.
-C’était bien ton troisième rêve, de la sorte, où tu vois ce qui va se passer ?
La jeune fille acquiesça.
-Cela devient étrange, je vais aller demander conseil auprès de personnes plus compétentes que  
 

mood
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Posté le 17-03-2006 à 18:45:23  profilanswer
 

n°7923699
Profil sup​primé
Posté le 17-03-2006 à 22:18:23  answer
 

florys a écrit :


Voici mes quelques commentaires qui porteront plus sur la forme que sur le fond car je n'aime pas l'heroïc-fantasy.
 
Grade était un petit village d'Isil, entouré par des forêts et des contrées hostiles. Une vaste étendue d’arbres, de champs et de montagnes séparaient Grade des autres villes. La plus proche étant Kalyste, se situant à trois jours de marche. Trois cent cinquante-sept personnes habitaient dans ces maisons aux toits bas faits de chaume et construites par de gros rondins de bois, du moins bientôt 358 puisque M. et Mme Celbinde attendaient un heureux évènement. Grade se constituait d'une rue principale et de quelques rues adjacentes, d'où son surnom: Grade Le Minime.
J'ai trouvé ce passage trop indigeste. Tu nous balances des informations sur la région dès le début sans action, ni "enrobage". Essaye de mieux le diluer dans le récit. J'ai eu l'impression de lire une encyclopédie géographique.
 
   -Maître, quand allez vous me prendre comme apprentis ? Cela fait un an que je viens vous voir presque tous les jours pour apprendre à lire. Au tout début que l’on se voyait vous m’aviez promis que vous me prendriez comme apprenti. Maintenant je sais lire et même écrire et la seule chose que je fais dans mes journées c’est creuser des trous, réparer la toiture de la ferme, m’occuper des animaux, récolter les légumes.. Et j’en passe ! Je ne suis toujours pas devenus votre apprentis. Je sais que ce n’est pas bien de demander, ma tante me l’a assez répété, mais je vous le répète (pas top la répétition) quand même je veux devenir votre apprenti !  
 
« Cette migraine est encore revenu ! Cela fait un mal de tigre :??: (tu veux dire mal de chien), pensa- t-elle.  
« Minuit et demi, déjà ! Je suis en retard ! Tant pis au lieu de courir avant l’entraînement, j’irais courir un peu après. D’ici là, il me reste une demi-heure avant mon rendez-vous » Ici, ça me semble un peu cul-cul sur les bords. Ce serait mieux qu'elle le pense. Et encore... A mon avis, décris le plutôt que de mettre une parole. Elle remarqua alors qu’elle était en chemise de nuit et décida de s’habiller rapidement pour partir plus vite.  La voilà enfin prête.Superflu
  Puis lâchant le bord de la fenêtre, elle tomba sur le sol qui se reçut aisément, tel un félin. :??: C'est le sol qui se reçoit ? La fille prit un prit un ruban dans sa poche et noua ses longs cheveux blonds afin de bien dégager son visage. Alors, se dirigeant vers les routes désertes de Grade, elle commença à courir tranquillement avec son sac sur le dos.
 Après avoir traverser la rue principale, elle se dirigea vers la forêt en passant par quelques champs et contrées (contrées me semble peu adaptées à la situation. Ce mot signifie, pour moi, un immense territoire, un pays entier. Pas des paysages où l'on fait une promenade.) magnifiques. Quand la jeune fille courrait, son esprit se vidait. Elle adorait ce sentiment de bien être de plénitude, comme si tout était possible même les choses les plus invraisemblables. Quand elle courrait, elle regardait d’un autre œil ses problèmes où les oubliait.  
  Elle aperçut enfin le petit village. Courant lentement (Pour moi, marcher serait plus intelligent) afin de ménager sa cheville, elle se dirigea vers le côté opposé de là où se situait  la ferme (il faudra réécrire la phrase, car ce n'est pas clair). La jeune fille s’arrêta alors devant la porte d’une maison semblable à toute les autres du village. Elle frappa trois fois à la porte et attendit que l’on vienne lui ouvrir.
 
  L’adolescente avait donc désespéré d’arriver en avance où (ou) à l’heure pour recevoir un compliment sur sa ponctualité, car son  maître l’aurait alors fait s’impatienter devant la porte.  
 
