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TN : leurs angles de vision sur les côtés sont larges, les noirs sont profonds, c'est une technologie plus économique que les autres et certaines dalles sont très réactives. Ils peuvent ainsi présenter un rapport qualité / prix très intéressant. Ils sont valables pour tous les usages, du moment que l'on connaît leurs principaux défauts : l'angle de vision inférieur est noir, l'homogénéité de la luminosité sur la dalle est parfois défaillante si on ne regarde pas pile en face, au milieu, et les écrans donnés avec un temps de réponse supérieur ou égal à 5 ms manquent de réactivité. Ils sont sujets à la rémanence.
PVA : c'est une technologie habituellement plus coûteuse, appréciée pour ses noirs profonds, sa bonne réactivité et ses angles de vision, homogènes. Son défaut : un fourmillement plus marqué qu'avec les dalles TN dans les films. Ils sont donc doués pour la retouche d'image, pour les jeux aussi, moins pour la vidéo. En bureautique, les fonds blancs occasionnent une surconsommation d'énergie.
MVA : ces écrans disparaissent. Ils étaient très proches du PVA, avec des angles de vision un peu moins ouverts, avec un noir moins profond mais en contrepartie cette technologie est habituellement un peu moins coûteuse et moins sujette au fourmillement dans les films. Comme les PVA, le blanc se révèle coûteux en énergie. De ce fait, les écrans MVA paraissent un peu plus polyvalents que les PVA, avec des aptitudes particulièrement intéressantes pour la vidéo sur ordinateur.
IPS : ces écrans bénéficient des angles de vision les plus ouverts. Après une vague de creux, ils reviennent en force en ce moment avec, chaque année, de nouveaux progrès très appréciables. Depuis 2008, leur consommation d'énergie a chuté, les noirs ont gagné en profondeur, leur réactivité a augmenté. Le hic : ils restent chers, plus que les autres.
Source : http://www.lesnumeriques.com/monit [...] -a438.html
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