Selon le ministre, Omar Ben Laden, 43 ans, était «installé dans l'Orne depuis plusieurs années en tant que conjoint de ressortissante britannique». En 2023, après des propos mis en cause pour apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux, le préfet de l'Orne l’avait placé sous Obligation de quitter le territoire français (OQTF) et obtenu son départ. Contacté par Le Figaro, Beauvau confirme que le Tribunal administratif a validé lundi cette décision, et que l’intéressé, qui a quitté l’Hexagone dès 2023, aura désormais par la décision du ministre «l'impossibilité» de revenir en France «pour quelque motif que ce soit».

Omar Ben Laden a exercé pendant plusieurs années une activité d’artiste-peintre en Normandie, s’exprimant occasionnellement dans les médias.
Selon Le publicateur Libre, l’OQTF serait survenue après un tweet le 2 mai 2021, pour le 10e anniversaire de la mort de l’auteur du 11 septembre, louant sa mémoire.
 
«L'histoire n'est écrite qu'avec le sang de ces personnes – pour raconter l'histoire de ces martyrs qui ont marqué l'histoire, construit des nations et apporté la gloire.
Leur sang est la bouée de sauvetage de notre foi jusqu'au jour du jugement dernier. Repose en paix»

Selon le ministre, Omar Ben Laden, 43 ans, était «installé dans l'Orne depuis plusieurs années en tant que conjoint de ressortissante britannique». En 2023, après des propos mis en cause pour apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux, le préfet de l'Orne l’avait placé sous Obligation de quitter le territoire français (OQTF) et obtenu son départ. Contacté par Le Figaro, Beauvau confirme que le Tribunal administratif a validé lundi cette décision, et que l’intéressé, qui a quitté l’Hexagone dès 2023, aura désormais par la décision du ministre «l'impossibilité» de revenir en France «pour quelque motif que ce soit».

Les trois Afghans étaient liés, a précisé une des sources, selon laquelle "ils préparaient une action violente sur le territoire français". Leur interpellation est intervenue à la suite de la réception d'un renseignement.

Désormais âgés de 9 et 7 ans, ces derniers ont depuis leur retour en France multiplié les rencontres avec des psychologues, des psychiatres ou des éducateurs. Ils auraient confié à ces derniers avoir été victimes de violences physiques et psychologiques commises par de leur mère et certains de ses proches. Selon la plainte du conseil départemental, l’aîné a notamment confié à son assistante sociale avoir appris auprès de sa mère à trancher des têtes. À plusieurs reprises, elle lui aurait aussi enseigné le lancer des grenades. Les trois enfants ont enfin raconté avoir été confrontés à des vidéos de décapitation. Les services éducatifs ont d’ailleurs constaté que les enfants d’Émilie König souffrent toujours de troubles anxieux.

Les trois Afghans étaient liés, a précisé une des sources, selon laquelle "ils préparaient une action violente sur le territoire français". Leur interpellation est intervenue à la suite de la réception d'un renseignement.

Désormais âgés de 9 et 7 ans, ces derniers ont depuis leur retour en France multiplié les rencontres avec des psychologues, des psychiatres ou des éducateurs. Ils auraient confié à ces derniers avoir été victimes de violences physiques et psychologiques commises par de leur mère et certains de ses proches. Selon la plainte du conseil départemental, l’aîné a notamment confié à son assistante sociale avoir appris auprès de sa mère à trancher des têtes. À plusieurs reprises, elle lui aurait aussi enseigné le lancer des grenades. Les trois enfants ont enfin raconté avoir été confrontés à des vidéos de décapitation. Les services éducatifs ont d’ailleurs constaté que les enfants d’Émilie König souffrent toujours de troubles anxieux.

Désormais âgés de 9 et 7 ans, ces derniers ont depuis leur retour en France multiplié les rencontres avec des psychologues, des psychiatres ou des éducateurs. Ils auraient confié à ces derniers avoir été victimes de violences physiques et psychologiques commises par de leur mère et certains de ses proches. Selon la plainte du conseil départemental, l’aîné a notamment confié à son assistante sociale avoir appris auprès de sa mère à trancher des têtes. À plusieurs reprises, elle lui aurait aussi enseigné le lancer des grenades. Les trois enfants ont enfin raconté avoir été confrontés à des vidéos de décapitation. Les services éducatifs ont d’ailleurs constaté que les enfants d’Émilie König souffrent toujours de troubles anxieux.

Désormais âgés de 9 et 7 ans, ces derniers ont depuis leur retour en France multiplié les rencontres avec des psychologues, des psychiatres ou des éducateurs. Ils auraient confié à ces derniers avoir été victimes de violences physiques et psychologiques commises par de leur mère et certains de ses proches. Selon la plainte du conseil départemental, l’aîné a notamment confié à son assistante sociale avoir appris auprès de sa mère à trancher des têtes. À plusieurs reprises, elle lui aurait aussi enseigné le lancer des grenades. Les trois enfants ont enfin raconté avoir été confrontés à des vidéos de décapitation. Les services éducatifs ont d’ailleurs constaté que les enfants d’Émilie König souffrent toujours de troubles anxieux.

Les trois Afghans étaient liés, a précisé une des sources, selon laquelle "ils préparaient une action violente sur le territoire français". Leur interpellation est intervenue à la suite de la réception d'un renseignement.