-Tu n’as pas l’air dans ton état habituel, fit remarquer Tiloé d’un œil d’expert. Je dirais à vue d’œil, vu comment tu boitilles, une foulure.
La jeune fille releva le bas de son pantalon au-dessus de son genou et avoua :
-Oui maître, en courant pour arriver j’ai trébuché sur une racine et je me suis tordu la cheville. Après quelques minutes, j’ai senti que ma bottine, en plus de la douleur, me serrait. J’en ai donc déduit que ma cheville avait enflé. (Je n'aurais pas besoin de relever mon pantalon jusqu'au genou pour montrer ma cheville douloureuse)
 
Tiloé se leva de sa chaise et fit les cent pas dans la petite pièce. :
-Je sais que tu n’as jamais aimé étudier, que tu préfère de loin ce qui est physique, mais sache qu’une tête bien remplie est mieux que de savoir manier l’épée ! Surtout que dans la vie de tous les jours, tu n’as aucunement besoin de te battre à l’épée ! Sauf bien sûr si tu décides de quitter le village et de partir quérir l’aventure à la recherche d’un quelconque trésor ou autres choses. (autre chose à ce moment-là ou alors d'autres choses)              Depuis, elle avait décidé que, quand elle atteindrait l’âge de femme elle partirait à la recherche de ses parents, s’ils sont (étaient) encore vivants, où alors à la recherche des réponses aux questions qu’elle se pose (posait). «Pourquoi m’ont-ils abandonnés ? Quel était cet homme qui était venu m’amener chez ma tante quand j’avais deux mois?Mon fort caractère, vient-il de ma mère ou de mon père ? D’où viens-je ? Mon père est-il vraiment le frère de Ava ? Qui était ma mère ? (tous ces questionnements me paraissent un peu lourd) Ava m’avait toujours parlé de mon père, en bien, mais n’avait jamais évoqué de femme. Elle m’a même dit qu’elle avait été surprise d’apprendre mon existence ainsi que mon abandon, par cet homme si sensible. »Voilà donc seize ans qu’elle vivait chez sa tante et son mari. Dans exactement huit mois et trois jours Florys deviendra une femme, elle pourra alors se marier, et ne sera plus sous l’autorité de ses tuteurs. C’était une des lois d’Isil, quand une jeune femme où un jeune homme atteint ses dix-sept, ses parents où tuteurs ne peuvent plus s’opposer à ces choix de vie, juste l’aider à choisir la bonne route. (Je ne m'en sors plus avec tes histoires généalogiques, tes lois...)
 
-Tu m’écoutes j’espère. Voilà cinq minutes que je te parle, et je ne suis même pas sûr que tu esavoir retenu un seul mot !
 
 
Tiloé parut surpris et dans son habitude, quand il ne comprend plus, il garde(garda) la bouche entrouverte sans prononcer un mot. Après avoir remis ces pensées en place il demanda à son élève, qui le surprenait tous les jours :
-Tu as refait (refais) tes rêves ? Pourtant tu m’avais dis que c’était fini !
-Je le pensais aussi maître, jusqu’à cette nuit où j’ai rêvé que vous m’annonciez la nouvelle après votre discours sur le fait que la tête pleine était le plus important, ce dont que j’ai retenu et presque au mot près. Ensuite vous m’avez laissé le voir et je me suis réveillée avant même de l’avoir vu en rêve.
 Tiloé se rassit l’air perplexe, les problèmes recommençaient si c’était ce qu’il croyait.
-C’était bien ton troisième rêve, de la sorte, où tu vois ce qui va se passer ?
La jeune fille acquiesça.
-Cela devient étrange, je vais aller demander conseil auprès de personnes plus compétentes que


 
En général, des problèmes de vraisemblance des comportements, d'orthographe (dû en partie à des fautes de frappe je pense), et des problèmes de concordances des temps.  
Voilà !

n°7926430
florys
Posté le 18-03-2006 à 11:34:52  profilanswer
 

merci beaucoup skybabybel pour cette correction!!
mais juste pour savoir, franchement ça va ou pas le début apars les corrections que tu m'as dit??
si d'autres personnes en ont n'hésité pas ça m'aide beaucoup!

n°7926579
Profil sup​primé
Posté le 18-03-2006 à 12:04:56  answer
 

Ca peut aller, même si c'est à retravailler bien entendu.

n°7927170
florys
Posté le 18-03-2006 à 13:32:46  profilanswer
 

oké merci, dsl pour mon sujet mais j'avais pas vu le topic


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