Le barrage de Tishreen est devenu l’épicentre de cette confrontation. Ces dernières semaines, les deux groupes rivaux ont chacun revendiqué le contrôle de l’infrastructure à travers différents communiqués postés sur les réseaux sociaux.  
 
Le 13 décembre, un média favorable aux rebelles pro-turcs affirmait que ces derniers en auraient pris le contrôle. La vidéo qu’il relaie prétend montrer le contrôle des rebelles syriens sur le barrage de Tishreen.  
 
Géolocalisée grâce aux images de la plateforme Google Earth, la vidéo permet d’attester que les rebelles pro-turcs étaient bien présents sur le barrage. Mais ces derniers ne se déplacent que sur la partie ouest de l’ouvrage situé à proximité de la rive où sont positionnées leurs troupes. Ces images ne permettent donc pas de conclure à un contrôle total de l’ouvrage par l'ANS .
 
Quelques jours après, les Forces démocratiques syriennes répliquent par un autre communiqué vidéo afin d’affirmer leur contrôle sur l’ouvrage.
 
“En Syrie, contrôler les barrages c’est vital”  
Selon un analyste local, qui requiert l’anonymat, les affrontements autour du barrage se déroulent dans la continuation des combats pour le contrôle de la ville de Manbij.
 
Dans la région de Manbij, la chute du régime le 8 décembre a entraîné la défection de nombreuses unités arabes qui étaient avant membres des FDS. Ces groupes arabes étaient pour certains d'anciens révolutionnaires syriens, leur défection a permis à l’ANS de s’emparer de la ville de Manbij. Les FDS se sont donc repliés dans les tunnels qu’ils avaient construits ces dernières années et ont évacué Manbij.  
 
Depuis l’arrivée de l’ANS dans la ville de Manbij, la ligne de front est constituée par l’Euphrate. La bataille se joue au niveau de deux points de passage: le pont de Qara Qawzak et le barrage de Tishreen. Ces dernières semaines, les FDS ont réussi à traverser l’Euphrate et se rapprocher de Manbij afin d’assurer leur contrôle du barrage."

The Greek genocide[4][5][6][7][A 1] (Greek: Γενοκτονία των Ελλήνων, romanized: Genoktonía ton Ellínon), which included the Pontic genocide, was the systematic killing of the Christian Ottoman Greek population of Anatolia, which was carried out mainly during World War I and its aftermath (1914–1922) – including the Turkish War of Independence (1919–1923) – on the basis of their religion and ethnicity.[13] It was perpetrated by the government of the Ottoman Empire led by the Three Pashas and by the Government of the Grand National Assembly led by Mustafa Kemal Atatürk,[1] against the indigenous Greek population of the Empire. The genocide included massacres, forced deportations involving death marches through the Syrian Desert,[14] expulsions, summary executions, and the destruction of Eastern Orthodox cultural, historical, and religious monuments.[15] Several hundred thousand Ottoman Greeks died during this period.[16] Most of the refugees and survivors fled to Greece (adding over a quarter to the prior population of Greece).[17] Some, especially those in Eastern provinces, took refuge in the neighbouring Russian Empire.

The Syrian Pipeline Game: How Turkey’s Plans Affect Israel’s Regional Ambitions
 
The fall of the Assad regime in Syria has revived Turkey’s plans to construct oil and gas pipelines through the country, turning it into a regional “energy corridor” for neighboring states. Some of these plans would offer the Arab Gulf States a more convenient land route for exporting energy to Europe through Turkey, posing a challenge to Israel’s similar aspirations. Israel has other opportunities to export its natural gas to new markets via pipeline, but they pose the risk of undermining Israel’s relationship with Greece and Cyprus. Israel should follow the “pipeline game” in Syria closely to ensure that new economic opportunities in the region don’t pass it by.
 
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“Des djihadistes violents commencent à être frustrés”, titre le magazine britannique The Economist dans un article publié le 14 janvier à propos de la “nouvelle Syrie” sous la direction de Hayat Tahrir Al-Cham (HTC) et de son chef, Ahmed El-Charaa. La raison de leur mécontentement, selon le média : le nouvel homme fort du pays se montrerait beaucoup trop modéré à leur goût.
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The Economist en arrive à considérer que le plus grand problème pour Ahmed El-Charaa consistera peut-être à gérer ses anciennes troupes, “une génération de salafistes puritains qui cherchent à reproduire les mœurs du prophète”, et qui pourraient aujourd’hui considérer qu’Ahmed El-Charaa n’est plus conforme à leur vision du monde ni à leur idéologie.
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Les médias égyptiens favorables au régime avaient également manifesté leur crainte que Damas devienne une “base arrière” pour déstabiliser l’Égypte. Par l’arrestation de ce combattant trublion [Ahmed El-Mansour], Ahmed El-Charaa semble vouloir montrer qu’il tient sa promesse formulée dès le 20 décembre, à savoir que la Syrie “ne sera source d’inquiétude pour aucun pays arabe”.
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Et notamment les troupes des factions du Sud, dirigées par Ahmed El-Awda, qui refuse pour l’instant de se mettre sous l’autorité de Damas et souhaite garder ses capacités militaires.

Ancien djihadiste, Ahmed El-Charaa, qui a imposé son pouvoir à Damas depuis le 8 décembre dernier, multiplie les décisions et gestes d’ouverture pour rassurer à la fois les Syriens et les capitales étrangères. Mais à force d’afficher sa modération, il risque de mécontenter une partie de ses propres soutiens, rapporte la presse internationale et arabe.

“Des djihadistes violents commencent à être frustrés”, titre le magazine britannique The Economist dans un article publié le 14 janvier à propos de la “nouvelle Syrie” sous la direction de Hayat Tahrir Al-Cham (HTC) et de son chef, Ahmed El-Charaa. La raison de leur mécontentement, selon le média : le nouvel homme fort du pays se montrerait beaucoup trop modéré à leur goût.
 
Ainsi a-t-il annulé l’ordre de fermer un centre culturel à Damas, dont les fréquentations avaient pourtant été jugées “inappropriées” par les autorités locales de la ville, notamment pour les allées et venues de femmes à toute heure de la journée et de la nuit.
 
Les anciens (et actuels) frères d’armes d’Ahmed El-Charaa sont d’autant plus surpris que des décisions semblables se sont multipliées depuis que les troupes de HTC ont avancé à partir d’Idlib pour renverser le régime de Bachar El-Assad le 8 décembre dernier.
 
Ainsi, Ahmed El-Charaa a ordonné de “laisser les croix sur les églises, de protéger les décorations de Noël et de respecter les sanctuaires des chiites”, pourtant honnis par l’idéologie djihadiste sunnite. Il a même “demandé de laisser tranquille les bars où hommes et femmes éméchés dansaient ensemble pour célébrer le passage à la nouvelle année”.
 
The Economist en arrive à considérer que le plus grand problème pour Ahmed El-Charaa consistera peut-être à gérer ses anciennes troupes, “une génération de salafistes puritains qui cherchent à reproduire les mœurs du prophète”, et qui pourraient aujourd’hui considérer qu’Ahmed El-Charaa n’est plus conforme à leur vision du monde ni à leur idéologie.