Ourf… une plaquette PDF dans Illustrator réouverte dans Illustrator…ça ferait ramer n'importe quoi !
Mieux vaut revenir aux choses classiques :
Potentats :
- L'éditeur vectoriel fait du vectoriel, (Illustrator dans notre problématique)
- L'éditeur bitmap fait du bitmap (ou du pixel si vous préférez), l'incontournable Photoshop par exemple
- L'éditeur de pages… fait des pages, Xpress ou Indy
- On consulte et vérifie le tout sur la plateforme Acrobat.
Je suis de la vieille école, je préfère la méthode académique.
Les constructions vectorielles et bitmap dans leurs logiciels respectifs,
on fait converger tout ça dans le metteur en page qui sait mettre à plat les transparence, on règle aux petits oignons pour le type de sortie,
on édite un postscript que l'on distille avec les réglages appropriés et on obtient le fichier PDF tip-top que l'on souhaite.
Ce fichier s'ouvrira vite et bien car optimisé. Il ne reste pour se rassurer qu'à vérifier les éléments à fort taux de zooming
et vérifier leurs comportements avec la fenêtre d'aperçu de sortie (plaques quadri, Pantones, surimpes, grosses densités de noir…)
Naturellement cela implique d'avoir les 4 softs.
Avec seulement Illustrator ça rame et c'est normal. Le moteur doit tout recalculer (ombres vectorielles, dégradés de formes…), c'est énorme.
Comme dit précédemment, il est bon d'installer les softs "mastodontes" de PAO sur un gros disque avec beaucoup de place restante et de leur attribuer
un "swop" maximum pour conserver de la puissance de travail. Cela était valable avec les anciennes version de Photoshop et Illustrator, de nos jours je ne sais pas.
À mon avis un maximum de place vierge convertie en mémoire virtuelle (comme l'insinue Genghis) reste une très bonne chose…
Bonne soirée.
Message édité par Harrybeau1 le 23-01-2010 à 20:46:34
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Panem et circenses. Nihil novi sub sole.