akiva1234 a écrit :
T'es vraiment une buse.
L'affaire Kastner c'est bien plus tard et c'est pas un plan secret:
des nazis ont proposé a Kastner qui était une autorité juive locale de chépluou de libérer un certain nombre de juifs contre de l'argent.
Plus tard (apres la guerre) un journal israelien a accusé kastner d'avoir fait sortir ses potes et ceux qu'il considérait lesplus utiles pour l'avenir en priorité, suite a quoi il s'est fait buté.
Si tu vois encore ici un plan de coopération secret judéo-sionisto-nazi, je te recommanderais a un psy...
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Extraits de:
"L'Histoire cachée du sionisme",
par Ralph Schoenman,
éditions Selio
1988
UN PACTE CONTRE LES JUIFS HONGROIS
Le point culminant de la trahison des sionistes fut le sacrifice des juifs hongrois par une série d'accords entre le mouvement sioniste et l'Allemagne nazie qui furent rendus publics pour la première fois en 1953. Le Dr Rudolf Kastner du Comité de sauvetage de l'Agence juive à Budapest signa un pacte secret avec Adolf Eichmann pour "régler la question juive" en Hongrie. Cela se passait en 1944. Le pacte scellait le destin de 800 000 juifs.
Il se révéla par la suite que Kastner agissait sous les ordres des dirigeants sionistes à l'étranger lorsqu'il passa cet accord avec Eichmann. L'accord prévoyait que soient sauvées 600 personnalités juives à condition que le silence soit fait sur le sort des juifs hongrois.
Lorsqu'un survivant, Malchiel Greenwald, dénonça ce pacte et dénonça Kastner comme un collaborateur nazi dont "les actes à Budapest avaient coûté la vie à des centaines de milliers de juifs" (91), Greenwald fut poursuivi en justice par le gouvernement israélien, dont les dirigeants avaient rédigé les termes du pacte Kastner.
La cour israélienne aboutit à la conclusion suivante " Le sacrifice d'une majorité de juifs, pour sauver les plus éminents, était l'élément de base de l'accord entre Kastner et les nazis. Cet accord fixé, la division de la nation entre deux camps inégaux, une petite fraction de personnes éminentes, que les nazis promirent à Kastner de sauver d'une part, et la grande majorité des juifs hongrois que les nazis avaient condamnés à mort de l'autre. " (92).
La cour déclara que la condition impérative de ce pacte était que ni Kastner ni les dirigeants sionistes n'interfèrent dans l'action des nazis contre les juifs. Ces dirigeants entreprirent non seulement d'éviter les interférences, mais tombèrent d'accord pour ne pas, selon les termes de la cour israélienne, "les gêner dans leur oeuvre d'extermination".
"La collaboration entre le Comité de sauvetage de l'Agence juive et les exterminateurs des juifs fut consolidée à Budapest et à Vienne. Les tâches de Kastner faisaient partie des bagages des S.S.. En plus du Service d'extermination et du Service du pillage, les S.S. nazis ouvrirent un Service de sauvetage dirigé par Kastner. " (93).
SAUVER LES NAZIS, PAS LES JUIFS
Il n'est pas surprenant qu'il ait été révélé que Kastner intervint pour sauver le général SS Kurt Becher qui devait être jugé pour crimes de guerre. Becher avait été l'un des principaux négociateurs du pacte avec les sionistes en 1944. Il fut également major SS en Pologne, membre de l'Escadron de la mort "qui travaillait 24 heures sur 24 à tuer les juifs". "Becher s'était distingué comme boucher des juifs en Pologne et en Russie." (94).
Il fut nommé commissaire de tous les camps de concentration nazis par Heinrich Himmler. Où est-il à présent ? Il est président de plusieurs sociétés et dirige la vente du blé à Israël . Sa société, la CologneHandel Gesselschaft, fait aujourd'hui des affaires avec le gouvernement israélien.
UN PACTE MILITAIRE AVEC LE NAZISME
Le 11 janvier 1941, Yitzhak Shamir (actuel Premier ministre d'Israël ) proposa un pacte militaire en bonne et due forme entre l'Organisation nationale militaire (ONM), c'est-à-dire l'Irgun sioniste, et le Troisième Reich nazi. Cette proposition est maintenant connue sous le nom de Texte d'Ankara, ayant été découverte après la guerre dans les archives de l'ambassade allemande en Turquie. Ce texte établit ce qui suit:
"L'évacuation des masses juives d'Europe est une condition préalable à la solution de la question juive, mais cela ne peut être rendu possible et accompli totalement que par l'établissement de ces masses dans le pays des juifs, la Palestine, et par l'établissement d'un Etat juif au sein de ses frontières historiques...
L'ONM, qui est parfaitement au courant des bonnes dispositions du gouvernement du Reich Allemand et de ses dirigeants envers l'activité sioniste au sein de l'Allemagne et envers les plans d'émigration sionistes, considère que:
1. Des intérêts communs pourraient exister entre l'établissement d'un Ordre nouveau en Europe en accord avec la conception allemande, et les véritables aspirations nationales du peuple juif telles qu'elles sont incarnées par l'ONM.
2. La coopération entre l'Allemagne nouvelle et le renouveau de l'Hébraïsme national pourrait être possible, et,
3. L'établissement d'un Etat juif historique sur une base nationale et totalitaire, et lié par traité au Reich allemand, serait dans l'intérêt du maintien et du renforcement d'une position de force allemande future au Moyen-Orient.
Partant de ces considérations, l'ONM de Palestine, sous la condition que les aspirations nationales de liberté d'Israêl mentionnées ci-dessus soient reconnues par le Reich allemand, s'offre à participer activement à la guerre aux côtés des Allemands." (95).