Citation :
Je suis tombé sur les Moires tout d’abord, de la mythologie grecque. Les divinités du Destin implacable, qui dispensent aux hommes et les biens et les maux. Il y a : Clotho, la Fileuse
Lachésis, la Réparatrice (fille d’Ananké, la Nécessité)
Atropos, l’Implacable
Les jeunes mariées athéniennes leur offraient des boucles de cheveux et les femmes les invoquaient en prêtant serment.
Ensuite, par équivalence, je suis tombé sur les Parques de la mythologie romaine et qui portent le même nom que leurs consoeurs grecques mais peuvent être reconnuex aussi sous les noms de Nona, Decima et Morta. Elles sont soeurs, filles de la Nécessite et du Destin.
Elles sont représentées sous la forme de trois femmes au visage sévère, accablées de vieillesse, avec des couronnes faites de gros flocons de laine entremêlées de narcisse. On leur immolait des brebis noires. Clotho, ainsi nommée d’un mot grec qui signifie “filer”, paraît être la moins vieille, pour ne pas dire la plus jeune des Parques. C’est elle qui tient le fil des destinées humaines. On la représente vêtue d’une longue robe de diverses couleurs, portant une couronne formée de sept étoiles, et tenant une quenouille qui descend du ciel en terre. La couleur qui domaine dans ses draperies est le bleu clair.
Lachésis, nom en grec qui signifie “sort” ou “action de tirer au sort”, est la Parque qui met le fil sur le fuseau. Ses vêtements sont quelquefois parsemés d’étoiles, et on la reconnait au grand nombre de fuseaux épars autour d’elle. Ses draperies sont de couleur rose.
Atropos, c’est à dire en grec “infléxible”, coupe impitoyablement le fil qui mesure la durée de la vie de chaque mortel. Elle est représentée comme la plus agée des trois soeurs, avec un vétement noir et lugubre ; Près d’elle, on voit plusieurs pelotons de fil plus ou moins garnis, suivant la longueur ou la briéveté de la vie mortelle qu’ils mesurent.
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