Je voulais aussi savoir à quoi correspondait l'option "allow downmix" dans l'encodage d'un mp3. Merci

le mode stéreo encode toujours les canaux gauche et droite séparement.
.
Active TOUJOURS le mode joint stéreo, car quand le son est presque le même à gauche et à droite la compression est plus efficace qu'en forçant l'encodage Gauche/Droit: il encode (G+D) et(G-D) (somme et différence).
 
allow downmix, permet d'encoder un fichier mono en mono, non?
 
   
c'est bien l'ADSL

zegilles.

salut nyarla

pti rajout....Si tu veux encoder en mp3 à 256kbps/s ou plus, le mode STEREO est meilleur car restitution de la stereo originale (G et D separees).
En dessous de 256 kbps, reste en JOINT STEREO.
Lus

c'est n'imp'

Si je me trompe pas, le alt preset extreme de lame 3.92 est en JS non? et pourtant c'est un gage de qualité ce preset...

Mon avis, c'est qu'on se prend pas la tête et on utilise les presets.    
 
cumstorm > joli pseudo.    
 

Thx  
Un connaisseur certainement?  

 
Juste pour dire que le JS a EXACTEMENT la même restitution qu'un encodage en stéréo, c'est uniquement la manière de stocker les informations qui est différente...
Mais la qualité est STRICTEMENT la même...
 
Si tu ne me crois pas, je laiie le soin a d'autre, plus informé sur le sujet et mieux callé en mathématique de te faire la démonstration par A+B

Cela permet à l'encodeur de mixer un flux stéréo en entrée de façon à l'encoder en mono pour la sortie.
 
Le mode Stereo : l'encodeur va traiter les deux canaux audio séparément. Par conséquent, l’attribution de bitrate varie en fonction de la quantité d’information à compresser pour chaque canal audio. Le mode Stereo alloue plus d’information au canal qui en en sollicite le plus. Par exemple, pour un bitrate de 256 kbps, la distribution peut être de 160 kbps pour le canal gauche, et 96 kbps pour le droit. A savoir que pour reconstruire un signal stéréo efficace, il est nécessaire bien souvent d’utiliser des bitrates supérieures à 200 kbps. Ne pas confondre avec Dual Channel, où l'on a 2 canaux audio en mono, avec un bitrate global alloué à part égale pour chacun des canaux.
 
Le mode Joint-Stereo : là aussi 2 canaux audio, mais cette fois-ci, la compression tire avantage de ce qui est commun entre les deux canaux, donc une distribution de bitrate plus intelligente. Si l’information audio reste identique pour les 2 canaux, alors le traitement consistera à ne compresser cette information qu’une seule fois, à la différence du Mode Stereo. Conclusion tu as un bénéfice de place, qui se traduit, pour un bitrate donné, par une meilleure distribution de celui-ci. Mieux vaut l'utiliser pour un bitrate supérieur ou égal à 128 kbps.

Merci pour toutes vos réponses qui m'ont bien éclairées. Tant qu'on y est, qu'apportent les options "original bit, "private bit" ou "copyright bit" et qu'est-ce que le paading? Merci encore.

Et google tu connais ??
 
Rapidement...Gabriel t'expliqueras ça sûrement mieux que moi   Un mp3 possède dans sa structure une partie réservée à l'header : l'en-tête si tu préfères. Dans cet header, on peut stocker un certain nombre d'informations concernant le fichier. Par exemple : le débit utilisé, la fréquence d'échantillonnage, le mode de canal choisi, le type de MPEG layer, etc...
 
Donc, à ce niveau, tu as aussi la possibilité de spécifier l'original bit, le copyright bit, le private bit et le padding bit.  
 
Original bit : permet d'indiquer si ton fichier est le flux original ou juste une copie.
Copyright bit : même signification que sur des CDs. Pour indiquer qu'il existe un droit d'auteur donc et que c'est illégal de recopier ce contenu.
Private bit : aucune idée réellement se pour quoi c'est fait.
Padding bit : permet d'indiquer au compresseur   que chaque frames est entièrement satisfaite pour un certain débit.Par exemple, un flux mp3 @128 kbps ayant une fréquence d'échantillonnage de 44100 Hz se compose de frames de 417 bytes et d'autres de 418 bytes. Donc dans ce cas, si tu spécifies au compresseur le "padding bit", les frames ayant une taille de 417 bytes seront traiter pour compenser les anomalies.